Ne perdez pas de temps à lire ce texte, connectez-vous vite pour commenter les articles des CDF. Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

Citizen Anelka

Fouteur de merde contre tête de mule : l'impossible réintégration d'Anelka par Santini est calibrée pour alimenter la polémique. Mais si cette "affaire" brasse du vent, c'est un vent mauvais pour l'équipe de France…
Auteur : Jamel Attal le 16 Fev 2004

 

"L'affaire" est montée en puissance de manière prévisible au cours des dernières semaines, et elle s'annonce comme le succès des mois à venir. Un seul indicateur: trente pages sur le forum des Cahiers (comptage provisoire) n'ont pas encore épuisé le sujet, et rappellent que l'ancien Parisien a mieux exploité son potentiel polémique que son potentiel sportif. L'ampleur de la couverture de ce non-événement (trois pleines pages en quatre jours dans L'Équipe, un sondage dans Le Parisien, une forte présence dans la presse généraliste…) indique qu'il est pain béni pour la profession. Le débat a donc démarré au rythme du plan média de Nicolas Anelka, qui a subitement mis de côté son aversion naturelle pour les journalistes en multipliant les interviewes (voir la Revue de stress, CdF n°4). Son mobile est explicite, pour une fois: retrouver l'équipe de France dont il s'était claqué la porte avec ses déclarations pour le moins définitives sur la sélection et le sélectionneur. Il faut bien dire que, de relance en relance, sa carrière décousue n'a pas beaucoup avancé ces dernières années — depuis son départ d'Arsenal, en fait — tant Manchester City offre peu de perspectives sportives. L'équipe nationale n'est évidemment pas une porte de sortie, mais pour n'importe quel joueur, elle offre une visibilité qui n'est pas neutre dans la gestion d'une carrière. À la faveur de statistiques flatteuses en Premiership (douze buts, dont quatre sur penalty), Anelka a décidé de faire de nouveau acte de candidature.

