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Teenage kicks, day 28

Chelsea viendra-t-il concurrencer Arsenal et Manchester? En attendant, la Premier League a découvert son Damian Gregoreeny. Sur la route, on a aussi retrouvé Steed Malbranque et Daniel Cousin qui faisaient du stop. On les a fait monter.
Auteur : Gang of Five le 7 Mars 2008

 

pl_cer_28.jpg

Results

Birmingham-Tottenham: 4-1
Everton-Portsmouth: 3-1
Derby-Sunderland: 0-0
Arsenal-Aston Villa: 2-2
City-Wigan: 0-0
Newcastle-Blackburn: 0-1
Middlesbrough-Reading: 0-1
Bolton-Liverpool: 1-3
Fulham-United: 0-3
West Ham-Chelsea: 0-4

Liverpool-West Ham: 4-0 (match en retard)


Les cotes de la semaine

TK_cotes28.jpg

















La perf de la semaine

On en reparle plus bas, mais Chelsea, discrètement planqué à l’arrière du peloton, est en train de lancer un sprint de loin avec une puissance impressionnante. L’emporter 4-0 à West Ham, où MU a perdu, en donnant l’impression qu'à aucun moment leurs adversaires n'avaient la moindre chance, est une vraie performance. Personne ne parle des Blues, mais maintenant que les joueurs clefs sont de retour (Carvalho, Lampard et Terry n’ont joué qu’une vingtaine de matches cette saison), on conseille ardemment au duo de danseuses étoiles de ne rater aucune marche.


La lose de la semaine

Newcastle, une fois de plus. Dérisoires derrière, curieusement impuissants devant (trois grosses occasions pour Owen), les hommes de Keegan – dont on peut quand même se demander ce qui justifie son recrutement, hormis la nécessité de flatter le sens territorial du chaland – viennent de prendre deux points en sept matches en inscrivant trois buts. Et en faisant mourir d’ennui leurs spectateurs. Désespérant.


Les cinq gestes de la journée

• Le retourné assis de John Terry (Chelsea) qui sauve tranquillement sur sa ligne un lob pourtant intelligent de Carlton Cole, tout en se roulant une clope avec la main gauche et en reprogrammant le logiciel de gestion de l’hôtel de Stamford Bridge sur son PDA avec sa main libre.
• Le duo passe laser de Frank Lampard (Chelsea) – extérieur somptueux de Michael Ballack (Chelsea). Yeah baby, they’re back!
• La décision de la Football Association de retirer le carton rouge attribué à Frank Lampard pour une shadow-chamaillerie avec Luis Boa Morte (Ceci est un message subliminal à l’intention de la Ligue)
• Le grand chelem contrôle porte-manteau – talonnade petit pont – râteau – roulette de Nani (United) qui fait regretter que le centre consécutif ne trouve pas preneur, histoire qu’on arrête une bonne fois pour toutes de nous bassiner avec l’imitation maradonesque d’un ailier catalo-argentin.
• L’arrêt impeccable de Brad Friedel (Blackburn) sur un tir croisé ras de terre à moins de cinq mètres du gardien de Michael Owen.


Les cinq antigestes de la journée

• La tête plongeante au ras du sol de Jassi Jaaskelainen (Bolton) qui change in extremis la trajectoire d’un tir anodin de Steven Gerrard qui filait en sortie de but pour faire mourir le ballon dans le but vide. Malheureusement, le sien.
• L’extension de la jambe de Sol Campbell (Portsmouth), qui manque d’intercepter le ballon dans la surface qui va amener le but de Yakubu au bout de vingt secondes de jeu et qui prouve une fois encore que l’arthrose est bien une terrible maladie qui peut tous nous atteindre, un jour.
• Le placement de la défense de Newcastle qui, sur un corner en sa faveur à la dernière minute, parvient à placer ses quatre défenseurs (parmi lesquels Habib Beye, en passe de devenir un invité permanent de la rubrique), à jamais moins de trois mètres des deux contre-attaquants de Blackburn.
• L’enchainement lever de bras hasardeux en mauvaise imitation de Tony Adams – tacle dans son propre but de Philippe Senderos (Arsenal).
Derby-Sunderland. Terrifiant.


