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La Gazette > 16e journée

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 5 Dec 2007

 

C'est probablement le moment de dire au revoir à l'OL, qui part jouer tout seul dans les sommets. Derrière, Bordeaux, Le Mans et Valenciennes font les "bonnes opérations" de la journée (+ 3 points), tandis qu'on se presse dans le ventre mou, les uns tâchant de s'en extraire, les autres de l'intégrer.
Tout en bas, à trente points de la tête, le FC Metz compte douze fois moins de victoires que l'Olympique lyonnais.

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Les résultats de la journée

Lyon-Strasbourg : 5-0
Bordeaux-Toulouse : 4-3
Valenciennes-Rennes : 3-0
Le Mans-Nancy : 2-1
Monaco-Nice : 1-1
Lille-Marseille : 1-1
Lorient- Saint-Étienne : 1-1
Metz-Auxerre : 0-1
Paris SG-Caen : 0-1
Sochaux-Lens : 0-2



Les 5 gestes de la journée

• Le sauvetage de Runje, lobé par un tir contré de Quercia, mais qui parvient à sortir le ballon de sa trajectoire en courant vers ses buts.
• L’ouverture en profondeur d’Obraniak, qui lobe le double rideau défensif de l’OM en brossant joliment le ballon du pied droit, de sorte qu’il s’écarte de Rodriguez et Mandanda pour se placer parfaitement dans la course de Kluivert.
• L'ellipse parfaite du centre de Matsui pour Gervinho qui, d'un maître contrôle, se met en position idéale pour aligner Bracigliano.
• L'ouverture en profondeur d'Ilan pour Gomis, qui convertit cette belle droite en jolie courbe vers la lucarne.
• L'enchaînement revival José Touré 83 de Saïfi: sombrero du droit, volée du gauche dans la même foulée, qui élimine Sall et rend Janot impuissant.


Les 3 antigestes de la journée

• Le ciseau complètement dévissé par Niang à deux mètres du but, qui attrape quand même l’intérieur du poteau tout en lobant misérablement Sylva dans sa chute.
• La reprise d’Arrache sur la ligne des 5,50m au second poteau, bloquée d’une main par Sylva pourtant sur les fesses, qui devrait inciter le staff médical à surdoser les prescriptions de vitamines.
• Le drible extérieur roulé boulé de Ceara en position de dernier défenseur qui rate le ballon, puis l’homme en dernier recours, ce dont profite Florentin pour enfoncer encore un peu plus le PSG.



La bannette

Le jugement de Salomon Lapalisse
Pape Diouf (om.net) : "Je pense que le partage des points est un résultat équitable".

Le trophée alternatif
Julien François (Le Républicain lorrain) : "On l'a vu ce soir, après le but auxerrois, l'équipe avait des semelles de plomb".

Le fort en préliminaires
Sylvain Monsoreau (ogcn.net) : "On avait envie de bien faire. On a bien réussi jusqu'à trois minutes de la fin".

La dispersion générale
Lilian Laslandes (ogcn.net) : "Lorsque l'on a vu les Monégasques courir dans tous les sens après leur but, ça nous a agacés". Alors qu'ils étaient juste allés remercier un à un les spectateurs du Stade Louis-II. 

L'abandon du maillot à rayures
Éric Gerets (om.net) : "Les joueurs sont plus unis sur le terrain".

La leçon de réalisme
Lilian Laslandes (ogcn.net) : "Jean Pierre Papin me disait toujours qu'un attaquant a toujours au moins une opportunité de frappe dans un match". Enfin, c’était avant qu’il devienne entraîneur de Lens.

Le surclassement à l’envers
Nicolas Florentin (sport24.com) : "Nous ne voulions surtout pas être les premiers à perdre au Parc cette saison".

Le coup de la béquille
Nicolas Florentin (sport24.com) : "Le contexte de ce soir (…) ne pouvait que nous servir et handicaper les Parisiens. (…) Nous sentions qu’il ne fallait pas grand-chose pour les faire trébucher". Salaud, t’étais sûr qu’ils ne se relèveraient pas.

La reconversion en Philippe Risoli
Pape Diouf (om.net) : "Je pense que nous devons sortir davantage la tête de l’eau et pourquoi pas animer la deuxième partie du championnat qui débutera en janvier?"

