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C1 beau roman > quarts aller

Le football tactique prend le pas sur le football romantique, et la magie collective bute sur quelques génies du joga solito. La gazette de la Ligue des champions, elle, est là pour vous remonter le moral.
Les gestesLa banetteEuropean Premier League des ChampionsRésurrection ratée à LondresAccident de quart pour SchalkeLes observations en vrac
Auteur : El equipo A le 4 Avr 2008

 


Roma-Manchester: 0-2
Schalke 04-Barcelone: 0-1
Arsenal-Liverpool: 1-1
Fenerbahçe-Chelsea: 2-1


Les gestes des quarts

• Le numéro d'homme canon exécuté par Cristiano Jordano pour propulser au fond des filets de Doni la balle amoureusement piquée par Scholes au terme d'une séquence de 476 passes.
• La facilité déconcertante du virevoltant John McEnronaldo pour enrhumer Cassetti avant de rentrer dans l'axe et de casser la main droite puis le poteau de Doni d'une frappe rasante.
• La précision diabolique de Tevez qui, après s'être débarrassé de Cassetti d'un crochet extérieur, dose parfaitement son centre pour la reprise de volée légèrement trop enlevée d'un Ronaldo probablement perturbé par l'irruption de Gérard Ernault sur le pré, le Ballon d'Or dans les mains.
• La frappe d'une incroyable pureté décochée sans élan des trente mètres par Deivid, qui nettoie la lucarne de Cudicini pour un Goaliath qui plonge l'Europe dans l'incrédulité, de Londres à Bordeaux.
• La passe en eau profonde d'Iniesta qui plonge dans le noir les défenseurs de Schalke Rafinha et Bordon, récupérée au bout du tunnel par Henry qui gâche finalement son caviar en dirigeant sa frappe sur Neuer.


Les antigestes des quarts

• L'arrêt approximatif de Neuer, tellement étonné d'avoir vu Henry rater sa "spéciale" qu'il lui redonne le ballon.
• La reprise du plat du pied gauche de Panucci, qui rate l'égalisation alors qu'il était seul au second poteau dans le dos d'un Wes Brown qui se demande encore où était passé le Romain.
• La prise de balle aérienne de Doni qui, lourd comme un cheval mort, relâche le ballon dans les pieds de Rooney qui n'en demandait pas tant.
• La tentative de flambe de Bendtner qui se dit qu'il serait beaucoup plus stylé de faire entrer la frappe de Fabregas en moonwalk plutôt que de la laisser connement mourir dans le but.
• La poussée vicieuse d'Abidal qui empêche Westermann d'ajuster une tête à trois mètres des cages de Valdes et que Monsieur Duhamel aurait sifflée, lui.
• Le petit croc-en-bras de Kuyt sur Hleb, seule façon trouvée par le Batave pour interrompre la percée du funambule biélorusse dans la surface des Reds, que Monsieur Duhamel aurait sifflé, lui.



La bannette

La grande évasion fiscale
Arsène Wenger (L’Equipe) : "Nous n’avons pas été payés". Un problème lors du transfert depuis les îles Caïman?

Le flop au box office
Arsène Wenger (L’Equipe) : "Nous avons produit le match que nous voulions".

L’impréférence nationale
Luciano Spalletti (L’Equipe):  "Les Anglais ont eu de la chance". Avec leur nourriture ou avec leurs filles?

Le match joué à Londres la cosmopolite
Rafael Benitez (L’Equipe) :  "En Angleterre, il n’y a pas penalty".

La manette possédée
Rafael Benitez (L’Equipe) : "Nous n’avions pas le contrôle du jeu".

L’amateur de cinéma français
Patrice Evra (L’Equipe) : "Je n’ai pas envie de vivre un scénario incroyable".

Le retour du "J’ai dit"
Yaya Touré (L’Equipe) : "Thierry Henry a montré ce soir qu’il était de retour".