La déclaration de la semaine

Alex Ferguson, amer à propos de l’égalisation d’Arsenal: "C’était à la 95eme minute de leurs habituelles sept minutes d’arrêt de jeu".


High Four

logo_liverpool.jpgVolem rien foutre al païs
Les colères de Gerrard sont souvent payantes. Lorsqu’en 2004, il avait menacé de quitter un club affaibli par le manque d’ambition à la veille d’un match décisif contre l’Olympiakos, Liverpool s’était finalement qualifié (including un but décisif de Florent Sinama-Pongolle), permettant l’écriture de la légende stambouliote. Résultat identique trois ans plus tard (Gerrard, Aurelio et Babel) et trois jours après la sortie de son capitaine regrettant de ne jamais réussir à se mêler à la lutte pour le titre domestique.

En face, Bolton, désormais plus proche que jamais de la ligne de flottaison, présente la particularité fâcheuse de réussir des débuts de parties tonitruants avant de se dissoudre au fur et a mesure que les matches avancent. Cette fois encore, après un coup franc d’El-Hadji Diouf (dont on ne rappellera jamais assez par mauvais esprit qu’il figurera éternellement comme sociétaire de la liste des 125 meilleurs joueurs de l’histoire dévoilée par la FIFA) qui s’échouera sur la barre, les Wanderers s’écrouleront à la première contrariété: le csc de Jaaskelainen. S'ensuivra jeu monocorde essentiellement aérien - dans le mauvais sens du terme - de même nature que ce lui qui a fait pleurer de rage Nicolas Anelka avant son rapatriement sanitaire à Chelsea.

Il n’en reste pas moins que les Reds, dans leur positionnement favori du moment à l’extérieur (Torres en pointe, trois joueurs offensifs derrière lui), semblent trouver une cohérence et une consistance de plus en plus impressionnantes. Martin Skrtel semble être la pièce défensive manquante qui a tant fait défaut fin 2007. Surtout, Ryan Babel, qui alternait jusqu’ici entre le moyen et l’erratique, vient de livrer sa prestation offensive la plus aboutie. Au risque d’être en désaccord avec Dieu, l’approche des matches décisifs en Coupe d’Europe rend cette équipe carnassière, et cette réappropriation culturelle pourrait avoir des effets heureux dans la quête de cette indi$pen$able quatrième place.


logo_arsenal.jpgUn nul sinon mieux
La joie qui se lisait sur le visage d'Arsène Wenger après le coup de sifflet final traduisait tout le soulagement issu de l'égalisation de Bendtner dans les ultimes secondes des arrêts de jeu face à Aston Villa. Ce but inespéré apporta un peu de baume au mental forcément atteint des coéquipiers d’Eduardo, avant leur déplacement décisif à Giuseppe-Meazza. Il permit aussi aux Gunners de garder la tête du championnat, même si les bookmakers désignent désormais Manchester United comme favori au titre.

Et si Arsenal se devait de conjurer le sort après trois matches sans victoire, si William Gallas – tant décrié après sa saute d'humeur contre Birmingham – devait réaffirmer son rôle de patron, et enfin si Adebayor espérait retrouver le chemin des filets, aucun de ces objectifs ne fut totalement atteint.
À cause de Villains qui se présentèrent avec un véritable projet de jeu... Martin O'Neill avait mis en place un 4-4-2 très compact défensivement, et placé en attaque une paire très complémentaire: Carew pour fixer et faire des déviations et le très remuant Agbonlahor pour prendre les espaces. Ce positionnement s'avéra payant. Villa ne fut que rarement mis en difficulté, grâce surtout à des milieux qui s'appliquaient à couper les trajectoires, rendant inopérant le jeu habituel de leurs adversaires. Devant et en contre-attaque, la jeunesse et la vitesse d'Agbonlahor firent merveille face à un Gallas qui a fait son âge, et c'est presque logiquement que Senderos ouvrit le score contre son camp. Quelques occasions de part et d'autre et malgré un Carew reconverti en milieu défensif, les Gunners attendront la 93e minute avant de réussir à égaliser. Sur un centre de Clichy, Bendtner reprenait victorieusement une remise de la tête d'Adebayor.
Après un nul à Anfield, Stamford Bridge et à l'Emirates, et avant un déplacement à Old Trafford, l'équipe d’O'Neill aura démontré qu'elle était un candidat sérieux au dernier strapontin qualificatif pour la C1.



