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La Gazette de la Ligue 1 // épisode 28

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 17 Mars 2010

 

Le Classement en relief

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Les résultats de la 28e journée
Paris Saint Germain - Sochaux : 4-1
Lille - Grenoble : 1-0
Lorient - Lens : 1-0
Lyon - Saint-Etienne : 1-1
Montpellier - Auxerre : 1-1
Toulouse - Marseille : 1-1
Monaco - Bordeaux : 0-0
Le Mans - Nice : 0-1
Valenciennes - Rennes : 0-2
Nancy - Boulogne : 1-3



Les 5 gestes de la journée

• Le déplacement longitudinal de Machado aux dix-huit mètres, sans toucher le ballon avant que ne s'ouvre la fenêtre de tir idéale – qui s'avérera être la lucarne de Mandanda.
• La passe lobée de Briand qui précède un contrôle parfait et une demi-volée dans la foulée de Marveaux pour planter Penneteau dans la pelouse et un but à Valenciennes.
• La promenade de Hoarau dans la défense sochalienne, agrémentée d'un grand pont et d'un petit crochet pour conclure en enroulant un tir sans opposition ni rémission.
• La chorégraphie de Lisandro (retourné) et Janot (plongeon réflexe) pour prouver que le football est un sport de ballerines musculeuses.
• La volée de Marco Van Moussilou pour prouver qu'un Ballon de Plomb peut marquer des buts de Ballon d'Or.


Les 3 bakagestes de la journée

• L'ouverture du pied de Jelen pour expédier bien au-dessus du cadre (vide) le ballon qui lui avait été gentiment adressé par le poteau.
• Le plat du pied-inefficacité de Gouffran à deux mètres de la ligne, sauf pour réussir à lever suffisamment le ballon afin qu'il passe au-dessus de la barre.
• Le réflexe chétif de Rivière, comme tétanisé par la cage grande ouverte, qui ne parvient qu'à dévier une balle ne demandant pourtant qu'à aller faire un tour dans les filets.



La bannette

L'entraîneur qui l'a enfin trouvé
Laurent Blanc (L'Équipe) : "Ce point-là fait plaisir".

L'entraîneur qui s'apprête à crucifier ses joueurs
Pablo Correa (L'Équipe) : "Une malédiction?  Quand on est chrétien, et je le suis, on ne peut pas y croire".

L’entraineur qui sort de chez Djibril Coiffure
Laurent Guyot (L'Équipe) : "On avait une sorte d'étau sur la tête".

L'ancien joueur
Matt Moussilou (L'Équipe) : "J'ai même connu le CFA".

Le joueur qui comprend enfin le principe des primes de victoire
Matt Moussilou (L'Équipe) : "À un moment, je n'en ai pas fait assez, dans le foot, ça se paie cash".

Le podium de la saison 2024/2025 de la Ligue 1 Emirates
Pape Diakhaté (L'Équipe) : "Cela étant, on ne se sort pas si mal de la grosse série Lille-Valenciennes-Lyon".

Le courageux qui attend à la Caisse d’Allocations Familiales du 15ème arrondissement
Jérémie Janot (L'Équipe) : "On avance à petits pas, mais on avance quand même".

Le foot expliqué à ma femme (1)
Francis Gillot (L'Équipe) : "Quand ça n'arrive pas souvent, on appelle ça un accident".

Le foot expliqué à ma femme (2)
Francis Gillot (L'Équipe) : "Au bout de dix minutes, je savais que c’était fini".

Le joueur qui emmène toujours deux jeux de cartes dans le bus
Jacques Faty (L'Équipe) : "Quand on va à la bataille, il faut être organisé".

L'entraineur qui s'est fait l'intégrale des dernières déclarations de Guy Delcourt
Jean-Guy Wallemme (L'Équipe) : "J'ai dû me pincer pour y croire".

La solution aux problèmes de calendrier
Christian Gourcuff (L'Équipe) : "On a souvent deux matches en un".

La Formule 1 devenue une deux-chevaux
Pierre Ménès (Yahoo!) : "En seconde période, le diesel lyonnais est revenu avec le mors au dents a tout fait pour revenir".

Le joueur qui confesse la complexité des partouzes quand on fait 1m67
Mathieu Valbuena (France Football) : "On essaye tous de se tirer vers le haut".

La fraîcheur Ben Narta
Didier Deschamps (L'Équipe) : "Après, on a senti en fin de seconde qu'on avait plus de fraîcheur".

L'erreur qui se paie cash cash
Pape Diakhaté (L'Équipe) : "On a notamment eu du mal d'aller chercher Lisandro derrière Gomis".

