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En revenant de Nantes

Les Bleus ont fini par renverser la Lituanie au terme d'une bien belle partie qui les rapproche des alpages • La nalyseLes garsLes observationsMakelele, le nettoyeurLe match de LarquéVu du forum Remplacer les remplaçants
le 18 Oct 2007

 

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La nalyse

Le pessimiste qui est en nous (le truc qui grince, au fond) a eu plus d'une heure et quart pour faire fermenter ses récriminations d'après-match et formuler des arguments... Il aurait dit que si les phases finales se traversent avec des défenses de fer, les éliminatoires nécessitent un peu de génie offensif pour renverser des matches à 70% de possession de balle et 15 corners contre 1. Il aurait dit que c'était dommage de délivrer autant de centres à des attaquants pas très doués de la tête... Que ne disposer sur le banc que de Ben Arfa pour emporter le morceau dans de telles conditions, c'était un peu léger. Que manquer une qualification contre la Lituanie, cela posait un plus gros problème encore que de la perdre contre l'Écosse. Etc.

Ce match recèle un paradoxe : on avait en effet de quoi fourbir des reproches, en dépit de prestations individuelles de très haut niveau. Le jeu aéré, en combinaisons rapides et en utilisation de la largeur, ne débouchait sur rien d'assez tangible. La faute, en particulier, à une efficacité insuffisante des centres – que la responsabilité en incombe au centreur ou à ses destinataires. C'était à nouveau la crise de l'avant-dernier ou du dernier geste, comme lors des rencontres de septembre dans le groupe B. Tant de créativité et de volonté, pour si peu de résultats, on aurait presque eu de quoi douter. D'autant que l'hypothèse d'une mcfaddenisation des Bleus planait sur la Beaujoire, avec les trois tirs placés sur les montants au cours des vingt premières minutes – dont un par Ksanavicius.

Mais il fallait prendre le match par l'autre versant, et ne pas douter qu'une domination exercée avec tant de volonté et de brio ne pouvait pas rester indéfiniment sans récompense. Car en dehors d'un quart d'heure inquiétant au retour des vestiaires, les Bleus ont mis énormément de cœur et de rythme dans la rencontre, pour tâcher à chaque instant de casser les reins de cette défense. Et comme le football daigne parfois obéir à un peu de logique, la victoire est (au moins rétrospectivement) apparue comme inéluctable.



Les gars

Exceptionnellement, nous sommes autorisés à donner des notes aux joueurs, façon patinage artistique, plongeon à cinq mètres ou École des fans.

Landreau : 9,735. Il a fait son premier arrêt à la 88e minute sur un tir non cadré, et le second à la 91e sur une tête peu dangereuse. À sa place, Barthez aurait certainement eu une gastro juste avant le match.

Abidal : 9,535. Hésitant sur les quelques incursions baltes, il se fait enrhumer par Ksanavicius lorsque ce dernier touche le poteau et eut du mal à se frayer un chemin dans le maquis de l'aile gauche.

Diarra : 9,665. Isolé en phase offensive, le Gunner a compensé par sa générosité et un jeu incisif lorsqu'il repiqua dans l'axe. Car pour les centres, ce n'est toujours un spécialiste et l'on peut douter qu'il soit du meilleur rendement lorsqu'il s'agit essentiellement d'attaquer. Mais son assurance ferait presque oublier qu'il est un tout jeune international.

Thuram : 9,625. Il a commencé par jouer très bas, afin d’éviter d’être pris de vitesse en contre, mais s'est empêtré dans une paire de relances. Son apport se juge ailleurs: dans l'esprit qu'il a insufflé à ses coéquipiers (un peu dans les bronches de Ben Arfa aussi) en finissant par monter lui-même.

Gallas : 9,765. Il a cette faculté : en fin de match, on ne se souvient pas l’avoir vu jouer en défense – et c’est plutôt bon signe. Il rate sa traditionnelle occasion à trois mètres des buts, mais on blâmera Karcemarskas (22e).

