Paolo Rossi, le syndrome de l’imposteur
Pour beaucoup, Paolo Rossi est l’homme d’un été, celui de 1982 et d’une poignée de buts miraculeux qui l’ont porté au sommet du foot mondial. Avant de redescendre tout aussi vite.
Milan de solitude
13/12/2020 à 21h47
Le joueur obscur qui marche sur l'eau le temps d'un Mondial : spécialité italienne. C'est ainsi qu'ils gagnent des Coupes du monde. Ça a marché avec Rossi, avec Materazzi, ça a failli avec Schillaci.
José-Mickaël
13/12/2020 à 22h27
Le joueur obscur qui marque plein de buts, c'est en effet Schillaci en 1990. Mais Paolo Rossi était quand même un grand attaquant, comme l'avait montré son début de carrière (avant 1980) et, notamment, sa coupe du Monde 1978 dont il avait été un des meilleurs joueurs.
Sens de la dérision
14/12/2020 à 08h37
Sacrés buts de renard des surfaces quand même.
Bernard Diogène
15/12/2020 à 09h42
Tiens, un autre exemple de "flirt estival" sans lendemain : Raducioiu. 4 buts au mondial 94 dont un doublé en quart de finale.
Mais une carrière en club des plus chaotiques et très peu de buts inscrits pour un 9.