Le monologue du Lorrain
Pablo Correa (L'Équipe) : "Il n'y a pas deux équipes de Nancy". Encore heureux.

Les canons de la Garonne
Laurent Blanc (L'Équipe) : "Après, on voulait d'abord se rassurer au niveau défensif avant d'apporter des armes supplémentaires à l'heure de jeu en fonction du score".


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Benoît Poolvoerde présente sa nouvelle émission : "Monsieur Anathème".


Les tops

Le Top "Transit intestinal difficile"
1. Jérémie Janot (L'Équipe) : "On avance à petits pas, mais on avance quand même".
2. Geoffrey Jourdren (L'Équipe) : "C'est le genre de match que l'on aurait gagné avec un public qui nous aurait poussés".
3. Laurent Guyot (L'Équipe) : "Le fait d'être dos au mur a créé un relâchement bénéfique".

Le Top Éric Besson
1. Mevlut Erding (L'Équipe) : "Si je marque, je fêterai mon but même si c'est contre mon club formateur. Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas marqué..."
2. Mevlut Erding (L'Équipe) : "C'est mon premier triplé, cela me fait bizarre car c'est contre mon ancien club".
3. Loïc Rémy (L'Équipe) : "Cette semaine et pendant la mise au vert, on sentait qu'on revivait, même si on était triste pour l'ancien coach".

Le Top Alzheimer
1. Arnaud Cormier (L'Équipe) : "Ce match, on l'a raté dans les têtes".
2. Éric Roy (L'Équipe) : "Désormais, le danger va nous guetter mentalement".
3. Pablo Correa (L'Équipe) : "Il n'y a pas deux équipes de Nancy".


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La lumière divine apparut. Et Dieu dit à Lucho : "Tu feras une ouverture vers Laurent Bonnart, qui fera une passe décisive". Et Lucho fit ce que Dieu avait demandé.


Les minutes

La minute Caprice des Dieux de Stéphane Mbia
"Non, je ne vais pas rester derrière. Je joue pour rendre service à l'équipe mais ça commence à bien faire. A ce poste, je ne m'exprime pas. Cela ne se voit pas mais je suis mal à l'aise. Je ne me sens pas bien, je ne suis pas bon à ce poste-là". (AFP)


La minute Vache qui rit de Stéphane MBia
"Je suis à l'entière disposition du coach et au service de l'équipe même si je ne joue pas régulièrement à mon poste de prédilection. Je jouerai là ou on me dira de jouer et je donnerai toujours mon maximum pour permettre au club d'atteindre ses objectifs". (AFP, quelques minutes après la première déclaration)

La minute C'était mieux avant de Nicolas Penneteau
"On a pêché dans ce qu'on savait bien faire avant, à savoir l'agressivité défensive.  Les deux buts interviennent suite à deux erreurs qu'on ne commettait pas avant. On a aussi manqué l'avant-dernier et le dernier geste". (L'Équipe)

La minute de silence de Ludovic Giuly
"Je n’ai jamais disputé un match à huis clos mais il ne faut pas oublier que j’ai joué à Monaco". (AFP)


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"Eh bien je propose d'obliger les supporters du PSG à porter un signe distinctif, de sorte à ce qu'ils soient plus facilement repérables par les forces de l'ordre à Lens et ailleurs. Une étoile jaune vous dites? Oui, pourquoi pas".


Un titre au palmarès de Cayzac

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• Me coiffer
• Réussir une bonne imitation de Bill Clinton
• Choisir une maison d'édition dont le nom ne donne pas l'impression qu'elle peut fermer le lendemain
• Ne pas utiliser de métaphores à base de marmite quand on n’a jamais trouvé la potion magique
• Diriger un club de foot



Bêtes clics

Parmi ses nombreuses activités, Pierre Ménès tient un second blog sur un site de paris sportifs. Le principe d’un tel contenu, payé par le site en question, est un peu acrobatique. On imagine mal en effet le casino vouloir vraiment expliquer à ses clients comment faire sauter la banque. Mais la réputation de "pronoman" est suffisante pour attirer le chaland et promettre de bons tuyaux. Du moins pour qui ne va pas chercher trop loin. Nous avons repris les pronostics de Pierrot le flouze depuis la 17e journée jusqu’à ce week-end, soit 108 matches. Nous avons trouvé 46 bons pronostics, soit 4,2 de moyenne par journée.