La reconversion en Jean-Pierre Adams
Laurent Blanc (tfc.info) : "On a vu l'image de Bordeaux, capable de faire une très bonne première mi-temps, mais capable de débrancher la prise par la suite".

La jeunesse en manque de repères
Bafé Gomis (asse.fr) : "Une de mes actions aurait mérité mieux qu’une sortie de touche".

Les nuages sombres
Ludovic Obraniak (sport24.com) : "On peut sortir du terrain la tête haute". Pour regarder sur le panneau lumineux les résultats du PSG, de Sochaux et de Metz?

L'inconscient qui fait surface
Laurent Roussey (asse.fr) : "Nos derniers matches à l’extérieur sont de bonnes factures".

Le seuil de compétence
Salim Arrache (om.net) : "Je veux faire le beau geste, du plat du pied, et j’écrase ma frappe".



Le jeu des 7.000 différences

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Thierry Adam, grand reporter

En plateau, Denis Balbir ne lésine pas: "(…) notre envoyé spécial au Camp des Loges est là, Thierry Adam, l’atmosphère, bien sûr, est irréelle, il n’y a personne avec vous Thierry, mais certainement des informations à nous donner en provenance du Paris Saint-Germain Thierry, bonjour". Les traits sont tirés, les joues mal rasées et la mise en scène frise la correspondance de guerre. On va voir ce qu’on va voir, l’envoyé spécial de France 2 Foot à vingt-deux kilomètres des studios a des informations en sa possession. Restitution intégrale.

Le point route en direct de Rosny-sous-bois
"Camp des Loges très calme, presque trop calme au lendemain d’une sixième défaite, simplement rythmée par les déplacements, voyez un bus derrière moi".

Le match des "peut-être" contre les "sans doute"
"Peut-être parce que le décrassage a été annulé hier soir, longtemps confirmé après le match, il a été annulé à 23h15, peut-être parce que les dirigeants ont eu vent de réunions des différents groupes de supporters qui devaient décider d’une action à mener, alors sans doute que le président Cayzac et Paul Le Guen ont voulu protéger une fois encore les joueurs".

La revue de presse
"Évidemment, aujourd’hui, avec un Paris relégable, on parle de crise, c’est la Une du Parisien, c’est aussi à l’intérieur du JDD".

La nalyse
"Que dire sur la crise? La démission du président Cayzac, le retour de Luis Fernandez ou encore le rachat par la famille royale du Qatar, ce ne sont que des rumeurs, pour l’instant improbables. On sait que Paul Le Guen défend ses joueurs, que Paul Le Guen va travailler aujourd’hui avec le président Cayzac, et qu’il a dit qu’il ne partirait pas.  On peut penser, en regardant le calendrier – déplacement dimanche à Auxerre, ensuite, ce sera la venue de Toulouse, et sans doute seulement après ces deux matches-là –, on pourra peut-être parler d’une vraie grande crise au Paris Saint-Germain".

Le point météo de Charles Biétry
"La semaine ne s’annonce pas très calme, à l’image de la météo. Paul Le Guen, en ouvrant ses fenêtres, a dû se dire: ‘Tiens, c’est un temps typiquement écossais’, ça lui rappelle pas que des bons souvenirs, même si c’était un tout autre contexte, Denis".

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Pour faire passer leurs messages, les téléspectateurs envoient désormais des pigeons voyageurs.


Que foutait donc Patrick Montel à Lucerne?

Denis Balbir avait lancé l’opération teasing dès la semaine dernière: France 2 Foot nous ferait vivre en direct le tirage au sort de l’Euro 2008. Thierry Adam envoyé spécial à Saint-Germain-en-Laye et Alain Vernon toujours tricard hors de la Ligue 2, c’est Patrick Montel, l’autre star du service des sports de France Télévision, qui gagne un billet aller-retour pour Lucerne.
Des videurs mal informés auront malheureusement éconduit notre héros à l’entrée, le Centre de la culture et des congrès n’accueillant pas le championnat suisse de décathlon ce dimanche. Le défi consistait donc à nous faire vivre le tirage au sort sans les habituelles images des jeux de boules, planté face à une caméra fixe idéalement placée pour immortaliser le lac des Quatre-Cantons, seul alibi tangible justifiant le déplacement d’un journaliste qui aurait eu les mêmes informations depuis son bureau, une fois connecté au site de l’UEFA.

