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Dans les Cartons : bilan tactique, Italie-Yougoslavie 68, Rayo, Boateng

Les derniers Cartons de la saison sont bien remplis et plein de bonnes choses, d'hier et d'aujourd'hui, de l'Italie à l'Espagne, des entraînement de Guardiola au Bayer Leverkusen, du Rayo Vallecano à Pascal Dupraz.

Auteur : Les Dé-Managers le 17 Mai 2016

 

 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

La saison de la réaction

Christophe Kuchly – Ça y est, c’en est à peu près fini du foot de club version 2015/16. Une nouvelle fois, les différents championnats ont livré un verdict attendu… hormis la Premier League, où Leicester a fait la même chose que le Toulouse version Dupraz mais sur neuf mois. Un effectif plus talentueux que prévu, un coach qui sait maintenir ses hommes sous pression jusqu’à l’accomplissement de l’objectif et un peu de chance (blessures, adversaires, etc. comme la majorité des équipes victorieuses) auront emmené les Foxes de Claudio Ranieri au sommet. Ce succès, plus que tout autre, symbolise la grande tendance de la saison: la réussite des équipes réactives.

 

Depuis l’avènement du Barça de Pep Guardiola, imposer son jeu est perçu comme la voie à suivre par beaucoup d’entraîneurs. Le moyen le plus sûr de gagner, au moins à moyen-long terme. On insiste longuement sur le rôle du technicien catalan dans Comment regarder un match de foot, trop pour certains, mais tout un pan du débat qui l’entoure s’articule autour de l’idée de la possession comme moyen de gagner, là où elle est souvent une conséquence de la volonté de marquer d’une équipe supérieure. Leicester, attendu en bas de tableau, n’est pas là pour faire le jeu. Contrairement à d’autres équipes limitées (spécialité espagnole via Las Palmas et le Rayo Vallecano reprise à un degré moindre par Bournemouth et Swansea), les Foxes ont abandonné le ballon toute la saison. Dix-huitième à la possession (44,8%) d’un championnat où personne n’arrive à complètement installer son jeu, Leicester a cherché les failles et su les exploiter.

 

 

 

Forcément, un parallèle se dresse avec l’Atlético Madrid. Certes battue en championnat, l’équipe de Diego Simeone jouera une nouvelle fois la finale de la Ligue des champions. Comme Leicester, elle évolue majoritairement en 4-4-2, un système plus fonctionnel que brillant et aujourd’hui d’abord adopté pour ses vertus défensives. Christian Gourcuff, son plus fervent défenseur, doit forcément sourire de voir la réussite du dispositif, même si son usage est ici plus conservateur. Si l’Atlético a bien plus créé que Leicester (dixième avec 48,7% de possession), sa faculté à s’en sortir dans tous les cas de figure est majoritairement dûe à deux facteurs: le talent individuel de joueurs bridés quand il le faut mais qui peuvent faire la différence (Koke, meneur génial qui passe des matches entier à bloquer le côté gauche) et un pressing qui offre des buts sans phase de construction. La galère face au PSV a montré que le déficit de création peut se payer, la qualification contre un Bayern incroyable confirmé que même les problèmes les plus compliqués ont une réponse.

 

Et c’est bien le niveau de difficulté qui a péché cette année. Installer un jeu de possession est un travail largement facilité quand on possède des joueurs talentueux et que le rythme n’est pas trop rapide – ce qui signifie, en gros, qu’il est plus facile d’avoir le ballon en Ligue 1 qu’en Premier League où ça court tout le temps. Réussir à transformer cette identité en arme est une tâche autrement plus compliquée. Il faut disposer de joueurs déséquilibrants, que les connexions offensives soient bien rodées, et être inventif. Barcelone, qui évolue de manière plus directe que par le passé mais conserve tout de même le ballon 62,9% du temps en moyenne, se repose majoritairement sur le talent de son trio d’attaque. La cohérence de l’ensemble fait que l’équipe ne prend jamais l’eau et qu’il suffit d’éclairs devant pour gagner des matches. Des méformes, en revanche, et la panne arrive vite… Luis Enrique n’est probablement pas un entraîneur de génie mais il a un pragmatisme qui peut lui faire gagner tous les titres tant que le trio Neymar-Suarez-Messi est à son meilleur niveau.