logo_manchester.jpgR.A.S

Le public de Craven Cottage est chambreur. À défaut de trouver un quelconque enthousiasme dans le spectacle proposé par leurs joueurs, les supporters préfèrent jouer avec les nerfs de l’équipe adverse. Bien sûr, ça ne marche jamais (Ronaldo est par exemple sifflé sur tous les terrains d’Albion), mais ça a au moins le mérite de relever un peu l’intérêt du match.

Car Fulham est faible, et on ne voit pas ce qui pourrait les sauver de la relégation. L’équipe A’ de MU n’a ainsi eu aucun mal à enfoncer les Londoniens, et ce en marquant vite par Hargreaves (15’). Davies lui-même les aida en y allant de son petit but contre son camp.
Manchester préparait ainsi idéalement son huitième de finale face à Lyon. Grâce au match nul d’Arsenal, les Red Devils reviennent à un point. La fin de saison s’annonce palpitante en Angleterre.


TK_manubanc.jpg
Saha qui joue plus d'une mi-temps, forcément, ça attise les regards.

logo_chelsea.jpgSi j’avais un Hammer

Il s’agissait pour Chelsea de garder le contact avec le duo infernal. Très critiqué après la finale de la League Cup pour des choix tactiques que l'on qualifierait sous nos latitudes de perrinesques, Grant revient au 4-3-3 mourinhien en associant enfin le duo Lampard Ballack devant Makelele. Se payant le luxe d'un banc galactique avec Essien, Malouda et Drogba. L1 Represent. C'est également l'occasion pour Lampard et Joe Cole de retrouver le stade des Hammers, eux qui sont issus, comme Ferdinand, Carrick ou Defoe, de ce que l'on nomme Outre-manche "The Academy". Des Canaris locaux, mais qu'on appelle ici des Marteaux.

La présence de Faubert chez eux n'empêchera en rien les Blues de surclasser leurs adversaires. Lampard sur penalty, J. Cole après une magnifique combinaison avec Anelka titularisé en pointe, puis Ballack d'un extérieur somptueux, assomment West Ham en cinq minutes. Alors qu'on s'attend à voir sombrer les Violets, Lampard rejoue Un justicier dans la ville en s'essuyant les crampons sur Boa Morte et récolte un rouge. Réduits à dix, les Chelsea Boys vont faire face à de sporadiques réactions, Cech et Terry s'employant devant notamment l'ancien baby Blue, Carlton Cole. Finalement, c'est un troisième Cole, Ashley, qui clôt la marque, son premier but en bleu. Le stade offrira une ovation à l'enfant du pays J. Cole.

Ce carton des Blues vient à point nommé avant les prochaines réceptions de MU et Arsenal. L'équipe semble monter en puissance avec le retour en forme de joueurs cadres, et l'association Lampard-Ballack est pleine de promesses. La prochaine venue de la lanterne rouge Derby devrait permettre d'accumuler un peu plus de confiance, et à Grant de trouver la formule magique pour associer Anelka et Drogba.



TK28_Bywater.jpgLa découverte à l’envers :
Stephen Bywater


Wanted! Cet homme est en fuite. Depuis qu’il a quitté son club de Derby County, le 31 janvier dernier, pour Ipswich Town, actuel sixième de Championship et à la lutte pour les play-offs, le leader à l’envers de Premier League a pris deux points en quatre matches. Un total énorme.