Makelele : 9,850. Son placement devant la défense l'a moins mis en vue que son collègue Toulalan, mais il a donné l'impulsion en amorce des actions et exercé une énorme influence (lire ci-dessous). Il est justement l'auteur du très bon lancement de Ben Arfa (une passe sèche du gauche) pour l'ouverture du score.

Toulalan : 9,995. Probablement le meilleur match de sa carrière, tant on a du mal à imaginer qu'il ait déjà pu atteindre un tel niveau. Il affiche un nombre record de séquences tacle glissé – récupération – relance. Il a tout mangé dans l'entrejeu et s'est souvent porté aux abords de la surface – allant même dribbler au poteau de corner. C'est enfin lui qui lance Henry pour son doublé.

Ribéry : 9,985. Le feu de ses jambes s'est propagé à la défense lituanienne, même si les attaquants n'ont pas beaucoup fait fructifier son travail. Il entre dans le match avec un double contact suivi d'une frappe que le gardien dévie sur la barre. Ses coups de pied arrêtés ont pour la plupart été bien ajustés, avec notamment la tête de Gallas à bout portant (22e), il a montré qu'il savait lâcher la belle dans le bon tempo et ne s'est pas énervé des nombreuses fautes commises sur lui. En dépit, comme d'habitude, de quelques creux, il revient très fort juste avant l'heure de jeu en plaçant deux belles frappes dans l'axe. On le retrouve dans le coup du penalty réclamé à l'arbitre (68e). Il aurait été décrété plus "décisif" si Henry et Ben Arfa avaient mieux exploité respectivement une talonnade précise (32e) et une élimination du gardien suivie d'un centre en retrait (75e).

Malouda : 9,885. Du très bon, dès la 15e minute avec cette frappe énorme qui prend le dessous de la barre sans rentrer, du moins bon parfois, mais on est toujours un peu ingrat avec lui. Tout en variété de jeu, il a contribué à l'animation du côté gauche et est allé presque constamment au charbon. Sans être directement décisif, il a pesé.

fra_lit2.jpgBenzema : 9,935. Beaucoup d'envie, des initiatives, du mouvement, de la disponibilité, une conduite de balle qui à elle seule crée le danger... Et une élégance qui ne gâte rien. Sa confiance actuelle lui permet de se dépasser, au point qu'il risque presque d'en avoir trop.

Henry : 9,975. Comme il y deux ans en Irlande, il met le but qu'il faut. Il n'avait pourtant pas été le plus brillant des joueurs offensifs, accumulant quelques imprécisions en première mi-temps, dans les passes comme dans les tirs, exécutant pour son compte un coup franc dans un position où Ribéry avait excellé (45e). Plus présent après la pause, il déclenche deux belles frappes (50e et 64e, cette dernière du gauche sur le gardien) et décoche même deux têtes (61e et 67e). Récompensé par un but rageur et chanceux sur un tir en déséquilibre, puis par un second qui met en valeur sa vitesse et sa précision. Un match de star.

Ben Arfa : 9,780. On a pu craindre, à son entrée en jeu, que la pression ne lui nuise. Mais avec du culot, il a mis la chance de son côté: son centre est quasiment involontaire sur le but d'Henry, tout comme l'ouverture qui a failli offrir un triplé au Barcelonais (88e)... À l'arrivée, ses provocations auront directement contribué à faire céder la digue lituanienne.



Les observations en vrac

fra_lit3.jpg• Ah, la jolie galipette de Thuram juste après le deuxième but!
• Premiers sifflets à la 72e minute. Ce n'est pas le public du Stade de France qui craint, c'est le public français.
• Ben Arfa oublie de remiser sur Thuram, monté à trente mètres du but côté droit: les jeunes ne connaissent pas leurs classiques.
• La parution de la nécrologie de Raymond Domenech a été repoussée in extremis dans L'Équipe.
• En fait, Christian Jeanpierre est beaucoup moins énervant que Thierry Gilardi.
• Jean-Michel Larqué qui admet être pessimiste, Wenger qui admet piller la L1. La semaine prochaine, Charles Villeneuve admettra qu’il se fout de notre gueule depuis quinze ans?
• On a bien cru en première mi-temps voir Damienius Gregorinicius dans les buts lituaniens.
• Jean-Michel Larqué n'a pas oublié la journée mondiale du refus de la misère: "Ils se jettent comme des morts de faim sur ce ballon arrêté".



