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Dans les cartons des Dé-Managers : #49

Beaucoup d'enjeux autour des jeunes joueurs, beaucoup de jeu à Guingamp, beaucoup d'amour pour Guardiola au Bayern, beaucoup de folie au Club Deportivo Palestino... Un programme costaud pour une belle semaine de foot.

Auteur : Les Dé-Managers le 17 Fev 2015

 

 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

Il faut que jeunesse se passe (et trépasse?)

Philippe Gargov – Pétrie d’un talent encore brut, la jeune pépite suscite bien des convoitises. Tous les regards se tournent vers ce gamin à peine pubère. L’enjeu est crucial: assurer la pérenité du club-entreprise, sans pénaliser ses finances avec un transfert feu de paille. Dès lors, comme dénicher la perle rare et si possible à peu de frais? C’est la promesse du dernier bulletin publié par le CIES (Centre international d’étude du sport), consacré aux joueurs de moins de viingt-trois ans les plus prometteurs.

 

Plus que la liste des noms, c’est la méthode de calcul qui mérite l’attention. Le CIES appuie ainsi son indicateur sur le “capital expérience”, mesurant l’expérience acquise en jouant avec l’équipe professionnelle. Nous sommes ainsi face à une tautologie: les joueurs les plus prometteurs sont ceux qui ont, en quelque sorte, déjà tenu leurs promesses, en étant régulièrement impliqués dans les matchs de leur équipe. Aucune surprise, donc, de retrouver Alaba, Götze, Neymar ou Verratti.

 


Pour les petits clubs, dont le maintien économique est justement fondé sur la vente de leurs diamants bruts, la pression qu’implique un tel classement est grande, ayant tout intérêt à faire jouer et même surjouer leurs pépites pour mieux les valoriser sur le marché. Quitte à les cramer? Nombreux sont ceux à avoir échoué aux portes du monde adulte. Il suffira, pour s’en convaincre, de revoir ces deux infographies, la première concernant le Barça et réalisée il y a trois ans, la seconde impliquant l’Angleterre en 2007.


Les deux prêteraient à rire si elle ne cachaient pas une évolution du football relativement dramatique, où les jeunes pousses sont jetées toujours plus frêles sur l’autel du marché. De tels classements, malgré tous les bons sentiments du CIES, contribuent ainsi à alimenter le bal des mises à prix sur les poupons du football, tels des morceaux de viande jetés à l’eau pour appâter les requins.
 

 

 

 

Guingamp a de la ressource

Raphaël Cosmidis – Y-a-t-il vraiment un joueur plus important que les autres à Guingamp? Si la saison de Claudio Beauvue concentre l’attention médiatique, à juste titre, l’EAG 2014/2015 est bien plus que la reconversion d’un ailier en avant-centre. Le Guadeloupéen, sur le banc face à Metz ce week-end, a assisté à la victoire tranquille de ses partenaires (2-0). Une équipe qui va vite en contre, avec les bonnes idées et la bonne exécution. Guingamp tourne bien, avec ou sans Beauvue, en 4-2-3-1 avec Sylvain Marveaux ou en 4-4-2 sans lui.


Dimanche, ce ne sont pas ceux-là qui ont fait pencher le match du côté breton. Marveaux, titulaire mais timide à Saint-Symphorien, a laissé Jérémy Pied et Christophe Mandanne prendre les choses en main. Pied a centré pour Mandanne sur le 1-0 avant de marquer lui-même le deuxième et dernier but de la rencontre. Le match, qui aurait pu se passer d’une deuxième période, a mis en lumière une chose dont on parle finalement assez peu: l’En Avant Guingamp sait recruter. Et aime les anciens espoirs: Pied, Mandanne, Sankharé, Mathis et Marveaux sont tous passés par les sélections de jeunes françaises.
 

 

 
Jocelyn Gourvennec a créé une véritable harmonie collective à Guingamp, où les joueurs s’épanouissent et rappellent pourquoi la France a un jour préparé l’avenir avec eux. Jérémy Pied réalise la meilleure saison de sa carrière (2,6 occasions créées/90 min), tout comme Christophe Mandanne (un but toutes les 164 minutes en Ligue 1). La performance est encore plus impressionnante dela part du second, qui a fêté ses trente ans le 7 février dernier. Les avants-centre atteignent habituellement leur meilleur rendement aux alentours de leur vingt-septième ou vingt-huitième anniversaire. Mandanne ne semble pas près de ralentir. En dézonant sur l’aile droite, laissée libre par les intentions offensives de Gaëtan Bussmann, le natif de Toulouse, mobile et rapide, a solutionné le match pour son équipe.


