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Le hors-jeu à la limite

Cas d'école: une position de hors-jeu nette du buteur... sur un ballon dévié par un partenaire puis un défenseur. À la fin, c'est vous qui décidez d'accorder le but ou non.
Auteur : pitchdobrasil le 16 Nov 2010

 

[Une version de ce texte est originellement parue sur l'excellent Poteaux carrés]

Avant de sombrer devant Lorient lors de la 12e journée, les Verts avaient réussi à ouvrir le score par Gonzalo Bergessio. L'Argentin doit se croire maudit car l'arbitre assistant d'Hervé Piccirillo avait levé son drapeau pour une position de hors-jeu (réelle, mais était-elle pour autant sanctionnable?). L'arbitre martégal affirmera ensuite devant les caméras de Canal+ qu'il s'agissait d'une erreur du trio. Le cas n'est pourtant pas simple et mérite une petite étude...

bergessio_horsjeu_1.jpg

D'abord, le déroulé de l'action: un ballon mal renvoyé par la défense bretonne parvient dans les pieds de Battles plein axe à l'entrée de la surface. Celui-ci rate son contrôle et le ballon, seulement prolongé vers le but lorientais, est taclé en catastrophe par Romao et parvient à Bergessio qui frappe et marque du gauche.


"Tirer avantage"
La "position" de hors-jeu de l'attaquant stéphanois ne fait pas de doute. Il est à la fois devant le ballon et l'avant-dernier défenseur au moment où le ballon quitte le pied de Battles. Mais est-ce que le fait que le ballon ne lui était pas destiné rentre en ligne de compte? Pas vraiment dans ce cas, car la règle précise que "la position de hors-jeu d'un joueur ne doit être sanctionnée que si, au moment où le ballon est touché ou joué par un coéquipier, le joueur prend, de l'avis de l'arbitre, une part active au jeu en intervenant dans le jeu, interférant avec un adversaire ou tirant un avantage de sa position". C'est dans l'application de ce troisième point que la Berge a été sanctionné.

Dans ses définitions, le Livre des Lois du Jeu 2010 (1) explicite la notion de "tirer avantage de sa position" comme "jouer un ballon qui rebondit sur un poteau ou la transversale dans sa direction ou jouer un ballon qui rebondit sur un adversaire dans sa direction alors qu'il y a position de hors-jeu". Le terme "rebondir" est assez clair: il désigne une action peut-être volontaire (comme une parade du gardien ou une intervention dans les pieds d'un adversaire pour contrer le ballon) sans pour autant être contrôlée ou maîtrisée (contrairement à une passe en retrait manquée).
D'ailleurs, dans les Questions/Réponses du livre sus-cité (dont l'acquisition et la lecture devrait être obligatoire dès l'école primaire), deux cas nous donnent du grain à moudre par rapport à celui étudié ici:

Question 1.
Le ballon est adressé par un attaquant vers l'un de ses partenaires en position de hors-jeu alors qu'un second partenaire de l'attaquant est en position de hors-jeu non sanctionnable. Le ballon est intercepté par un défenseur, c'est alors que le second attaquant vient disputer le ballon au défenseur. Décision? Réponse: l'arbitre assistant doit signaler le hors-jeu du second partenaire au moment où celui-ci va disputer le ballon au défenseur.

Conclusion: Une position de hors-jeu peut être sanctionnée même si le ballon n'était pas à l'origine destiné au joueur dans cette position. Cela signifie aussi que le dernier contact du ballon avec le pied de Battles est celui à prendre en compte pour juger de la position de l'Argentin, même s'il ne s'agit pas, à proprement parler, d'une passe.

Question 2.
Un attaquant botte le ballon en direction d'un partenaire en position de hors-jeu sur la gauche de la surface de réparation. Un défenseur, en tentant de contrer le ballon, détourne celui-ci de la tête vers un second joueur attaquant situé sur la droite de la surface de réparation. Ce joueur était, lui aussi, en position de hors-jeu au moment où le ballon a été botté. Le ballon lui parvient. Décisions?
Réponse: l'arbitre assistant doit lever son drapeau pour signaler le hors-jeu du second attaquant qui récupère le ballon. L'arbitre accordera un CFI au profit de la défense, à l'endroit où se situait le second attaquant. En effet, bien que le ballon ne fût pas destiné au départ à ce joueur, il a tiré avantage de sa position de hors-jeu.

