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Jeux d'Olympe

Le fil préféré d'Anne Hidalgo.

  • lunatic XV le 10/08/2021 à 23h44
    J'ajoute mon écot pour les cours d'EPS au college - dans les années 90 pour moi.

    Ils avaient eu la très bonne idée de mettre 2 blocs: 1 heure plutôt orientée gym/endurance, calée dans la semaine comme n'importe quel cours, et 2h comme seule matière de l'après midi une autre fois. Ça se transformait donc, au gré des saisons, en
    1er trimestre: 2h d'athlé, ou sport co
    2e trimestre: (joie) le choix entre piste, fond, patinage (ou sport de salle pour les allergiques aux activités ci-dessus), et
    3e trimestre escalade, foot, ou athlé.
    Bref une demi journée appelée « plein air » à l'époque, avec des horaires à rallonge pour permettre le trajet en bus (ça faisait départ 12:30-13h, retour 17:30) si besoin (ski/escalade).

    Et bien croyez le ou pas, c'était super et tous les participants appréciaient l'activité, et la possibilité de choisir.

    Jamais fait de natation en revanche, je ne me souviens pas si c'était au programme (3e trimestre?) ou pas.
    Alors oui ce n'est pas transposable partout, mais dans un petit département alpin (et j'imagine avec le soutien du conseil général ?) ça ne coûtait presque rien (le ski revenait à l'équivalent de 5€ par sortie).
    A priori piloté par le principal & les profs de sport, motivés et sympas pour la plupart - pas de M. Mégot…

  • Danishos Dynamitos le 10/08/2021 à 23h54
    A Saint-Etienne, j'ai eu en EPS:
    - de l'endurance (beaucoup)
    - de la vitesse (un peu)
    - du javelot (j'étais nul)
    - du disque (j'étais hyper fort)
    - de la natation
    - du volley-ball
    - du basket-ball
    - du badminton
    - de l'escalade
    - du ping-pong
    - de la gymnastique (avec ou sans agrès)
    - de la voile
    - et même du base-ball

    Mais j'ai jamais fait une seule fois de handball ni de football (un comble)

  • Lucho Gonzealaise le 10/08/2021 à 23h57
    On pouvait le regretter quand on était ado, mais il n'y avait objectivement aucune raison de faire du foot en EPS. D'une parce que tout le monde connaît un minimum, et sûrement aussi parce qu'il doit bien y avoir au moins un licencié par classe.

    Et je crois qu'on s'est tous dit au fond que nos profs d'EPS étaient de gros rageux qui abhorrent le foot.

  • Mevatlav Ekraspeck le 10/08/2021 à 23h58
    En IDF c'est dur pour trouver des salariés, oui. La concurrence est féroce avec tous les autres clubs et associations, vu le vivier.

    Niveau licence en revanche, le volley coûte zobi pour les jeunes, avec les aides de la région et/ou du département, puisque on a compris que pendant qu'ils étaient en club (de volley ou autre) avec des éducateurs bah ils n'étaient pas aux prises avec le cancer de la rue. Donc le pognon pleut, et l'année dernière ma licence + celle du rejeton ça a chiffré en dessous des 90 euros.

    Quand on dit ça aux types qui nous accueillent lors des coupes de France jeunes ou des volleyades, ça fait des jaloux…

  • Moravcik dans les prés le 11/08/2021 à 00h04
    Mes souvenirs d'EPS sont ceux d'un constant et total désintérêt des profs : tiens, voilà un ballon, faites un volley. Tiens, on va à la piscine, faites des longueurs. Tiens, on va au stade, faites des tours. Les filles s'asseyaient dans un coin ou marchaient, nous on réclamait en vain de faire un foot, et puis voilà. Je n'y ai jamais rien appris.

    Un souvenir rigolo quand même, ce vieux prof qui avait placé à la main la ligne de départ du 100m. Le temps qu'il arrive à l'autre bout pour placer celle d'arrivée, on avait avancé celle de départ d'une bonne vingtaine de mètres. Le frais record du monde de Ben Johnson n'y a pas survécu.