Dix-neuvième budget de l’élite française, Guingamp applique à merveille une des théories de Pep Guardiola. Le coach du Bayern Munich, interrogé sur l’explosion des droits télé de la Premier League il y a quelques jours, n’avait affiché aucun défaitisme. “Moins d’argent, plus d’idées”, avait ainsi répondu le Catalan. Le championnat espagnol en est un bel exemple. Finalement, l’En Avant Guingamp est peut-être une équipe de Liga en Ligue 1...

 

 

 

 

On a aimé


Le quadruplé de Bas Dost, temps fort d’un Leverkusen-Wolfsbourg complètement fou (4-5). L’attaquant néerlandais, qui était d’ailleurs le dernier à avoir mis un quadruplé en Eredivisie avant celui réussi par le jeune Français Sébastien Haller ce week-end, permet aux Loups d’avoir un pied en Ligue des champions.


Le match surhumain d’André Ayew contre Reims (2-2), quelques jours à peine après avoir pleuré toutes les larmes de son corps suite à la défaite du Ghana en finale de la CAN. Omniprésent, le fils d’Abedi Pelé a une fois de plus démontré sa supériorité dans les airs, absurde pour son gabarit. Une tête d’Ayew, c’est un peu comme un dunk d’Allen Iverson. Des actions sur ressorts.


La paire rémoise Oniangué - Devaux au milieu. Deux bosseurs également capables de se projeter, en témoigne la frappe du premier à l’origine de l’ouverture du score champenoise. À l’exception d’une défense parfois douteuse, Reims a un onze plutôt sympathique.


L’association entre Paulo Dybala et Franco Vazquez, à nouveau décisive. Le duo argentin de Palerme a plié la rencontre face à Naples (3-1) en première période, profitant des espaces abandonnés par des Partenopei menés dès la quatorzième minute. Sur le deuxième but, Dybala sert parfaitement Vazquez pour une action 100% gauchers. Palerme est huitième et Maurizio Zamparini se frotte les mains en pensant à la future vente de ses deux pépites...


 

 

On ne sait pas trop

 

Aussi belle soit-elle dans la manière dont les Munichois ont dominé leur sujet, la victoire du Bayern contre Hambourg (8-0) pose tout de même question sur l’homogénéité de la Bundesliga et la domination de l’équipe de Pep Guardiola. Au moins, la répartition des buteurs permet de laisser un suspense autour de l’identité du meilleur cannonier du championnat: exceptionnel samedi, Arjen Robben, meilleur réalisateur du Bayern et désormais du championnat (ex aequo avec Alexander Meier) n’a finalement marqué que quatorze des cinquante-trois buts de son club.


 

 

On n'a pas aimé

 

L’espèce de purge entre Lille et Nice (0-0), loin d’être imprévisible, ce qui est presque pire. Pouvoir prédire à ce point l’absence d’excitation d’une rencontre traduit tout de même un certain souci dans le projet de jeu général. En parlant de Lille, on se demande vraiment l’intérêt de garder Divock Origi pour cette deuxième partie de saison vu son niveau actuel.


Ce Real Madrid franchement moyen contre le Depor. Le succès est certes au bout (2-0), mais heureusement qu’Isco était là au milieu et que ce n’était que La Corogne en face, équipe qui a quelques idées mais pas les qualités pour toutes les appliquer.


La malédiction Martin Skrtel à Selhurst Park. Le défenseur slovaque de Liverpool n’aime pas affronter Crystal Palace, encore moins à l’extérieur. Après une prestation catastrophique en mai dernier, alors que les Reds croyaient encore au titre, l’ancien du Zénith Saint-Pétersbourg a offert l’ouverture du score aux Eagles, avant que Liverpool ne se reprenne (1-2).


Les imprécisions de l’aile gauche du FC Metz, en panique absolue face à Guingamp (0-2). Entre les glissades de Gaëtan Bussmann et les dégagements foireux de Kévin Lejeune, les Grenats ne se sont pas facilités la tâche.

 

 

 

L'infographie de la semaine

 

Les droits télévisés vont encore exploser dans le futur. Voilà, compilée par AS, la répartition pour la saison écoulée dans les cinq grands championnats. Où l’on constate l’inégalité espagnole et la puissance anglaise, qui permet à Sunderland de gagner plus que le Bayern et le PSG réunis.