Ultime infortune, Patrick Montel se voit privé de la réaction de Jean-Pierre Escalettes à la sortie de la cérémonie, scoop accompli par le perfide Fabien Lévêque, avec son idée saugrenue de camper devant la salle plutôt que devant le lac. Le gros coup de bol.

La question reste donc en suspend : que foutait donc Patrick Montel à Lucerne?
A. Il accompagnait David Douillet sur le tournage du spot de pub "La Montagne, ça gagne pas bezef".
B. Guy Carlier lui avait lancé: "Pour ta coupe de cheveux, je vois que la Croix-Rouge pour tenter un sauvetage de dernière minute".
C. Il était chargé par Rolland Courbis de remettre une mallette en cuir à l'accueil de l'Opak Bank of Switzerland, sise en bord de lac.
 
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"Non, non, je suis juste venu pour augmenter ma collection de photos de moi devant les plus beaux points d’eau naturels d’Europe".


Le secret défense de l’OM

Pendant que toutes les caméras sont fixées sur les fesses de Djibril Cissé scotchées au banc des remplaçants, elles ne pointent pas le problème majeur de cet OM 2007-08: une défense sujette à tous les tracas, qui est en train de battre des records historiques d’instabilité. Thierry Muratelle restituait avec perspicacité, dans La Provence du 22 novembre, les différentes formules proposées par l’OM depuis le début de la saison: lors de ses dix-neuf premières rencontre officielles, les Marseillais ont présenté vingt combinaisons défensives différentes, en utilisant huit joueurs (1). Deux défenses inédites ont été mises en place lors des trois matches qui ont suivi (2), portant à vingt-deux le nombre de compositions différentes… en vingt-deux rencontres!

La comparaison avec la saison dernière est édifiante. À ce stade de la saison, Albert Emon n’avait aligné que six défenses différentes en dix-neuf rencontres: l’association Taiwo-Civelli-Zubar-Beye avait été titularisée dix fois, Cesar débutant la saison à la place de Civelli lors des six premiers matches d’une défense qui n’avait pas bougé par ailleurs. Une ligne démantelée seulement trois fois (3) alors que les circonstances et les performances auront instauré le bricolage comme mode de fonctionnement permanent cette saison. Bilan: Civelli faisait rire en douce (plutôt dans son dos que face à son regard soyeux) mais l’OM avait la quatrième défense de Ligue 1 la saison dernière, alors qu’elle ne pointe qu’en treizième position cette saison.

(1) Taiwo, Bonnart, Givet, Rodriguez, Faty, Zubar, Beye et Zenden (le détail des combinaisons: lire l'article de Thierry Muratelle).
(2) Bonnart-Givet-Faty-Zubar face à Metz puis Bonnart-Givet-Rodriguez-Zubar en première mi-temps à Istanbul.
(3) Intégrations de Cantareil et Bocaly au gré des absences des titulaires ou lors d’un bref essai de Beye dans l‘axe.


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"La défense de l’OM, il ne lui manque plus qu’un Sammy Traoré, mais je lutte de toutes mes forces pour le garder à l’AJA".


Enflammades jeunistes

Le résumé de Lille-Marseille à Jour de Foot a fait la part belle à la prestation "de classe internationale" de Steve Mandanda. Un éloge un peu hâtif dans la mesure où le gardien marseillais commet deux erreurs majeures: d'abord une sortie aventureuse devant Kluivert qui n'a pas trop de peine à marquer. Après l'égalisation, il sort encore à mauvais escient sur un centre de Béria, mais la volée d'Obraniak échappe au cadre. Ensuite seulement, il y a une parade sur une tête à bout portant de Chedjou et un réflexe sur une situation analogue en toute fin de match, face à Makoun. Deux arrêts "miraculeux" qui valent donc au jeune et talentueux portier ce satisfecit. Pourtant, sans dénigrer le moins du monde Mandanda, il convient de rappeler que le niveau d'un gardien se mesure – au cours d'un match comme tout du long de sa carrière – à sa régularité.