C1BR_Manu.jpg
European Premier League
des Champions

Roma-Manchester: 0-2

Évidemment, il y avait l’absence de Francesco Totti. Ainsi que celle de cet insaisissable piège chinois qu’est Simone Perrotta, à la fois homme à tout faire et ligne de fuite prodigieusement intenable du dispositif habituel de Spaletti. Le genre de handicap dont peu d’équipes peuvent se relever à ce stade de la compétition. Pourtant, on retiendra surtout qu’il s’agit ici d’une victoire tactique éclatante de Ferguson. On aurait tort de limiter Alex à l’image qu’il se complait à façonner, celle d'un nabab plénipotentiaire affalé sur une rente de situation et une capacité ininterrompue à délivrer des piques amères a travers la presse. Cette victoire sans discussion est avant tout la sienne.

Machine
Bien loin du choc offensif tête contre tête (le-premier-qui-baisse-les-yeux-a-perdu) attendu, on a contemplé, songeurs, une machine mancunienne ultra disciplinée et construite pour empêcher le jeu romain de respirer. United s’est appliqué à bloquer méticuleusement toutes les rampes de lancement romaines par la triple digue Anderson-Scholes-Carrick dans l’axe, mais aussi sur les côtés par le revenant Park et le décidément précieux Rooney. Résultat: un nombre famélique d’occasions italiennes, le cas échéant bloquées par l’intelligence de jeu de Ferdinand ou le talent immortel de Van der Sar.
Le reste n’est qu’histoire trop attendue, livrée sur place par un éclair magistral d’un Cristiano Ronaldo qui avait jusque la passé son temps le nez dans le gazon au moindre contact. Aussi par l’opportunisme d’un Rooney qui avait semblé s’ennuyer au possible, jusqu’au moment de profiter de la bourde d’un gardien dont on comprend mieux pourquoi il avait été testé par le FC Metz. United, pas loin d’être la meilleure équipe du monde depuis trois mois, s’envole une nouvelle fois vers les demies, et les amateurs de jeu court travaillé n’ont plus qu’a prier pour Arsenal.



C1BR_Livars.jpgRésurrection ratée à Londres
Arsenal-Liverpool: 1-1

On y est habitués depuis vingt ans. Il arrive toujours un moment dans les grandes compétitions internationales où les équipes qu’on se régale à voir jouer échouent face aux murs sans âme échafaudés sans autre but que de gagner à la fin. La veille, on avait cherché en vain cette Roma qui avait enchanté l’Europe à Bernabeu. Ce fut cette fois au tour d’Arsenal de jouer la partition désormais trop connue du coïtus footballicus interruptus.
Ceux qui ont lu l’opus 41 des Cahiers du football savent que le football est mort en 1986, et Liverpool s’est amusé ce mercredi à donner quelques coups de latte dans son cadavre. Il aura fallu que les défenseurs des Reds jouent aux semelles de plomb le temps d’un corner pour faire naître un espoir de courte durée. Quelques minutes, le temps que Gerrard – décidément bionique – ne vienne remettre l’église au milieu du village.

La suite ne fit que confirmer que Benitez est le Sacchi du XXIe siècle, passé maître dans l’art du colmatage de brèches. Il y avait toujours trop de joueurs de Liverpool entre le porteur du ballon et ses solutions potentielles. Kuyt, en plus de faire fuir nos compagnes les soirs de matches, s’est mué en Gattuso de la Mersey pour aggraver l’embouteillage à l’entrée de la surface de Liverpool. Et quand la scoumoune s’y colle, comme le pied de Bendtner à la frappe de Fabregas, on y voit un signe qu’il ne faut pas trop espérer pour le match retour. Le bon résultat des Reds, c’est le sens de l’histoire.



