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Les nerfs à vif

Le point sur la compétition à la veille de trois quarts, le G14 qui s’invite à l’Euro par la petite porte, France Télévisions qui surpasse TF1 et l’UEFA qui tance les supporters… C’est la gazette un brin énervée de l’Euro 2004.
Auteur : Euroniouzes, le journal de l'Euro le 25 Juin 2004

 

Dénouement fatal L'étonnant dénouement du groupe A, qui a vu la résurrection du Portugal et l'élimination de l'Espagne au profit de l'outsider grec, montre ce que la troisième journée de la première phase peut réserver de surprises et de suspens. L'Italie, avec ses cinq petits points, a chuté dans le "combiné nordique" du groupe C (lire également ci-dessous). Un dénouement d'autant plus surprenant que lors de la première mi-temps de son match contre la Suède, la Squadra avait fait preuve d'une qualité de jeu rarement aperçue depuis le début de la compétition. Mais, peut-être victime de ses atavismes (une peu payante option défensive) et surtout de la forme très relative de son secteur offensif, elle a cédé sur un coup de patte génial d'Ibrahimovic. Dans le groupe D, la tension s’est avérée maximale entre les Pays-Bas et l'Allemagne, les premiers négociant au mieux leur rencontre contre la Lettonie, tandis que les hommes de Völler ne parvenaient pas à disposer de "l’équipe bis" d’une République tchèque déjà qualifiée, et se faisaient même battre au final, une fois Poborsky et Baros entrés sur la pelouse. Finalement, si les éliminations italiennes et espagnoles représentent une surprise, celle des vice-champions du Monde s’inscrit dans la logique d’une série particulièrement terne depuis deux ans… La situation des trois coaches ayant drivés ces "grands éliminés" s’avère d’ailleurs paradoxale. Le Trap’ et Völler ont ainsi décidé de céder leur place, et c’est finalement celui qui disposait peut-être des meilleurs hommes et de l’un des collectifs les mieux huilés sur le terrain qui a conservé la confiance de son groupe et de sa fédération : Saez reste donc, jusqu’à nouvel ordre, le sélectionneur espagnol. Dura Luz, sed lose C’est le leitmotiv du consultant Laurent Blanc sur France Télévisions : les équipes qui refusent le jeu finissent toujours par être punies, comme l’ont montré les défaites de l’Espagne face au Portugal ou l’égalisation suédoise face aux Italiens. Hier soir, le match entre le Portugal et l’Angleterre a une fois de plus donné raison au Président, le sort ayant choisi, au bout de près de deux heures d’un match nettement dominé par les Portugais, de récompenser l’équipe ayant le plus tenté. En ayant fait jouer Deco, Figo, Simão, Christiano Ronaldo, Nuno Gomes, Postiga ou encore Rui Costa, Scolari a ainsi tenté un va-tout finalement payant, s’offrant même le luxe d’un coaching de rêve, deux de ses trois remplaçants ayant inscrit un but en fin de match. Voilà tout un peuple et une sélection désormais libérés d’une partie de la pression qui pesait sur leurs épaules : le Portugal est le premier des qualifiés pour le dernier carré. Du côté des Anglais, la déception doit forcément être énorme après avoir rêvé, de la 3e à la 84e minute, d’une demi-finale de compétition internationale qu’ils n’ont plus connu depuis "leur" Euro en 1996. Mais en bâtissant un mur devant David James pendant la majeure partie de la rencontre, Beckham et ses coéquipiers ont reproduit à l’identique le schéma qui leur avait coûté la victoire contre la France il y a dix jours, dans ce même stade de la Luz. Erikson a redonné une certaine solidité au onze anglais, il lui reste maintenant à essayer de profiter de la richesse de son groupe pour construire une équipe un peu plus conquérante. Dès ce soir et tout le week-end, Français et Néerlandais tenteront de rejoindre le Portugal en demi-finale, comme il y a quatre ans, tandis que les Tchèques essaieront de prendre la place laissée vacante par les Italiens. Mais la Suède, le Danemark et la Grèce ne s’en laisseront évidemment pas compter… Revival 92 ou revival 2000 ? Nous serons fixés dès dimanche soir. Triviale poursuite On croyait pouvoir profiter sereinement de l'Euro 2004 en refermant temporairement les lourds dossiers politico-économiques et en se berçant délibérément de l'illusion que les compétitions réservées aux sélections étaient le dernier refuge d'une certaine idée du football (un football reconnaissable en particulier à l'absence de publicité sur les maillots). Mais c'est justement une publicité, publiée notamment dans France Football, qui fait office de piqûre de rappel. Le G14 s'est en effet offert une page de