Seuls 36% des internautes parviennent à saisir leur e-mail / password du premier coup. En feras-tu partie ? Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

La Gazette > 37e journée

Le gaz revient dans les tuyaux et en inspirant bien à fond, vous verrez de nouveau la Ligue 1 en rose.
Comme le FC Nantes, la Ligue 1 se rapproche de sa fin. Mais ne l'achevons pas tout de suite: la Gazette mijote à petit feu...
> Le Classement en relief
> Les gestes de la journée
> La bannette
> La minute de lucidité de José Touré
> Bordeaux under pressure
> L'équipe pauvre type
> Des Verts à moitié vides
> L'envers du championnat
Auteur : Le Feuilleton de la L1 le 25 Mai 2007

 

Le classement se décante, certains déchantent. En tout cas, avec les passeports pour la L2 et les deux accès directs à la C1 déjà délivrés, ce sont les strapontins qui demeurent des enjeux pour la dernière journée. Et enfin, on voit se dégager un ventre mou, avec dix équipes qui, d'Auxerre à Nice, n'ont plus rien à jouer ni à craindre...

classement_0607_37b.jpg


Les résultats de la journée
Nancy-Sochaux: 5-2
Rennes-Lorient : 4-1
Paris SG-Troyes : 2-1
Auxerre-Lille : 2-1
Monaco-Lyon : 1-0
Le Mans-Bordeaux : 1-1
Sedan-Valenciennes : 1-1
Lens-Nice : 0-0
Saint-Étienne-Marseille : 1-2
Nantes-Toulouse : 0-0 (match donné perdu par pénalité à Nantes)


commentateur_bordelaid.jpg
"Weeeeeh! C'est encore un match nul pour Bordeaux, c'est absolument extroooordinaiiiire!"


Les gestes de la journée

> la détente de Coupet au ras du sol pour sortir une bonne tête smashée de Monsoreau.
> la passe piquée de Perez dans le dos de sept lyonnais qui offre une bonne situation à Menez qui marque seul face à Coupet.
> le contrôle à 360° de Hassli pour se mettre dans le sens du but et aller ouvrir la marque.
> le sauvetage de Battles qui subtilise le ballon à Keseru en venant dans son dos alors que la frappe était armée après un bon contrôle de la poitrine.
> la frappe supersonique de Cissé, à moins de 2m44 du sol.
> la frappe supersonique de Feindouno rien que pour priver Cissé du Top but de la journée.
> l’altruisme de Pagis qui délivre une passe vraiment décisive à Valbuena avec une simplicité à faire peur aux supporters marseillais qui imagineraient ce que Cissé aurait tenté à sa place.
> la justesse de Sessegnon quand il intercepte une ouverture de Fernando avant d’en délivrer une dans la foulée à Grafite qui égalise seul face à Ramé.
> le copier coller de Matuidi dont la Sessegnon sera malheureusement moins bien exploitée par Bangoura qui rate le cadre de peu.
> la mini Fodé Mansaré de Nivet, toujours dans le couloir droit de la défense parisienne avant d’ajuster Landreau aux dix-huit mètres.
> le centre longue portée de Rothen sur la tête de Pauleta qui trouve la barre malgré une belle détente.
> l’enchaînement limpide entre Diané, Luyindula et Pauleta qui permet au Portugais de détrôner Savidan au classement des buteurs.
> la déviation lobée de l’extérieur du pied de Saïfi pour lancer Ewolo avec classe vers son premier but en Ligue 1.
> la puissance d’Utaka pour déborder Ciani sur l’aile gauche et sa finesse pour placer sa frappe excentrée dans le petit filet opposé.
> la frappe sans contrôle de Jeunechamp, poteau rentrant sur son premier ballon après des mois de galère.


ruiz_main.jpg
"Non mais regardez-moi cette bande de connards de lecteurs des Cahiers du foot qui n'attendent qu'une chose, c'est de se foutre de ma gueule..."


