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La Gazette > 30e journée

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 26 Mars 2008

 

Les résultats de la journée

Caen-Monaco : 4-1
Lyon-Paris SG : 4-2
Valenciennes-Bordeaux : 3-1
Rennes-Lens : 3-1
Nancy-Metz : 2-1
Toulouse-Le Mans : 1-1
Strasbourg-Lille : 0-1
Marseille-Sochaux : 0-1
Nice-Lorient : 1-2
Auxerre-Saint-Étienne : 1-3



Les gestes décisifs de la journée

• Le lob de trente-cinq mètres réussi par N’Daw au Vélodrome, et celui réussi par Jérôme Leroy de beaucoup plus près, mais qui obtient la meilleure note artistique.
• Le pétard expédié par Jemaa, depuis la gauche, dans la lucarne de Roma, et celui de Roudet, encore plus excentré, dans celle de Ramé au terme d’un beau redoublement avec Rippert. Avec les compliments et le soutien indéfectible de Roma et Ramé.
• Le concours de Romario remporté à égalité par Baki Koné qui fait rouler tout doucement le ballon au fond des filets, entraînant cruellement un dernier défenseur avec lui, et Vahirua, version demi-volée fouettée de l’extérieur du pied.
• L’ouverture tendue de Bodmer qui perfore sept Parisiens avant de se poser comme une fleur sur la poitrine de Fred.
• La beach-volée en ciseau latéral de Savidan qui a dû tomber sur un coffret DVD des plus beaux buts de Marco Van Basten.



Les 5 gestes gratuits de la journée

• Le lob tenté des quarante-cinq mètres "en coin" par Néné, qui envoie Planté au fond des filets après une claquette de désespéré. Difficile de dire si Coupet l’aurait bloquée avec une seule ou les deux mains.
• La combinaison corner tendu d’Obraniak au second poteau, volée papinesque de Cabaye aux vingt-cinq mètres qui nécessite la super loupe pour suivre sa trajectoire filer juste au-dessus de la barre.
• Le piqué de Baki Koné coupé in extremis par Jallet tel un Christian Lopez du Morbihan.
• La frappe en pivot aussi soudaine que violente expédiée par Erding dans la lucarne de Mandanda, qui claque en corner uniquement pour se venger du lob de N’Daw.
• L’aile de pigeon retournée en suspension de Savidan qui a dû tomber sur une vieille VHS de Youri Djorkaeff.


Les 3 antigestes de la journée

• La Djibril Cissé de Djibril Cissé aux six mètres, plein axe.
• La passe décisive réussie par la main de Zerka, comme si Metz n’en avait pas assez gros sur la patate, comme si Nancy était porté par une force surnaturelle.
• Le centre dans son dos réussi de volée par Belhadj pour Pagis, qui claque une tête plongeante, seul au deuxième poteau.


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"Oui, je sais, c'est idiot de pleurer pour ça. Mais c'est pas vous qui la portez, la casquette SMS pour apprendre à lire à Olivier Rouyer".


La bannette

La transgression par l’humour façon France 2
Thierry Adam (France 2 Foot) : "J’ose vous dire ‘Bienvenue chez les Chtis’, ou presque, on est à Valenciennes".

Le coup franc au cul
Yvon Pouliquen (L'Équipe) : "Il y a ce deuxième coup de pied arrêté qui nous fait très mal".

Le spécialiste de temps en temps
Olivier Rouyer (Les Spécialistes) : "Vous savez que vous avez quand même de drôles d’analyses vous les arbitres, des fois, de temps en temps".

Le conjugueur.com
Flavio Roma (RMC) : "Je suis inquiet, on est inquiet, j'espère que tout le monde est inquiet".

Le Bernard Mendy fact en nage libre
L'Équipe (L'Équipe) : "Bernard, c’est Popov en plus puissant..."

La tortue Ninja
Francis Gillot (RMC): "C’est le scénario idéal, marquer d’entrée de jeu puis faire le dos rond". Une pratique importée du RC Lens: au Nord, c’était les dos ronds.

Le joueur qui vise mieux que Réveillère
Sébastien Roudet (lfp.fr) : "On a vraiment pris notre pied".

Le détour par le bureau des objets trouvés de la gare de Monte-Carlo
Franck Dumas (L'Équipe) : "On a retrouvé quelque chose qui ressemblait à une équipe".

