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L1 :: LA GAZETTE :: J33

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 28 Avr 2009

 

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Les résultats de la journée

Nice-Saint-Étienne : 3-1
Nancy-Nantes : 2-0
Auxerre-Caen : 2-1
Sochaux-Valenciennes : 1-1
Toulouse-Lorient : 1-1
Lyon-Paris SG : 0-0
Le Havre-Grenoble : 0-1
Le Mans-Monaco : 0-1
Lille-Marseille : 1-2
Rennes-Bordeaux : reporté au 29 avril



Les 5 gestes de la journée

• L'enchaînement contrôle extérieur dans la course, lob intérieur dans les filets asséné en fin de match par Jelen aux Caennais, pour éviter la lapidation de Rémi Gomis (cf. antigestes).
• L'appel croisé de Hazard et la passe à contretemps de Vittek, qui donnent un tour de rein à Civelli avant de d’offrir un tour de manège gratuit à Mandanda.
• La double détente au sol de Ruffier pour empêcher Coutadeur puis Cochia de conclure un beau mouvement manceau.
• Le centre-tir extravagant d’Hellebuyck, juste pour le plaisir de faire briller son ancien compère Janot.
• La claquette de Carrasso pour dévier la rétro tête de Gameiro qui filait sous la barre.



Les 5 antigestes de la journée


• Le sens de l'anticipation et des responsabilités nantais, qui permettent à Grégorini de faire une passe décisive à Dia, pour obtenir le penalty du 2-0.
• La passe hara-kiri de Rémi Gomis pour offrir l’égalisation à Jelen sur un plateau.
• La créativité de Zubar qui invente la Zubrelance à la main.
• La rétro quéquette dans la surface qui permet à Mody Traoré d'offrir le penalty de l'égalisation à Sochaux dans les arrêts de jeu.
• La sortie en aquaplaning de Capone qui offre l'égalisation aux Toulousains et une minute de célébrité dans la compilation des buts gags de la saison.



La bannette

Le joueur-allumette
Mathieu Valbuena (L'Équipe) : "Il règne une ferveur autour de ce club, mais il ne faut surtout pas s’enflammer".

Le miroir de la Foire du Trône
Mathieu Valbuena (L'Équipe) : "Notre plus grand adversaire, c’est nous-mêmes".

L'équipe qui a des hauts et des bas
Ilan (L'Équipe) : "On reste très fragiles".

L'entraîneur qui fait fait fait c'qui lui plait plait plait
Alain Casanova (L'Équipe) : "Le mois de mai sera passionnant".

Les clous du spectacle
Frédéric Da Rocha (L'Équipe) : "On n’est peut-être pas bons, mais ce qui nous énerve, c’est qu’il y a des gens qui nous enfoncent…"

Le défenseur du FC surtout SM
Jacques Faty (L'Équipe) : "Ils nous ont pris à la gorge, c’est inespéré".

L'équipe au bord du gouffre
Mécha Bazdarevic (L'Équipe) : "On a fait un grand pas".

La menace en tomme (de Savoie)
Mécha Bazdarevic (L'Équipe) : "Jusqu’à présent, on n’a rien volé".

L'entraîneur qui n'y a pas mis du sien
Claude Puel (olweb.fr) : "Sur l’ensemble du match c’est une bonne prestation mais ça n’a pas voulu sourire".


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Et pendant ce temps-là, le FC Metz se bat pour remonter en Ligue 1.


Les tops

Le top enflammade mesurée des commentateurs de chaînes payantes
1. Grégoire Margotton "Mandanda a fait un arrêt et il a été plus que décisif".
2. Christophe Dugarry: "Mandanda il mesure trois mètres ce soir".
3. Grégoire Margotton : "C'est Bastos et c'est sorti par Mandanda! Est-ce qu'il l'a touchée?! Non!!"