La bannette

Le coach qui a été sage
Elie Baup (AFP)  : "On n'a pas pleuré depuis le début de saison. Le règlement doit être appliqué".

La vérité si je mange
Sylvain Monsoreau (olweb.fr) : “Sur ma tête, Greg a fait un bon arrêt”. Et sur la tête de ta mère?

L'ascenseur pour l'escabeau
Jean-Marc Furlan (psg.fr) : "L’histoire de l’ESTAC est encore courte et nous sommes montés un peu rapidement".

Le masochiste activiste
Alexandre Ruiz (Canal+ Sport) : "Jérôme c’est votre nouvelle saison sous les couleurs du Paris Saint-Germain, vous en avec passé trois difficiles, j’imagine que maintenant vous avez le sourire et que vous voulez continuer sous ce maillot parisien".

Le phare dans la nuit
José Anigo (om.net) : "Je dédie cette victoire à tous ceux qui ont été contre nous cette saison car cela nous a donné des forces".

Les joueurs qui ont fait ceinture
Jérôme Rothen (psg.fr) : "Nous ne nous sommes pas maintenus tous seuls".

La Victoire de la musique
Jérôme Rothen (psg.fr) : "C’est la récompense d’un bon groupe".

Les bonheurs simples
Alou Diarra (olweb.fr) : “Personnellement, je me suis senti bien. C’était mon second match consécutif”.

L'envoyé d'al-caïdat
José Anigo (om.net) : "On veut faire exploser ce stade et qu’il y ait du bonheur pendant une heure et demie".

L'entraîneur qui postule pour un club du G14
Frédéric Antonetti (L'Équipe) : "Que les médiocres dégagent!"

L'éternel débutant
Robert Louis-Dreyfus (om.net) : "Puis, Mathieu Valbuena a marqué ce second but. Ensuite, j'ai regardé ma montre toutes les dix secondes en me demandant si c'était terminé". En fait, c'est terminé quand l'arbitre siffle et quand les joueurs s'arrêtent de courir.

Le président mélomane
Pape Diouf (lequipe.fr) : "Il y a un gros bémol". L'arrivée de Nicolas Dièse ?

Le playmobil et ses accessoires
Djibril Cissé (om.net) : "J’avais dit qu’il me manquait une frappe de loin pour compléter la panoplie".

Le bas-ventre mou
Jean-Marc Furlan (sport24.com) : "Troyes se situe entre le 15e et le 25e club français".

La France du mérite
Frédéric Hantz (L'Équipe) : "Mes joueurs méritaient de gagner car ils ont bien appliqué mes consignes".

L'équipe qui a survolé le match
Francis Gillot (L'Équipe) : "Personne n'a marché sur le terrain!"

Le novice
Ivan Hasek (L'Équipe) : "Ça fait mal". On ne te l'avait jamais dit?

Le relativisme à la française
Pape Diouf (L'Équipe) : "Pour moi, gagner à Geoffroy-Guichard, c'est un signe". Ça rappelle qu'il y a encore plus losers que vous?

Le Top "Plaisir d'offrir, joie de recevoir"
1. Ivan Hasek (asse.fr) : "Je peux dire que nous avons perdu en réussissant un très beau match".
2. Jean-Marc Furlan (L'Équipe) : "On a réussi à mettre en place ce que j'avais décidé de faire, j'ai vu le match que je voulais voir".
3. Claude Puel (L'Équipe) : "Même dans l'adversité, nous avons réussi des choses intéressantes. C'était un bon match, mal récompensé".
4. Gérard Houllier (L'Équipe) : "Je pense que l'OL a bien joué (...). Je suis content de la prestation de mes joueurs".