Si Anelka peut sourire, peut-être peut-il aussi s'excuser…
Nécessité sportive ou faux problème ? Le contexte se prête à ce come-back, puisque la suspension de Djibril Cissé pour cinq matches, qui prive l'Auxerrois de l'Euro, a été confirmée en appel par l'UEFA. L'ultime recours de la FFF devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) laisse à Santini un délai avant de considérer l'option Cissé comme définitivement exclue, mais ses faibles chances d'aboutir mettent d'ores et déjà le débat sur le terrain de son "remplacement". Dès lors, Anelka, qui peut faire valoir ses vingt-huit capes et qui compte quelques partisans au sein du groupe, peut apparaître comme une solution naturelle. Pourtant, ce recours ne semble pas réellement indispensable, et le débat pas totalement d'actualité. Derrière la doublette Henry-Trezeguet, on ne parle ici que d'options supplémentaires aux postes d'attaquants de pointe. Déjà, Wiltord, Giuly Marlet ou Govou peuvent évoluer dans cette position (avec plus ou moins de crédibilité et d'expérience en sélection), en présentant l'avantage d'une polyvalence qui n'est pas sans importance dans une phase finale. Ensuite, le football français peut toujours compter sur sa grosse production de jeunes attaquants de valeur. Ainsi, malgré le choix de Kanoute de servir le Mali, Jacques Santini peut se tourner vers au moins deux nouvelles solutions crédibles, domestique (Luyindula), ou extérieure (Saha). En appelant ces deux joueurs dans le groupe chargé d'affronter la Belgique, Santini sait qu'il se donne les moyens d'élargir l'éventail de ses choix, mais aussi d'amoindrir la polémique en cas de réussite de cette bleusaille. Si près du Championnat d'Europe, le temps de jeu enregistré sera un critère qui amoindrira encore les chances du Mancunien. Manifestement, seule l'indisponibilité, en juin, de l'un des deux titulaires en attaque pourrait donner à la controverse une légitimité qu'elle est loin d'avoir aujourd'hui. Et en définitive, dans cette histoire, c'est l'absence de Cissé qui est dramatique, pas celle d'Anelka… Le sélectionneur, imbécile par nature Inévitablement, tous les détracteurs de Santini, qu'ils soient du milieu ou fassent partie des soixante millions de sélectionneurs amateurs, trouvent là l'opportunité de faire de la non-sélection d'Anelka un élément à charge de son procès. C'est d'autant plus vrai que l'affaire touche directement un des traits de caractère les plus manifestes de l'ex-Stéphanois: la ténacité de ses rancunes. Il est alors facile de conclure que s'il persiste dans son refus, c'est parce qu'il s'entête absurdement et, en substance, qu'il ne sait pas communiquer et que son intelligence est limitée… On retrouve les ingrédients d'une comédie bien française, puisque Santini prolonge une extraordinaire lignée de sélectionneurs entretenant des rapports difficiles avec les médias, et dont les capacités d'expression limitées (Jacquet) ou trop ésotériques (Lemerre) alimentent les accusations d'incompétence — selon le précepte qu'une personne à l'élocution pénible est forcément inapte à ce poste. Des salles de rédaction aux comptoirs des cafés, en passant par les forums Internet, on ne compte plus les stigmatisations dont Santini est l'objet… L'ironie est qu'à ce jeu, Anelka va trouver des alliés de circonstance qui vont subitement faire abstraction de l'antipathie qu'il leur inspire habituellement. Des intentions claires, une démarche trouble Pourtant, il est bien difficile de trouver une consistance aux critiques adressées à Santini sur ce dossier, et l'inversion de la perspective opérée ici ou là est assez frappante: à en lire les commentaires de la liste pour Belgique-France, c'est Santini qui "écarte" Anelka en ne le sélectionnant pas et qui est sommé de s'expliquer sur ce choix… Étant donnée la virulence (maîtrisée ou non) des propos du joueur au moment de son clash, étant donnée aussi la méthode (convocation de journalistes dans l'hôtel d'un aéroport parisien), il lui est aujourd'hui interdit de faire abstraction de ce geste et de ne pas agir en proportion de celui-ci… C'est là que le bât blesse : chez Anelka, les intentions comme la manière sont une nouvelle fois sujettes à caution. Contrairement à ce qu'il affirmait imprudemment en août dernier, il a manifestement plus besoin de l'équipe de France que l'inverse. Il n'exprime toutefois aucun regret vis-à-vis de ses déclarations, et en prenant l'opinion à témoin au lieu de prendre l'initiative d'une rencontre avec Santini, en refusant à l'inverse de formuler des excuses publiques (alors que son temps d'antenne lui en a largement donné l'occasion), sa démarche peut apparaître comme une façon de faire céder le sélectionneur en exerçant sur lui une pression indirecte. Là encore, l'énigme permanente posée par Anelka ne permet pas de trancher entre la malveillance et la maladresse… Quoi