Le joueur préféré

De Andreï Arshavin à Zinedine Zidane, ce fil est là pour que vous puissiez rendre hommage au joueur qui tient la place centrale de votre Panthéon footballistique.

Raieaieaie le 11/07/2011 à 21h52

Ah ce but de Suker contre l'allemagne. Ca c'était un sacré joueur! Oserais je dire que dans ma tête malade nourrie au Calva à l'époque je me suis dit que Kozniku ce serait un peu notre Suker à nous, les cauchois, rêvant de but aussi classes à Dechaseaux?
Bref... moi un de mes joueurs favoris, Roberto Baggio. Legend!
Schizo retourné le 11/07/2011 à 22h12

Ah ce but de Suker contre le Danemark... Je garde de merveilleux souvenirs de l'Euro 96 avec le lob de Poborski (contre Vitor Baia ?) contre le Portugal, la merveille de Gascoigne contre l'Ecosse, l'un ou l'autre beau but de Shearer ou de Klinsmann... La première compétition que j'ai vu de bout en bout et j'en garde peut-être un meilleure souvenir que 98...
boniek le 11/07/2011 à 22h17

Pour moi :

- Roberto Carlos et ses frappes de folies, j'étais d'ailleurs derrière les cages de Barthez au Tournoi de France '97, je vois encore arriver le ballon en face de moi avec une trajectoire irréelle.

- Baggio lors de la World Cup '94, qui porte l'Italie sur ses épaules

- Del Piero, qui a réussi à virer Baggio de la Juve, et ses coups-francs excentrés qui faisaient mouches à tous les coups

- Redondo, la classe ultime, qui illumina ma soirée lors d'une rencontre de LDC contre MU : lien

- et enfin Ronaldo, le vrai, pas la danseuse (néanmoins fort talentueux mais insupportable) qui a inscrit LE but d'anthologie face à la Compostella de Franck Passi en 96-97 : lien
Tout simplement le joueur le plus fort que j'ai vu de mes yeux.
Commodore Djevic le 11/07/2011 à 22h24

Pendant un premier temps, j'ai pas aimé Ronaldo, dont les chevauchées solitaires qui enrhumaient me rappelaient de mauvais souvenir à base des nombreux jeunes qui voulaient faire pareil, le talent en moins quand je jouais en poussins et qui m'horripilaient grandement, surtout quand on se démenait soi-même à offrir des solutions viables. J'avais même arrêté le foot à cause de ça d'ailleurs.

Et puis... et puis finalement je l'ai grandement apprécié et j'avais les yeux tout embués lorsqu'il a annoncé sa retraite.
Marius T le 11/07/2011 à 22h41

C'est pas du jeu, vous avez été abreuvés d'images à partir les années 90 et mes joueurs préférés sont ceux de mon enfance, Ardiles, Kempes, la classe bien avant vos Berkamp et cie,
Johann "Hans" Krankl avant vos JPP et Van Basten

1 match tous le 4 ans en moyenne et les buts étrangers lors de stade 2

Je les ai plus vu en images sur les murs de ma chambre tout droit sortis de onze ou mondial.

Et les Bettega Rossi et autres Altobelli

Tout ça pour dire que mon joueur préféré reste Platoche et un jour si vous êtes gentils et vous raconterez l'histoire de la raquette de Stefan Edberg, cadeau de Michel à mon petit frère.
Marius T le 11/07/2011 à 22h42

remplacer et par je.
Dino Dini le 11/07/2011 à 22h43

(Moi j'ai été très gentil Marius)

(Et en plus, j'aime d'amour Michel et Stefan.)
gimlifilsdegloin le 11/07/2011 à 22h45

Pour moi, ce sera sans doute toujours Chris Waddle, ses folles chevauchées, ses gestes parfois incroyables, sa précision et sa bonne humeur. Même si, comme d'autres l'ont dit, il est difficile de sortir un joueur de cet OM-là, surtout avec Papin, Pelé, Francescoli...

Sur une compétition, je rejoins Boniek : jamais je n'ai vu un autre joueur tirer son équipe comme l'a fait Baggio en 1994, alors qu'il jouait sur une jambe. En plus, son échec et ces interminables secondes qui ont suivi m'ont presque autant marqué que les larmes de Boli.
Sens de la dérision le 11/07/2011 à 22h54

boniek
lundi 11 juillet 2011 - 22:17
- et enfin Ronaldo, le vrai, pas la danseuse (néanmoins fort talentueux mais insupportable) qui a inscrit LE but d'anthologie face à la Compostella de Franck Passi en 96-97 : lien
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Typiquement le genre de but que je n'aime pas.
Marius T le 11/07/2011 à 23h33

Donc pour Dino,

Nous sommes au milieu des années 80, pendant que j'ai le droit d'aller au stade des Alpes à Turin en hélico depuis chez moi ( et en Rolls avec Bernard Genestar) pour assister au fameux Juve-Bordeaux en demi de la C1, mon jeune frère obtient un stage à Saint-Cyprien Plage à faire du foot avec Michel Platini et du tennis avec Yannick Noah.

Lors de son stage, mon frêre assiste à un entrainement de Stéfan Edberg qui tape la balle avec Noah.

Edberg laissera quelques raquettes à remettre aux enfants méritants et donc Michel Platini remis à mon frère, en fin de stage, une raquette Wilson Graphite du suédois.

J'ai un peu honte de vous raconter cette histoire parce que tout ceci avait un coût.

Je remercie ce soir les contribuables de ma ville et surtout le génie de Jacques Médecin enseigné à ses lieutenants.