Or, depuis 1995 et le passage de la Premier League de 22 à 20 clubs, le record du plus petit nombre de points est détenu par Sunderland (saison 05/06) avec 15 points. Derby en possède aujourd’hui 10, et pouvait se révéler un challenger sérieux avec un tel gardien
Les entraîneurs successifs de Derby ont pu compter sur la régularité de Bywater, gardien à l’ambition internationale avouée, complet sur le terrain et généreux dans la vie (ou l’inverse). Deux petites erreurs ont pourtant failli lui coûter cher: aucun but encaissé contre Newcastle – seule victoire de l’année – et à Fulham.

Malheureusement, après avoir ramassé 41 ballons dans ses filets en 18 matches, le Mancunien de naissance s’affaiblit juste avant le Boxing Day. Et alors qu’il revenait en bonne forme, Laurent Robert le traita de "bon gardien". Une insulte qui le déprima pendant deux bonnes semaines (17 arrêts!).
Derby recruta alors Roy Carroll, ex-gardien remplaçant de Fabien Barthez. Un transfert qui en disait long sur les ambitions du club. Les supporters le comprirent et manifestèrent pour la réhabilitation de Bywater.
Trop tard, le mètre 88 trouvait déjà ses repères à Ipswich. Aujourd’hui, il s’y sent bien. En encaissant un but par match, il est dans sa moyenne basse, mais mise sur la durée. Et se sent confiant pour la promotion de son nouveau club, misant sur un hat-trick inédit à ce niveau (montées consécutives avec West Ham et Derby).



TK28_malbranque.jpgAncien combattant: Steed Malbranque

"À titre personnel, ce trophée [la Carling Cup] est aussi la preuve que j’existe toujours, car j’ai l’impression que la France m’a oublié" déclarait Steed à la sortie du match qui opposait son équipe, Tottenham, aux vaincus du jour, Chelsea. Pas complètement faux, maintenant que les redoutables Belges ne sont plus en mesure de bénéficier de ses services. Privilégiant la modestie, Steed ne brigue pas une place pour l’Euro, mais juste un peu de reconnaissance.
 
Il ajoute: "C’est une grande émotion, plus forte qu’en 2001, quand j’avais gagné la Coupe de la Ligue française avec Lyon. J’étais alors remplaçant, je n’en avais pas vraiment profité". Ce trophée acquis en Angleterre est donc le second de sa carrière, après un passage infructueux à Fulham. Il y avait alors, du côté de Craven Cottage, un effectif francophone plutôt riche: Goma, Legwinski, Saha, Marlet, et Jean Tigana sur le banc. Il y passe cinq ans, puis change de club (mais pas de ville).
 
A Tottenham, il est le joueur le plus utilisé après Chimbonda sur l’ensemble de la saison, et le remplacement de l’abscons Martin Jol par le charismatique Juande Ramos n’y change rien. Ce qui tend à démontrer sa qualité et son engagement. A 28 ans, sa régularité est exemplaire, jouant en moyenne trente matchs par saison pour cinq buts marqués. Malbranque brille par son investissement. Il ne crache pas sur l’arbitre et ne participe pas à des soirées organisées par Rio Ferdinand. In fine, un joueur discret et discipliné sur qui on peut compter. Mais pas de quoi alimenter les pages de News of the World ou de L’Equipe. Sobre et un peu triste, parfait en somme pour les Spurs.



Cousin, les chips et les pizzas

Ces derniers jours, la FIFA a rendu son jugement à propos de la dérogation qui aurait permis à Daniel Cousin d’être transféré à Fulham. Les règlements de l’instance internationale stipulent en effet qu'un joueur ne peut pas évoluer sous trois maillots différents dans la même saison, sauf dérogation. Rejetée dans le cas présent. Elle met ainsi fin au feuilleton Cousin qui, après avoir foulé les pelouses hexagonales en août dernier, partait à Glasgow dans la foulée.