C1BR_Schalke.jpgAccident de quart pour Schalke
Schalke 04-Barcelone: 0-1

Depuis sa qualification in extremis à Porto, Schalke s’est relancé dans la course à la troisième place en Bundesliga en glanant trois victoires sur des mal classés. Slomka donc a gardé sa confiance aux titulaires habituels (sauf Jones, suspendu) pour ce premier quart de C1 depuis 1959. Un match dont tout le monde se faisait une fête, joueurs comme fans.
Las, la plupart faisaient la tête en quittant la pelouse. Les Königsblauen ont surtout montré leur côté obscur. Comme Neuer, pas irréprochable sur le but catalan. Bien intervenu sur Iniesta auparavant, le gardien a repoussé le tir d’Henry, puis a été trop court sur la passe qui a suivi. Une seule "absence", payée au prix fort. Comme le milieu, sans schéma directeur – surtout sans Rakitic, blessé de longue date à la cheville. Comme l’attaque, surtout: six buts marqués en neuf matches de C1, dont cinq contre Trondheim.
 
La meilleure attaque, c’est… la défense
Certes, le trio Asamoah-Altintop-Kuranyi est la meilleure attaque que Slomka puisse aligner. Mais si Asamoah cumulait les buts, ça se saurait, et le meilleur des deux Altintop évolue au Bayern. Quant à Kuranyi, sorti sous des applaudissements railleurs, il est presque invisible. Leurs remplacements à tous trois sont révélateurs de cela, mais aussi du fait que le banc, occupé par les Sanchez et autre Larsen, n’est pas à la hauteur. Asamoah trop à gauche, Altintop trop à droite, Larsen trop haut: la visée n’est toujours pas réglée. Les plus menaçants auront été Westermann et Bordon, défenseurs dont les têtes auraient pu faire mouche.
Outre les défaillances de l’attaque, ce qui a perdu Schalke est surtout le respect montré à ce Barça qu’il eût fallu d’entrée prendre à la gorge: les Königsblauen ont mis soixante-dix bonnes minutes à sortir de leur torpeur. Autant de temps perdu.
 
Endstation Barcelona?
Ce "Spiel des Jahres" – match de l’année – côté Allemand s’est donc réduit à vingt minutes. Pas sûr que l’optimisme dont voulait faire preuve Slomka après le match tienne. Il faudra que les Allemands comprennent qu’à Barcelone, ils n’auront rien à perdre mais tout à donner, histoire de montrer que leur club n’est pas un schtroumpf européen. Pour Pander, Westermann et Kuranyi, ce sera aussi une ultime chance de briller en vue de l’Euro 2008.
 


Les observations en vrac

• Et en plus il vole, Cristiano Ronaldo?
• Après avoir manqué la WM 2006 grâce à Klinsmann, Kuranyi se place décidément en excellente position pour être le 24e homme dans le groupe des 23 pour l'Euro 2008. On le dit frappé d’Anelkite.
• L'effet Larsen version Schalke, c'est bien quand on aide les défenseurs adverses à dégager les ballons en six mètres?
• Vu les prestations d’Henry à gauche, il vaut peut-être mieux se plier à ses exigences, et le laisser hors-jeu dans l’axe.
• Au Barça, Márquez joue sur une jambe, Touré sur une hanche, et Eto’o sur un genou. Pas étonnant que les Blaugranas ne jouent qu’une mi-temps à chaque match. 
• Mais pourquoi mettre Denoueix aux commentaires en direct où il est si anodin, voire ennuyeux?

Réactions

  • Lucarelli 1 le 04/04/2008 à 14h48
    richard, t'es un chouette type.

    J'essaye de leur expliquer, ils font la sourde oreille.

  • Je brille Cassé le 04/04/2008 à 15h32
    Rigoboum Song
    vendredi 4 avril 2008 - 14h11

    Effectivement le coeur parle Rigo (oui j'habite à Rome).
    C'est le "nombre faméliques d'occasions" qui m'a un peu piqué les yeux étant donné qu'il me semble que la Roma en a plus que MU (avant le 2ème but qui a libéré la place aux contres, et où on a eu de la chance de ne pas en prendre un 3ème il faut bien dire).
    Ensuite tactiquement Fergie a bien fait son taf, il a réussi à bloquer les couloirs qui sont les rampes de lancement principales de la Roma (en l'absence d'un Totti redescendant au centre pour faire ses déviations dont il a le secret).
    L'action du 1er but suit une phase 12689 passes de MU dans la moitié de terrain romaine certes ensuite j'ai eu l'impression (mais là le coeur toussa...) que ces phases étaient plutot "partagées" entre deux équipes se comportant comme des boxeurs en observation et très bien mises en place.

