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Dans les cartons des Dé-Managers : #28

Le passage éclair de Bakambu, le retour dans la lumière de Tiago, le caractère de Ntep, la classe princière de Riquelme... et des vacances bien méritées pour tous ceux qui ne seront pas du Mondial. 

Auteur : Les Dé-Managers le 20 Mai 2014

 

 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

Sorties de piste

Philippe Gargov (@footalitaire) – Entrer en jeu pour ressortir quelques minutes plus tard: existe-t-il pire humiliation pour un joueur professionnel? Hasards du calendrier, c’est précisément ce qui est arrivé la semaine dernière à trois joueurs bien différents, lors de leurs “finales” respectives. La première en Europa League, lorsqu’Unai Emery a fait sortir Marko Marin à la 104e minute, lui qui était entré à la 78e en remplacement de José Antonio Reyes. La deuxième quand Adrian, qui avait remplacé le blessé Diego Costa au quart d’heure, est retourné s’asseoir une heure plus tard, le milieu José Sosa prenant sa place. La troisième enfin en clotûre de Ligue 1, quand Hervé Renard a fait sortir Cédric Bakambu à la 71e, sous les huées d’un Bonal qui l’avait vu entrer au retour des vestiaires. Si Adrian a fait une entrée imprévue et a répondu aux attentes, les deux autres joueurs partagent une même avanie après avoir foulé le terrain vingt-cinq petites minutes seulement... Mais là s’arrêtent leurs destins croisés.
 

 


 


Dans le cas de Marko Marin, le remplacement semble avoir été globalement positif: si Kevin Gameiro n’a pas marqué dans les prolongations, il a néanmoins tiré l’ultime penalty scellant la victoire de Séville, et aura plus généralement pesé sur les défenses benfiquistes lors de la prolongation. On peut légitimement penser qu’Emery a préféré miser sur le sens du but du Français, sacrifiant un créateur de plus en plus dispensable à l’approche des tirs au but. À l’inverse, le remplacement de Bakambu n’aura pas permis à Sochaux d’échapper à son funeste destin, Emmanuel Mayuka n’étant pas parvenu à accrocher l’infime espoir d’un maintien, malgré un engagement volontaire dans la surface. Mais pour Bakambu, l’humiliation du remplacement est ici d’un ordre bien différent: si cela a tout d’un choix rationnel dans les cas de Marko Marin et d'Adrian, Hervé Renard semble avoir fait parler ses nerfs plutôt que son cortex.


Rentré à la pause, Bakambu avait pour mission d’animer l’attaque sochalienne en lieu et place de Prcic, courageux mais encore trop fragile pour un match d’une telle intensité – surtout lorsqu’il faut remonter trois buts. Mais le pauvre Bakambu aura tout raté: passes, contrôles, tirs, tel un bolosse aux pieds d’argile. Sa sortie, direction vestiaires sans passer par la case Renard, n’avait rien d’un changement tactique: il s’agit là d’une vraie sanction, à l’égard d’un joueur local qui aura trahi la confiance des siens, et de son coach tout particulièrement.


Mais ce changement pose aussi la question du rendement d’un joueur offensif, et plus précisément de l’irrationnalité qui pèse sur ces profils si souvent montrés du doigt. Un attaquant qui passe une “mauvaise soirée” est-il vraiment prédestiné à tout rater? N’est-ce pas le propre d’un buteur que de réussir à marquer malgré des douzaines de tentatives ratées? Certes, Cédric Bakambu n’est pas franchement le Gerd Müller du Doubs. Mais avec vingt minutes pour espérer la remontée du siècle, Hervé Renard avait peut-être mieux à faire que de sacrifier deux jokers pour un résultat à somme nulle. C’est peut-être ce qui différencie les coachs raisonnés de ceux qui réussissent grâce au feu intérieur qui les anime, et qu’ils parviennent à insuffler. Hervé Renard aura marqué son dernier match de son empreinte, à la manière de Zidane paraphant le buste de Materazzi. Mais à la différence de ce dernier, le mercenaire zambien l’aura fait en jetant Bakambu en pâture. Ce fut peut-être sa seule erreur lors de cette hâletante fin de saison sochalienne.
 

 

 

Tiago Mendes, quatre ans après

Raphaël Cosmidis (@rcosmidis) – Il avait quitté la France pour Turin et les promesses d’une progression. Comme Diego, son coéquipier d’alors et d’aujourd’hui. Après deux superbes saisons sous le maillot de l’Olympique lyonnais, trimballant son élégance sur les pelouses de Ligue 1, il avait vécu trois années compliquées avec les Bianconeri. Puis, en 2010, il avait quitté le Piémont. Dans l’anonymat.


