Paris est magique
Ou tragique, c'est selon.
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arnaldo01 le 17/04/2024 à 11h05Aucun problème mental hier ?
Entre la 65eme et la 85eme minute, on était quand même plus proche du 3/2 que du 4/1. J'ai trouvé que l équipe s'est complètement arrêtée de jouer après le troisième but.
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leo le 17/04/2024 à 11h06"Quelles autres options de changement avait Xavi après l'exclusion ? Dégarnir l'entrejeu pour renforcer sa défense ? Sortir un Raphinha à l'improbable réussite ?"
Sortir Lewandowski au lieu de Yamal, évidemment.
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Krazy Kant le 17/04/2024 à 11h08Oui, absolument. Ce n'était pas adressé à toi en particulier.
Je répondais à ton message car c'était le dernier qui parlait de l'apport collectif de Mbappé.
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Tonton Danijel le 17/04/2024 à 11h14Après avoir retourné une situation mal engagée.
(Ce que tu décris, cela ressemble plus à du relâchement - lié à une révolte du Barça - qu'à un vrai effondrement collectif comme on a pu le voir à Munich ou Madrid ces dernières saisons).
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Tonton Danijel le 17/04/2024 à 11h15Surtout que Lewandowski était très nerveux et aurait pu tout aussi bien finir avec une exclusion...
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JeanLoupGarou le 17/04/2024 à 11h16Sur le moment on en discutait avec les copains et Yamal était le dernier qu'on aurait sorti. Il crée leur but (même si c'est Raphinha qui conclut, et c'est typiquement le profil qui me fait peur.
Raphinha effectivement solide triple buteur sur la double confrontation tu hésites avant de le sortir.. et Lewandowski a son aura, plus un bon pivot pour jouer des coups en infériorité c'est pas con. D'ailleurs il obtient un peno en fin de match (s'il n'avait pas été hors-jeu).
Décision pas facile franchement. D'autant qu'en plus du rouge d'Araujo, le Barca débutait le match avec deux suspendus en défense… quand on voit qu'ils finissent avec Raphinha arrière gauche.
Un peu comme nous avec la suspension d'Hakimi et la commotion de Mukiele pour l'aller.
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Roger Cénisse le 17/04/2024 à 11h16Personnellement j'aurai préféré qu'ils continuent à appuyer sur l'accélérateur pour mettre le quatrième un peu plus tôt, quand même.
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PiMP my Vahid le 17/04/2024 à 11h18L'avenir lui a évidemment donné tort, mais sortir l'ailier dont la contribution défensive est la moindre de l'équipe (plutôt que le 9 pour conserver un point de fixation haut sur le terrain) est un choix assez fréquemment fait dans des cas semblables. Penser que le bus pourrait tenir pendant une heure un avantage de deux buts était certes un poil présomptueux, mais pas scandaleux non plus.
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animasana le 17/04/2024 à 11h30Pour un non supporter, on a quand me vachement plus le sentiment d'être à fond derrière une équipe française cette année que lors de l'empilement "Neymar-Messi-Mbappe", le côté équipe joue beaucoup. Et cette célébration ensemble après le 4eme but (putain, je suis le seul à avoir flippé du second jaune pour Mbappe ? Le premier étant déjà assez idiot), les encouragements avant le coup d'envoi de la seconde période, il y a quand même une cohésion qui n'était pas forcément là avant.
Pour les changements de Xavi post rouge, c'était une libération de le voir sacrifier le côté droit de leur attaque, alors que c'est là qu'ils faisaient mal. Mais que faire d'autre ? Sortir leur point de fixation, mais c'est lui qui libérait l'espace sur les ailes...et puis jouer à 10 voulait dire resserrer les lignes, quand leur stratégie était comme à l'aller d'avoir des ailiers qui écartent au max. Le rouge ne pouvait que les tuer.
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Le Pobga du Coman le 17/04/2024 à 11h32Bravo.
Je ne vous regarde pas souvent, mais diable, c'était bien sympa cette fois. Il semble y avoir une jolie cohérence dans les mouvements tant avec que sans ballon, en phase offensive ou défensive, par rapport aux années précédentes.
Bon, il y a toujours les petits moments de panique et trouage qui font le charme du PSG, et laisse toujours ce drôle de sentiment schizophrène au kikonjou que je suis: une envie que le PSG gagne parce que bon, pour une fois, ce serait bien, et en même temps la déception qu'ils n'aient pas trouver un moyen improbable de se rater dans les grandes largeurs en quelques secondes.
Bref allez Paris, et faites nous plaisir : soit vous allez au bout pour être "à jamais les deuxièmes", soit vous sortez dans la tradition en alliant panache, ridicule et tragique, qu'on puisse encore rigoler à vos dépens.