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Dans les cartons des Dé-Managers : #46

Bebé n’est plus mort-né, Monaco reste imperturbable et Paco Jemez est lui toujours aussi bavard. Les retraités sont également à l’honneur. Entre Juan Roman Riquelme et David Trezeguet, la France a perdu un grand, l’Argentine deux.

Auteur : Les Dé-Managers le 27 Jan 2015

 

 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

Monaco, la force tranquille(-isante)

Raphaël Cosmidis – L’AS Monaco a concédé un seul but depuis le 29 novembre toutes compétitions confondues. C’était contre l’Olympique lyonnais (Lacazette, forcément), en Coupe de la Ligue. Douze matchs ont passé depuis. Les Monégasques l’ont emporté onze fois, inscrivant dix-sept buts au passage.
 

 


 


Difficile de disséquer une telle période. Les clubs traversent toujours des bons et des mauvais moments au cours d’une saison. Mais ils réalisent rarement des séquences défensives de cette qualité et de cette longueur. Ils vont encaisser un but par-ci par-là. Des buts qui ne comptent pas, mais des buts quand même. Les joueurs de Leonardo Jardim sont différents. Ils défendent bas, repoussent les centres, croisent les doigts et prient Subasic lorsque les adversaires se retrouvent, pour une fois, en position de marquer. Puis ils partent en contre, emmenés par la vélocité de Ferreira-Carrasco et d’Anthony Martial, guidés par l’intelligence de Bernardo Silva. Ils ouvrent le score, attendent que l’opposition se découvre, avant de sceller le match.


Les trois dernières rencontres de l’ASM se sont déroulées de manière très similaire: l’ennui le plus absolu en première période, un but – parfois hasardeux – autour de l’heure de jeu (57e contre Lille, 63e contre l’ETG, 73e contre Nantes) et une exhibition de solidité pour tenir le score. Quel que soit le onze choisi par Jardim, Monaco reste solide. Même lorsque Jérémy Toulalan n’est pas là, les lignes rouges et blanches demeurent compactes, imperméables à la créativité adverse.


Comme d’autres équipes performantes défensivement en Europe (Atlético Madrid, Southampton, Saint-Étienne), Monaco défend avec deux lignes de quatre, et un duo plus avancé mais jamais très loin. Monaco ne lâche pas de terrain dans l’axe, laisse les ballons faire des paraboles au-dessus de sa surface avant de les renvoyer et de les transformer en contre-attaques. Démontrant un principe cher à Arrigo Sacchi et Carlo Ancelotti: le 4-4-2 est selon eux la meilleure façon de couvrir l’ensemble du pré. Idée d’autant plus vraie, lorsque, comme les Munegus, vous préférez former une unité serrée plutôt que d’aller presser dans le camp adverse. Histoire, dans ce cas précis, de laisser vivre la profondeur nécessaire à l’expression de votre star offensive, Yannick Ferreira-Carrasco, joueur de la Principauté le plus décisif cette saison avec quatre buts et cinq passes décisives.
 

 

 

 

L’impossible Monsieur Bebé

Julien Momont – On attendait le triple Ballon d'Or Cristiano Ronaldo, Karim Benzema, James Rodriguez, Gareth Bale, Toni Kroos... on a vu Bebé. À l'image de Cordoue-Real Madrid (1-2), l'attendu a déçu, l'inattendu a brillé. Il a d'abord fallu vérifier plusieurs fois que cet ailier droit costaud qui tourmentait Marcelo était bien le Portugais à l'étiquette d'escroc de Manchester United encore collée sur le dos. Puis se pincer, pour s'assurer que l'on ne rêvait pas.
 

 


 


Contre le Real Madrid, le Portugais a perdu son premier match en Espagne pour sa troisième apparition avec sa nouvelle équipe. Mais, paradoxalement, cette défaite a validé, plus que toute autre rencontre, la transformation positive opérée par Cordoue, vers l'identité de jeu typique de Miroslav Djukic: solidité défensive, intensité dans le combat, contre-attaques tranchantes. Car ce n'est pas la meilleure équipe sur le terrain qui l'a emporté.


À son arrivée à Manchester, en 2010, après un transfert estimé à neuf millions d’euros, Bebé s'était décrit comme “rapide”, “doté d'une bonne frappe” et marquant “beaucoup de buts”. Il a confirmé les deux premiers traits, mais avec un peu de retard. C'était samedi, au Nuevo Arcangel. Quatre-vingt-dix minutes pendant lesquelles il s'est systématiquement joué de Marcelo, jamais rassasié: 65 ballons joués, six tirs, dix dribbles, neuf centres, 59 % de duels gagnés. Il lui a simplement manqué, comme aux autres offensifs blanquiverdes, de la précision dans la dernière passe, le dernier geste. Et un soupçon de réussite.


