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Gaceta de la Liga - Jornada 22

Restons dans l'ibère nation avec le journal du championnat espagnol, dans lequel les stars se marchent les unes sur les autres et qui innove avec le Classement en barre.
Auteur : Antoine Faye le 8 Fev 2008

 


Le classement en barre

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Les 4 gestes de la journée

• La belle couverture de balle d'Henry qui met une talonnade dans la course de Leo Messi, dont le tir manque le cadre.
• La main ferme de Diego Alvés, portier d’Almería, sur la tête de Raúl.
• L’enchaînement grand pont (sur le dernier défenseur), lob (sur le gardien) qui permet à Luis Fabiano (Séville) d’ouvrir le score sans rien devoir à personne, contre le Recreativo Huelva.
• La diffusion, sur les écrans du stade de Levante, d'un "Merci De Blasi" qui remercie l'entraîneur de ne pas avoir donné suite aux propositions qui lui ont été faites pendant le mercato.


Les 2 anti-gestes de la journée

• La demande d’explication, plutôt musclée, des joueurs de l’Atletico Madrid à De Coz, dont les crampons ont fortuitement provoqué la blessure du Kun Agüero.
• Le geste de buteur parfait de Riga (Levante), à deux mètres du but. Il ne manquait que le ballon.



La lutte pour le titre


Almería-Real Madrid : 2-0

Coup de tonnerre sur la Liga. Le Real a perdu. Et de surcroît, chez un promu. Une défaite du Real ne constituant pas un évènement logique, la presse veut rationaliser le résultat. Suffisance? Non. Joueurs en baisse de régime? Non plus. Quoi alors? Emery a battu Schuster dans le match tactique des deux entraîneurs.
Avec huit victoires consécutives, neuf points d’avance et un goal-average particulier favorable face au Barça, le Real arborait la rencontre avec une schizophrénie remarquable. Car tandis que les joueurs calmaient le jeu pendant la semaine (Batista et Torres avertissant que la Liga n’était pas terminée), Ramon Calderón ne manquait pas l’occasion de pavoiser "Nous avons une équipe d’hommes (…) ce sera difficile de nous battre".

Le match a été presque aussi ennuyeux qu’à l’habitude. Avec une surprise: la supériorité du Real dans les statistiques (58% de possession de balle, sept tirs cadrés contre trois). Almería a eu le bonheur d’ouvrir le score très tôt, grâce à Juanito qui, d’une frappe en coin, profitait victorieusement d’un dérapage artistique de Cannavaro (15e).
Ce but plongeait le Real dans un profond coma, entretenu par la pression almériane au milieu, qui a étouffé Guti et asphyxié Diarra et Sneijder. En un mot, les locaux ont laissé au Real l’obligation de créer et non de contrer. Les Merengues, dont l’inspiration n’est pas la force majeure, ont montré leurs limites. Mis à part un contre mal achevé par Raúl et une montée rageuse de Sergio Ramos, rien n’a troublé la quiétude des supporters d’Almeria en cette première mi-temps.

À peine revenu des vestiaires, Fabio Cannavaro se met à nouveau en évidence: l’Italien commet une faute grossière dans la surface, et Negredo transforme le penalty accordé par Clos Gómez. Le Real, comme à chaque match, disposera bien de quatre actions franches, mais à la différence des dernières semaines, le réalisme a fait défaut aux madrilènes. Grâce à deux arrêts décisifs de Diego Alves, le gardien brésilien d’Almería a maintenu le Real hors du match.
Déjà bredouilles, les Madrilènes remmènent dans leurs valises deux blessés: Van Nistelrooy et Ramos. Rien de grave, mais juste assez pour leur éviter les matchs amicaux de leurs sélections respectives dont ils sont des éléments clés. Pour le Real, certaines blessures tombent rudement bien.





Barcelona-Osasuna: 1-0

Un amas de joueurs couverts de boue, et une pluie battante. C’est l’image qui restera du Barça-Osasuna. Le Camp Nou a vécu quelque chose de spécial. Ce n’était pas Rivaldo contre Valence, ou Belletti contre Arsenal, mais cela y ressemblait… quelque chose d’important. Quatre-vingt huit minutes d’agonie, et le but libérateur de Xavi, qui ramène les Blaugranas à six points du rival merengue.

Connaissant le résultat madrilène, les Catalans avaient interdiction de perdre, pour mettre un semblant de pression au Real. Une opportunité unique. Rijkaard, comme il l’avait fait en coupe, laisse sur le banc Xavi et Ronaldinho. Messi, auteur d’un match colossal, mercredi, est maintenu malgré son récent retour de blessure. Henry, buteur, mais peu inspiré, conserve sa place sur le flanc gauche et Bojan son poste de titulaire.
Les hommes de Rijkaard démarrent le pied au plancher. Le Barça se crée quatre occasions dans les dix premières minutes. Messi, manque le cadre par deux fois, puis Henry et Bojan, chacun leur tour, mettent Ricardo à l’épreuve. Entre temps, seul Monreal a profite de la passivité de la défense catalane pour répondre. Petit filet. Avertissement sans frais.