propagande hypocrite: sous le titre "Go for it!", le lobby affirme "Un tiers des joueurs sélectionnés pour l'Euro 2004 est mis à disposition par les clubs membres du G14. Ces joueurs, sans aucun doute, contribueront à faire de ce tournoi une grande réussite. Bonne chance à tous!" A côté des logos de ces dix-huit élus de l'élite, une liste exhaustive des joueurs concernés... Indépendamment du fait que le slogan n'est pas traduit en Français (un indice du peu de considération accordée aux législations nationales?), on relève surtout l'expression "mis à disposition", qui sous-entend que les compétitions de sélections sont une sorte d'aumône consentie par les actionnaires majoritaires du football actuel, "propriétaires" des footballeurs. Le G14 ne pousse pas jusqu'à rappeler ses revendications d'une indemnisation, par l'UEFA et la FIFA, de cette même mise à disposition, mais le message est clair. Pour ce qui est de la contribution de ces joueurs les mieux payés d'Europe à la qualité du spectacle, il est un peu tôt pour en juger, mais il est évident qu'au final, l'état physique dans lequel ils auront été laissés par l'épuisante saison des clubs aura été un facteur essentiel. Pour l'instant, on a plutôt l'impression que les stars ne sont pas de toute première fraîcheur... France Télévisions massacre Italie-Bulgarie Depuis le début de la compétition, la réalisation des matches de l’Euro par France Télévisions réserve son lot d’improvisations. Ne pouvant se faire la main qu’avec la retransmission d’une poignée de rencontres de Coupe de la Ligue pendant la saison, les deux chaînes de service public semblent ainsi nager dans un relatif flou technique en ce mois de juin, qui rend certaines situations cocasses ou irritantes pour le téléspectateur. Ainsi, lors de la troisième journée de la poule C, France 3 a totalement saboté la fin du match entre l’Italie et la Bulgarie, en s’attardant sur des images alors sans intérêt de l’autre rencontre (à 2-2, la Suède et le Danemark s’amusaient à faire tourner le ballon) et privant les spectateurs d’un moment fort de cet Euro : le but de Cassano dans le temps additionnel et la joie des Italiens, persuadés – à tort – de marquer les trois points de leur qualification. Il ne s’agit pas de faire dans un sadisme anti-Italien de mauvais aloi (on a eu notre dose en 2000). Mais en toute objectivité, ce moment de football méritait autre chose que le choix hasardeux d’un image séparée en deux (pour pouvoir suivre les deux parties), accompagnée des uniques commentaires de la rencontre entre Scandinaves. Elie Baup ne pensait visiblement pas autre chose, lui qui a réclamé en vain de passer le relais à ses collègues commentant Italie-Bulgarie : en plus de nous priver d’une fin de match étonnante, le réalisateur de France Télévision a donné une image bien triste du duel scandinave, alors que les deux Nations s’étaient visiblement rendu coup pour coup pendant 90 minutes. Peace and love musical L’information est parue dans l’Equipe datée du mercredi 23 juin : "Les supporters qui sifflent ou conspuent les hymnes nationaux avant les matches pénaliseront les fédérations de leur pays qui seront à l’amende". Dans la droite ligne de la folie répressive qui s’était emparée des gouvernants hexagonaux à la suite de France-Algérie et de Bastia-Lorient en finale de Coupe de France (un projet de loi avait été déposé pour punir les atteintes à la Marseillaise et au drapeau tricolore), les instances européennes ont donc décidé de sévir. On est curieux de savoir comment l’UEFA jugera du niveau sonore susceptible de porter atteinte à l’hymne d’un pays, et de la façon dont elle compte évaluer le montant de l’amende. On est surtout impatients de noter que cette décision révèle une certaine dérive bien-pensante : il n’est pas très malin de siffler un hymne, certes, mais ça ne l’est pas moins que de huer un joueur adverse ou de l’insulter copieusement. A vrai dire, on aurait presque tendance à considérer que cela fait partie du folklore un peu bêta d’un match de football, tant que l’on en reste à des prises à partie sonores. Pour régler le problème et adoucir les mœurs des supporters, nous proposons plutôt à l’UEFA cette mesure issue de notre Manifeste pour sauver le football (2e partie) : "Survivance d’une époque belliqueuse révolue, les fanfares militaires doivent être interdites dans les enceintes sportives. Ce n'est pas une raison pour voir Lara Fabian beugler la Marseillaise: les hymnes seront interprétés par des artistes de la scène indépendante (incluant les harmonies municipales et les chorales de quartier)"