 

L’inventivité individuelle qui compense le manque d’inspiration collective, c’est un thème récurrent. Le PSG et le Bayern, les deux autres hérauts de la possession (mention bien pour le Napoli, leader de Serie A avec 59,3% et souvent dangereux, moins pour la Fiorentina, qui tourne à 59% mais a rapidement tourné en rond), ont souvent été sauvés par leurs stars. Le PSG (63,5%), porté par Zlatan Ibrahimovic en championnat, n’a pas eu de problèmes à résoudre par le jeu et s’est rarement sublimé pour gagner. Le Bayern (66,4%) a atteint des niveaux bien plus haut mais aussi offert pas mal de matches bien fades en cours de route. Pep Guardiola a renversé sa méthode, passant de latéraux collés à la ligne et attaquants qui rentrent à latéraux à l’intérieur et ailiers mangeurs de craie, mais sans échapper à son pire ennemi: la possession ronronnante. Blocs bas contre équipes qui font le jeu? L’avantage est encore aux seconds, mieux armés, sur la durée d’une saison. Mais malgré la symphonie offensive que fut Bayern-Atlético, à valeur égale, construire par le contre peut mener loin.

 

 

 

 

Jeu-concours

Deux exemplaires du livre "Comment regarder un match de foot ?" sont à gagner cette semaine:

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Bonne chance !

 

 

 

 

Le match rétro : Italie-Yougoslavie 1968

Julien Momont – 1968, la Coupe d’Europe des nations devient Championnat d’Europe, la formule évolue. Le football aussi, qui commence à ressembler un peu plus à ce que l’on connaît aujourd’hui: le ballon est blanc, la réalisation télé propose des ralentis, l’intensité sur le terrain monte en grade. Bon, il y a toujours des choses bien incongrues, comme les ramasseurs de balle allongés au bord de la pelouse du stade Olympique de Rome (pour ne pas gêner la vue?) ou les murs à deux mètres cinquante du tireur de coup franc.

 

 

Toujours est-il que, comme l’Espagne quatre ans plus tôt, l’Italie s’est hissée laborieusement en finale grâce à un tirage au sort, après le 0-0 contre l’URSS en demie. L’heure du rachat a sonné, deux ans après l’humiliation vécue en Angleterre contre la Corée du Nord (défaite 1-0). De leur côté, les Yougoslaves retrouvent la finale après avoir déjà perdu la première, à Paris, en 1960.

 

Il faudra deux matches pour départager les deux équipes, après le 1-1 du premier acte. Pour le second, le sélectionneur yougoslave Rajko Mitic n’effectue qu’un changement (Hosic remplace Petkovic), tandis que son homologue italien Ferruccio Valcareggi incorpore dix jambes fraîches, dont celles de l’ailier de Cagliari Luigi Riva, pas utilisé non plus en demi-finale à l’incompréhension générale. La Squadra Azzura se présente dans ce qui ressemble sur le papier à un 5-2-3, mais qui se mue en phase défensive suivant les déplacements des Yougoslaves, avec un marquage individuel serré et généralisé. Les “ailiers” Riva et Domenghini n’en sont pas vraiment, de même côté yougoslave (en 4-3-3), où Hosic et surtout le virevoltant Dzajic ne restent pas collés à la ligne de touche mais cherchent les espaces en dézonant.

 

Italie vs Yougoslavie - Football tactics and formations

 

Deuxième constat commun aux deux équipes: un de leurs latéraux a un rôle offensif prépondérant. L’arrière droit et capitaine yougoslave Mirsad Fazlagic, d’abord, par qui nombre d’offensives passent pour aboutir sur un centre; le célèbre arrière gauche transalpin (et lui aussi capitaine) Giacinto Facchetti ensuite, prompt à se projeter vers l’avant sur les contre-attaques italiennes. Car oui, et cela ne surprendra pas grand-monde, l’ère est au catenaccio, avec un libéro (Sandro Salvadore) en couverture d’une équipe regroupée dans ses trente mètres. D’autant plus après l’ouverture du score de Luigi Riva (1-0, 12e). Les Italiens procèdent surtout par attaques rapides, initiées par la qualité de passe d’un Sandro Mazzola lui aussi de retour après avoir été écarté du premier match, relayée par la technique et l’agilité de Riva et dynamitée par la vivacité et la puissance du Sicilien Pietro Anastasi, boule de muscles de dix-neuf ans, tout juste transféré à la Juventus. Il inscrira le deuxième but (2-0, 32e), d’un "retourné" selon L’Équipe de l’époque, en réalité d’une jolie frappe en pivot. Au passage, on notera que la notion d’appel qui ouvre une ligne de passe pour un coéquipier existait déjà à l’époque (avec Angelo Domenghini).

 

 

Le stade Olympique de Rome s’enflamme et balance des feux d’artifice depuis les tribunes, c’est un grand n’importe quoi encore plus bordélique au coup de sifflet final, la coupe manque d’être volée… Bref, c’est l’alégresse. Les Yougoslaves ont manqué de fraîcheur pour revenir, manqué de variété aussi. Leur jeu au rythme plutôt lent, basé sur des passes courtes et une jolie finesse technique, débouchait systématiquement sur un centre de Fazlagic depuis la droite. Un régal pour la robuste et nombreuse défense italienne. Seul Dragan Dzajic (buteur lors du premier match) aurait pu produire une étincelle (il n’hésitait pas, déjà, à partir de la droite pour rentrer sur son pied gauche), systématiquement éteinte par le marquage serré de Tarcisio Burgnich. Trente ans après son dernière succès international, l’Italie est sacrée championne d’Europe.