Mené, bousculé, sans intensité ni liant, le Real ne méritait pas de l'emporter. Mais le mérite est une notion abstraite dont la vérité du terrain ne s'accommode pas. Un corner et un penalty – ainsi qu'une barre transversale bienveillante sur un lob du Roumain Florin Andone – ont offert trois points de plus aux Madrilènes. La réussite des champions, paraît-il. Aujourd'hui, le Real est leader avec trente points de plus que Cordoue. Rarement un écart aussi grand n'aura été aussi peu évident sur le terrain, et Bebé y est pour beaucoup.
 

 

 

 

On a aimé


La diversité tactique observée à la Coupe d’Afrique des Nations. Les matches ne sont pas toujours très emballants, beaucoup d’équipes manquent de créateurs axiaux, mais on a vu de belles batailles, entre 3-4-1-2, 3-5-1, 4-5-1, 4-2-3-1, 4-3-3, 4-4-2, 4-1-4-1, 4-4-1-1… De quoi tordre le cou à certains clichés.


Le match complètement fou entre Tours et Saint-Étienne en Coupe de France (3-5). Les Tourangeaux, un Bryan Bergougnoux barbu à la baguette, ont offert une belle résistance face à des Verts qui s’en sont remis au bon jour de Yohan Mollo, impliqué dans les cinq buts stéphanois. L’ancien Nancéien n’a pas eu la même réussite contre le PSG (0-1), dimanche soir...


L’apport offensif de Marquinhos contre Saint-Étienne. Latéral droit en l’absence de Grégory van der Wiel, le Brésilien a su occuper la largeur, compensant les déplacements de Lucas vers l’axe du jeu. Avec au passage quelques jolies prises de balle qui remettent en cause le statut de titulaire du Néerlandais.


La prestation du jeune Lillois Adama Traoré contre l’AS Monaco. Pas aidé offensivement par Balmont et Delaplace, le Malien (20 ans) s’est montré vif techniquement et créatif (plusieurs services pour Koubemba). Cela n’a pas suffi au LOSC, qui a conclu un match de plus sans trouver la faille.


Le but de renard de Lucas Vietto permettant à Villarreal de battre Levante (1-0) dans une rencontre globalement assez moyenne, seulement dynamisée par l’entrée en jeu de ce bon vieux Giovani Dos Santos.


 

 

On s'en fout

 

Aston Villa a enfin marqué un but. Cela faisait quand même 663 minutes. Bravo donc à la recrue Carles Gil, et pas à Bournemouth, battu 2-1 en Cup.


 

 

On n'a pas aimé

 

Cristiano Ronaldo n’a pas seulement été stupidement expulsé à Cordoue (1-2), samedi après-midi. Auparavant, il était déjà passé complètement à côté de son match, incapable de faire des différences individuelles ni de s’imposer dans les airs sur les centres madrilènes. Lorsqu’il est privé d’espaces dans la profondeur, comme la défense andalouse y est parvenue, le Portugais est clairement moins à son aise, et ses dézonages axiaux deviennent presque un poids pour son équipe.


L’incurable faiblesse de l’Algérie en défense centrale. Déjà bousculée contre l’Afrique du Sud, elle a fait de la peine une nouvelle fois face au Ghana. Bougherra avait pourtant remplacé Halliche (en grande difficulté contre la mobilité des Bafanas Bafanas), mais il n’a pas réglé le mal des Fennecs : une arrière-garde qui se traîne une sacrée charrette et des pieds coupables. On a arrêté de compter les passes ratées de Carl Medjani à la dixième…


La précipitation de Jonathan De Guzman dans ses choix face au Genoa. Ailier gauche dans le 4-2-3-1 de Rafael Benitez lundi soir, le Napolitain n’est pas forcément habitué à jouer à ce poste ni avec ces responsabilités. Sur les nombreuses contre-attaques qui l’ont vu toucher le ballon, le Néerlandais a souvent pris la mauvaise décision, au grand dam de ses coéquipiers, plus en forme. Naples l’a finalement emporté 2-1.


Les coups de pied arrêtés mille fois trop courts de Gerard Deulofeu pour Séville ce week-end. En plus de ne pas trouver ses partenaires, le Catalan, prêté aux Andalous cette saison, a offert à Valence des opportunités en contre-attaque. Et en 2015, certaines équipes de football ne savent toujours pas faire une transition défensive correcte après un coup de pied arrêté raté dans le camp adverse. Dani Parejo en a profité pour marquer son deuxième but du match (3-1 score final).