Le string à l’envers
Rudi Garcia (tfc.info) : "Le championnat se resserre vers le haut".

La mise au point qui change tout
Denis Balbir (France 2 Foot) : "Lille n’a plus gagné à Strasbourg depuis le 28 septembre 96 (…) Rectification: Strasbourg n’a plus gagné devant Lille depuis le 28 septembre 96, c’était pas le contraire".

L'E.T. de Tahiti
Marama Vahirua (ogcnice.com) : "Il faut que je revienne à la maison pour retrouver l'efficacité".

Les remords un peu tardifs
Olivier Rouyer (L'Équipe) : "C'est pas bien ce qu'on fait, il faut pas qu'on tue les arbitres comme ça".

Le joueur Low Cost
Mathieu Chalmé (L'Équipe) : "Il y a des soirs comme ça où les joueurs en face sont des avions et toi tu n’avances pas".

La paille, la poutre, l'hôpital et la charité
Olivier Rouyer (Les Spécialistes) : "Vous savez que vous avez quand même de drôles d’analyses vous les arbitres, des fois, de temps en temps".

La promo aquatique
Alexandre Ruiz (Jour de foot) : "Je vous le conseille, "A partir de là…", petit bouquin qui est entre mes mains, de nos confrères du magazine satirique Les Cahiers du football. Ça propose un décryptage des expressions incontournables du football. L’exemple, c’est celle qui est chère à Antoine Kombouaré: «être mort dauphin»".

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"Euh... alors on prend les questions les unes après les autres sans se poser de match... non c'est pas ça... attend... euh... le vît se groupe bien... non plus... En tout cas, ce que je sais, c'est que le point 3, c'est le plus important".


Le top "Accroche-toi au pinceau"

1. Jean Fernandez (lfp.fr) : "On a essayé de tenir tant bien que mal le plus longtemps possible".
2. Franck Dumas (Ouest France): "Dans ce genre de période, on s'accroche à ce qu'on peut".
3. Adil Rami (losc.fr) : "Mais quand on ne lâche pas, ça paye et on l’a encore vu ce soir".
4. Élie Baup (tfc.info) : "Il reste huit matches et jusqu'au bout on ne lâchera rien".



Le top "spams"

Enlarge your penis
Loïc Perrin (asse.fr) : "Nous voulions vite atteindre la barre des 40 points".

Increase your stamina
Franck Dumas (Ouest France): "On va essayer de tirer tout le positif de ce match pour continuer de la même manière".

Get Viagra now
Laurent Blanc (lfp.fr): "Dans l'attaque du ballon, dans la mentalité, Valenciennes avait des ailes".

Hot girls want you
Stéphane Cassard (rctrasbourg.fr): "Notre entame a été poussive. Ensuite, nous avons mis beaucoup d'engagement et fourni beaucoup d'efforts".



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Avec son dos rond et le vent qui lui souffle entre les oreilles, il faut avouer que Patrick Montel imite super bien le Vélodrome.



Pizza quatre saisons

Pour la quatrième saison du classement en relief, qui correspond à la période d'hégémonie de l'OL, une petite expérience comparative s'imposait: où en était-on, lors des trois saisons précédentes, au soir de la 30e journée? Pour le savoir, il suffisait d'aligner les tableaux...

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Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Ce qui frappe de prime abord, c'est la régularité de l'OL à ce stade de la compétition, nanti d'entre 62 et 65 points. On voit au passage que les Lyonnais ont gagné de plus en plus de matches (17, 19, 20 et 20) tout en enregistrant plus de défaites (2, 2, 4 et 6).
On s'amuse aussi de constater qu'il y a deux ans, Bordeaux était second en comptant le même retard sur Lyon: 9 points, comme en 2005 d'ailleurs, mais sur l'OM. L'an passé, l'écart sur Lens était astronomique (16)

C'est le record de distance entre le premier et le dernier qui est atteint cette année, avec 46 unités qui séparent Lyon de Metz. En 2006, Ajaccio avait produit un effort comparable aux Lorrains de cette saison. Inversement, l'accordéon s'était compressé en 2006/2007 avec 36 points entre le leader et le FC Nantes.