Réactions

  • Gilliatt le malin le 25/06/2004 à 17h17
    1) Mon bien cher Maître JPD: faudra me dire quand la nation française était au top de l’humanité Le XVIIIè siècle ? C’te blague ! on parle bien du siècle de la Terreur au nom de la DDHC, de Voltaire actionnaire de la très humaniste Compagnie des Indes, du suffrage censitaire,etc…Quant au XIXè siècle, celui des journées sanglantes de juin 1848, de la Commune, des répressions des révoltes des Canuts et de la république bourgeoise-affairiste, parlons-en. Et par-ailleurs, putain, c’est quand même une des moins laides équipes d’Italie qui s’est faite éliminer là, non ? Non ? Bontempi.
    2) Asa, à propos des gentils consommateurs : Précisément, un nombre très important de supporters de l’équipe nationale anglaise proviennent de supporters de clubs de « 1st / 2nd / 3rd division », qui n’ont, du coup guère l’occasion de vibrer, ou de supporters qui se font peu à peu « virer » des stades des grands clubs.
    Je sens que c’est pas très clair, ce que je dis : mais en gros, les gars qui vont se déplacer pour soutenir l’Angleterre, et ben, ça se recoupe pas forcément avec ceux qui vont à Old Trafford ou Stamford Bridge.
    3) Delfarilie, il me semble que l’hymne espagnol est sans paroles.
    4) Sinon, j’y pense, elle est pas belge, Lara Fabian ? Alors pourquoi la rédac fantasme sur elle « beuglant la Marseillaise » ? On n’est pas déjà assez emmerdé avec Jean Roch et Chimène Badi peut-être ?

  • VAronio le 25/06/2004 à 17h19
    question a JPDarky et l hymne de l'équipe de France (le vrai) "I will Survive" t en penses quoi ?

  • JPDarky le 25/06/2004 à 17h24
    Yo les gars,

    Vache, je vais juste au carrouf, je reviens, et c'est la folye dans tous les sens !

    Bon, je reprendrais tout ca calmement, un par un, mais juste pour re-re-dire le pourquoi du point de depart :

    - la question [pour moi] n'est pas d'eliminer ou pas les hymnes, je m'en fous, la question n'est pas de savoir si nous etions tous sous les memes couleurs sans hymnes est-ce qu'on se reoulerait des palots et est-ce que je pourrais emballer la gretchen la a cote.

    Non, ce qui m'exaspere, c'est que l'on se formalise sur les sifflets contre les hymnes, que les hymnes soient sacralises a ce point, que cela devienne le point nevralgique d'une discussion sur le respect, sur la citoyennete, sur l'integration, sur ce que vous voulez.

    C'est ce que je voulais dire, quand je disais dans le premier post que je trouve pathetique que l'on s'indignasse pour un hymne sifflet en montant sur ses grands chevaux, sur la France salie, sur la citoyennete en peril, etc etc quand le lendemain avec Momo on se cherche une magouille pour pas payer ses impots, qu'on se gare sur la place handicappe, qu'on soit pas capable de citer au moins un [1] vers d'un poeme de Baudelaire [ou de Pessoa, ou de Garica Marquez, ou de Byron, ou de Schieller, c'est selon hein!], etc etc [attention, on a le droit d'etre francais et d'apprecier un poeme de Byron en bonus track, la ca devient carrement la folie].

    Reduire la symbolique citoyenne francaise ou autre a l'hymne, c'est, comment dire ... reducteur ? Et ca me gonfle.

    Une fois que les citoyens ont acquis les fondamentaux de ce qu'est et de ce que signifie la chance d'etre le suivant de toutes les superstars francaises qu iont illumine le monde par le passe, alors on peut commencer eventuellement a parler d'hymne, et de petits details comme ca.

    Mais, une fois encore, j'ai l'impression [et c'est un feeling par rapport a la presse, pas forcement par rapport aux reactions des CDF] que lorsqu'on s'offusque des sifflets aux hymnes, on place l'hymne en frontal, devant, mais que tout ce qu'il chapote est largement laisse aux oubliettes, c'est un paravent qui permet de pas se soucier du reste, c'est tellement plus facile !

    Mais c'est un feeling.

    Je trouve qu'il y a bien plus grave que des sifflets aux hymnes dans cet Euro [imaginez, il paraitrait que veissiere aurait le droit d'arbitrer dans cette compete...]. Et, c'est pas une excuse mais bon, notez bien que les hymnes sont siffles depuis bien longtemps dans les competitions footbalistiques; et je ne m'explique pas pourquoi maintenant on prend ca comme un sujet de psychodrame. J'aimerais qu'on m'explique.