Makelele, le nettoyeur

Nous avions souligné le faible nombre de ballons perdus par Claude Makelele face aux Îles Féroé. Trois. Une misère quand on connaît le volume de jeu du milieu de terrain tricolore. La copie de Makelele a été tout aussi impressionnante contre la Lituanie. Véritable tour de contrôle de la maison Bleue, il reçut 93 ballons à la Beaujoire et en intercepta 11 de plus. 104 ballons négociés, en soi, c’est impressionnant. Mais ce sont les 101 ballons donnés par Makelele qui laisseront Modeste M’Bami bouche bée. Un déchet minimaliste que l’on attribuerait volontiers à une prise de risque infime dans les transmissions... Pourtant, Malouda (27), Toulalan (19), Ribéry (18) et Benzema (9) auront été ses partenaires préférentiels. Loin de la remise plat du pied vers les côtés. Le jeu est bel et bien porté vers l’avant. Simplement. Une courroie de transmission sûre et fiable qui ne claque pas au bout de 100.000 kilomètres. Combien de nations possèdent en Europe un élément d'une valeur aussi inestimable?

(source : scanball.com)


Le match de Jean-Michel Larqué

Tout était réuni pour vivre un grand moment de larquéïsme, et l'on n'a pas été déçu. Notre catastrophiste obsessionnel a pu gémir durant les trois quarts du match et se lamenter de voir tant d'occasions (!), avant de connaître une nette décompression. Extraits.

15e minute (Tir de Malouda sur la barre). "C'est un signe".
17e. "Je suis toujours un petit peu inquiet quand je vois..."
40e. "C'est impossible de marquer".
46e. "Vite vite vite vite! Allez!"
52e. "Dans l'attaque de balle, on est battus".
54e. "Allez allez allez, jouez!"
62e. "À droite, à droite, à droite, à droite, à droite! Y a personne à droite! À droite il y a personne!"
63e. "C'est nous qui physiquement sommes en train de flancher un petit peu".
75e. "Que d'occasions! Que d'occasions!"

Après l'ouverture du score puis son doublement, on sent presque du dépit. Le ton devient machinal. On ergote sur une sortie de but en faveur des Français: "Malheureusement elle est sortie car c'était un bon ballon de contre". Un dernier accès de gâche-joie sur le coup franc capté par Landreau ("Je pense qu'elle est à côté"), et l'on peut fermer boutique. Le cours du pessimisme a volé très haut en cours de séance, avant de s'effondrer en clôture.



Le match vu du forum

=>> michelidalgo - 22:26
Les Lituaniens font de plus en plus de fautes, mais assez loin de leurs buts. Alors, il reste peut-être la solution Lionel Beauxis.
=>> nominoe - 22:28
À Nantes, ce serait plutôt Maxime Beauxis.
=>> San-Antonio - 22:28
Il reste aussi la solution de l'envahissement du terrain par les supporters nantais avec trois points sur tapis vert pour les adversaires des jaune et vert.



Remplacer les remplaçants

L’équipe de France était arrivée en Allemagne avec un onze type quasiment immuable, piochant très peu dans le groupe de douze joueurs venus pour jouer les remplaçants. En 2006, le niveau des ceux-ci était en effet trop éloigné de celui des titulaires pour constituer une véritable alternative pour le sélectionneur. Entre prudence et coups de chance, les Bleus n’ont pas eu besoin de recourir au banc lors des matches capitaux. Cependant, il semble indispensable, pour bien figurer à l’Euro 2008, de disposer d’un groupe élargi, de solutions de remplacement crédibles. On n’a pas tout le temps la veine d’entamer une compétition sans blessés, ou de la jouer sans suspendus.