Ce deuxième exemple est le plus instructif, car, outre le fait qu'il nous enseigne que ceux qui rédigent les guides de Lois du Jeu maîtrisent l'imparfait du subjonctif, il est le plus proche de l'action du but refusé à Gonzalo. Tout dernier élément crucial afin de bien interpréter la Loi XI: pour décrire une action où un gardien dégage un ballon sur un adversaire en position de hors-jeu (non sanctionnable donc), le législateur parle bien de "recevoir le ballon d'un adversaire qui en avait le contrôle" pour justifier le fait d'accorder le but. Dans la question 2, deux termes indiquent clairement que l'action du défenseur n'est pas maîtrisée: "tenter de contrer le ballon" et "détourner".


Une action dans l'action?
En fait, les seules particularités de l'action étudiée sont d'abord que le tacle du Lorientais se fait assez loin des pieds de Battles, ensuite, qu'il change significativement la direction première du ballon ce qui donne l'impression qu'une nouvelle "action dans l'action" commence. Est-ce suffisant pour juger que c'est un geste à assimiler à une passe, ou un dégagement raté alors que Romao avait pris le contrôle du ballon? L'arbitre assistant a estimé que non. Apparemment, il s'est trompé d'après l'interprétation actuelle demandée, car ce que le défenseur réalise est un geste technique: l'arbitre assistant aurait dû considérer que le défenseur central avait le temps de faire autre chose que l'adresser à son adversaire.

On en revient finalement à l'éternelle question de l'interprétation humaine dans l'arbitrage et du flou qui peut entourer des situations précises. Doit-on considérer que l'intervention du Lorientais est volontaire et maîtrisée ou que Bergessio tire avantage de sa position de hors-jeu? À vous de juger!


(1) Édité et disponible au prix de 25 euros auprès de Promo Foot 59 – 62. Tél: 03 59 08 59 62.

[Passez au vert: lisez Poteaux carrés]

bergessio_horsjeu_pc.jpg

Réactions

  • forezjohn le 16/11/2010 à 14h04
    Brest Of Burden
    mardi 16 novembre 2010 - 12h25
    Du côté des "on siffle" : imaginez que l'action se déroule au centre du terrain, et que la balle parvient à Bergessio qui est 15m dans le dos de la défense. Dans l'esprit, on siffle, non ? (i.e. le mec il campe devant le gardien, et attend un rebond favorable de ses coéquipiers qui comme par hasard, louperaient tous leurs contrôles et conduites de balle ?=> pas des passes).

    ---------------------
    Je précise d'entrée que je fais parti de ceux qui auraient validé le but.

    Bon déjà, "dans l'esprit" on s'en fout, c'est comme la psychologie : un alibi pour ne pas appliquer les lois du jeu, pour une raison qui m'échappe.

    Je me souviens parfaitement d'un but d'henry lors d'un euro, il traine 10 mètres derrière la défense et intercepte la passe en retrait d'un défenseur étourdi à son gardien et marque un but parfaitement valide.
    Tout proportion gardée je considère que ces cas sont similaires : le défenseur est en position suffisamment favorable pour décider de ce qu'il veut faire du ballon et réussir son geste. Sauf que la décision prise est mauvaise et/ou le geste est mal exécuté. Dans ce cas la position de l'attaquant reste licite.

    Pour le revirement de l'arbitre je l'interprète comme cela : à vitesse réelle on a du mal a déterminer si c'est un dégagement raté du défenseur ou une passe de battles réussie ou une passe de battles contrée qui part sur bergessio. Il a du croire que c'était une des deux dernières hypothèses avant d'etre "détrompé" par les vidéos.
    Et je ne suis pas surpris qu'il reconnaisse son erreur. Je pense que c'est le genre de cas typiquement intéressant à arbitrer : il faut bien connaitre les règle, juger parfaitement le déroulement de l'action et interpréter le tout correctement. Je pense que ça intéresse largement plus un arbitre que pointer les sorties de but et les hors-jeux de 15 mètres.

  • Tonton Danijel le 16/11/2010 à 17h31
    Chaban del Match
    mardi 16 novembre 2010 - 13h55
    syle
    mardi 16 novembre 2010 - 09h51

    Les pros vidéos que l'on entend un peu partout affirment que la vidéo règlerait tous les problèmes.
    - - - - - - -

    Euh, vous serez gentils de ne pas assimiler tous les "pro-vidéos" au premier Pierre Ménès venu.

    Pour ma part, j'adopte la "Manu Petit attitude", oui, la vidéo ne résoudra pas tout, mais si on veut la tester pour des franchissements de ligne (faute d'autre assistance technique), ça ne me pose absolument aucun problème.