qu'il en soit, il peut toujours postuler au statut de joueur le plus mal conseillé au monde. Ingérences Si le battage médiatique n'a rien de surprenant, on peut en revanche être plus circonspect devant les prises de position de Frédéric Thiriez et Claude Simonet qui, sous couvert de privilégier la conciliation, mais sans attendre que Santini s'exprime, ont fait directement ingérence dans les affaires du sélectionneur — confirmant au passage les manœuvres antérieures, au sein des instances et de l'entourage des Bleus, pour rapprocher les points de vue. Rien de mal à ça, à condition de mettre le sélectionneur au centre de la démarche. Or, si nos dirigeants avaient voulu l'isoler ou éroder son pouvoir, ils ne s'y seraient pas pris autrement. Malgré son volume imposant, Claude Simonet a des facultés de girouette assez remarquables si l'on se souvient que la Fédération avait (vainement) cherché à faire sanctionner Anelka par la FIFA à la suite de son refus de la sélection en novembre 2002… La réaction de Santini, sous la forme d'un communiqué à reproduire in extenso (1), est en tout cas assez significative de son appréciation de ces initiatives. Ces interventions malvenues sont certainement, pour partie, la résultante de la perte d'autonomie du poste de sélectionneur consécutive à l'échec du Mondial 2002. On se souvient en effet que la nomination du successeur de Lemerre avait été l'occasion d'un affaiblissement de la DTN, et qu'elle avait résulté de tractations auxquels le football professionnel avait pris une part importante (tout le monde avait donné son avis, présidents de certains clubs compris)… On a aujourd'hui une illustration des possibles effets pervers de cette mise sous tutelle implicite. La discorde pour le pendre Car le risque le plus grand est de voir sa crédibilité entamée, non pas tant auprès des médias ou de l'opinion, qu'aux yeux de son propre groupe. Le problème est en effet aggravé par le fait que certains internationaux ne font pas mystère de leur soutien à l'ex-Gunner — un soutien que Patrick Vieira a même formulé en qualifiant de "gâchis" l'éventualité que son ancien coéquipier ne participe pas à l'Euro. L'enjeu se situe bien là, car les victoires de l'équipe de France, depuis l'arrivée de Jacquet, se sont construites sur un état d'esprit irréprochable et sur l'autorité interne du sélectionneur. Jacquet avait justement établi cette dernière en faisant le choix, plutôt impopulaire, d'écarter Ginola, Cantona puis Papin (à une époque où les solutions en attaque étaient pourtant bien plus rares qu'actuellement), avec l'accord tacite de ses joueurs. Si un tel consensus manque à Santini, c'est tout l'équilibre de l'effectif bleu qui risque d'être remis en cause. C'est le moment de se souvenir des "menaces" d'Emmanuel Petit, qui pronostiquait, au moment de son propre renoncement à l'équipe de France, que le sélectionneur serait incapable de préserver la vie interne du groupe lors du tournoi final, clé de la réussite selon lui… Le milieu de Chelsea a-t-il émis cet avertissement en toute connaissance des personnalités qui le composent et des rapports de force en son sein? Le problème est que, même en admettant l'intérêt de l'équipe de France à réintégrer Anelka, même si Santini peut théoriquement y trouver l'occasion de se montrer à son avantage en prouvant sa magnanimité, même si ce choix peut (éventuellement) se révéler au final moins dangereux qu'une mise à l'écart définitive qui nuira à ses rapports avec les internationaux, le Mancunien ne lui laisse pas d'autre option que de donner l'impression qu'il plie devant les pressions... Bref, en l'état des choses, bien peu d'éléments justifient le retour du fils prodigue. Et tous ceux qui voient en Anelka un perturbateur égocentrique ont beau jeu de souligner que même absent, il sème la zizanie avec une requête qu'il a auparavant lui-même rendue illégitime… (1) "En 18 mois, l'investissement de tous, dirigeants, joueurs, staff, dans un esprit de solidarité sans faille, a permis à l'Equipe de France de redresser la tête, de conquérir la Coupe des Confédérations et de se qualifier brillamment pour l'Euro 2004 avec le soutien et la confiance retrouvés de nos supporters. Aujourd'hui, ce patient travail est mis à mal par un débat démesuré et douteux autour du cas personnel d'un joueur qui, après avoir rejeté l'équipe de France et, surtout, bafoué l'institution, entend orchestrer les conditions d'un éventuel retour. D'ores et déjà, le groupe France, pris dans la tourmente d'opinions contradictoires dont certaines peuvent surprendre, venant de son sein même, se trouve fragilisé alors que se présente un rendez-vous excitant et capital : l'Euro 2004. Je le regrette et le déplore. Pour ma part, fidèle à des principes que, heureusement, beaucoup partagent, je redis que Nicolas Anelka n'est pas sélectionnable... pour Belgique-France".