    Mais pour autant, je reste persuadé que la différence a été faite par les joueurs (du moins certains) et non pas par la tactique. Là où Ronaldo fait son exploit (le but comme tu l'as remarqué est autant à mettre au crédit de Rooney qui créé la fissure dans le bloc romain) ou Doni se troue misérablement, il n'y a pas d'efficacité de Vucinic et l'absence de Totti.
    Au final, la Roma a rencontré son plus fort adversaire cette saison c'est clair.

  • Tricky le 04/04/2008 à 15h39
    Rigoboum Song
    vendredi 4 avril 2008 - 14h11
    -----------
    Completement.

    Real-Roma, 18 tirs dont si je me souviens bien 8 cadres. La, il doit y avoir un tir cadre plus le poteau.

    Ce n'est pas tant la Roma qui l'a perdu tactiquement (en passant, je continue a penser que Perrotta, l'homme qui ne joue nulle part et partout a la fois, aurait largement contribue a distendre cette organisation mancunienne, et qu'il a, sur ce match -et considerant la petite forme de Mancini-, manque autant que le Genie). C'est surtout Ferguson qui l'a gagne.

    Couloirs bloques (ce Rooney est quand meme un joueur fantastique, et Park, qu'on voit genre cinq fois dans l'annee a ete excellent dans ce registre) et surtout un axe construit pour empecher tous les lancements aquilano-de rossiens.

    Je veux bien que tout le monde se decroche une orbite a la simple evocation de Cristiano Ronaldo et (a un degre injustement moindre parce que ce premier but est aussi largement pour lui) de Shrek, et a juste titre, mais les heros du match, c'est ce trident Anderson-Scholes (on ne peut pas lui filer un ballon d'or posthume)-Carrick. Et Ferguson, pour avoir mis en place, de maniere tres inhabituelle pour lui, cette configuration la, qui etait exactement celle qu'il fallait. Je suis persuade que dans un match dans la filiere romaine ('eh, regarde comme j'attaque plus vite et plus vivement que toi' jusqu'a ce que mort s'ensuive), United, qui aime pourtant ce genre de plan, se serait fait manger.

  • Rigoboum Song le 04/04/2008 à 15h49
    >>Je brille cissé
    ------
    Sans jusqu'à parler de "nombre famélique d'occasions" côté romain ni sortir la feuille de stats, je dirais tout de même qu'en terme de "danger créé", les mancuniens ont été plus forts que les hommes de Spalletti durant tout le match. Ca n'est peut être qu'une question de sensation mais j'ai eu le sentiment que la louve n'a véritablement réussi à mettre les red devils à l'amende qu'une seule fois : lors de la montée de Panucci et de son plat du pied raté, dans le dos d'un Wes Brown aux fraises. S'il cadrait, Van der Sar était trop loin pour empêchait l'égalisation.
    Pour le reste, jamais le portier batave et ses coéquipiers ne m'ont semblé mouiller plus leur maillot de peur que leurs homologues romains. Au contraire. On sentait plus de panique et moins de maîtrise défensive du côté de l'AS Roma, je veux dire (y'a qu'à voir le deuxième but mancunien pour s'en convaincre). Même sur la tête de Vucinic, les red devils semblaient sereins, avec deux joueurs derrière Van der Sar au kazoo, si mes souvenirs ne me trompent pas.

  • Rigoboum Song le 04/04/2008 à 15h51
    Les fautes d'orthographe, c'est cadeau, les cocos.