Mais ce qui va crescendo, c'est la densification du ventre mou. Cette saison, 8 équipes se tiennent en 5 points, et surtout, 14 marches seulement séparent le premier "européen" (Marseille) du premier relégable (Paris). Au-dessus, 18 unités creusent un gouffre entre le premier et le quatrième.



"Bien joué"

En dépit d’évolutions technologiques parfois ébouriffantes, les professionnels de la télévision n’ont toujours pas trouvé le moyen de se prévenir des boulettes et autres dérapages liés aux fameux aléas du direct. Parmi eux, une figure incontournable: le mouvement d’humeur qui fait subitement passer le gentil présentateur affable et enthousiaste pour un mauvais coucheur dénué d’indulgence envers ses collègues. Cette fois, c’est Thierry David, jusque-là essentiellement identifié sur Canal+ comme un faux jumeau de Jules-Édouard Moustic, qui s’est fait attraper par la patrouille.



Remise à niveau

Quand survient une journée à plus de trente buts remplie de gestes de classe internationale, où se cachent les pourfendeurs de la Ligue 1? Malheureusement, les jugements définitifs observent juste une parenthèse dans leur démonstration de la nullité du niveau intrinsèque du championnat, et les arguments atteindront vite, de nouveau, une vacuité aussi creusée que les cernes de Xavier Gravelaine. On a par exemple entendu un expert-blogueur affirmer sans sourciller que la défaite de l’OM face à Carquefou était révélatrice du pauvre niveau de la L1…
On peut, peut-être plus utilement, avancer l'hypothèse que le fait que de plus en plus d’équipes se savent définitivement maintenues en L1 aide à voir certains joueurs se lâcher. À l’image de Valenciennes, de Rennes ou Lorient. Il reste sûrement de très beaux matches à voir cette saison.



La minute de silence de Juninho

José Touré : "Et le vestiaire, il est pas comme avant mais est-ce qu’il reste enthousiaste?"
Juninho : "Ça peut être meilleur, ça peut être meilleur un peu mais y a pas de problème. Y a pas de problème entre nous…"
José Touré : "Meilleur pourquoi?"
Juninho : "Je dirais avec un peu plus de joie".
José Touré : "C’est ta faute Juni!"
Juninho : "La mienne?" (rires)
José Touré : "Oui. Parce que voilà, là tu as le sourire. Mais si t’arrives au vestiaire et que t’as pas le sourire? Tu imagines le soleil sans sourire? C’est pas pareil!"
Juninho : ...

(C José, diffusé sur Canal+ à la mi-temps de Nancy-Metz)


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"Et là Valérie Damidot me dit: ‘Ah si, le simili cuir rouge sur le simili cuir noir, c'est très tendance à Lyon".


La motivation du footballeur

Le TFC est en danger. Pour se sortir de cette mauvaise passe, on entend parler d’une nouvelle habitude prise par les Toulousains: la motivation "très rugby" certainement induite par l’histoire sportive de la ville, davantage marquée par l’ovalie que par le ballon rond. Ainsi Xavier Giraudon entrevoit-il samedi soir une motivation "très rugby" dans les tapes d’encouragements échangées par Olivier Sadran et ses joueurs avant l’entrée sur la pelouse, puis dans le regroupement des joueurs sur la pelouse avant le coup d’envoi de la deuxième mi-temps.
On est loin des corps à corps fougueux appréciés par les packs d’avants des années soixante-dix, et des arcades explosées sur le partenaire idéal des séances de motivation: l’indispensable radiateur en fonte. De fait, on ne voit pas franchement en quoi l’attitude collective des violets est particulièrement "rugby". Tout juste pose t-elle la question de savoir à quoi ressemblerait une motivation très "football":

A. Les joueurs se regroupent, font une grande ronde, puis chacun fait claquer son serre-tête sur son front à tour de rôle.
B. Par paires, les joueurs sautent face à face en se heurtant au niveau du torse, puis s'écroulent en se tenant la cheville.
C. Réunis face à leurs adversaire, les équipiers entament une danse guerrière accompagnée d'un chant en vieux breton qu'on peut traduire ainsi: "Je suis mieux payé que toi, j'ai déjà négocié ma prolongation de contrat, t'as l'air con avec ta vieille Testarossa, j'en aurai plein l'an prochain quand je serai à l'AS Roma".