    Pour le reste, la, j'ai barbecue, je relis tout en detail au retour, et je vois si j'ai des trucs encore plus sans interet que ce que je viens de dire a vous soumettre.

    [PS : je sais plus ou, probablement sur le forum choucroute, mais je me suis, je crois, explique sur ma signature en fin de post].

    Blourg.

    JPDarky

  • VAronio le 25/06/2004 à 17h37
    n empeche que t as pas interet a siffler i will survive

  • patrick.parizon le 25/06/2004 à 17h40
    Juste histoire de reparler foot dans ce thread qui part en sucette :

    Il est dit dans l'article :
    "La situation des trois coaches ayant drivés ces "grands éliminés" s’avère d’ailleurs paradoxale. Le Trap’ et Völler ont ainsi décidé de céder leur place, et c’est finalement celui qui disposait peut-être des meilleurs hommes et de l’un des collectifs les mieux huilés sur le terrain qui a conservé la confiance de son groupe et de sa fédération : Saez reste donc, jusqu’à nouvel ordre, le sélectionneur espagnol."

    C'est balot parce que Saez a démissioné aujourd'hui et que c'était quand même plutôt attendu.
    Par contre, si je ne m'abuse, Le Trap n'a pas officiellement démissioné : il va jusqu'au bout de son contrat qui finit dans 2 semaines.
    Enfin dire que l'Espagne avait un les meilleurs hommes et un collectif plus huilé que celui de l'Italie, je pense que c'est pas si évident que ça ...
    Les deux ont en tout cas bien ramé dans l'utilisation de leurs individualités respectif et à donner du sens à leur projet de jeu.

  • ravio le 25/06/2004 à 17h41
    Et si on changeait d'hymne, com'ça, juste pour voir :

    La France de mon enfance
    N'était pas en territoire de France
    Perdue au soleil du côté d'Alger
    C'est elle la France où je suis né.

    La France de mon enfance
    Juste avant son rêve d'indépendance
    Elle était fragile comme la liberté
    La France celle où je suis né.
    Le soleil n'était pas celui de Marseille
    Ma province n'était pas ta Provence
    Je savais déjà que rien n'était pareil
    Et pourtant mon cœur était en France.

    La France de mon enfance
    Mon pays ma terre ma préférence
    Avait une frontière Méditerranée
    C'est elle la France où je suis né.

    La France de mon enfance
    N'avait pas tous ces murs de silence
    Elle vivait en paix sous les oliviers
    La France, celle où je suis né.

    On avait l'accent d'une région lointaine
    On était perdu comme en Lorraine
    A l'école on apprenait la différence
    Mais c'était la même histoire de France.

    La France de mon enfance
    Par amour, par désobéissance
    Son prénom était un nom étranger
    C'est elle la France où je suis né.

    La France de mon enfance
    Moi je pleure encore de son absence
    Elle était française on l'a oublié
    La France, celle où je suis né.

    Enrico Macias

  • VAronio le 25/06/2004 à 17h42
    non mais dans ca cas la faudrait changer la capitale aussi

  • ravio le 25/06/2004 à 17h43
    lien - vendredi 25 juin 2004 - 17h40

    Par contre, si je ne m'abuse, Le Trap n'a pas officiellement démissioné : il va jusqu'au bout de son contrat qui finit dans 2 semaines.

    C'est vrai ça, il lui reste la Coupe du Monde de BeachSoccer à remporter, le 10 juillet à Palavas-les-flots. Tout n'est donc pas perdu pour l'éternelle Squadra !

  • delfarilie le 25/06/2004 à 18h01
    Pas de souci pour Enrico, la capitale, il la connaît ! Il la supporte même depuis longtemps !

  • patrick.parizon le 25/06/2004 à 18h04
    C'est pas ça.
    Imaginons que l'arrangement entre la Suède et le Danemark soit enfin mis à jour (car il est réel et la vérité finira bien par exploser au grand jour). Sur tapis vert, les deux équipes nordiques sont donc exclues du tournoi et l'Italie logiquement réintégrée.

    Pleine de confiance, l'Italie explose tout simplement la République Tchèque dimanche soir en jouant un jeu ultra-offensif à une touche de balle (Vieri arrivant même à cadrer ses têtes). Le Trap aura donc bien eu raison de ne pas démissioner tout de suite.
    Il finit cependant par le faire après l'élimination en demi face à la France, il part au moins avec un coup d'éclat en quart.

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