Moins bon que le hasard
Dur, la moyenne n’est même pas obtenue, et un parieur perdrait en théorie 8 euros à chaque mise de 100 euros. Cependant, par le jeu des cotes, il suffit de gagner en majorité sur des résultats peu probables pour renverser la tendance. Nous avons recherché d’abord les petites cotes parmi ces 46 bons résultats. C'est à dire les victoires de Bordeaux, Marseille, Lyon, ainsi que les défaites de Boulogne et Grenoble. Il y en a 21 sur les 46 en question. Restent 25 résultats plus improbables sur 87 matches. On tombe à une proportion de 2,8/10. Avec un tel ratio, la faillite guette.
Cherchons donc les vraies grosses cotes (défaite d’un des six premiers ou victoire d’un des trois derniers). Il y en a… une (la victoire de Saint-Étienne à domicile contre Montpellier). Sachant que 48% des matches de L1 se soldent par une victoire à domicile, il suffirait de jouer 100% de ses mises (hors résultats les plus probables) sur le 1 pour dépasser l’expert.
Pierre Ménès a trouvé le meilleur job du monde: être rémunéré pour faire perdre de l’argent à ses lecteurs.

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L'ultime ruse de Pires pour revenir en équipe de France a fonctionné : se faire la tête de Toulalan. Bien, assez ri Robert, rends nous le véritable Jérémie maintenant, on en a besoin.

Le Kombouatest

Tu crois maîtriser la Komboualangue? La réthorique kombouarienne n'a plus de secret pour toi? Alors réponds à notre test, et retrouve quels mots ont été prononcés par l'entraîneur parisien après la victoire face à Sochaux.

"Ce qui est important, c'est ____ de se ____ sur le ____. Il y a une ____ dans le ___, dans le regard, une ____ de ____ ensemble".

Antoine à la campagne : vraiment – coucher – ventre – coccinelle – gazon – satisfaction – l'observer
Les Experts Saint-Germain : surtout – concentrer – microscope – trace d'ADN – schmilblick – rage – découvrir le coupable
Antoine et le temple du soleil : d'abord – rassembler – Vieux-Port – lumière – tunnel – espérance – revenir vivants
Antoine, petit rat de l'Opéra : principalement – lancer gracieusement – danseur étoile – coordination – ballet – crainte – se vautrer
Antoine syndicaliste : pas – friter avec les CRS – parvis de l'Hôtel de Ville – âme – mouvement – obstination – tout péter
Antoine se fait beau : bien – faire épiler partout – dessus des orteils aussi – esthéticienne – staff – satisfaction – pouvoir taquiner la gueuse
Antoine le copain Veissiere : uniquement – focaliser – mec qui arbitre – règle d'or – métier – ambition – le démolir tous
Antoine entraîneur du PSG : l'envie – chercher – terrain – complicité – jeu – regard – volonté – jouer

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Parce qu'en secret, il t'aime, Antoine. Mais il ne sait pas l'exprimer!


Les observations en vrac

• Il aura suffit d’une semaine à Pascal Praud pour reprendre du service dans On refait le match après son départ du FC Nantes. Et quand en pleine émission il lance "Dans la presse française, on parle trop des joueurs et pas des présidents", ce n’est pas pour insister sur les années Kita, mais pour estimer que le travail de Jean-Michel Aulas est sous-estimé.
• Le CSKA Sofia s'est fait berner par un imposteur prétendant être un joueur du PSG. Pour le nombre de fois où le PSG s'est fait berner par des imposteurs prétendant être des joueurs tout court, c'est peut-être un juste retour des choses.
 • Il a osé le dire : "Oui, je fais mon coming-out ce soir : j’adore voir jouer Lille cette saison". La semaine prochaine, Pierre Ménès nous scotchera en avouant qu’il considère que Barack Obama quand même, c’est un sacré espoir pour l’Amérique et que Penelope Cruz, ben il la trouve super mignonne.
• On sait enfin ce qu'Isabelle Moreau fait pendant la semaine: elle compte un à un le nombre de fans de la page Facebook du CFC, qu'elle ne manque ja-mais de rappeler.
• On veut bien que tout le monde mette les résultats moyens des gros clubs sur le dos de la Coupe d’Europe qui pompe plein d’énergie, mais ils ont joué quelle Coupe exactement cette semaine, Bordeaux?
• Le grand grassouillet à queue de cheval et à l’air patibulaire en tribune VIP à Louis-II n’était pas Steven Seagal, mais bel et bien Dado Prso.
Maradona était à La Commanderie cette semaine, mais on ne sait pas si Jean-Pierre Bernès a fini par réussir à lui faire signer son contrat.
• Vivement le mercato que Nicollin craque et nous fasse un coup à la hauteur de l'achat simultané de Paille et Cantona.