 

 

 

 

Instantané tactique

C. K. – Les fautes tactiques ont un charme fourbe. Selon la manière dont on voit les choses, on peut soit déplorer ce non-respect des règles calculé, soit souligner l’intelligence d’un joueur. Pour la beauté du foot, les arbitres sont obligés de bien faire attention à cette pernicieuse forme d’anti-jeu, mais ne peuvent objectivement pas coller des cartons jaunes à chaque fois qu’un croche-pied arrête une action sans qu’on ne sache vraiment si l’attaquant a volontairement croisé sa course ou si le défenseur a légèrement relevé la chaussure. Il y a pourtant une solution qui convient à peu près à tout le monde.

 

 

Ici, Karim Bellarabi part vers le but et a un quatre contre un à négocier face à un défenseur préférant reculer plutôt que mettre les joueurs hors-jeu. Sauf que le stoppeur Marvin Matip le fait tomber de la manière la plus légère possible et arrête l’action. Dans sa chute, Bellarabi a une seule idée: attraper le ballon et jouer vite. L’arbitre ne trouve rien à redire et, dès qu’il est de retour sur ses pieds, l’international allemand sert Kevin Kampl, seul sur sa droite. Le Slovène gagne son face à face, Leverkusen prend l’avantage contre Ingolstadt (victoire 3-2) et l’attaque est récompensée de la bonne situation créée.

 

 

 

 

En vrac

Pascal Dupraz a déclaré, après son triomphe à Angers, que ce sont les joueurs qui font qu’un coaching devient gagnant. Il n’empêche: ses intuitions sur les deux dernières journées ont été courronnées de succès. Contre Troyes (1-0), Oscar Trejo inscrit le but vainqueur sur son premier ballon. À Angers (3-2), c’est sur son deuxième ballon que l’Argentin offre la première égalisation à Wissam Ben Yedder. Ensuite, Pavle Ninkov, autre entrant, est à son tour passeur décisif pour Martin Braithwaite. Enfin, le pied gauche de Yann Bodiger, que Pascal Dupraz "sentai[t] bien", troisième remplaçant décisif. Le coup parfait.

 

Pas vraiment de suspense en haut de tableau de Liga, où Barcelone a tranquillement remporté le titre face à une équipe de Grenade pas franchement déterminée à faire autre chose que défendre, ce qu’elle fait mal (3-0). En bas en revanche, on est forcément malheureux de voir le Rayo disparaître tant cette équipe symbolisait la possibilité de s’en sortir par le jeu. Mais le niveau moyen, plus haut que les années précédentes, n’a pas permis de compenser les points laissés en route, notamment à cause d’une trop grande indiscipline. Getafe est également dans la charrette, ce qui devait finir par arriver tant son niveau est médiocre depuis quelques années.

 

Peut-être l’équipe la plus désagréable d’Espagne à regarder, l’Espanyol Barcelone s’est une nouvelle fois maintenu grâce à quelques individualités et un bon début de saison. C’est donc Marco Asensio, auteur de deux buts et une passe décisive contre Eibar (4-2), qui remporte le match des jeunes talents partis s’aguerrir en bas de tableau. Le milieu de vingt ans prêté par le Real devance Alen Halilovic, dix-neuf ans et prêté par le Barça à Gijon, et Alvaro Medran, vingt-deux ans, prêté par le Real à Getafe. Lueur d'espoir néanmoins côté Espanyol: le club espère faire venir Paco Jemez ou Jorge Sampaoli pour la saison prochaine.

 

Un petit mot de Serie A et Gonzalo Higuain, qui améliore avec brio le record historique de but en une saison, bien plus accessible que dans les autres championnats sur le papier. Avec 36 pions, quasiment autant que ses deux premiers poursuivants (Dybala et Bacca) réunis, l'Argentin a réussi la meilleure saison de sa carrière et franchi un cap. Loin de se contenter de pousser les ballons au fond, ce qui peut être le cas dans une équipe au-dessus du lot, il a su combiner appels tranchants et finitions létales. Si seulement il était autant en confiance en sélection...