  • syle le 16/11/2010 à 19h18
    Tout d'abord Chaban del Match, je n'ai vu personne prétendre ici que la vidéo pouvait régler tous les problèmes d'arbitrage, si tant est que l'arbitrage soit problématique.
    Et pour ma part, je me suis bien gardé de d'envisager la vidéo autrement que comme un simple outil supplémentaire à disposition de l'arbitre.

    Gigodanho (je suis fan de ce pseudo), je sais que la mauvaise foi et le foot font bon ménage, mais par moments, tu vas un peu loin.
    Je reprends :

    "Une touche ou un corner mal donnés peuvent amener à un but. De la même façon qu'un coup franc non sifflé ou un six metres donné à tort peuvent priver d'une occasion et donc potentiellement d'un but.
    Quelques secondes c'est parfois le temps que le ballon met pour traverser le terrain d'un but à l'autre. Chaque décision de l'arbitre, chaque coup de pied dans le ballon a potentiellement un impact sur le résultat un match.
    "A 0-1 c'est plus le même match"..."
    -----------------
    Ici, tu me reproches quasiment de ne pas vouloir mettre la vidéo à toutes les sauces et de la réserver à un usage relativement marginal qui concerne l'ultime action amenant un but !
    Avoue qu'il y a un brin d'abus, non ?



    La vidéo n'aurait pas d'impact, encore que ça permet à une défense de se replacer, sur le déroulement du match si elle intervient après un arrêt de jeu. Mais si l'arbitre n'a pas sifflé qui décide de se servir de la vidéo ? L'arbitre lui même ? Les coaches ? les capitaines ?
    ------------------
    Là, j'ai déjà répondu clairement : je ne peux envisager la vidéo que comme un outil supplémentaire au service de l'arbitre ! Pourquoi alors venir me parler de vidéo demandée par le coaches ou les capitaines, application que je trouve carrément inconcevable ?
    Ensuite, comme je te l'ai dit, je ne l'envisage que pour valider un but. Donc, il y a FORCEMENT arrêt de jeu !



    Alors les arbitres de touche ne servent plus à rien puisque la vidéo tranchera quoi qu'il arrive.
    ------------------
    Leur travail sera au contraire généralement utile et suffisant.
    Mais rappelons que leur rôle est "consultatif", la décision étant prise par l'arbitre central qui ne se gêne parfois pas pour les déjuger (ou qui revient parfois à tort sur une décision).
    Quoiqu'il en soit, les assistants et l'arbitre central communiquent, et si l'un ou l'autre est complètement sûr de ce qu'il a vu, il n'y a strictement aucune raison de faire appel à la vidéo. Elle ne peut servir qu'en cas de doute.

  • Chaban del Match le 16/11/2010 à 19h38
    Je ne te reproche pas de ne pas vouloir mettre la vidéo à toutes les sauces, mais si on met le doigt dans l'engrenage c'est ce qui nous pend au nez.
    T'auras toujours des équipes qui se feront flouer pour un cas cité dans mon post, et toujours un Ménès pour dire " Mais bon qu'est ce qu'ils attendent pour mettre la vidéo PARTOUT puisqu'on s'y est ENFIN mis ".


    De même que si la vidéo est mise en pratique crois moi que le lobby des dirigeants, entraineurs, joueurs et journalistes (pour qui les arbitres sont forcément incompétents) va se mettre en branle pour avoir le droit de décider quand on pourra utiliser la vidéo.
    "C'est bien beau la vidéo mais si on ne peut pas s'en servir quand on en a besoin je ne vois pas l'intérêt"


    Il arrive sans doute que les arbitres prennent des décisions en étant sûrs d'eux à 100 % (et de bonne foi) et qu'ils se trompent quand même. L'arbitre assistant n'a pas seulement un rôle consultatif, il a pour mission, de sa propore initiative, de signaler les fautes qu'il a vues à l'arbitre central.

  • syle le 17/11/2010 à 09h11
    D'un autre côté, tu es quand même en train de faire un procès d'intention...
    Je ne dis pas que le risque est inexistant, mais c'est un autre problème. Le Président de club de mauvaise foi, le Kévin de base et le Ménès Vulgaris ne seront jamais satisfaits et feront toujours des propositions dénuées de sens. On a l'habitude et ça ne changerait pas grand chose au final.

    Après, reconnaitre implicitement qu'une certaine utilisation bien cadrée de la vidéo pourrait peut-être apporter quelque chose mais s'opposer fermement à la mise en place expérimentale de ce dispositif au seul prétexte que ça pourrait générer des revendications délirantes de la part de gens qui passent de toute façon leur temps à faire des revendications délirantes, ça n'a pas quelque chose d'un brin réac, quelque part ?