mandanda_banderole.jpgCe cas de figure semble illustrer une tendance prononcée, depuis quelque mois: un certain jeunisme qui fait que l'on tresse des louanges disproportionnées au "gamin du mois". Évidemment, avec les éclosions rapprochées de Nasri, Benzema et Ben Arfa, particulièrement en équipe de France, l'année 2007 aura été exceptionnelle, et il est difficile de ne pas s'enthousiasmer devant le spectacle de tels joueurs.
Encore faut-il laisser le temps à ces "Espoirs" de se concrétiser. Beaucoup de footballeurs dont on attendait énormément ont en effet disparu dans le triangle des Bermudes de cette période périlleuse qui s'étend entre 19 et 23 ans. On peut briller précocement en étalant tout son potentiel, mais à cet âge, il faut encore progresser pour survivre.
Les accabler d'éloges n'est donc pas le meilleur moyen de leur apprendre à garder les pieds sur terre... Quoiqu'ils peuvent être très vite amenés à relativiser: lors de sa convalescence, en pleine Benzemania, Samir Nasri a pu avoir l'impression de ne plus exister du tout dans des médias qui l'avaient oublié.



Footballeurs, surveillez votre langage !

Lorsque Sylvain Armand déclare sur Canal+: "Nous prenons le but cash", force est de constater qu'il y a des footballeurs qui ne maîtrisent pas plus les fondamentaux du jeu (aligner deux passes d'affilée, ne pas allumer ses petits camarades devant tout le monde) que leur propre jargon.

Rappelons donc au latéral parisien que l'expression correcte est "Payer cash une erreur", comme en atteste la page 34 de "À partir de là" – notre excellent manuel paru aux éditions Mango, cadeau de Noël idéal dont nous n'avons pas fait de promotion outrancière (contrairement à une critique unanime et aux libraires enthousiastes qui en ont mis partout dans leurs échoppes*).

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* Nous remercions d'ailleurs la Fnac, propriété de François Pinault, d'avoir fait honneur à la liberté d'expression en laissant notre ouvrage dans sa sélection de Noël, en dépit d'une saillie mettant en cause la tendance du patron à augmenter le salaire des footballeurs rennais plutôt que celui des petits salariés de Conforama.


L’équipe pauvre type

Qui a dit que nos confrères s'acharnaient sur des victimes à terre? Trois Parisiens seulement figurent dans cette sélection! Celle-ci doit faire face à un afflux massif de défenseurs centraux, avec une charnière strasbourgeoise qui pousse Afolabi sur le côté. Et pour peu que Dieuze se fasse expulser, cette formation risque d'avoir un problème de lien entre la défense et l'attaque.
Notons, actualité oblige, que trois candidats au Ballon de Plomb 2007 ont failli figurer dans cette équipe: Micoud, Dalmat et Cubilier.

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[Rappel : l'équipe pauvre type est composée en agrégeant les notes de L'Équipe et les étoiles de France Football. Cet exercice ne cautionne pas la notation des joueurs par des journalistes omniscients]



L’envers du championnat
En alignant un quatrième résultat positif consécutif, le Stade rennais tient la corde dans le challenge "Qui reprendra des points au FC Metz 2007-08?" Il revient à huit petites longueurs du podium, alors qu’il comptait jusqu’à quatorze points de retard au soir de la douzième journée de championnat. De quoi laisser bien des regrets aux hommes de Pierre Dréossi sur leur début de championnat complètement raté, presque insultant pour les traditions locales.

Le leader messin continue d’asseoir son autorité sur le championnat dans une ambiance déjà festive. Mais l’expérience a enseigné au président Molinari que le chemin est encore long jusqu’au sacre. C’est donc avec beaucoup de pudeur qu’il a prématurément quitté Saint-Symphorien qui chantait ses louanges trop fort pour ne pas froisser son humilité. En gentleman, il s’efface pour laisser toute la gloire à Joël Muller et Francis de Taddeo. Il est vrai qu’il n’est pas encore temps de fanfaronner car l’adversité ne lâche rien ces dernières semaines: deux points en quatre matches côté sochalien, un seul en trois matches côté parisien. Aux tripes.

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"Oh, c’est rigolo: tout est plus beau avec la tête à l’envers!"