Le top à lui tout seul de Denis Balbir
"Ça passe à côté tout simplement parce que Landreau l'arrête!" (Orange foot)


Le top carnivore
1. Antoine Kombouaré (L'Équipe) : "Je vais rester calme.  Mais on peut se les bouffer…"
2. Eric Gerets (L'Équipe) : "C’est pour ça qu’il était évident de mettre Zubar. Il avait faim".
3. Rio Mavuba (L'Équipe) : "L’OM nous a bien embêtés avec ses attaquants qui défendent comme des chiens".



Les minutes

La minute Grocâlin de Jean Fernandez
"C’est tellement cruel ce qui leur arrive. Ils avaient pourtant fait le plus dur en ouvrant le score. En ce moment, ils doivent être terriblement malheureux et j’ai une pensée pour eux.  Pourtant, ils ont été solides, agressifs. Non, franchement, moi non plus je n’ai pas de mots. Je me mets à la place de Franck Dumas. Cela doit être terrible..." (L'Équipe)

La triple minute artistico-authenthico-passionnelle de Guy Carlier
"Je ne suis pas juste un sniper, Allumer et chambrer fait partie de la culture du football. Mais pour le faire, il faut avoir la légitimité de la passion".
• "Oui, mais moi, je ne suis pas journaliste, je peux me permettre de dire la vérité!"
• "J’ai reçu carte blanche de Daniel Bilalian  Mais je ne voulais plus d’une chronique violente comme celle que je faisais pour Fogiel. Il n’y a aucun intérêt artistique!" (La tribune de Genève)


La minute Guy Roux de Laurent Blanc
"C'est fou, car [La C1] c'est le top du top du football européen et même mondial. Moi qui sermonne mes joueurs afin qu'ils regardent ces matches-là, dans le but d'analyser ce qui se fait de mieux sur les plans individuel et tactique, ou dans l'intensité du jeu, je constate que les instances nous le programment à une heure à laquelle on ne peut pas le voir. Et je vois déjà mes joueurs me dire : «Coach, si vous voulez, on va regarder le match au lieu de jouer à Rennes»". (lequipe.fr)
Laisse-nous deviner, Bordeaux t'a installé un magnétoscope qui nécessite un CAP pour le programmer?


La minute Batman de Frédéric Da Rocha
"Demandez à l'arbitre en gris si on n'a pas grillé de joker ce soir. C'est lui qui nous a grillé le joker, ce soir!" (Canal Football Club)



gaz33_aulas.jpgLa minute "Je me comprends, tant pis si je suis bien le seul" de Jean-Michel Aulas

"C'est déjà pas un drame pour les commentateurs, puisque je vois qu'il y a beaucoup de joie dans la détresse lyonnaise". (Jour de Foot)

"Est-ce que la pression est trop forte pour les arbitres quand un certain nombre de gens les critiquent, ou suspectent que la force de Lyon réside dans cette capacité à gagner ses matches dans les temps forts?" (Jour de Foot)

"Quand les coups du sort se répètent deux fois de suite à une semaine d'intervalle, ça fait très très mal au fond de soi-même, et on se demande si cette campagne qui tend à discréditer la qualité du jeu de Lyon depuis le début de saison, ce qui est vrai, mais ce qui ne donne pas confiance aux joueurs, et on se rend compte que quelques fois, quand la confiance n'est pas totalement là auprès des joueurs, et bien il y a non seulement ces décisions, qui vous portent préjudice, mais il y a aussi ce manque de confiance qui fait que quand Karim peut marquer, la balle va sur le poteau". (Jour de Foot)

"On pourra épiloguer et se trouver de bonnes raisons d'apprécier que Marseille soit en tête et Bordeaux juste derrière, il n'en restera pas moins que la réalité est une réalité beaucoup plus dure pour le football français que celle que vous racontez". (Jour de Foot)

"Écoutez, si c'est le poteau qui nous prive d'un huitième titre, on sera beaux joueurs, mais je crains que les raisons soient ailleurs" (Orange Foot)



Les mini-mots du foot

« N'avoir plus que des finales à jouer »

L'expression refleurit à chaque fin de championnat, lorsqu'il est temps de cesser les enfantillages qui font perdre des points en cours de route. Pour les équipes qui ont encore un objectif, il s'agit de préciser que le salut passera par un parcours sans faute, même si le club n'a pas aligné deux victoires consécutives depuis le début de la saison. C'est une variante, plus hygiénique, de "mettre ses couilles sur la table", puisque l'esprit finale est surtout un esprit commando. Curieusement, quand on perd la première de ses six finales, on peut être autorisé à jouer les cinq suivantes.