Comme souvent, le Barça baisse le pied, passée la 20e minute. Par la suite, interviendront quelques situations chaudes devant les buts navarrais, mais les Blaugranas pèchent dans le dernier geste. Pour la galerie, l’action de Messi peu avant la mi-temps: deux crochets modèle mouchoir de poche et une frappe qui s’échappe. Le Barça plait à voir… Même Thuram est dans le ton, c’est tout dire.

Au retour des vestiaires, le Barça a abandonné son jeu et Osasuna ose s’approcher des buts de Valdés. Passent les minutes et la patience du Camp Nou. L’opportunité de se rapprocher du Real s’enfuit. Henry est remplacé par Giovani (60e), puis Messi par Ronaldinho (67e).
Changements moins voyants que l’entrée de la pluie dans le ciel barcelonais. Le déluge fait fuir les spectateurs sous les places couvertes. Pendant ce temps, le Barça se bat, Ronaldinho va jusqu’à défendre, c’est dire. Osasuna n’existe plus. Le Barça monopolise le ballon, mais peine à s’approcher du but de Ricardo. Le terrain se gorge d’eau. Les hommes de Rijkaard sont sur le point de boire la tasse.

Puis entre Xavi, le sacrifié de service. Deux minutes avant la fin du temps réglementaire, Giovani arrache un ballon côté gauche, le donne en retrait à Iniesta, qui frappe. Ricardo se livre, la défense Navarre repousse le tir sur Xavi, aux vingt mètres. Le milieu barcelonais envoie le ballon au fond des filets. Des terceras à la tribune présidentielle, le Camp Nou exulte sans aucune retenue. La Liga reste à portée de rêve.






Getafe-Espanyol : 0-1

Un cas d’école… Une équipe joue bien, livre une belle prestation, produit du jeu, se crée des occasions, mais ne marque pas… En face, l’équipe adverse n’a besoin que d’un contre pour prendre l’avantage. C’est – à grands traits – le résumé de ce duel, disputé sous une pluie battante.

Les deux équipes arrivaient à ce rendez-vous suivant des dynamiques contraires: Getafe, avec trois succès consécutifs en Liga, recevait l’Espanyol dont la dernière victoire remontait au 5 janvier. Paradoxalement, ce sont donc les joueurs de Valverde qui se sont imposés.
Dans un match initialement très équilibré, Getafe domine territorialement, mais l’Espanyol, en contre, se montre plus dangereux. Sur une de ces actions éclairs, De la Peña ouvre pour Rufete, qui déborde côté droit, et sert Jonathan Soriano en retrait, au point de penalty, pour l’ouverture du score (17e). Action d’école. Cinq minutes plus tard, un mouvement identique permet au futur ex-olympien Valdo d’écraser son tir sur la barre.
Par la suite, l’Espanyol disparaît du match et Getafe tente de réagir. Mais sans succès. Car la défense blanquiazul contient les attaquants azulones. L’équipe de Laudrup pêche dans le dernier geste. Et quand bien même Casilla, le gardien de l’Espanyol, manque son intervention, le ballon se refuse à rentrer. Quand ça veut pas…
 
De ce match finalement assez sombre, l’Espanyol a obtenu une précieuse victoire, et il profite des contre-performances de ses concurrents directs pour la Ligue des champions – Villarreal et l’Atlético ont été mis en échec sur leurs pelouses. Et voilà comment les espanyolistes  récupèrent la troisième place de la Liga.


Atlético-Murcie : 1-1

Sale journée pour l’Atleti. Une nouvelle fois, les élèves d’Aguirre ont perdu des points à domicile. À l’élimination peu glorieuse en Coupe contre Valence, au cours d’un match où les deux équipes ont rivalisé d’erreurs, les Madrilènes ont confirmé que leur défaite contre le voisin Merengue a changé le rythme de leur saison.

Et au-delà du mauvais résultat sportif, le club du Manzanares a également perdu Agüero, blessé pour dix jours, suite à un coup involontaire de De Coz. Ce fait de jeu, bien que fortuit, n’empêchera pas les locaux de sérieusement s’en prendre au défenseur murcian, après le coup de sifflet final.
Sur le match en lui-même, rien de transcendant à signaler. La faute à un match. L’Atlético débute fort, et monopolise le ballon. Forlán ouvre même la marque pour les locaux, mais Lizondo Cortés annule – à juste titre – le but de l’Uruguayen.
Le match, qui sera haché par quarante-cinq fautes, bascule en début de deuxième mi-temps: dans la surface murciane, Notario, le gardien, et Agüero luttent pour un ballon. Penalty? Non, selon l’arbitre. Sur l’action murciane qui suit, Eller, défenseur de l’Atléti, accroche Ivan Alonso dans la surface. L’arbitre, cette fois-ci, accorde le penalty, que Jofre transforme (51e).