L’envers du championnat
Les Grenoblois pourront remercier le portier lillois! Témoin privilégié des égarements des attaquants bleu et blanc, Mickaël Landreau n’aura toutefois pas su trouver les ressources morales pour fragiliser l’immuable leadership du GF38. Geste de désespoir, d’ailleurs, que ce bond, main la première, dans les pieds de Pierre Boya; et grimace tout aussi terrible lorsque Mickaël constatera que son poignet n’est pas brisé, l’obligeant à reprendre sa place. Eloigné des terrains pendant plusieurs mois, Landreau ne pouvait toutefois pas compter plus longtemps sur sa chance, et c’est désormais comme acteur à part entière du désastre lillois qu’il faut considérer l’ancien espoir parisien. La pudeur voudrait même que l’on oublie ses paroles d’un rare pessimisme peu après le match, lorsqu’il laissait entendre que la porte de l’équipe de France ne devait pas lui être fermée. "Un rêve de fou" expliquait-il, et l’on avait une larme pour ce joueur de trente ans qui s’inventait une fin moribonde, après avoir si souvent échoué au pied du podium.

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La semaine passée, le PSG avait tout fait pour assurer sa suprématie dans sa propre cage.
Quant au challenger Boulogne il n’arrivait pas à se transcender, et sombrait sur le terrain de Nancy. Une contre-performance que leur entraîneur, Laurent Guyot, acceptait avec une certaine philosophie, estimant que le titre serait une ambition trop importante pour le club cette année. Et c'était finalement Nancy qui, symboliquement, profitait de ce revers adverse, l’équipe de Pablo Correa devenant l’une des plus performantes chez elle (la chaleureuse ville lorraine a fait huit fois le plein sur quatorze rencontres) ; elle devenait la troisième meilleure formation à domicile. Le public l’a d’ailleurs bien compris, qui exprimait sa joie de la plus belle des façons, en qualifiant, comme un hommage à ce championnat à l’envers, les dirigeants d’invertis.
Sans compter qu’à la fin du match, tous les joueurs nancéens avaient un gros bouh.

Réactions

  • nonosmc le 17/03/2010 à 23h51
    D. Gullitt : flûte, je croyais que c'était exprès, et je trouvais même ça très drôle... Ben oui, je ne connais pas de "célèbre chanson de Sinclair'.

  • Hyoga le 19/03/2010 à 06h51
    Juste histoire de faire la fine bouche et/ou le casse-couille, le "calcul" du paragraphe betes clics est loin d'etre rigoureux (peut-etre qu'il a ete fait correctement en coulisses mais vu la presentation j'ai un gros doute, si vous me permettez). Mes divers profs de maths m'auraient passe par la fenetre pour moins que ca. "Malhonnetete intellectuelle", qu'ils disaient en math spe.

    Ici, le "classement" en "petites" et "grosses" cotes et l'utilisation qui en est faite ne prouvent pas que pierrot perd de l'argent. Si parmi les "grosses cotes" il y a un 450 contre 1, ca rembourse 4 fois les mises perdues sur tous les autres paris en admettant qu'ils soient tous perdants. Evidemment j'exagere, mais ca montre qu'il faut faire le detail.

    Je peux d'ailleurs faire une interpretation dans l'autre sens: en admettant qu'une petite cote est en moyenne de 1.6/1 et une grosse cote de 3/1, paf pierrot gagne de l'argent (1.6*21+3*25>108).
    Apres tout j'en sais rien, il a peut-etre tente plein de gros coups et a ete super forts sur ceux-ci en reussissant la prouesse d'en avoir un tiers correct. Mon calcul n'est pas moins correct que celui de l'article... les deux sont faux. A la limite le mien est meilleur... certes j'invente les cotes moyennes mais le calcul est ensuite correct. Dans l'article il n'y a aucun calcul.

    Quitte a s'etre casse la tete a eplucher les pronos de pronoman, le calcul est theoriquement plus simple que ce qui est presente: mettre 1 euro a chaque prono, calculer le gain obtenu suivant la cote au moment ou le prono est effectue (ce qui fait qu'en pratique c'est difficile a calculer, je le concois). Faire le total des gains, soustraire toutes les mises, et hop on a le gain net.
    Faire la meme chose avec que des victoires 1-0 a domicile. Comparer.

    Si l calcul correct a vraiment ete effectue, ca m'interesse. Le cas echeant, pourquoi il a ete transforme en un truc incorrect.

La revue des Cahiers du football