La minute de lucidité de José Touré

cisse_toure.jpg

José Touré : "T’entends toujours : Djibril Cissé, il va hyper vite, et il tape fort. Tu le sais ça."
Djibril Cissé : "Ouais, mais je sais jouer fin aussi".
José Touré : "Ah bon ?"
Djibril Cissé : "Ah oui ! Auxerre-Nantes, dernière journée, dernier match à Auxerre, pichenette pleine lucarne ! Je sais faire des gestes mais c’est pas mon fort. Donc je le fais pas".
José Touré : "Pourquoi on voit jamais Djibril éliminer un joueur ?"
Djibril Cissé : "Ah siiiii !".
José Touré : "Ah ouais ?"
Djibril Cissé : "Ah si, en vitesse oui! En vitesse pure, bien sûr".
José Touré : "En vitesse. Je te parle avec le ballon !"
Djibril Cissé : "Ah c’est… baaaah disons que voilà, c’est pas mon fort et c’est clair que je suis pas aussi doué techniquement qu’un Ribéry ou qu’un Nasri !"
José Touré : "Mais tu peux ?"
Djibril Cissé : "Bien sûr ! Quand même, bien sûr !"
José Touré : "Non mais là où je veux en venir, c’est qu’au lieu de rentrer chez toi pour te regarder danser dans la glace, tu sais que moi, je prends un joueur comme toi, après chaque entraînement, avec le potentiel que t’as, moi il y aurait longtemps que je t’aurais mis des coups de battes de base-ball dans les fesses pour te faire travailler des choses que tu n’as pas assez travaillé, pour être un peu plus complet quoi! T’en es conscient de ça?"

[Extrait de C José diffusé à la mi-temps de PSG-Lyon, la 5mai dernier ]



rothen_bruet.jpg
- Alors Never Mind The Bollocks c'est pas toi?
- Non.
- Ni The Great Rock'n' Roll Swindle alors?
- Bah non.
- Allez, sérieux, tu joues de la guitare!
- Non.



Under pressure

Après avoir stagné de la 3e à la 29e journée au pied des places européennes (avec une peu honorable 10e position au soir de la 13e soirée), les Girondins avaient vu comme un petit miracle leur arrivée sur le podium, ces dernières semaines. Les trois points d’avance sur l’OM, au soir de la 34e journée, semblaient même constitué une honnête marge de sécurité avant le sprint final. La mauvaise série bordelaise, couplée aux bonnes performances olympiennes, ont pourtant compromis sérieusement les chances de qualification pour la Ligue des champions de l’équipe aquitaine, obligée de compter sur un (nouveau) faux-pas lensois, lors de la dernière journée.

L'histoire repasse le plat
Ce finish laborieux n’est pas sans rappeler celui du début du siècle pour des Girondins, qui, au sortir de leur titre de 99, avaient manqué le podium deux années consécutives lors des ultimes rencontres de championnat. En 2000, c’est l’OL qui avait coiffé Bordeaux au poteau à la 33e journée d’une compétition qui n’en comptait que 34. L’année d’après, Lille emportait le morceau sur le fil, par la double grâce d’une victoire nordiste à Monaco et d’une défaite marine à Metz.

On mesure aujourd’hui assez bien l’impact que ces rendez-vous manqués avec la plus prestigieuse des compétitions européennes ont eu sur le rayonnement du club aquitain. A l’époque, il avait manifestement raté un virage décisif pour son développement, et perdu l’occasion de s’imposer comme un leader au niveau national, alors que l’OL n’avait encore remporté aucun titre dans l’hexagone. Une demi-douzaine d’années plus tard, l’histoire pourrait se répéter du côté de la Gironde. Une 4e ou 5e place signifierait une perte financière conséquente et malvenue après le titre honorifique de vice-champion de France acquis l’an passé. Mais la réussite ne sourit-elle pas qu’à ceux qui savent gérer la pression?