 

 

 

L'infographie de la semaine

 

Pour les analystes, la donnée “Expected Goals” (probabilité de but mesurée pour chaque tir) est une référence. Ce graphique positionne chaque club espagnol en fonction de son ratio de probabilité de but marqué (en ordonné) et encaissé (en abscisse) sur les deux dernières saisons. L’occasion de mesurer la grosse supériorité du Real Madrid et du FC Barcelone. À retrouver aussi pour la Serie A, où la Juventus se détache clairement.

 

 

 

 

Les déclas


“[Pour jouer] Il me faut des joueurs techniquement doués. On relance toujours à terre, par des passes courtes. N'importe quelle erreur sur une passe, un contrôle peut mettre en péril l'équipe. Si j'ai des joueurs techniques, les chances qu'ils fassent des erreurs seront plus faibles. Sans prise de risque, il n'y a pas de plaisir. C'est ce qui fait la différence entre les différents championnats. Je ne sais pas si la Liga est le meilleur championnat d'Europe. Par contre, sur l'aspect technique, je pense que nous sommes toujours devant."

Paco Jemez, entraîneur du Rayo Vallecano, dans une longue interview à So Foot.


Je veux que mon équipe joue bien et que cela nous mène vers la victoire. Que mon équipe gagne en jouant n'importe comment, ça ne me satisfait pas. Par contre, perdre tout en ayant bien joué, je préfère. Il faut que les gens qui viennent nous voir prennent du plaisir, que mes joueurs se dépouillent, se battent, mettent la pression... Je suis devenu entraîneur pour cette raison, pas pour prendre les trois points et basta. Ce qui me rend le plus fier, c'est de faire avec cette petite équipe ce que tout le monde pensait impossible. D'avoir pu jouer comme «une grande équipe», alors que nous n'en sommes pas une, c'est ça ma plus grande fierté. Les gens avaient tendance à croire que seuls le Barça et le Real pouvaient pratiquer un beau jeu. Nous avons montré que même les petites équipes peuvent le faire."

Paco Jemez, suite. Son équipe est actuellement dixième de Liga.


Guardiola et moi, nous avons presque le même âge. Nous avons été coéquipiers en sélection, nous avons été camarades lors du diplôme d'entraîneur. Nous avons une mentalité quasi identique. Ce n'est pas tant qu'il m'a influencé, ou que je l'ai influencé: nous avons partagé le même vestiaire, de nombreuses discussions. Avant que Pep ne devienne entraîneur, j'avais déjà cette volonté de faire jouer mes équipes de cette manière. J'ai commencé en troisième division, dans une catégorie où il est très difficile de bien faire jouer ses équipes et de gagner. Mais j'ai toujours essayé…"

Paco Jemez, fin.

 

 

 

 

La vidéo de la semaine

 

 

Juan Roman Riquelme n’est plus joueur de football. Souvenirs de la période barcelonaise de celui dont Jorge Valdano disait: "S'il faut voyager d'un point A à un point B, tout le monde prendra l'autoroute à six voies pour arriver le plus rapidement possible. Tout le monde sauf Riquelme. Lui choisira la route de montagne sinueuse qui prend six heures mais remplit les yeux de magnifiques paysages."

 

 

 

 

L'anecdote


Ce tifo de mauvais goût a été déployé par les fans du Standard, pas contents de voir Steven Defour, formé au club, porter désormais les couleurs d’Anderlecht. Et les Rouches ont réussi leur coup puisque Defour a été expulsé en deuxième période, prenant un deuxième jaune après avoir balancé le ballon vers les supporters liégeois en tribune. Si le Standard l'a emporté 2-0 et bien aidé Bruges au classement, les auteurs de la banderole seront poursuivis en justice et risquent jusqu'à cinq ans d'interdiction de stade.

 

 

 

 

Le bonus Trezeguet


Le Roi David a mis fin à sa carrière la semaine dernière. L’occasion de le revoir parler jeu et tactique. En attendant de le voir à la tête d’un club, qui sait.

 

 

 

 

La revue de presse anglophone

 

Depuis le départ de Juan Roman Riquelme, le projet tactique de Villarreal repose sur un 4-2-2-2, avec deux offensifs de soutien très axiaux. Pirès, Cazorla, Borja Valero et Cani y ont brillé, discussion sur deux de leurs héritiers.


Peu d’attaquants étaient aussi complets que David Trezeguet, aussi à l’aise pour marquer du pied droit que du gauche et de la tête.