Réactions

  • kalle le 16/02/2004 à 17h05
    Partout où Anelka est passé il a foutu son souk et sportivement il n'est pas aussi fort qu'il voudrait bien le faire croire.
    Donc je suis bien aise qu'il se soit fait renvoyer dans ses buts...
    Ce mec est un abruti et maintenant il devient une nuisance, c'est bien il évolue ...

  • Jack MalFaizant le 16/02/2004 à 18h13
    Le Plan, j'entends ce que tu dis, où plutôt, je lis d'ailleurs, en fait je ne réponds ça que sur la supériorité supposée que tu donnais à Anelka par rapport à Saha ou Luyindula... pour moi, ces 3 joueurs ont en commun d'être dans une de leur meilleur saison. Même si tu n'aimes pas Saha, tu ne peux que le reconnaître... c'est simplement logique qu'un sélectionneur préfère tester ces 2 joueurs qui n'ont jamais encore été au niveau qu'ils vivent cette année plutôt qu'Anelka qui préfère une camagne de presse à un coup de fil pour revenir en sélection...

    Quant à la remarque de Nono "Et Santini entre Micoud, Petit ou Dorashoo, il commence pas à accumuler suffisamment pour qu'on se pose des questions sur ses méthodes de management", je dirais juste bof. Sur cette saison uniquement, à part peut-être Micoud, il n'y aurait que peu de raison sportive pour sélectionner deux autres joueurs qui sont loin d'être titulaires indiscutables. Attention, je ne dis pas que Dhorasso manque de talent, simplement que, dans le contexte lyonnais actuel, il n'a guère les moyens de briller, et n'est donc pas un postulant sérieux à l'EdF qu'elle soit entraîné par Santini ou Durand, peu importe. Idem, pour Petit, c'est tristement maladroitement que sa carrière internationale s'est achevé. Mais aujourd'hui, il n'y a rien d'étonnant à son absence en EdF... logique qu'un sélectionneur qui a une paire Viera / Makélélé préfère faire rentrer Pédretti dans le groupe, non ?

  • boblastar le 16/02/2004 à 18h25
    D'accord avec kalle, Anelka est un abruti.
    Même si Santini n'est pas forcément le meilleur entraineur du monde (quoique on jugera à l'aune de ses résultats, pour le moment rien à redire), quel intérêt de convoquer un fouteur de m.... qui demande au sélectionneur de "s'agenouiller" ! On croit rêver...
    Et honnêtement, depuis ses 2 buts à Wembley (que d'autres auraient pu mettre), il a "brillé" à Madrid et Paris (notamment dans sa gestion des rapoorts humains) et aujourd'hui il "plante" (12 buts dont...4 pénos, les défenses anglaises étant bien connues pour être le plus hremétiques du monde) à Manchester City (grand club européen devant l'éternel).
    En définitive, il a foutu le souk partout, et il n'a convaincu ni en France ni en Espagne (même si on peut retenir ses 2 buts en 1/2 finale de la C1).
    Bref, un bon attaquant peut-être mais pas exceptionnel, surcoté et humainement plus que controversé. On peut largement s'en passer (Luyindula, Saha, Frau,...).
    Nicolas, on n'a pas besoin de toi et de ton arrogance !!!

  • NoNo93 le 16/02/2004 à 18h30
    Piem, y'a pas de problème sportivement on est d'accord, les choix de Santini sont tout à fait explicables voir logiques et j'ai bien dit dans mon post que je militais même pas pour un retour d'Anelka, et j'ajoute même que son coup du "il peut s'agenouiller" (que je prend plus pour une figure du style que du premier degré) faut pas non plus qu'il s'étonne d'en payer les conséquences...
    Seulement dans les trois cas que je citais, les joueurs se sont plaint de la méthode de Santini, qu'il ait des raisons de pas les prendre c'est une chose, qu'il s'embrouille avec tous ceux qu'il fout à la porte s'en est une autre (et qui hypothèque ses options à l'avenir me semble, Micoud par ex me semble loin du "gros melon" style mais si ZZ se blesse avant l'Euro on risque de le rappeler à contre coeur ce qui sera pas forcément terrible, même chose avec Anelka là qui aurait pu être une solution de rechange)
    Bref la phrase que j'ai cité semble ne faire porter le tort initial qu'à Anelka, je fais juste remarquer que c'est pas si ûr, et encore une fois on parle sur le plan management du groupe pas sportivement à la limite...