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"... et à ce moment-là, l'hôtesse de l'air se retourne vers le Belge et lui dit: "C'est pas une brosse à dents, c'est un peigne!"
> Cette lucarne inédite et drolatique  est issue du Diaporama des lecteurs. À consulter, et à alimenter!



Les observations en vrac

• Plutôt que la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, ce sont les conférences de presse de Frédéric Antonetti que les journalistes devraient boycotter.
• Week-end après week-end, le débat sur l’euthanasie est relancé par le TéFéCé, mais les politiques n’en ont cure.
• Lens-PSG en finale, Cali en guest star, la LFP voudrait réhabiliter la Ligue 1 en sabordant la Coupe Machin qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
• On veut bien que Ricardo soit classé dans les entraîneurs défensifs, mais après en avoir pris quatre en une mi-temps à D’Ornano, on va avoir besoin de preuves tangibles.
• Si quelqu’un a des nouvelles de Samir Nasri, qu’il contacte d’urgence la cellule usurpation d’identité de l’Olympique de Marseille.
• Et si Strasbourg se laissait doucement glisser au classement uniquement pour sauver le PSG?
• Le but de Jérôme Leroy aurait-il été aussi unanimement salué s’il l’avait marqué à Mickaël Landreau?
• Tiens, pourquoi personne n’a rappelé à quel point Mandanda était exceptionnel ce week-end?
• Le rédac chef des Spécialistes ose faire venir Raynald Denoueix en privilégiant les sempiternelles polémiques d’arbitrage dans son sommaire. Seul Thierry Rolland, qui a croisé les dieux du football un soir de rupture d’anévrisme, sait que l’impie n’ira jamais au paradis.



L’équipe pauvre type

Encore plus usée jusqu’à la corde que celle de la bite qui poursuit un cul, la blague de Landreau "plus mauvais gardien de L1" fait encore rire quelques personnes dans un bâtiment moche à Issy-les-Moulineaux. On a beau chercher, on ne se souvient pas d’une telle campagne de dénigrement sur un joueur conjointement orchestrée par le quotidien et l’hebdomadaire.

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Le reste de l’équipe tourne autour des joueurs bordelais et strasbourgeois, auxquels s'adjoignent deux Auxerrois. Lorsque les mécomptes seront faits en fin de saison, Alvaro Santos devrait être un titulaire indiscutable en tête de l’attaque.

Rappel : l'équipe pauvre type est composée en agrégeant les notes de L'Équipe et les étoiles de France Football. Cet exercice ne cautionne pas la notation des joueurs par des journalistes omniscients]


L’envers du championnat
À Marseille, Sochaux continue son parcours catastrophique à l’extérieur, le tout en forçant le respect des observateurs en hissant leur niveau de jeu au niveau CFA2 après avoir couru toute la soirée après un score défavorable. Après ce nouveau bon résultat, Lorik Cana, recouvre l’ambition qu’on croyait éteinte après un bon début de saison marseillais: "Si on continue comme ça, on peut terminer dans les trois premiers".

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Illustration n°1: comment se faire écraser dans le championnat à l'envers.

Certainement une façon de répondre au coup de rein décisif de ses anciens coéquipiers de la capitale, qui réalisent la meilleure opération de la journée face à la lanterne rouge du championnat. D’autant que Caen, qui revenait en trombe, craque lors de la deuxième mi-temps contre les terreurs monégasques, brillant nouveau leader du classement 2008. À l'approche du sprint final, Parisiens et Monégasques osent enfin afficher leurs ambitions, les joueurs du Rocher éliminant ainsi un concurrent direct. Mais rien n’est gagné pour Paris: Strasbourg rôde et les Alsaciens ont une expérience décisive à ce niveau de la compétition.

Réactions

  • Tapas Tef y Graf le 26/03/2008 à 06h01
    Pas tres consistant comme gazette, mais vraiment tres drole!
    La minute pathologique de Toure est vraiment enorme.

  • Dr_Evil_Hodzic le 26/03/2008 à 08h19
    Encore Landreau ?... Rassurez moi, c'est une blague?
    Parce que dans mes souvenirs, je vois Ramé se foutre un but tout seul comme un grand et Mandanda se faire lober de 40m.

  • Qui me crame ce troll? le 26/03/2008 à 08h29
    Et je crois qu'on peut reprocher une sortie hasardeuse de Landreau et c'est à peu près tout.
    Très intéressant ce quadruple classement en relief. On voit d'ailleurs que l'avant-dernier relégable d'une saison est descendu en L2 l'année d'après. Tremble, Paris, tremble!