Les corners sont un art en danger en Premier League. Même Phil Jones en tire, maintenant.


Christian Eriksen a fini par s’imposer comme le meneur de jeu idéal, tant offensivement que défensivement, pour Tottenham et Mauricio Pochettino.


Pourquoi les attaquants sud-américains sont-ils meilleurs que les Européens?


Attaquants toujours: et si les difficultés du Japon à produire de grands buteurs avaient des racines culturelles?


L’ère du manager est sur le déclin en Premier League, qui entre dans celle du directeur sportif selon Gary Neville.


“Organigramme de programmation”, un nom barbare pour un outil aux nombreuses vertus pédagogiques pour les tacticiens néophytes


Riquelme toujours, régalade encore, en vingt séquences marquantes. Photos, vidéos, gifs et citations pour cette joyeuse compil’.


 

 

Réactions

  • osvaldo piazzolla le 27/01/2015 à 01h57
    je comprends pas bien ce que veut dire "probabilité de but mesurée pour chaque tir" ? en quoi (et comment) une probabilité se mesure? à part 1 quand le tir fait but, et 0 quand ya pas but, je vois pas bien ce qu'on peut mesurer "pour chaque tir". ou alors, c'est (nombre de buts)/(nombre de tirs) ? mais alors ça n'a rien d'une probabilité?

  • Jean-Luc Skywalker le 27/01/2015 à 08h53
    Hello. Quand je clique sur le lien de l'article, ça m'emmène sur la pub.

  • Jean-Luc Skywalker le 27/01/2015 à 08h53
    Réparé, merci.

  • Sens de la dérision le 27/01/2015 à 09h03
    Moi je veux bien la version grand format de l'infographie plutôt que celle de la semaine dernière.

  • Ba Zenga le 27/01/2015 à 09h53
    Cette équipe de Monaco m'épate de plus en plus par sa maîtrise. Et c'est bien retranscrit dans le papier, merci.

  • Matu-Verratti-Vieira-Touré-Clément-Cearà le 27/01/2015 à 11h02
    osvaldo piazzolla
    aujourd'hui à 01h57

    ---

    Pour le prochain tir, tu arrêtes le temps et tu te poses la question, il y a quelle probabilité que ce tir entre ? Tu fais le ratio dont tu parles et t'as une estimation.

    Sinon, le graphique en question est illisible tel quel et quand on clique dessus, ça ouvre celui de la semaine dernière.

    J'ai aussi trouvé la vidéo de Riquelme particulièrement indigente. Bon, j'ai arrêté au bout d'une minute, donc c'est peut-être mieux après.

  • Matu-Verratti-Vieira-Touré-Clément-Cearà le 27/01/2015 à 11h04
    Et je viens de voir que celui de la série A est bien linké. Mais en fait, c'est pas du tout ce que la légende dit. C'est nombre de buts moyens par match de chaque équipe en championnat. Bref, c'est pas un graphique qui montre grand chose à part que les vainqueurs de championnat ont en général le meilleur goal average.

  • Jizzkov le 27/01/2015 à 11h20
    Matu-Verratti-Vieira-Touré-Clément-Cearà
    aujourd'hui à 11h04

    Et je viens de voir que celui de la série A est bien linké. Mais en fait, c'est pas du tout ce que la légende dit. C'est nombre de buts moyens par match de chaque équipe en championnat. Bref, c'est pas un graphique qui montre grand chose à part que les vainqueurs de championnat ont en général le meilleur goal average.

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    Bah non, pas du tout. C'est bel et bien ce que dit la légende, à savoir la potentialité de marquer sur chaque tir. Potentialité qui est calculée à partir de divers critères, en particulier la position du tir et les stats du tireur en question. Exemple, un tir de Toulalan depuis la ligne médiane n'a qu'une potentialité très faible de rentrer, alors qu'un tir de Trezeguet depuis le point de penalty a une très forte potentialité de faire but. Bref, le graphique montre la capacité des équipes à se mettre dans de "bonnes" positions de marquer, ce qui ne signifie pas pour autant qu'elle aient ou non marqué. En somme, c'est bel et bien ce que dit la légende.

  • Matu-Verratti-Vieira-Touré-Clément-Cearà le 27/01/2015 à 11h41
    Ben regarde les abscisses et ordonnées "expected goal per game" et "expected conceded goal per game".

  • Matu-Verratti-Vieira-Touré-Clément-Cearà le 27/01/2015 à 11h43
    Et je vois pas du tout ce dont tu parles Jizzkov, en partulier des critères que je vois nulle part.

La revue des Cahiers du football