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Observatoire de la violence dans le football

Violences, hooliganisme, racisme et xénophobie dans les stades et ailleurs.

  • Aulas tique le 09/06/2023 à 06h41
    T'es peut-être pas si loin de la vérité au final :
    lien

  • Marius T le 09/06/2023 à 06h54
    Alain Orsini, un gars très bien, on peut le croire sur parole.

  • magnus le 09/06/2023 à 09h31
    Ouf, ça va alors, ce n'était qu'une "grosse bêtise" et on va déposer plainte contre le couple.
    Et tant qu'à faire on va enlever la porte de la loge qui a empêché ces braves citoyens de faire leur devoir rapidement.

  • L'amour Durix le 09/06/2023 à 10h23
    Non mais c'est une bonne chose que le président du club mis en cause intervienne dans cette histoire. On manquait de l'avis d'un expatrié au Nicaragua.

  • Tonton Danijel le 10/06/2023 à 23h31
    Un éducateur se fait agresser par un père de famille pour ne pas avoir voulu sélectionner son futur Zidane:

    lien

  • Marius T le 11/06/2023 à 00h19

  • FPZ le 11/06/2023 à 01h11
    L'anonymisation du prénom pour, dans la même phrase, indiquer l'exacte équipe entraînée, c'est particulier quand même...

  • Pascal Amateur le 15/06/2023 à 10h07
    Message sans grande valeur. Mais dans une tribune contre les violences sexuelles dans le sport ( lien), cette justification :
    « Ces agressions subies dans l'enfance ne sont pas sans conséquences sur les adultes, qui seront sujets à des troubles de stress post-traumatique. »
    Pourquoi cette expression ? Pourquoi parler de « stress », fût-il associé à un trauma, alors qu'on peut avoir des vies brisées, hachées menues, suicides et tentatives, réduites dans cette expression à la mode, passe-partout et au contenu flou ? Et pourquoi n'évoquer que les conséquences « sur les adultes », alors même qu'un enfant peut y perdre toute joie, confiance ? Ça serait trop demander d'indiquer qu'on peut finir en miettes ? — même si ce n'est pas le cas de tous et toutes, évidemment, mais enfin, fait-on de la prévention ou des pincettes ? Pourquoi des poumons brûlés sur les paquets de cigarettes, et un voile sur ces violences ?

  • Sens de la dérision le 15/06/2023 à 10h25
    Je ne suis pas spécialiste mais les troubles de stress post-traumatique sont un peu plus qu'une expression à la mode. Je viens de faire quelques recherches rapides : ces troubles qui sont appelés post-traumatic stress disorders (PTSD) en anglais sont une catégorie de l'International Classification of Disease (ICD - Classification internationale des maladies CMI) de l'OMS (Organisation Mondiale de la santé - World Health Organization WHO).

    Pour une bonne discussion, j'ai trouvé ça pour ceux que ça intéresse.
    lien

  • Pascal Amateur le 15/06/2023 à 10h45
    Chacun plaidera pour son approche, ce qui est logique. Pour ma part, je pourrais citer Dominique Vallet, professeur de psychiatrie :

    « La clinique du traumatisme psychique n'échappe pas à ces évolutions. Longtemps méconnue ou évoquée uniquement durant les périodes de guerre, elle est aujourd'hui très présente dans le champ contemporain de la clinique. Sous la désignation du stress, elle est largement médiatisée, bien au-delà des seuls cercles psychiatrique ou psychologique. Elle est sans nul doute, même, banalisée. Elle est très largement évoquée dans le contexte des guerres contemporaines, du terrorisme, mais aussi dans les situations de catastrophes naturelles ou technologiques. Mais elle est encore souvent rapportée dans bien des accidents plus individuels de la vie quotidienne. D'abord désignée sous le terme de névrose traumatique depuis la fin du XIXe siècle ou encore de névrose de guerre, la clinique du traumatisme psychique est reconnue aujourd'hui sous les aspects de l'état de stress aigu et surtout de l'état de stress post-traumatique depuis la troisième révision du DSM en 1980.

    Il faut s'interroger sur le contexte et la portée de ce changement de dénomination. Il n'est pas sans importance pour rendre compte de l'extension considérable du recours à cette catégorie diagnostique dans la clinique contemporaine. De nombreuses études en population générale soulignent la fréquence de cette pathologie, selon une grande variabilité de leurs résultats. Les événements du 11 septembre 2001 à New York ont donné lieu à de nombreuses études qui montrent l'impact de ce traumatisme bien au-delà du seul lieu de l'attaque. Il a concerné la population de toute une ville, de tout un pays et même au-delà. Par là, le traumatisme trouve ses effets bien au-delà des seules victimes directes. Il vient recouvrir des aspects très divers des conséquences d'un événement. Cela amène à réinterroger la notion même de traumatisme psychique. (...)

    [Le traumatisme] est systématiquement évoqué dans toutes les circonstances de la vie, potentiellement traumatique, en particulier lorsqu'elles ont un caractère collectif. Le développement des cellules médico-psychologiques depuis plus de dix ans témoigne d'un effort de prise en compte de cette souffrance. Celle-ci, pourtant, peut encore ne pas être entendue, en particulier lorsqu'elle se trouve réduite dans une dimension universalisante au travers de perspectives catégorielles qui ne laissent pas place à la singularité. On peut en mesurer l'impact dans le décalage souvent rencontré, lors d'événements à portée traumatique, entre une offre de soins importante qui anticipe la demande, et le sentiment de solitude éprouvé par ceux que l'on désigne comme victimes. C'est aussi là que l'on peut mesurer les effets du traumatisme psychique, en tant que rupture profonde avec le sentiment de continuité de son histoire du fait de la confrontation avec l'irreprésentable et la marque indélébile que cela laisse dans la subjectivité. C'est pourtant à partir des éléments de la subjectivité que peut s'ouvrir le chemin d'un travail d'élaboration psychique permettant d'en limiter les effets. »