    Au bac j'ai eu 14. On a tous eu 14. Les profs devaient faire des colonnes de 14, pour se débarrasser.


  • theviking le 11/08/2021 à 00h10
    Si tu as réussi à faire au 80m le temps de Ben Johnson au 100 m, respect !
    Nous, on avait l'endurance tous les ans : une demi journée balisée vers février-mars où tout le collège faisait une course d'au chois : 11 / 14 /17 km. Avec une préparation pour la couse le trimestre qui précédait. C'était assez sympa. J'avais des copains très sportifs qui choisissaient le parcours de 11km en marche à pied en plus de 2h !!

    Sinon, pour la petite mimine de Brizard, il l'a effectivement tentée dans un des sets d'avant, mais moins bien exécutée, dans une belle zone cependant. Un russe l'a récupérée et on a perdu le point.

  • Moravcik dans les prés le 11/08/2021 à 00h13
    Ah moi non. J'ai toujours eu la rapidité d'un Diego Lugano arthtritique. J'ai dû faire 12 secondes, un truc comme ça.

  • Moravcik dans les prés le 11/08/2021 à 00h17
    (par contre je me souviens nettement du prof secouant la tête devant les temps de certains copains : "9'60... 9"60... c'est pas possible quand même...". Peut-être qu'on avait avancé la ligne de plus 20 mêtres en effet !)

  • Label Deschamps le 11/08/2021 à 00h24
    L'encadrement est essentiel en effet. Idéalement d'anciens joueurs, mais en tout cas deux ou trois personnes motivées pour chaque équipe et idéalement une ou deux qui peuvent suppléer de temps en temps.

    Je pense que le hand a mis un peu de temps à se structurer à l'échelon club avant de récolter les résultats des succès des équipes nationales, les victoires créent l'intérêt mais il faut les structures derrière.

    J'espère pour le volley qu'ils parviendront à le faire, c'est chouette quand une discipline se développe et parvient à créer un maillage.

    Mais même au milieu du désert on peut faire de belles choses. J'ai en tête l'école de rugby du SCO d'Angers dont j'ai été naguère sociétaire. Il y a genre quatre clubs dans le département, en dessous de 100 bornes là-bas c'est un derby. Mais il y a un investissement humain constant et de qualité depuis plus de vingt ans, et du coup près de 300 mômes et la plus forte école de rugby sur Bretagne-Pays de Loire, avec des cadets et juniors qui descendent jouer à Bordeaux ou Poitiers faute d'opposition à leur taille dans le coin. Ils ont sorti des joueurs de grande qualité, le plus connu est Setiano, le pilier du RCT, les frères Boudehent à la Rochelle et quelques autres qui ont fini en top 14 ou pro D2. Pour un club qui navigue entre fédérale 3 et première série depuis cinquante ans c'est impressionnant, mais le facteur premier réside dans l'encadrement indéniablement.

  • José-Mickaël le 11/08/2021 à 01h41
    Un des soucis de l'E.P.S. à l'école est (était ?) à mon avis le manque de moyens (en tout cas à mon époque) : il y avait de nombreuses situations où on passait l'un après l'autre, et donc on attendait...

    Je me souviens du saut en hauteur : on passait l'un après l'autre, donc on faisait la queue en regardant les autres. On s'emmerdait. Pareil avec le javelot : il y en avait sûrement plusieurs, mais pas pour tout le monde et, de toute façon, le prof voulait nous voir lancer l'un après l'autre. En poids, pareil : je me revois encore tenant le poids et attendant mon tour de lancer. Idem en basket, je me souviens d'un entraînement au tir où on était à la queue-leu-leu en attendant son tour (il n'y avait que deux paniers et sans doute pas assez de ballons).

    Bref, on ne pouvait pas disposer de matériel pour soi, se familiariser avec, le manipuler... Du coup, pour éviter les files d'attente, le mieux était probablement de nous laisser jouer une partie. Ceux qui savaient jouer au basket (volley, hand, etc.) monopolisaient le ballon et les autres étaient condamnés à rester des faire-valoir.