En ce sens, les dernières sorties du groupe de Raymond Domenech sont riches d’enseignements. Si l’on considère qu’il existe un groupe de dix indiscutables (Coupet – Abidal – Gallas – Thuram – Sagnol – Makelele – Vieira – Ribéry – Malouda – Henry), on a vu des joueurs à un niveau suffisamment élevé pour faire rentrer la notion de concurrence dans l’équipe. Sur le côté gauche, Evra et Rothen semblent donner des garanties similaires à celles offertes par le duo d’anciens Lyonnais. En défense centrale, Abidal et Escudé ont montré des qualités que ni Givet, ni Boumsong n’avaient établies avant le Mondial allemand. Au milieu, Toulalan est déjà plus que le successeur annoncé de Makelele. Quant à l’attaque, elle peut durablement s’organiser autour de joueurs qui ont diversement établi leur statut de meneurs offensifs: Ribéry, Nasri et Ben Arfa par ordre décroissant de légitimité actuelle.
Le problème récurrent reste le côté droit. Avec Govou comme seul candidat disponible lors des deux derniers matches et Wiltord qui aura du mal à retrouver la sélection, on doit s’attendre à voir les Bleus pencher à gauche pour longtemps. Heureusement, c’est le seul point commun entre l’équipe de France et le PSG.


Le titre auquel vous avez échappé

"Des Ben à jouir"

Réactions

  • Hyoga le 18/10/2007 à 11h01
    Le_footix
    jeudi 18 octobre 2007 - 10h45
    "En fait, Christian Jeanpierre est beaucoup moins énervant que Thierry Gilardi."

    Ah vous aussi vous avez remarqué ?
    ---

    C'est simplement parce qu'il parle moins.

  • Lucarelli 1 le 18/10/2007 à 11h07
    (je ne supporte plus Gilardi, c'est pas possible de dire autant d'âneries, je crois qu'en vrai il n'aime pas trop le foot)

    Vous avez vu ce joueur lituanien cheveux au carré et bandeau sur la tête ? En jaune et vert en plus, j'ai cru voir Quint version sadique psychopathe.

    Et puis dans l'ensemble, quand même, (ça fait longtemps que je n'ai pas fait de compliment à l'EdF...), c'est franchement bien géré, ces deux matches à la con, dans des circonstances à la con. On a vu les Bleus s'embourber pour moins que ça, chapeau.

  • Tibiño le 18/10/2007 à 11h11
    Attention, cela dit le Christian Jeanpierres pompe quand meme l'air a force. C'est dur de mettre la barre au niveau de Titi Gilardi, mais quand meme, il soule.

    Et soit dit en passant, il a realisé une coupe du monde de rugby en reussissant a bien nous enerver, dans la lignee de celui qui fut son maitre j'ai nommé l'inenarrable Thierry Roland.
    Du genre je te fais des confusions "Nianga" et "Dusautoir", des "ils vont recuperer la touche" sur un simple degagement depuis les 22, les transformations qui "valent 3 points" et j'en passe.

    du high level.

  • ravio le 18/10/2007 à 11h34
    Cela n’a pas été suffisamment souligné, alors, je le fais.
    Hier soir, Raymond Domenech a brillamment, et en une seule décision, remis en cause deux réputations qui lui collent à la peau depuis sa prise de fonction, à savoir, la trop grande frilosité de ses choix tactiques et le manque d’impact décisif de son coaching…

    Je rappelle d’abord les circonstances. Quand l’Equipe de France pénètre sur le terrain hier soir, les Ecossais sont menés de deux buts par les Georgiens, pendant les arrêts de jeu. La situation des bleus, dans le groupe a donc évolué. Au lieu des six point nécessaires et suffisants pour se qualifier à prendre en deux matchs, quatre seulement suffisent. En revanche, une défaite française autoriserait dans un mois, l’Ecosse et l’Italie à se quitter sur un score nul qui les qualifierait conjointement (si l’on considère comme acquis que l’Italie va battre les Iles Féroé à domicile).