L'équipe pauvre type

equipe_pauvretype37.jpg
Pour cette 37e journée, seuls quelques postes ont été pourvus automatiquement: Riou, Paulo Cesar et Jaziri – mis à l'index par nos amis noteurs. Force est d'avouer que le reste de cette sélection nous est essentiellement due puisque pour chaque ligne, nous aurions pu sélectionner tous ces joueurs ex-aequo: Paisley, Taiwo ou Norbert en défense, Diakhité, Obraniak ou Alonso au milieu, Moussilou, Koller, Cousin, Bellion, Jussié ou Elmander en attaque (tous ont cumulé deux étoiles et des notes allant de 4 à 4,5).
On note que, hormis Norbert, les Nantais ont échappé à toute possibilité de sélection pour la première fois. Grâce à l'indulgence de L'Équipe, qui a contrebalancé la sévérité de France Football en accordant une majorité de 5,5 aux Canaris.

[Rappel : l'Équipe pauvre type est composée en agrégeant les notes de L'Équipe et les étoiles de France Football. Cet exercice ne cautionne pas la notation des joueurs par des journalistes omniscients]



Des Verts à moitié vides

Si une équipe devait représenter toutes celles qui ont eu des prétentions cette saison – celle d'un podium ou d'une qualification européenne – mais qui ont dû ensuite sévèrement déchanter, l'AS Saint-Étienne ferait parfaitement l'affaire. Avec cette particularité que laisser la situation tourner en eau de boudin semble faire partie de la culture d'entreprise du club. À mi-parcours de la saison passée, les Verts pointaient à trois unités de la seconde place. Ils en étaient à vingt-deux, au terme du championnat. Cette année, le décrochage est moins brutal mais la désillusion est plus marquée, avec une série de défaites à domicile au cours des matches retour et, pour ne rien arranger, des éliminations rapides dans les coupes.

Finir le cycle et rendre les armes ?
asse_130.jpgCe constat d'abandon des espoirs sportifs s'accompagne, une nouvelle fois, de remous, de rumeurs et de remugles dans les écuries du club. Comme si le départ agité de Frédéric Piquionne, qui a sifflé le coup d'envoi du marasme, n'avait pas seulement déséquilibré l'équipe sur le plan sportif... L'exercice auquel on assiste relève cependant d'un scénario plus ancien: l'entraîneur, en dépit de résultats honorables, est mis sur la sellette par ses dirigeants (ou par une situation qu'ils ont rendue instable) et le microcosme ligérien s'agite en tous sens, au point faire tanguer la barque. Car en matière d'intrigues et de révolutions de palais, Saint-Étienne vaut bien Marseille ou Paris, ce qui justifie (avec une certaine tendance à vivre dans le passé ou à remporter un minimum de titres), un statut de "grand club" à la française.

On invoquera certes la fameuse "fin de cycle", avec pour preuves le malaise des anciens que sont Sablé et Ilunga, qui se sont ouvertement inscrits sur la liste des transferts – Sablé ayant en outre subi l'affront, samedi soir, d'une non-participation à ce qui aurait été, peut-être, son dernier match à Geoffroy-Guichard. L'ex-capitaine loyal s'est, cette fois, dissocié du discours officiel. Même l'emblématique Jérémie Janot est apparu en porte-à-faux, ce qui a eu pour effet de dresser un peu plus les supporters contre leurs dirigeants.
La question reste de savoir quel tournure prendra le cycle suivant, et l'on s'interroge une nouvelle fois sur cette présidence bicéphale dont l'action sème – au mieux – la confusion. Caïazzo et Romeyer ont-ils l'intention de rebâtir sur la génération des Dabo, Perrin, Guarin et Gomis? Le club ne risque-t-il pas de payer cette instabilité, cette incapacité à manager et ce manque récurrent de jugeotte. À ce sujet, on reparle de l'arrivée de Luis Fernandez, ami de Bernard Caïazzo, à la tête de l'équipe...