Malgré dix-huit matches, dont quinze en tant que titulaire, le championnat écossais ne lui sied guère, et Cousin ne se gêne pas pour souligner l’hygiène de vie aléatoire de ses coéquipiers, dans un de ces morceaux de bravoure qui placent l’ex-Lensois au panthéon de l’anthropologie culturelle comparative, juste à la droite de José Antonio Reyes (l’auteur du très controversé "Les filles anglaises sont toutes laides et en plus, il n’y a vraiment rien à faire à Londres", éditions Santiago-Bernabeu, 2006). Cousin déclara en effet: "Les joueurs écossais aiment boire. […] Comme s’ils avaient besoin de recharger la machine. Il y a aussi des chips et des pizzas dans le vestiaire, à la fin des matches, en plus du Coca-Cola et du ketchup. Je suis surpris lorsque je vois le physique de certains d’entre eux". Une déclaration qui ne passe pas inaperçue. Écarté, le Gabonais a des envies de changement. Et voit dans la proposition de Fulham, berceau des diètes de footballeur, l’occasion idéale de s’éloigner de ses nouveaux copains.

Il est vrai que le club londonien offre un challenge des plus alléchants: ne pas se faire rattraper par Derby County, neuf points derrière. Malheureusement, la FIFA lui barre le chemin et le condamne à croupir sur le banc écossais jusqu’à la fin de la saison (ou jusqu’à l’indulgence de son coach). "Nous sommes très déçus. C'est très frustrant pour toutes les parties", déclare Martin Brain, le directeur exécutif des Rangers. Preuve que les prochains mois seront longs, très longs pour Cousin.

Réactions

  • Qui me crame ce troll? le 07/03/2008 à 14h19
    Très bonne gazette. Même sur papier, la Premier League est plus glamour que la Liga.

  • richard le 07/03/2008 à 14h54
    "Sobre et un peu triste, parfait en somme pour les Spurs."

    Je me doute que c'est une petite pique pas méchante mais un peu de respect, please.

    Sobre et un peu triste, le club d'Ossie, des Diamond Lights, de Ginola ?

  • Mister Frisk le 07/03/2008 à 15h27
    C'est vrai que Tottenham a quand même une tradition de beau jeu. Mais bon eux ils ont pas Nick Hornby !

  • boniek le 07/03/2008 à 16h39
    Pendant ce temps, Daniel Cousin marque avec les Rangers contre Brême.

  • pavlovitch le 07/03/2008 à 18h17
    • Le grand chelem contrôle porte-manteau – talonnade petit pont – râteau – roulette de Nani (United) qui fait regretter que le centre consécutif ne trouve pas preneur, histoire qu’on arrête une bonne fois pour toutes de nous bassiner avec l’imitation maradonesque d’un ailier catalo-argentin.

    ***

    Et ce paragraphe, il est garanti à 0% de mauvaise foi?

  • Tricky le 07/03/2008 à 19h15
    richard
    vendredi 7 mars 2008 - 14h54
    "Sobre et un peu triste, parfait en somme pour les Spurs."

    Je me doute que c'est une petite pique pas méchante mais un peu de respect, please.

    Sobre et un peu triste, le club d'Ossie, des Diamond Lights, de Ginola ?
    ----------
    Et encore : de Berbatov, Robbie Keane, Lennon, Bale, etc...

    Et ca produit quelque chose sans âme, qui se traine en milieu bas de PL.

  • Toni Turek le 07/03/2008 à 19h30
    Zbigniew > Euh, c'est plutot Wiese qui a un peu (beaucoup) faute, quand meme...

  • Mullet le 07/03/2008 à 22h28
    pavlovitch
    vendredi 7 mars 2008 - 18h17

    Un attaquant argentin prodige est toujours référencé par rapport au nec plus ultra qu'a été Maradona.
    Le référent portugais est moins lourd à porter (tout du moins de ce qu'en disent les médias).

  • Le_footix le 08/03/2008 à 12h12
    Ce qui fait peur, ce n'est pas que Newcastle soit complètement nul...


    C'est qu'il y ait, dans le "meilleur championnat du monde", pas moins de sept équipes encore plus nulles qu'eux !!

  • Tricky le 08/03/2008 à 15h00
    Pas certain que ca fasse sept a la fin !

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