    Enfin, je vois peut-être la chose d'un point de vue un brin angélique, mais je rappelle que l'objectif tel que je l'entends se bornerait à fournir un outil supplémentaire et performant au corps arbitral, et en aucun cas à supprimer la liberté d'interprétation (la vidéo ne peut de toute façon pas le faire), l'autorité arbitrale, ni d'ailleurs à éradiquer complètement toute erreur d'arbitrage !

    Pour préciser très clairement mon point de vue, plutôt qu'une "utilisation étendue" de la vidéo ou une utilisation de la vidéo à la disposition des capitaines ou des entraîneurs, je préfère très très clairement pas de vidéo du tout. Mais je persiste à entrevoir une alternative potentiellement intéressante...

    Et pour en revenir à l'action qui fait l'objet de l'article, voilà un cas typique où l'interprêtation de l'arbitre sera clairement décisive, et qui illustre en effet toute la difficulté (mais aussi l'intérêt) de l'arbitrage.
    Et on se rend compte aussi à travers les posts que chacun, selon sa "philosophie" du jeu ou certaines sensibilités, aurait pris des décisions différentes.
    Après, ça illustre quand même un certain "vide" dans la conception de la règle du hors-jeu...

  • Tonton Danijel le 17/11/2010 à 09h23
    Oui, c'est un peu ce qui me gêne dans les caractères anti, ce côté "spéculation" visant à dire que si on introduit un peu de vidéo, on en introduira forcément beaucoup. Je ne le pense pas parce que sur tous les pro-vidéos, il y a de multiples avis et Ménès ne représente qu'une part extrême d'entre eux. Beaucoup ne souhaitent pas d'une vidéo qui crée des arrêts de jeu systématiques. Manu Petit a une position assez nuancée (et c'est également la mienne, on est déjà deux): on peut améliorer l'arbitrage par un recours à la vidéo sur les franchissements de ligne, mais il ne faut pas abuser de ce recours, et admettre qu'il y aura toujours des erreurs quoi que l'on fasse. Etre entre Ménès et les CdFs, c'est possible.

    Si je prend l'exemple du rugby: l'introduction de la vidéo sur la validation des essais (et parfois des pénalités ou des drops, mais dans ces cas de figure elle ne sert pas à grand chose faute d'un angle adéquat) n'a pas empêché un essai non valable (en-avant au départ de l'action) d'être accordé lors du quart de finale Nouvelle-Zélande/France de Cardiff. A-t-on élargi le recours à la vidéo pour autant? Non.

    Et puis bon on invoque Ménès, mais c'est bon, à force de se brouiller avec les présidents/entraîneurs/collègues de boulot, il va finir par se Balbiriser...

  • Hurst Blind & Fae le 17/11/2010 à 09h46
    Tonton Danijel
    mercredi 17 novembre 2010 - 09h23
    on peut améliorer l'arbitrage par un recours à la vidéo sur les franchissements de ligne, mais il ne faut pas abuser de ce recours, et admettre qu'il y aura toujours des erreurs quoi que l'on fasse. Etre entre Ménès et les CdFs, c'est possible.
    -----
    Les Cdf sont pour une aide technique sur les franchissements de ligne.

  • Tonton Danijel le 17/11/2010 à 09h48
    En effet, HBF, et c'est une position que je trouve justement paradoxal: pour une aide technique sur les franchissements de ligne, mais qui ne soit pas la vidéo (alors que ce serait à première vue la plus simple et la moins coûteuse à mettre en œuvre, pas fiable à 100% certes mais aucune technique ne le serait). La peur d'introduire le diable?

  • Hurst Blind & Fae le 17/11/2010 à 09h53
    Je n'avais jamais lu "qui ne soit pas la vidéo", ça sort d'où? Et je ne m'y connais pas assez pour savoir laquelle serait la plus simple, ni la moins chère à mettre en place.

  • Tonton Danijel le 17/11/2010 à 10h01
    Si la vidéo est un option envisagée, alors on a le même point de vue. C'est juste un mot très rarement évoqué dans ce cas-ci, peut-être un tabou.
    Quant à la remarque sur la simplicité et le coût, c'est juste que vu le nombre de caméras autour d'un match de foot, cela ne me semble pas compliqué de se reposer sur les images existantes dans un premier temps par rapport à d'autres technologies (hawk eyes, "ballon intelligent") qui nécessiterait un nouvel investissement pour un gain de fiabilité non garanti...

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