Exemple
"Il ne nous reste plus que des finales. En fait, il en reste deux" (Ricardo, mai 1998)

Variantes
"Moi, à chaque match, j'ai l'impression d'être en phase terminale" (Frédéric Hantz)
"Il nous reste des demi-finales à jouer" (Jean-Michel Aulas)
"Merde, on n'avait pas une finale à jouer?" (L'entraîneur de Vannes)


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Plus de 130 définitions dans À partir de là et Oui je crois que bon



Les observations en vrac

• Si Robert Louis-Dreyfus veut vraiment que Gerets reste à Marseille, il y a une solution simple: il lui suffit de racheter le Bayern Munich.
• Qu'on ne parle pas de saison blanche pour l'OL. Il y a un Ballon de Plomb dans l'armoire à trophées.
Bernard Tapie affirme qu'il "aurait viré Gerets". Pour rappel, il avait aussi dit pleuvrait de la merde si Zoumana Camara rejouait au football. Benzema doit se demander qui est ce joueur qui l'a tenu en respect vendredi soir.
• Qui sait si Pape Diouf à appelé Christophe Bouchet pour lui dire que cette fois c'est celle-là, la plus belle équipe depuis dix ans.
Jean Petit tresse des lauriers à Ricardo avant de préciser que si on lui demandait, il le remplacerait. On n'avait pas vu soutien plus sincère depuis Georges Eo à Serge Le Dizet.
• Le paradoxe de la journée: il a fallu trois ans pour comprendre que Zubar était un arrière gauche. Très, même.
• La renonciation niçoise vous salue bien.



L'équipe type : les Brésiliens

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On parie qu'il y a peu d'entraîneurs qui feraient la fine bouche avec un tel effectif. Et au vu du nombre de naturalisations françaises, portugaises ou italiennes chez les joueurs du pays de la samba, il pourrait même être licite d'aligner ce onze. Un Monégasque, deux Marseillais, trois Lyonnais, deux Bordelais, un Parisien et deux Lillois: c'est le haut du panier de la L1 qui est représenté. D'ailleurs, les six équipes en tête de la L1 ont toutes au moins un auriverde dans leur effectif. Juninho, Henrique Jussiê, et Ilan pourraient prendre place sur le banc.

Difficile cependant de trouver un gardien. Guimera est Français, né à Nîmes et appartenant à l'effectif de Monaco, mais c'est le seul dont le nom pouvait sembler vaguement brésilien. D'une manière générale, les gardiens étrangers sont très rares. Ils sont dix sur la quatre-vingtaine de gardiens pros en L1 pour un seul titulaire: le Colombien David Ospina (Nice).



Aucun rapport

La lecture du rapport Besson est riche d'enseignements. Sur les 165 pages du document, 6 sont consacrées à citer les "personnes auditionnées dans le cadre de la mission d’évaluation". On y croise des personnalités de la télévision, plusieurs présidents de clubs, quelques universitaires, des politiques, et… un rédacteur des Cahiers du football. Sixième des 143 noms cités, calé entre Jean-Michel Aulas et Charles Biétry (interrogé en sa qualité de "recruteur du Stade rennais"), qui s'était contenté d'assister à une conférence de presse officieuse.

Précisons donc à toutes fins utiles que nous n'avons aucune part, même infime, de responsabilité dans un rapport qui préconise notamment l'extension des exonérations fiscales consenties aux footballeurs ou le subventionnement massif des stades privés par les deniers publics.



gaz33_stat.jpgLa stat futile

10.683 fautes ont été sifflées par les arbitres de Ligue 1 au cours des 32 premières journées de la saison. Détaillons.