Agüero tente de prendre le jeu à son compte, en ne cédant pas à la précipitation. Sur une belle percée, Luis García, entré quelques minutes plus tôt, égalise d’une belle croisée du gauche à l’entrée de la surface. Le public du Calderón pousse quelques instants, le temps qu’Agüero se blesse.

Malgré le poids de l’absence, l’Atleti s’ingénie à percer la défense adverse. A la 89e minute, Maxi Rodríguez manque la balle de match. À la réception d’une ouverture de Luis García, l’Argentin, aux six mètres, enlève trop sa frappe. Deux points s’envolent. Les joueurs d’Aguirre quittent les places donnant droit à la Ligue des Champions, ceux de Murcie entrent en zone de relégation.



Villarreal-Mallorca: 1-1

Guy Roux aime à dire que sur une saison, les erreurs d’arbitrage s’annulent. Sur le vu du match opposant Villarreal à Mallorca, cette formule se vérifie. Car c’est à la faveur d’une erreur arbitrale que les deux équipes ont pu marquer. Un penalty inexistant pour Villarreal, et une grosse compensation pour Mallorca. Pas de jaloux.
Durant les vingt-cinq premières minutes, on assiste à un match plaisant. Villarreal cherche à construire, et faire la différence par sa vitesse de jeu. Les Majorquins, logiquement, patientent et tentent d’exploiter toute possibilité de contre, laissant à Güiza le soin de semer la panique dans la défense. Du tac au tac.

Puis l’arbitre entre en scène. Cazorla est fauché par un coup de vent, et Rodriguez Santiago se laisse prendre. Rossi transforme l’occasion et inscrit son dixième but en Liga (26e). Il ne faudra pas plus de dix minutes à l’homme en jaune pour compenser. Sur un corner, Godín et Ballesteros s’accrochent passionnément. Penalty, que marque Bassinas (38e).
Avant la mi-temps, les joueurs de Pellegrini tentent de forcer la décision par Godín et Nihat, mais Moyà s’interpose à chaque fois. Un quart d’heure de pause, et au retour des vestiaires, on efface tout et on recommence de plus belle.

Villarreal prend le jeu à son compte et dispose de trois occasions dans les dix premières minutes. La suite du match, sans être dépourvue de jeu, est plus équilibrée. Rossi, pour Villarreal, et Güiza pour Mallorca, manquent l’occasion d’ouvrir le score. La fin de match est marquée par les débuts en Liga d’Emilio Nsue, dix-sept ans, une promesse dont les dirigeants insulaires attendent beaucoup.



A travers la presse

"Un but de Xavi sauve un match infâme des Azulgranas" – Marca.
"Lotina et le Depor s’échappent de la relégation" – Sport.
• "Le Real reçoit une cure d’humilité" – Sport.
• "Cette fois-ci, il n’y a pas eu d’invasion de terrain ou d’embrassades passionnées sur la pelouse (…) mais le barcelonisme a vécu une nuit de catharsis" – AS.



Ils ont dit

"Quand le ballon ne veut pas rentrer, il n’y a rien à faire" – Pablo Hernández, Getafe.
"Cette défaite nous fera du bien" – Bernd Schuster.
"Si une équipe méritait de gagner ce match, c’est bien Levante. Nous n’avons pas été au niveau" – Marcelino.
"Le but de Xavi vaut peut être une Liga" –  Giovani Dos Santos.



Chiffres

37 ans et 18 jours : l'âge Armando, gardien remplaçant devenu le plus vieux débutant de l’histoire de l’Athletic.

0,66 : le nombre moyen de buts, par match, inscrit par le Barça depuis le départ de Samuel Eto’o pour la Coupe d’Afrique des nations. Quatre buts en six matches, pour être précis.

42: le nombre de glissades des joueurs madrilènes sur la pelouse d’Almería. Le Real Madrid n’ayant aucun fournisseur officiel de crampons, les entreprises intéressées peuvent contacter Mr Calderón, à Madrid.



La polémique : guerre des TV, épisode 3471

Depuis le début de la saison, les droits de diffusion de la Liga posent d’insolubles problèmes aux amateurs de football. Alors que la Sexta (groupe Mediapro) est titulaire des droits de la Liga pour diffuser un match par semaine, en hertzien, ses équipes techniques ont été interdites d’entrée du stade par les dirigeants du Betis, samedi dernier.