 

 

 

 

Les déclas


De nos jours, vous avez des gars qui ont dix-neuf ou vingt ans, qui ont joué leur premier match et pensent qu’ils sont arrivés. Ce n’est pas vrai. Il y a toujours tellement à améliorer, peu importe l’âge. C’est pour ça que j’apprécie bosser avec Guardiola. J’apprends de lui chaque jour et c’est un sentiment spécial. Les gens disent toujours que les jeunes joueurs peuvent beaucoup apprendre, et même à vingt-six ou vingt-sept ans, vous pouvez encore faire de grands pas en avant. C’est alors qu’il est attendu que vous restiez à ce niveau ou régressiez.

Arjen Robben dans une belle interview au Guardian.


Nous avons une très bonne relation (avec Guardiola). J’aime la manière dont il pense le football et sa flexibilité tactique signifie qu’on a joué dans plusieurs systèmes. Ce n’est pas comme si nous étions une équipe de 4-4-2. Nous utilisons tous types de formations avec Pep et cela veut dire que je peux jouer vers l’intérieur ou vers l’extérieur, juste derrière les attaquants ou même en tant que buteur. C’est fantastique car la manière dont il veut jouer, avec un style très dominant, me convient parfaitement. Et vous pouvez parler de tout avec lui. S’il est trois heures du matin, il sera heureux de parler de foot avec vous. Après la rencontre face à Wolfsbourg, on pouvait voir sur son visage à quel point il était touché. Il déteste perdre. Mais chaque grand coach déteste perdre. Si Mourinho perd 4-1… pffff… il ne dort pas bien. Ce sont des gagnants. Ils sont si forts et c’est pour ça qu’ils sont si victorieux.

Arjen Robben, suite.


Il y a toujours plein de choses que l’on peut apprendre. Quand vous êtes jeune, vous voulez toujours le ballon, vous n’arrêtez pas de prendre les espaces. Au début cela semble étrange quand quelqu’un vous dit «Arrête de courir, attends le ballon», mais c’est l’une des nombreuses choses que vous pouvez et devez apprendre. C’est une partie de mon développement.

Mario Götze, interrogé par ESPN FC.

 

 

 

 

La vidéo de la semaine

 

 

Le Club Deportivo Palestino, à l’identité politique non négligeable, est également très bon sur le terrain. Le 3-4-3 du coach Pablo Guede permet à l’équipe chilienne de proposer un jeu très attractif et qui apporte des résultats. Même si le début de saison en championnat est difficile (six points en six matches), la qualification en Libertadores a en effet été assurée cette semaine face au Nacional.

 

 

 

 

L'anecdote


Bologne, équipe en forme de Serie B, a pris l’ascendant sur Livourne dans la course à la deuxième place, synonyme de montée dans l’élite italienne. Mais l’équipe de Robert Acquafresca est devancée au classement par un invité surprise: Carpi. Le club de cette ville de 67.000 habitants, qui vit sa deuxième saison dans la division, compte six points d’avance sur son dauphin. Porté par l’attaquant Jerry Mbakogu (treize buts) et bien protégé par Gabriel, gardien très coté plus jeune – titulaire avec le Brésil aux JO et international A dans la foulée – prêté par Milan, Carpi pourrait bien imiter Sassuolo dans la catégorie “petit qui s’invite chez les grands”. Avec son stade de 4.000 places et son entraîneur aux vingt-et-un postes, ce serait une sacré incongruité.

 

 

 

 

Le bonus droits télés et Liga

 

Javier Tebas, président de la Ligue espagnol, revient sur la situation économique et sportive de la Liga, ses réussites et ses problèmes, quelques jours après la signature de l’énorme contrat en Premier League.

 

 

 

 

La revue de presse anglophone

 

Comment Aitor Karanka, ancien adjoint de Mourinho, a transformé Middlesbrough, qui a affronté Arsenal en Cup ce week-end.


Analyse du comportement des gardiens - avec focus sur Hugo Lloris - en Premier League, et notamment où sont localisés leurs arrêts.


La chance existe-t-elle vraiment dans le football? Analyse statistique en deux parties, ici et .


Palerme a déjà trouvé son nouveau Pastore, avec Franco Vazquez.


Louis van Gaal s’est défendu de baser son jeu à MU sur de longs ballons. Justifié?


Le moins est parfois le mieux: analyse des statistiques de distance parcourue en Bundesliga.