• En moyenne, les arbitres donnent un carton jaune toutes les 9.5 fautes, et un carton rouge toutes les 198 fautes. Toutes les équipes ne sont pas sanctionnées au même rythme. Ainsi Grenoble récolte un jaune toutes les 8.4 fautes, alors que Marseille doit attendre 12 fautes avant l'avertissement.

• Lorient confirme son style de jeu peu agressif avec seulement 428 fautes commises depuis le début de la saison (une toutes les 6'44''). Suivent Paris SG (440 fautes) et Le Havre (479 fautes).

• À l'inverse, les tendres Monégasques ont été sanctionnés à 606 reprises (une toute les 4'45''). Valenciennois (597) et Lillois (594 fautes) les talonnent.

48.9% des fautes sifflées sont à l'encontre de l'équipe jouant à domicile.

• À domicile, le quarté des équipes les moins hargneuses se compose du Paris SG (200), de Lorient (205), du Havre et d'Auxerre (233). Toutes des petites équipes de province qui ont peur des arbitres.

Lyon (257), Grenoble (256) et Marseille (288) ont poussé la perfection du tacle irrégulier jusqu'à équilibrer (à l'unité près!) leur nombre de fautes commises dans leur enceinte et en déplacement.

La prochaine fois, nous comparerons le tarif de Javi Casquero avec celui d'un paillasson synthétique standard.

> Brodé par Poteau rentrant, le site des stats inédites et décalées sur la Ligue 1.



gaz16_dictionnaireOL.jpgL’OL de A à Z

Partageons la passion du septuple champion de France en parcourant une définition extraite de son dictionnaire officiel (1). Cette semaine, la lettre T comme Tony la mascotte.

"Pendant de nombreuses saisons, à Gerland, une mascotte a accompagné l'entrée de l'OL sur la pelouse. Son nom? Tony. Il était habillé OL et grimé aux couleurs du club. La mascotte a arrêté ses entrées à la fin de la saison 2001-2002".

La semaine prochaine, la lettre U comme: "Un procès aux prud'Hommes avec Tony la mascotte". Ou on s'arrête plutôt là, et on vous épargne Umbro, Vairelles, Wiltord, Xuereb, Yverdon et Zewulko, qui sont des sujets beaucoup trop sérieux pour plaisanter. Et puis lâchez ce dictionnaire officiel à la fin, ce n'est pas un jouet!

(1) Le dictionnaire officiel de l’Olympique lyonnais, éditions Hugo&Cie.

Jeu-concours : gagne un dictionnaire officiel de l'OL

Lectrices, lecteurs, amoureuses et amoureux de l'OL qui s'ignorent (ou pas), et de littérature. Vous rêvez d'agrémenter votre patrimoine familial avec une oeuvre d'art contemporaine? De découvrir dans l'intimité les centaines de définitions jamais publiées sur ces pages? Vous êtes à la recherche d'un cadeau d'anniversaire / de rupture original? Participez au grand jeu-concours de définitions imaginaires en envoyant vos meilleures dans les réactions à cet article.
Un dictionnaire officiel presque neuf (mais pas trop) à gagner.




Vu du forum


=>> matthias / Paris est magique
Bon, on joue bas, on touche pas le ballon, on part en contre n'importe comment. Bref, on joue notre jeu. C'est bon signe.

=>> Facile à shooter / Observatoire du journalisme sportif
Oh, très très bien la une de L'Équipe : "Rennes dans l'arène".
Je me demande ce que ça sera demain. "Gunigamp prend des gants" ? "TFC, poil au nez" ?

=>> matthias / Paris est magique
Pancrate qui rentre pour Sessegnon, du coup Puel en profite pour sortir du Bodmer du milieu de terrain et faire rentrer Piquionne... Ça en dit long sur la peur qu'inspire Pancrate aux entraîneurs adverses.
=>> Etienne Mattler
Ce qui est beau, c'est un sommet du championnat où les uns sortent un Pancrate et les autres un Piquionne pour emporter la décision.