Cette interdiction a permis à une chaîne concurrente, TeleCinco, de diffuser en exclusivité le signal émis par AudioVisual Sport (Groupe Sogecable) qui possède les droits de diffusion des clubs (subtile nuance). Cette société met en avant un retard de paiement des droits, de la part de Mediapro, pour céder les droits de diffusion du match du samedi soir à la chaîne la plus offrante, et ainsi appliquer la loi espagnole qui prévoit la diffusion d’un match par semaine en hertzien.

Pour compenser l’affront, la Sexta a diffusé Saragosse-Athletic, qui se jouait à 17 heures en même temps que cinq autres matches diffusés en Pay Per View (service proposé par AudioVisual Sport). La conséquence est double: d’une part, il est difficile à l’amateur de football de savoir qui va diffuser quoi, et d’autre part, les clubs jouant le dimanche à 17 heures subissent une baisse de 50% du nombre d’achat des matchs en Pay Per View.



Noms propres

Marca
Véhicule de l’information officielle du Real de Madrid, le quotidien sportif du groupe de presse Alianza Editorial (très à droite) fête son 70e anniversaire. C’est en hommage à cette date incontournable que l’Espagne a reçu l’équipe de France ce mercredi. On a peine à imaginer les Bleus jouant un match amical pour fêter l’anniversaire de L’Équipe. Surtout si Aimé Jacquet est invité à donner le coup d’envoi honorifique.

Andrés d’Alessandro
Le Cabezón (tête de mule) donne enfin un motif de réjouissance aux supporters de Saragosse. Dans les dernières heures du mercato hivernal, le joueur s’est engagé avec le club argentin de San Lorenzo (aidé par un groupe d’investisseurs) contre 3,5 millions d’euros (la moitié des droits). Saragosse peut actionner une clause de repêchage en décembre prochain. Mais ce serait bien étonnant.


Noms impropres

Après les Ultras Surs, c’est à nouveau un groupe de supporters qui remporte le titre de plaie du sport. Les bonnes relations entre les Biris du FC Seville et les Riazor Blues, du Depor ont favorisé une alliance de circonstance, qui s’est caractérisée par de violents heurts avec des groupes de supporters du Betis. Voitures brûlées ou endommagées, dix blessés dont deux graves et quatre interpellations: tel est le bilan des incidents.



L'équipe type

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L'équipe pauvre type

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Ces sélections sont établies sur la mauvaise foi des classements de la presse madrilène (AS et Marca) et catalane (Sport et Mundo Deportivo) pour 50% de la note finale chacune.

Réactions

  • Le_footix le 08/02/2008 à 10h04
    "Marca
    Véhicule de l’information officielle du Real de Madrid, le quotidien sportif du groupe de presse Alianza Editorial (très à droite) fête son 70e anniversaire. C’est en hommage à cette date incontournable que l’Espagne a reçu l’équipe de France ce mercredi. On a peine à imaginer les Bleus jouant un match amical pour fêter l’anniversaire de L’Équipe. Surtout si Aimé Jacquet est invité à donner le coup d’envoi honorifique."

    Et encore: l'Equipe, pour moi, est beaucoup plus une institution dans le monde du sport - à l'origine, notamment, de la création de la Coupe d'Europe des clubs champions - que Marca !

  • Olf le 08/02/2008 à 16h18
    Bravo pour "l'ibère nation", j'adore.

    Le classement en barre, c'est rigolo, mais moins parlant que le classement en relief, si je peux me permettre. En plus, ne mettre aucune barre à Levante, c'est pas très gentil. Ils ont quand même plus de points que les Messins...

    Pour le reste, rien à dire. C'est toujours très intéressant, surtout qu'on en apprend plus dans la "Gaceta" que dans l'EDD.

  • funkoverload le 08/02/2008 à 18h30
    SI j'ai bien compris, Levante, dernier, a tenu coûte que coûte à garder son entraîneur ?

  • aulasticot le 08/02/2008 à 21h14
    C'est juste que Levante est pleine crise financière, au bord du dépôt de bilan. Paraît que les salaires de Kapo et Luyindula les auraient plombés... Du coup, si De Blasi avait voulu partir, les dirigeants ne l'auraient pas retenu. Quand à le virer, ça veut dire indemniser, ça ne les arrange as non plus. Ceci expliquant cela.

    Sinon, c'est toujours bien cette gaceta, de plus en plus complète, c'est nikel. Ah si, juste un truc parce que sur la liga j'aime bien chipoter, Coloccini a joué arrière droit samedi et en aucun cas en 6. Mais c'est vrai qu'il a fait un super match.

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