Mai 2014, il est champion d’Espagne. Posté devant la défense de Diego Simeone, du haut de ses trente-trois ans, il multiplie tacles et interceptions (3,4 et 2,6 par match en Liga cette saison), relance proprement (81% de passes réussies), tranquillise le jeu madrilène. Fiers de leur grinta, de leur solidarité, des efforts faits par chacun, les Colchoneros doivent aussi beaucoup à leur métronome portugais. Abandonné par sa vivacité, Tiago a su se transformer. Lui qui jouait 8 dans le Rhône est devenu le Busquets, le Xabi Alonso des Matelassiers. Ce dernier expliqua un jour que cette position, ce rôle obligent à prendre des décisions en permanence: à se replacer pour couper une ligne de passe, à trouver le joueur ouvert, à activer le pressing au bon moment. Quatre-vingt-dix minutes presque plus cérébrales que physiques.
 

 


 


Dans une formation qui vit par sa solidité et son imperméabilité, Tiago fait partie des bricoleurs, de ceux qui posent les briques du mur rouge et blanc. De ceux, qui, sans cesse, reconstruisent leur bloc, avant de défaire celui de l’adversaire, par la pertinence d’une passe. L’ancien de Chelsea transmet le ballon 49 fois par match, soit la deuxième meilleure moyenne de son équipe.


Samedi, Tiago pourrait remporter la Ligue des champions. La première dans une carrière qui l’a déjà vu empocher le titre de champion en Angleterre, en France, et donc, en Espagne. Un parcours dans l’ombre des vedettes et des grands noms. Jamais très loin, et jamais aussi proche qu’aujourd’hui. Mais son destin l’exigeait: ayant déjà pris sa retraite internationale, il manquera la Coupe du monde cet été. Lorsqu’on lui demanda les raisons de son non-retour il y a quelques semaines, Tiago répondit: “Nous avons des jeunes avec d’immenses qualités [...] le Portugal sera plus fort avec eux”. On a du mal à y croire.
 

 

 

On a aimé


Les expérimentations de Laurent Blanc ces dernières semaines. Profitant de l’absence d’enjeu, Blanc a notamment tenté un losange avec Pastore en 10 derrière deux attaquants: Lucas et Ibrahimovic à Lille; Lavezzi et Ibrahimovic face à Montpellier. Deux victoires à la clé, sept buts marqués et trois passes décisives pour Pastore en 156 minutes. Une idée pour la saison prochaine?


La force mentale de l’Atlético Madrid qui, mené 1-0 à Barcelone, a su à nouveau revenir dans la rencontre et rivaliser dans le jeu. À Stamford Bridge, les Colchoneros étaient menés 0-1 avant de l’emporter et d’atteindre la finale de la Ligue des champions. Au Camp Nou, ils ont démarré la deuxième période en trombe, imprimant un pressing très agressif, et concrétisé leur retour sur un corner, comme souvent lors de cette saison historique: c’était leur dix-huitième but sur coup de pied arrêté (sans compter six penalties).


Le nouveau trophée du Bayern, acquis à l’issue d’une nouvelle confrontation de très haut niveau face à Dortmund. Disposés en 3-4-2-1, les Bavarois ont parfaitement maîtrisé les tentatives de contre de leur adversaire. Une tactique innovante, qui prouve la capacité d’adaptation de Pep Guardiola après des mois plus compliqués… et le fait grimper un peu plus dans la liste des entraîneurs européens les plus titrés en club.


 

 

On n'a pas aimé

 

La passivité de la Real Sociedad, dans un match qui influait pourtant directement sur son destin européen. Incapables de gérer les raids de Giovani Dos Santos, les Basques se font dépasser au classement par leur adversaire, Villarreal, qui réalise une très belle saison pour un promu.


Le penalty raté par Alessio Cerci dans le temps additionnel face à la Fiorentina, qui prive le Torino d’une qualification européenne qui aurait récompensé un excellent parcours. Un destin cruel – il terminera en larmes sur le terrain – pour l’un des deux joueurs à la base du succès turinois cette saison avec Ciro Immobile… bêtement suspendu pour ce match capital.


Le Cruzeizo, ou plutôt Crew 0 pour le coup, impuissant sur sa pelouse face à San Lorenzo et éliminé en quart de finale de Copa Libertadores. À l’image de Ricardo Goulart, remplaçant tout aussi inefficace d’un Julio Baptista sifflé par son public, le club brésilien avait trop de manques en attaque pour passer, seul Dagoberto mettant un peu de folie dans le jeu. Cette élimination est un coup dur pour le football brésilien, qui perd son dernier représentant dans la compétition. Dans le dernier carré, on retrouve donc les Argentins de San Lorenzo, mais aussi les Uruguayens du Defensor Sporting, les Paraguayens du Nacional Asuncion et les Boliviens de Bolivar.