 

 

Réactions

  • Sens de la dérision le 17/02/2015 à 08h54
    Dix-neuvième budget de l’élite française, Guingamp applique à merveille une des théories de Pep Guardiola. Le coach du Bayern Munich, interrogé sur l’explosion des droits télé de la Premier League il y a quelques jours, n’avait affiché aucun défaitisme. “Moins d’argent, plus d’idées”, avait ainsi répondu le Catalan. Le championnat espagnol en est un bel exemple. Finalement, l’En Avant Guingamp est peut-être une équipe de Liga en Ligue 1...
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    Je ne savais pas les déménageurs capables d'autant d'ironie.

    Et pour préciser ma pensée, comparer Guingamp au boulot de Guardiola, entraîneur de deux des cinq clubs les plus puissants économiquement et ensuite comparer avec la Liga championnat où justement les clubs les plus riches sont très riches et toujours premiers, c'est quand même plus qu'étrange...

  • Jizzkov le 17/02/2015 à 11h04
    Sens de la dérision
    aujourd'hui à 08h54

    c'est quand même plus qu'étrange...

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    ou alors ironique ?

  • Sens de la dérision le 17/02/2015 à 11h57
    J'avoue que j'ai eu du mal à décider si c'était ironique ou pas. Je suis rassuré !

  • Croco le 17/02/2015 à 12h20
    Merci pour les liens sur les droits TV en Espagne et le kilometrage en Bundesliga. Très instructif.

  • Lyon n'aime Messi le 17/02/2015 à 12h33
    Sens de la dérision
    aujourd'hui à 08h54


    Et pour préciser ma pensée, comparer Guingamp au boulot de Guardiola, entraîneur de deux des cinq clubs les plus puissants économiquement et ensuite comparer avec la Liga championnat où justement les clubs les plus riches sont très riches et toujours premiers, c'est quand même plus qu'étrange...

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    La liga c'est aussi un championnat où des clubs qui touchent très peu d'argent de droits TV prennent quand même le parti d'un football offensif et risqué.
    Et j'aimerai bien que les entraineurs des clubs français les plus riches aient un discours du genre “Moins d’argent, plus d’idées” plutôt que de se plaindre du fait qu'on ne peut pas lutter avec les plus gros.

  • le Bleu le 17/02/2015 à 12h49
    Je ne crois pas que Raphaël avait en tête le Barça et le Real. Je crois au contraire qu'il faisait référence à l'attrait de ce championnat pour le jeu en général, jusqu'aux plus petites équipes: Valence joue bien, Villareal joue bien, mais il y a aussi le projet de jeu du Rayo Vallecano, la présence d'un bielsista au Celta Vigo, sa persistance à Bilbao.
    Des choses qu'on voit rarement en France, à part à Lorient, désigné successeur du jeu à la nantaise (et encore, on peut reparler des dirigeants).

  • le Bleu le 17/02/2015 à 13h25
    Je ne crois pas que Raphaël avait en tête le Barça et le Real. Je crois au contraire qu'il faisait référence à l'attrait de ce championnat pour le jeu en général, jusqu'aux plus petites équipes: Valence joue bien, Villareal joue bien, mais il y a aussi le projet de jeu du Rayo Vallecano, la présence d'un bielsista au Celta Vigo, sa persistance à Bilbao.
    Des choses qu'on voit rarement en France, à part à Lorient, désigné successeur du jeu à la nantaise (et encore, on peut reparler des dirigeants).

  • Radek Bejbl le 17/02/2015 à 13h33
    Exact, il avait ça en tête. On l'a encore vu ce week-end, le Depor, qui n'est pas l'équipe la plus sexy de Liga, a essayé de jouer et franchement embêté le Real au lieu d'attendre. De toute façon, l'auteur d'une décla ne change pas sa pertinence, je ne pense pas que Guardiola parlait de lui (même si son passage au Barça B doit le sensibiliser un minimum au concept du "faire avec ce qu'on a").

  • et alors le 17/02/2015 à 14h52
    A propos de Carpi, c'est aussi le point de départ du scandale du moment dans le foot italien. Ce *** de Lotito, affairiste président de la Lazio et tireur de ficelles de la Ligue, s'est de nouveau distingué dans une conversation révélée par le dirigeant d'un club semi-pro, où il manifeste un mépris thiriezien pour les petits clubs et notamment celui de Carpi, qui risquerait de mettre en péril l'équilibre financier de la Serie A s'il montait (cf. Luzenac). Ca fait aussi scandale parce que Lotito a défouraillé au passage sur une bonne partie des autorités du calcio, censées être ses alliées partenaires.

  • osvaldo piazzolla le 17/02/2015 à 15h08
    Mine de rien, la Premier League a l'air d'avoir la répartition des droits la plus égalitaire entre les équipes d'un même championnat.

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