  • Moser le 16/02/2004 à 18h34
    J'ai l'impression que Santini est revenu à la méthode Jacquet, celle qui a fait ses preuves en terme de résultats. On fonde un groupe de départ avec un noyau d'intouchables et qui se plieront à la discipline et aux idées du coach. Ceratins sont d'entrée écartés parce que susceptibles de faire dérailler la mécanique. J'y vois un retour aux sources du groupe uni et le doigt sur la couture après le fiasco de 2002.
    On peut observer la même chose à Monaco avec la deshe.
    Anelka en fait les frais au même titre que Cantona et Ginola avec Jacquet.
    Rappelons nous de Canto traitant Henri Michel de "sac à merde" et de dire qu'il faudrait qu'il le supplie pour le faire revenir. Cela n'a pas empêcher Canto de revenir avec Platoche.
    je pense donc que tant que Santini sera sélectionneur et à moins qu'Anelka s'excuse publiquement, on ne le verra plus en bleu.
    Cela n'enlève en rien au ridicule de sa campagne de presse, n'est pas Cantona qui veux et malgré son talent de finisseur je pense que ce n'est pas un cadeau pour une équipe qui joue au plus haut niveau.

  • Le Plan le 16/02/2004 à 18h41
    Boblastar,

    Sans doute oublie tu volontairement sa LDC avec le PSG, ou il a tout casse. Je me souviens notamment du match a San Siro ou Anelka surclasse la defense du Milan AC.

    C'est simple, et je ne comprends meme pas comment vous pouvez ne pas le voir: entre Anelka et Saha, Gouvou ou Lyundila, il y a une difference de niveau identique a celle entre Thuram et Cygan.

  • SebMan le 16/02/2004 à 21h30
    Nicolas Anelka ne cesse de repeter dans son matraquage médiatique aussi maladroit que ridicule: "Je suis simple, je joue au foot c'est tout". Ben, c'est tout ce qu'on te demande, mon pote: joue au foot et ferma la. Et si t'es si simple, commence par présenter tes excuses , à moins que tu entendes par là simple d'esprit et ainsi tout devient plus clair. Tu as snobé le Réal qui croyait en toi (peut etre qu"avec un minimum d'humilité tu y serai encore), tu as méprisé" le PSG qui s'est endetté pour te faire revenir, tout çà pour finir avec un niveau à peine plus élevé que la moyenne dans une équipe au jeu franchement pas terrible. Et il faudrait qu'on te demande pardon, pour que tu veuilles bien revenir chez les bleus!!! Ben mon gars, heureusement que tu es simple. Allez, Nico, sans rancune, mais essaie dejà d'etre un peu correct dans ce que tu fais et dit et on en reparlera dans quelques années (si tu ne joues pas dans un club de 2ème division turque et si santini n'est plus selectionneur).

  • bcolo le 16/02/2004 à 21h56
    Bon papier de fond, qui éclaire bien les enjeux et les conflits de pouvoir. L'affaire Anelka n'est pas la première du genre, ni probablement la dernière, mais sur ce point je trouve l'attitude du sélectionneur tout à fait justifiée. Et en effet, les Bleus n'ont pas besoin d'Anelka. Ni, mais c'est une autre histoire, de Marcel Desailly...

  • suppdebastille le 16/02/2004 à 22h07
    Mais apparemment pour Desailly qui se prépare dans son canapé , il n'y a pas de débat, il sera prêt pour l'Euro , c 'est lui qui le dit;-))

  • Moser le 16/02/2004 à 22h17
    Le Plan > Et alors ? un joueur ne fait pas une équipe !

La revue des Cahiers du football