 

 

 

L'infographie de la semaine

 

Alors que la fédération anglaise réfléchit sérieusement à limiter le nombre de joueurs étrangers en Premier League, les chiffres prouvent que le problème est profond. L’Angleterre a en effet très peu de titulaires réguliers dans les cinq grands championnats (plus de 50% du temps de jeu total) par rapport à ses concurrents. Si le graphique français est forcément faussé par le niveau plus faible de la Ligue 1 et des moyens financiers limités qui empêchent de recruter beaucoup d’étrangers de premier plan, la différence entre l’Angleterre et l’Espagne interpelle (CIES).

 

 

 

 

Les déclas


Passer la balle cent fois, toucher le ballon cent fois, que l’adversaire ne puisse pas respirer, qu’il ne puisse pas conserver le ballon; jouer au football ainsi est très plaisant !” Philipp Lahm répond aux détracteurs de Pep Guardiola.


"Il y a les émotions de la compétition, et l'émotion du jeu. Quand l'émotion du jeu se concrétise, c'est plus fort." Une déclaration très Dafonsequienne de Christian Gourcuff, dans une interview donnée à L’Équipe.


Il y a très peu de chances que je reste au Rayo. Je n’ai que de la gratitude envers le club et j’espère qu’ils resteront en première division pour de longues années. C’était un honneur d’être à la tête de cette équipe.” Paco Jemez, l’un de nos chouchous, dont le Rayo Vallecano termine finalement douzième et que l’on annonce notamment du côté de Malaga.

 

 

 

 

La vidéo de la semaine

 

 

À quelques semaines d’une Coupe du Monde où l’Argentine ne comptera pas de vrai numéro 10, il est l’heure de se recueillir devant le tournoi réalisé par Juan Roman Riquelme en 2006, conclu par un remplacement prématuré en quarts de finale. José Pekerman, coach de l’Albiceleste à l’époque, s’en voudra toujours, et essaiera de ne pas répéter une telle erreur cet été, cette fois à la tête de la Colombie.

 

 

 

L'allégorie de la semaine


Trypique pour un bad trip: Hervé Renard samedi matin, Hervé Renard samedi soir, Sochaux dimanche matin (Marc 4:39/Luc 5:1/Genèse 6:7, Production Footballallegorie).

 

 

 

L'anecdote


Paul-Georges Ntep n’est pas le premier à jouer les pousseurs de ballon au sol avec sa tête. Profitons donc de son geste pour rendre hommage à deux de ses prédécesseurs: Andy Clark et Aleksei Sapogov. Le premier, âgé de trente-cinq ans à l’époque, a joué à Peterborough jusqu’en 2005. Il réalisa sa meilleure saison en 2002, l’année de son but, et travaille désormais sur un marché. Quant au second, qui marqua dans une rencontre de la sélection B russe, il a étrangement pris sa retraite l’été dernier à seulement vingt-cinq ans, alors que plusieurs clubs – notamment espagnols – voulaient l’acheter au Volga Nizhny Novgorod.

 

 

 

Le bonus photo


Ryu Voelkel est l’un des meilleurs photograhes de football au monde. Vous pouvez admirer ses photos sur son site. Cet été, il couvrira les matchs de la Coupe du monde au Brésil, mais a besoin de fonds pour financer son voyage. Si son travail vous plaît, Ryu Voelkel a lancé un Kickstarter.

 

 

 

La revue de presse (presque) anglophone

 

Et si Manuel Pellegrini était le vent de fraîcheur qui manquait à la Premier League, bien loin de Mourinho et ses piques incessantes?


Sur Soccer Populaire, bilan de la saison de Premier League, mais l’autre. Celle qui se déroule en Russie.


Sur TheScore, Richard Whittall liste dix grands matches de la Coupe du monde à voir sur YouTube. Indispensable à l’approche de la compétition.


Le Chili est une des équipes les plus séduisantes ces dernières années, et après une période difficile sous Claudio Borghi, c’est Jorge Sampaoli qui a relevé la sélection. La Tercera explique – en espagnol – l’évolution tactique de la Roja. Précision: l'article date du début 2013.


Les tendances tactiques de la saison en Premier League, selon Michael Cox.


Michael Cox analyse également le lien entre possession et pourcentage de passes réussies.


Superbe infographie interactive sur l’origine des footballeurs de Premier League.


 

  

Réactions

  • Jean-Luc Skywalker le 20/05/2014 à 09h04
    C'était Ibrahimovic et Lavezzi contre Montpellier, si je puis me permettre.