 

 

 

 

Focus : Rayo Vallecano

Entraîneur : Paco Jémez
Système préférentiel : 4-2-3-1
Classement : 18e de Liga (relégué)
Possession : 53,8% (5e)
Tirs par match : 13,3 (3e)
Passes réussies : 77,1% (8e)
Duels aériens gagnés par match : 17,1 (6e)
Tirs concédés par match : 12,4 (12e)
Tacles par match : 18,6 (14e)
Interceptions par match : 18,5 (16e)
Buts encaissés : 73 (19e)
Joueur clé : Roberto Trashorras (2 buts, 8 passes décisives, 74,7 passes par match, 2,3 passes clés par match, 87,3% de passes réussies).

 

(Statistiques WhoScored)

 

 

 

 

Les déclas

"Je suis le premier à avoir le ballon après notre gardien, donc c’est mon travail d’ouvrir des espaces dans l’équipe adverse et d’ouvrir le jeu. Que je récupère le ballon ou qu’un coéquipier me le passe, je recherche immédiatement notre attaquant. Il est le plus haut sur le terrain, si j’arrive à lui donner le ballon, cela ouvrira le terrain. Mais la plupart du temps, quand j’ai la balle dans les pieds, il y a déjà huit ou neuf joueurs de l’équipe adverse qui sont revenus. Donc j’essaie d’envoyer une passe parfaitement placée et dans un timing idéal à travers un champ de mines. Facile, non?"

Jerome Boateng, dans un article à la première personne sur son rôle de défenseur. Compte tenu de la qualité de son jeu de passes, il ne s’en sort vraiment pas mal.

 

"Si on va tous les jours courir dans les bois, on sera spécialiste de la course dans les bois. Si on va tous les jour soulever des poids, on sera spécialiste du soulevage de poids. Il faut comprendre le jeu dans sa globalité et à partir de là, rechercher l’interactivité dynamique entre les éléments qui constituent les systèmes de l’être humain qui va participer à cette situation globale. Si on veut développer les possibilités de nos footballeurs, il faut penser à les entraîner à travers des exercices extraits du jeu."

Paco Seirul-lo, ancien préparateur physique et aujourd’hui responsable du secteur de la méthodologie du FC Barcelone.

 

"Un matin de mars 2015, le président a voulu me parler après un entraînement. Il m'a dit que l'agent de Gareth Bale était venu dans son bureau lui dire que son joueur n'était pas heureux à son poste. Il voulait jouer de manière plus axiale. Le président m'a demandé ce qu'on allait faire et je lui ai répondu 'rien'. C'était impossible de changer sa position à ce moment de la saison puisqu'il aurait fallu changer tout le système et bouger beaucoup d'autres joueurs autour. Bale a des qualités fantastiques et tout ce que je voulais était lui faire comprendre quelles étaient ses principales pour qu'il puisse exploiter tout son potentiel. Et, au passage, je suis plus qualifié que son agent ou le président pour l'aider à y arriver."

Carlo Ancelotti, dans son livre, Quiet leadership: Winning hearts, minds and matches. La suite des événements: l'Italien sera viré et son successeur, Rafa Benitez, installera d'emblée Bale à ce poste qui ne lui va pas...

 

 

 

 

Les vidéos de la semaine

Deux exemples qui prouvent que le travail à l’entraînement, avec le temps, peut être reproduit naturellement en match.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La revue de presse (presque) anglophone

On ne sait pas comment traduire le Gesamtkunstwerk, mais apparemment Jürgen Klopp en est le roi.

 

Un match se joue parfois sur des détails. Comme l’étude poussée du gardien adverse, par exemple.

 

C’est un enjeu majeur du jeu de position, mais pas seulement: comment créer de l’espace dans le camp adverse?

 

Comment l’évolution tactique s’effectue en écho avec le passé.

 

Analyse tactique du Tottenham de Mauricio Pochettino, images à l’appui.

 

Bilan statistique de la Ligue 1, sur le plan offensif notamment.

 

Sam Allardyce et Jermain Defoe ont joué un rôle crucial dans le sauvetage de Sunderland.

 

Plongée dans la semaine type d’un recruteur d’Arsenal.

 

Comment peut-on mieux mesurer la qualité de passe d’un joueur?

 

Un peu de théorie tactique: la construction verticale par la passe.

 

Leicester et l’Atlético Madrid mènent le mouvement de résurgence de la contre-attaque.

 

 

 

 

 

 

Réactions

  • Hydresec le 17/05/2016 à 19h40
    Donc gagner par un but d'écart chez le 3ème de Ligue 2 de la saison précédente et 19ème budget de Ligue 1 peut être qualifié de "triomphe" ? Voilà un beau compliment pour le SCO qui semble avoir acquis une certaine forme de respect auprès des experts les plus pointus du football hexagonal.

  • Radek Bejbl le 18/05/2016 à 00h48
    Je suppose que c'est une manière de qualifier tout le parcours (je suis pas responsable de cette phrase et je cautionne pas non plus).

La revue des Cahiers du football