  • Je brille Cassé le 04/04/2008 à 16h08
    Yep que MU est été moins fébriles que les Romains j'ai aussi eu cette impression à vrai dire. D'où ma remarque sur le fil de Totti où je disais avoir eu l'impression de voir les passes un peu "forcées" du côté romain (confondant vitesse et précipitation comme dit ma maman).

    Ensuite je pinaille là mais tu peux rajouter l'action où Aquilani s'efface pour laisser Vucinic tirer sur le côté gauche dans un angle pas ultra fermé et où, bon hein, nostradamus dirait qu'avec Totti ma bonne dame ça n'aurait pas été la même histoire. Grosse grosse occasion.
    (+ la tête de Panucci à 0-0 sur corner qui passe au-dessus où ça aurait été dur pour le gardien + le tir en déséquilibre de Vucinic qui tente une "Valbuena Special Anfield")
    Mais bon je pinaille là.
    En "danger créé" peut-être MU fut supérieur (avant le 0-2 après ce n'est plus le même match), j'ai du mal à être objectif j'imagine.

  • Takinho le 04/04/2008 à 18h25
    Il y a aussi eu une excellente situation en début de 2ème MT quand Tonetto frappe à côté, suite à un bon dédoublement. La seule fois où la Roma a mis un de ses joueurs dans une bonne position de tir, hors coups de pied arrêtés et si l'on considère que l'exter de Vucinic était très difficile à réussir avec l'angle qu'il avait.

    Mais pour le reste, Manchester a vraiment asphyxié la Roma, Pizarro a eu à tenter beaucoup de transversales et passes en profondeur improbables tellement il n'y avait pas de solutions en jeu court vers l'avant pour lui, De Rossi n'a pas été aussi tranchant que d'habitude. Malgré tout, j'ai aussi eu l'impression d'un match très équilibré entre deux équipes de très haut niveau. Manchester a eu davantage d'inspiration sur ses offensives (le contrôle orienté de Rooney par exemple) et n'a jamais été inquiété dans le jeu (Rooney m'a bluffé par son travail défensif) et c'est pour cela que l'on salue leur performance tactique. Ce qui est intéressant (pour le match retour même si je ne me fais pas trop d'illusions), c'est que la Roma s'est donné les moyens de mettre la pression sur Manchester pendant les 20 premières minutes de la seconde mi-temps.

    Et puis, le 2è but les met psychologiquement en short. Et à partir de là...

  • MarcoVanPasteque le 04/04/2008 à 19h26
    Bizarre, il me semblait pourtant qu'au stade des quarts de finale il y avait généralement 4 matchs... je vais aller lire le réglement de l'UEFA pour vérifier ça.

  • Tricky le 04/04/2008 à 23h01
    Certes.

    En même temps, ça impliquerait que quelqu'un se tape Fener-Chelsea en intégralité. Le soir d'Arsenal-Liverpool.

  • Tapas Tef y Graf le 05/04/2008 à 11h51
    Roberto Cabanastonvilla
    vendredi 4 avril 2008 - 00h47

    Apres un rapide tapotage sur un moteur de recherche, il en sort qu'apparemment, le caractere cyrillique Г se prononce gu ou h aspiré en bielorusse, h aspiré en ukrainien, et toujours gu en russe.

    Avant l'eclatement de l'URSS, le russe s'imposait dans toutes les republiques sovietiques, et la transcription phonetique standard vers l'alphabet latin devait etre basee sur le russe. Mais depuis quelques annees on assiste a une reaffirmation du bielorusse et de l'ukrainien comme langues, et non plus comme dialectes du russe (C'etait d'ailleurs un aspect important de la Revolution Orange). Il est donc fort possible que notre ami canonnier est vu son nom mal transcrit originellement (Gleb) pour etre ensuite rectifie en Hleb, comme pour d'autres de ses compatriotes.

    Par rapport a la variation de la prononciation en ukrainien, j'ai pas trop le temps de verifier, mais une supputation de ma part serait que Г en ukrainien se prononce h aspire en debut de mot, et gu en milieu de mot.

La revue des Cahiers du football