=>> khwezi ko l'pelé blanc / Café Au petit Marseillais
La statue de Mandanda, à cheval sur Civelli, en Bronze ou en marbre?


> L'indispensable forum des Cahiers



L'envers du championnat

Grenoble, Nancy et Auxerre abandonnent certainement leurs derniers espoirs face à des adversaires respectifs tout simplement trop forts pour eux: Le Havre, Nantes et Caen, ont affirmé leur supériorité, et forment désormais avec Saint-Étienne et Sochaux le dernier groupe de combattants pour un monde meilleur.
Même si rien n’est encore acquis mathématiquement, c’est dans une ambiance de fête que le leader a une fois de plus fait régner l’ordre à Jules-Deschaseaux. Quand, dans les arrêts de jeu, la tête de Dieuze rebondit sur le genou de Regragui, mal placé sur sa ligne, avant d’être dégagée par le montant, on croit bien déceler ce petit supplément d’âme que les mécréants appellent la chance du champion.

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Mandanda et Hoarau s’en mordent les doigts, mais ils n’étaient pas au niveau des ambitions du peuple havrais. Les festivités ont commencé sans eux à Jules-Deschaseaux. Elles devraient durer au moins un an.

Si Saint-Étienne (avec un but du défenseur Tavlaridis comme à la parade) et Nantes (avec une parade digne de Disneyland en défense) ont encore fait forte impression, c’est Caen qui marque les esprits. Menés au score jusqu’à la 86e minute par la faute d’un coup de folie de Proment, les Caennais n’évoluent pas qu'avec les couleurs messines. Ils jouent également avec l'inspiration des Grenats. Un coup franc anodin sur la ligne médiane est donné dans le sens du but à Gomis, qui fait parler la technique en adressant un amour de passe décisive à Jelen qu'il lance, comme un numéro dix, seul face au but de Sorin. Vision du jeu, orientation, dosage, tout y est.
"Ben, elle nous tendait les bras la victoire. Mais apparemment ça nous dérangeait, donc on a préféré ne pas gagner le match", souligne Dumas. Non contents de refuser la victoire, les Normands, compétiteurs dans l’âme, vont même parvenir à arracher la décision trois minutes plus tard, pour conserver leur place de dauphin.


gaz33_lucarne1.jpgSégolène Royal vous présente ses excuses pour l'oubli du short de Thierry Henry.
> Les lucarnes sont ressuscitées dans le Diaporama des lecteurs


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Réactions

  • Damien B le 28/04/2009 à 02h07
    En effet, l'équipe fut fort inspirée par la coupe de France.
    Quand Guingamp s'est imposé, j'avais parié sur un "TFC, t'es fessé". Mais non. C'eut pourtant été une "Une mythique"

  • Niang, ni Demont le 28/04/2009 à 02h41
    J'aurai vraiment aimé avoir droit a de nouvelles conclusions définitives à J-5.

    Pour ce qui est du dico officiel de l'Ol, je proposerai la lettre H. H comme Huitième titre de l'OL: Celui qui n'est jamais arrivé, à cause du l'odieux complot marseillo-arbitro-bordelais, et qui causera donc la perdition de l'OM, qui jouera le maintin l'année suivante, l'année d'après, puis le titre de champion... de L2!

  • bijou le 28/04/2009 à 03h00
    Merci pour cette gazette.
    "Laisse-nous deviner, Bordeaux t'a installé un magnétoscope qui nécessite un CAP pour le programmer?": Tout simplement excellent...

  • Gael Moldovan le 28/04/2009 à 03h49
    Ah, la gazette! L’amie du mardi, une valeur sure. Encore un bon moment, merci.
    Les ‘minutes’ (j’ai tenté d’imaginer Jean Fernandez en Bisounours avec un coeur ou un arc en ciel sur le ventre..) et le ‘mot’ (les ‘finales’) sont tout simplement excellents.