  • ni.com le 26/03/2008 à 09h43

    Toujours aussi agréable, la gazette du matin...

    Ca m'avait frappé aussi cette histoire de "motivation rugby" dans les vestiaires toulousains (Sadran tape dans la main de ses joueurs) et à la mi temps (les joueurs se regroupent en cercle).

    Pour une fois que je regardais à nouveau JDF, ça m'a calmé

  • Alexis le 26/03/2008 à 10h10
    Il est bon que vous souligniez la présence de Denoueix sur le plateau des Spécialistes quand ceux-ci passent les trois/quart de leur temps d'antenne à tatilloner sur des questions d'arbitrage (et ce temps de discussions arbitrales augmente de semaine en semaine, alors qu'il y a encore deux mois, certaines discussions étaient très intéressantes et développées et seules les dernières minutes de l'émission décrédibilisaient le programme. Aujourd'hui, il cherche sa crédibilit&é dès la première minute d'antenne mais ne la trouve plus du tout).

    Ce qui me fait d'autant plus mal au coeur que ces ignards ont réussi à lui brûler la cervelle. Résultat : la quasi-unique intervention de Denoueix est pour faire remarquer que Lyon bénéficie de deux décisions favorables face à Bordeaux et Paris qui auraient pu les mettre dans une situation plus compliquée aujourd'hui si elles avaient été contraire.

    Bref, je propose que les spécialistes soient dorénavant Guy Roux accompagné de Aulas, G. Lacombe et Antonetti. Ça suffirait amplement au développement de leurs discussions.

  • funkoverload le 26/03/2008 à 11h11
    Moi je la trouve très bonne cette gazette.
    Y a de tout. Du rire, des larmes, de l'émotion, et aussi une fois n'est pas coutume, de la peur, avec cette terrible pizza 4 saisons.
    Bien content aussi, que le talent d'Obertan soit enfin reconnu au plus haut niveau de la sale type.

  • Bennis Der Crampes le 26/03/2008 à 12h31
    La lucarne sur Gael Givet est énorme. J'adore.

  • WaGNe4 le 26/03/2008 à 12h49
    C'est en lisant la partie sur le soi-disant niveau de la L1 qu'on s'imagine de ce que seraient les retombées médiatiques sur notre championnat si le PSG descendait...
    Je vois déja la cellule de crise des spécialistes se réunir sur un fond musical de série B et nous sortir que "si des équipes comme Caen et VA peuvent se sauver et que le PSG descend c'est que notre championnat ne vaut vraiment rien.." J'en salive d'avance !
    Une super gazette, tout autant que la lucarne sur Givet.

  • ouais.super le 26/03/2008 à 15h57
    Pareil qu'Alexis sur les Spécialistes. Autant les premiers mois étaient agréables, avec de vraies analyses tactiques et des commentaires intéressants des intervenants, autant depuis quelques semaines, ça vire à "l'arbitre-bashing" permanent et à la question du jour sauce France 2 Foot (Paris peut-il se sauver ? Lyon est-il déjà champion ?).

    Dugarry, notamment, me déçoit, alors qu'il était franchement bon au début. Désormais il se contente de prendre des airs outrés devant les différentes décisions arbitrales disséquées par le tribunal.
    Rouyer fait du Rouyer.

    Dommage...

  • antigone le 26/03/2008 à 16h52
    Moi c'est le Linette qui me déçoit. C'est bien lui qui était sensé impulser une impulsion avec du culture foot dedans, nan ?

    Maintenant, pour un moment vraiment agréable (je me souviens notamment de toute une phase de jeu muciste analysée par Rudy Garcia, 100% tactique inside), faut se fader 134 vanapagas (pure jalousie : je fais les mêmes, mais gratos) et un cortège de personnages qui n'auraient pas dépareillé dans "A mort l'arbitre".

    Bref, j'ai arrêté de regarder ce show il y a environ 2 mois. Et pour à peu près les mêmes raisons que j'avais cessé ORLM et 100% Foot. (Enfin, cessé, il m'arrive de jeter un oeil si je tombe dessus, hein, mais si quelqu'un rentre dans le salon, vite je zappe sur un porno).





La revue des Cahiers du football