  • Sens de la dérision le 20/05/2014 à 09h32
    Plusieurs remarques :
    - Tiago contre Benzema en finale de la Champions League, c'est un choix cornélien pour les Lyonnais.
    - longtemps le milieu en losange semblait être un fantasme de supporters. Outre Lyon et donc Paris, il me semble que d'autres clubs jouent dans cette configuration cette année. Fin du 4-3-3 ?
    - je serais curieux de voir la suite de la liste des meilleurs entraîneurs, et surtout qui seraient le premier Français... Houllier ? Jaquet ? Blanc ? Le Guen ? Des plus vieux ? Et si la France, au lieu d'avoir des joueurs faignants comme on l'entend souvent, n'avait juste pas de bons entraîneurs ?

  • Nadine Zamorano le 20/05/2014 à 11h09
    Merci pour cette chronique toujours aussi plaisante à lire.

    Juste une précision sur le lien de la Tercera: l'article date de début 2013, ce qui fait que pas mal d'eau a coulé sous les ponts. Par exemple, l'article ne fait pas état du déclin de Ponce et Chupete Suazo aux postes de libéro et d'avant centre.

    Ah, et concernant le site de Ryu Voelkel, certains clichés sont en effet chouettes comme tout, mais d'autres semblent pencher vers la Fredgodardisation.

  • Milan de solitude le 20/05/2014 à 11h33
    Il n'y a pas France-RFA 1982 dans les dix plus grands matchs de la Coupe du monde selon le journaliste... C'est parce qu'il n'est pas sur Youtube ? Je suis trop jeune pour l'avoir vu en entier, mais l'intensité dramatique et la beauté des buts m'assuraient d'avance de le trouver dans le classement.
    En revanche, France-Brésil 1986, qui est béni par tout le monde, je l'ai vu, et j'ai trouvé ce match, ponctué par des actions de très grande classe (le but brésilien, la passe de Zico pour le pénalty, la passe de Platini dans les prolongations,...), décevant par rapport à mes attentes : beaucoup de déchet technique, de grands joueurs pas à leur meilleur niveau,... Il faut préciser que je connaissais le scénario d'avance, ce qui gâche le plaisir dramatique.

  • Yohan Cowboy le 20/05/2014 à 14h04
    Sens de la dérision
    aujourd'hui à 09h32

    - longtemps le milieu en losange semblait être un fantasme de supporters. Outre Lyon et donc Paris, il me semble que d'autres clubs jouent dans cette configuration cette année. Fin du 4-3-3 ?

    ----

    Je te renvoie à l'article que j'avais écrit sur le sujet fin décembre, avec les contributions d'Omar Da Fonseca et Éric Carrière : lien

  • le Bleu le 20/05/2014 à 14h22
    J'ai rien compris à l'infographie.... je suis bête.

  • Radek Bejbl le 20/05/2014 à 14h57
    Les responsables PSG et langue espagnole ont été sévèrement tancés en interne. J'ai ajouté que l'article datait de l'an dernier.

    le Bleu : Il s'agit de voir le nombre d'Anglais, Espagnols etc titulaires dans un grand championnat, et, parmi ceux-là, ceux qui sont dans un club du top6. Par exemple, pour la saison écoulée, Benzema serait en bleu, Costil en gris et Sakho absent du graphique.

  • Gabriel Heinze Sergent García Rafa Márquez le 20/05/2014 à 16h41
    A noter que Ribéry est aussi rentré à la 30e avant de sortir à la 110e. Notre Francky national est visiblement dans le dur physiquement ces derniers temps, et les méthodes douteuses de Pep (cf le diaporama) n'auront pas suffi à le faire tenir 90 minutes.

    Au passage, encore merci pour ces chroniques. Une preview spéciale dé-managers de la Coupe du Monde serait-elle par hasard dans les cartons?

  • Radek Bejbl le 20/05/2014 à 17h50
    Le prochain projet c'est les bilans par championnats. A priori ça devrait arriver la semaine prochaine si on arrive à libérer suffisamment de temps pour tout faire. On réfléchira ensuite au traitement de la pré-Coupe du monde en fonction des dispos, de la place et de nos compétences. Ce qui est certain, c'est qu'on va continuer à produire du contenu – si possible intéressant et facile à lire.

  • Jizzkov le 20/05/2014 à 18h07
    Milan de solitude
    aujourd'hui à 11h33

    Il n'y a pas France-RFA 1982 dans les dix plus grands matchs de la Coupe du monde selon le journaliste... C'est parce qu'il n'est pas sur Youtube ?

    ----

    Elle est bel et bien disponible ici : lien
    Du coup, la question que tu poses est intéressante : est-ce parce que ce match n'a pas la même connotation hors de nos frontières ? J'aurais juré que c'était un drame "universel", appartenant à la Grande Mémoire du Football Mondialisé, mais il semblerait que non...

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