    Pour le concours OL (marrant ca comme idée. Mais je me demande pourquoi vous voulez pas le garder, ce bouquin??), ya surement quelquechose a faire avec les 2 derniers coachs, ou avec le célèbre ‘trading de joueurs’.
    Je propose celle la;

    Demi finale de Champions League: ...
    ....
    .......
    ???

    (désolé)

  • José-Mickaël le 28/04/2009 à 07h44
    C comme "Communiqué officiel de l'O.L."

    L'Olympique Lyonnais, dans un souci constant d'innovation, est un pionnier en France en matière de communication. En effet, le groupe O.L. a mis en place un vecteur de e-communication novateur et performant, le communiqué officiel de l'O.L., qui permet à tous, aussi bien les journalistes que les actionnaires, de connaître la pensée du Président du groupe O.L. Ce remarquable outil de dialogue a d'emblée recueilli un enthousiasme populaire sans précédent : son taux de lecture a augmenté de presque 11,5 % en deux ans.

  • damirez le 28/04/2009 à 09h07
    Mince, oui aucune affirmation sur le J-5... un peu déçu... même si le coup du magnéto rattrape laaaaargement l'affaire!

  • Gone n' Rosette le 28/04/2009 à 09h27
    C comme cahiers du football.
    Longtemps l'OL ne fut la cible que d'un seul journal trotskiste, le quotidien l'Equipe, qui dans un effort constant de rabaissement du football français, n'a jamais reconnu les difficultés structurelles de la Ligue 1 comme facteur des contreperformances de l'OL en coupe d'Europe.
    Puis est arrivé un autre journal communiste, qui, prenant en grippe successivement le meilleur Président de Club de ces 25 dernières années, le meilleur conseiller spécial du Président de ces 15 dernières années et le meilleur attaquant à l'Est d'une ligne Place Bellecour/Place du pont a fait preuve d'une petitesse dans ces commentaires qui n'est pas sans rappeler la taille moyenne des Pygmées et des locataires de l'Élysée période 2007-2009.
    Heureusement, la magnanimité de l'OL a permis de passer outre ces attaques, notamment la remise d'un "Ballon de Plomb" au grand attaquant lyonnais Frédéric Piquionne, et de ne pas relever les éternels calembours surannées à propos desquels M Lacombe a l'habitude de répondre : "Je l'ai pas compris celui-là mais ils doivent encore se foutre de ma g****"

  • Qui me crame ce troll? le 28/04/2009 à 09h47
    Ce classment en relief fait peur.

    =>> Facile à shooter / Observatoire du journalisme sportif
    Oh, très très bien la une de L'Équipe : "Rennes dans l'arène".
    Je me demande ce que ça sera demain. "Gunigamp prend des gants" ? "TFC, poil au nez" ?
    ------
    J'ai vu des "Vannes ouvre les vannes" ou un truc du genre "Vannes a fini de blaguer".

  • Gael Moldovan le 28/04/2009 à 10h13
    'Vannes ne fait plus rire', non?

  • Rose & Borg le 28/04/2009 à 10h14
    C comme Cours de Bourse.
    L’évolution à la baisse du cours de bourse de OL Groupe ( lien – Coté à la Bourse de Paris), est le reflet du complot anti-lyonnais mené par l’ensemble des clubs de football (jaloux !), de la Ligue de football professionnel (qui osent ne pas redistribuer nos droits à la juste valeur de notre club), des arbitres (voleurs !) et de la presse spécialisée (et surtout ces faquins des Editions du 12 juillet, toujours prompts à s’abattre tels des vautours affamés sur notre équipe …) lesquels, fatigués de la naturelle suprématie de notre grand et formidable club, font tout pour ne pas nous accompagner dans notre dynamique de victoires, dynamique qui nous aurait un jour conduit sur le toit de l’Europe.
    Et na.

La revue des Cahiers du football