Car l’animation offensive des hommes de Frédéric Hantz inquiète, et il faut toute la vigilance des attaquants doubistes pour compenser de telles lacunes par une habileté rare dans le dernier geste. Le réalisme de la défense permet de faire la différence – souvent contre le cours du jeu il est vrai. Pour Paris, ce fut encore plus laborieux face à des Caennais à qui on ne la fait pas, malgré une spirale négative qui n’en finit plus de les éloigner des places d’honneur. Évitant toute situation dangereuse en n’approchant jamais trop près du but de Landreau, ils ne partent à la faute qu’en fin de match, quand Cearà débloque la rencontre avec un geste de haut vol.

Réactions

  • la mano de dios le 05/12/2007 à 02h30
    "L’équipe pauvre type [..] Deux Parisiens seulement figurent dans cette sélection"

    Landreau, Ceara et Luyindula... yen a déjà un qui a signé au Quatar?

  • Si le vin vil tord le 05/12/2007 à 07h24
    Une bien belle gazette très drôle (la nalyse est proprement stupéfiante!).
    Deux remarques quand même :
    - Mandanda semble quand même avoir une certaine continuité et régularité, depuis que je l'ai vu à l'Euro Espoirs.
    - pour le petit mot sur ce "libraire" ultraconnu, il faut se rappeler que pour certaines entreprises, voire plus (Sarkozy-style), qu'importe la provenance de l'argent, tant qu'il tombe bien dans les popoches.

  • Cleaz le 05/12/2007 à 08h08
    [Rappel : l'équipe pauvre type est composée en agrégeant les notes de L'Équipe et les étoiles de France Football. Cet exercice ne cautionne pas la notation des joueurs par des journalistes omniscients]


    Puisqu'on est dans le journalisme omniscient, ca m'a toujours fait rire de voir "les gestes de la journées" quand on voit que vous n'avez vu que 3 ou 4 matchs dans la journée et les actions de buts....
    (Je plaisante hein, j'aime beaucoup ce que vous faites, j'aime beaucoup les gestes de la journée - qui ont été les seuls pendant un moment à souligner la superbe patte de Rool qui amène encore un but ce week end...)
    Bravo à vous

  • Raspou le 05/12/2007 à 09h08
    Oh la la, le jeu des 7000 différences et la vignette sur Ceara, quelle crise de rire... Heureusement que mon collègue de bureau n'est pas là ce matin...

  • Schizo retourné le 05/12/2007 à 10h03
    Enorme +1 pour le jeu des 7000 différences !

  • Hyoga le 05/12/2007 à 10h04
    Bon, déjà, plantons le décor : je ne regadde que les matchs de l'OL, et je ne regarde même pas les résumés de la journée de L1. Autant dire que je ne vois généralement rien d'autre.
    Et ben ça fait plusieurs semaines que je me dis que je dois rater quelque chose quand même. Par exemple, je m'attendais à trouver le premier but lyonnais dans les gestes de la journée, pasque c'était bô. Mais non, y'a mieux pour remplir les cinq cases.
    Ma prochaine mission: me débrouiller pour voir au moins une émission avec les images de la journée.

  • garavou le 05/12/2007 à 10h15
    • L'ellipse parfaite du centre de Matsui pour Gervinho qui, d'un maître contrôle, se met en position idéale pour aligner Bracigliano.
    --------

    Waouh... ça devait etre beau!!!! enfin quand on pas d'idée de ce qu'est un ellipse surtout...



    Sinon, ben je trouve que "le mandanda de classe internationale" c'est tres reducteur... certains seraient meme enclin a penser que c'est le meilleur gardien du monde actuellement... alors!

  • animasana le 05/12/2007 à 10h39
    ça y est, on parle de chocho dans le classement à l'envers...pff ce qu'il faut pas faire pour être médiatisé.

  • Hyoga le 05/12/2007 à 11h14
    garavou
    mercredi 5 décembre 2007 - 10h15
    • L'ellipse parfaite du centre de Matsui pour Gervinho qui, d'un maître contrôle, se met en position idéale pour aligner Bracigliano.
    --------

    Waouh... ça devait etre beau!!!! enfin quand on pas d'idée de ce qu'est un ellipse surtout...

    ---

    Ben une ellipse déjà c'est une courbe fermée, donc à moins d'avoir un ballon-boomerang, c'est quand même tendu à réaliser.

  • garavou le 05/12/2007 à 11h51
    c'est un peu pour ça que je disais ça... j'ai pas vu cette action, mais ça devait etre sacrément beau... c'est de l'ironie...

La revue des Cahiers du football