    Evidemment, on se dit, avant le match, qu’il vaut mieux prendre trois de ces quatre points contre la Lituanie…
    70 minutes après, on commence à se dire que les Bleus ont tout tenté et que, décidément, ça ne veut pas rentrer. Raymond Domenech va alors prendre une décision que d’aucuns parmi ces pourfendeurs auront jugée surprenante. Il sort Lassana Diarra (arrière latéral) pour faire entrer Hatem Ben Arfa (milieu offensif). Est-ce là la décision d’un entraîneur que l’on qualifie de frileux et d’outrageusement défensif ? Surtout au moment où il semble plus important de se prémunir contre ce coup du sort McFaddenien qui mettrait en grand danger l’avenir de l’Equipe de France que de courir après une victoire rendue de plus en plus hypothétique par les circonstances. Surtout sachant que le point du nul laisserait les Bleus encore totalement maîtres de leur destinée. Sans doute pas… Ou alors Raymond est nul en maths.

    Enfin, la décision de faire entrer Ben Arfa a eu la réussite que l’on connaît puisqu’il est l’auteur de la passe décisive sur le premier but… juste après avoir reçu une belle « remise en place » de la part de Thuram (qui n’est pas sans rappeler la soufflante Desaillienne prodiguée à Robert Pires en finale de l’Euro 2000).

    Louons donc Raymond pour son audace et sa clairvoyance et… Forza Italia !

  • Coldo3895 le 18/10/2007 à 11h53
    Je partage entièrement l'opinion de la rédac'... Christian JeanPierre est largement plus supportable que l'hystérique Gilardi...

    A creuser.

  • Hyoga le 18/10/2007 à 12h42
    ravio: "Raymond Domenech va alors prendre une décision que d’aucuns parmi ces pourfendeurs auront jugée surprenante."

    Figure toi que même parmi ses défenseurs, il y en a que ça a surpris.

    Et je suis tout d'accord avec toi. Voilà voilà. PHVA.

  • Save Our Sport le 18/10/2007 à 13h55
    52e. "Dans l'attaque de balle, on est battus".

    C'était d'autant plus risible que lorsqu'il a dit ça, ce fut juste après un duel aérien entre un Lituanien et ... Makélélé.

    Sinon je tiens à vous rappeler que vous vous laisser endormir par le manque de présence de Jeanpierre qui si elle est une bénédiction, s'avère donc néfaste lorsqu'il repointe le bout de son nez.

    Jeanpierre est zéro, insupportable dans tout son être et ses manifestations.
    Certes Giladrid est gonflant, mais il n'arrivera jamais aux chevilles à poil frisé et espacé de Ch. Jeanpierre.

    Jeanpierre est une plaie bouchée qui se réouvre parfois comme hier soir, mais votre petit pansement de fin de convalescence vous l'a caché.

    Ne vous inquietez pas, l'infirmier SOS est là pour vous rappeler que cette plaie là n'est pas complétement cicatrisée.

  • Björn Björk le 18/10/2007 à 13h56
    SOS, tu lui reproches quoi à CJP ?
    (fais gaffe, t'es à limite de la charte là quand même ;-))

  • Jeanroucas le 18/10/2007 à 14h28
    Enfin, la décision de faire entrer Ben Arfa a eu la réussite que l’on connaît puisqu’il est l’auteur de la passe décisive sur le premier but… juste après avoir reçu une belle « remise en place » de la part de Thuram (qui n’est pas sans rappeler la soufflante Desaillienne prodiguée à Robert Pires en finale de l’Euro 2000).
    --------------

    Merde j'ai dormi ou quoi ? Je l'ai pas vue cette soufflante ! C'était à quel moment du match ?

  • manuFoU le 18/10/2007 à 14h58
    "Ben Arfa [...] est l’auteur de la passe décisive sur le premier but… juste après avoir reçu une belle « remise en place » de la part de Thuram"
    ________

    "Je l'ai pas vue cette soufflante ! C'était à quel moment du match ?"



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