L'envers du championnat
Quel public incroyable ! Si l’on trouve encore des esprits chagrins pour critiquer l’absence de ferveur populaire autour de notre championnat, la formidable démonstration réalisée dans les tribunes du FC Nantes ce week-end est là pour rappeler que le foot français peut être fier de son public.

classement_env37.jpg

Déjà comblés par l’assurance de terminer sur le podium, les spectateurs de la Beaujoire n’ont pu réprimer la joie qui les étreignit au terme (ou presque) du dernier match à domicile de leurs favoris. C’est dans un élan spontané que ceux-ci ont envahi le terrain – un geste qui n’est pas sans rappeler la fin de saison 2001, à l’issue de laquelle ce même public s’était rué sur la pelouse pour une raison inverse, exaspéré qu’il était d’avoir terminé lanterne rouge du Classement à l’envers. Tout fut différent cette année, le public ne manquant pas de signifier sa gratitude à la direction du club à travers des banderoles touchantes de sincérité.

Les spectateurs de la Beaujoire ont démontré samedi soir qu’ils étaient aussi taillés pour l’accession en L2 que leur équipe fanion. Les esprits coquins travestiront cet élan spontané de joie populaire en un stratagème indigne de la part de supporters calculateurs au point de pervertir le règlement dans le seul but d’aider leurs protégés dans la course au titre. S’il est vrai que le FC Nantes est mieux placé avec ce résultat obtenu en commission de discipline, il est à noter que les hommes de Der Zakarian avaient démontré par le passé leurs dispositions pour se sortir d’un match sans prendre de point inutile. Et rien n’interdit de penser qu’ils seraient parvenus à leurs fins si le match avait été joué à jusqu’à son terme. Restera la petite touche personnelle, le truc en plus que ni Strasbourg, ni même le grand FC Metz n’avaient jusqu’alors su réaliser: par le truchement d’une décision disciplinaire, le président Roussillon restera le premier dans l’histoire à avoir perdu un match de championnat sur le score inégalable de 0 à 0. Trop la classe.

Réactions

  • Jon-Dahl Tomasson le 25/05/2007 à 02h46
    Très bon, ça monte crescendo avec des vannes usées jusqu'à la corde mais qui me font toujours rire : Jérôme 'Jimmy' Rothen par exemple, et apothéose sur le classement à l'envers du FC Nantes et son fabuleux public.

    Le tout sans signaler les tagliatelles aux truffes d'Alexandre Ruiz, mais sa vignette résume tout le bien qu'on pense de lui.

  • tessacha le 25/05/2007 à 03h03
    Jon-Dahl, tu chantes avec moi?

    Et puis Jimmy, Jimmy serre le vide dans ses bras,
    Quand Jimmy, Jimmy s'éveille, ne la trouve pas.
    Et puis Jimmy, Jimmy s'égare, ne comprend pas,
    Non Jimmy, Jimmy cette femme n'est plus à toi.

    Comme un écho qui s'endort,
    Epuisé par tant d'effort,
    Tu l'aimes encore.

    Y'a pas un truc qui froisse ton oreille interne? ;-)

  • Jon-Dahl Tomasson le 25/05/2007 à 03h57
    Quand est-ce qu'on pourra éditer nos posts ?
    Jimmy, Johnny, c'est pareil en danois (excuse foireuse, mais à cette heure de la nuit, j'ai pas mieux)

  • Toni Turek le 25/05/2007 à 04h55
    Ce classement a l'envers est decidement un monument d'anthologie.

    Et l'Histoire retiendra que le FC Nantes est le premier a se voir appliquer le reglement du 0:0 = 0 point.
    (et aussi 0 en difference de buts sur ce match, ce qui est d'ailleurs une tres mauvaise operation en vue de la conquete du seul trophee digne des dirigeants actuels).

  • Toni Turek le 25/05/2007 à 04h55
    (Post a supprimer apres eventuelle correction)

    Dites, z'etes toujours faches avec le "67" dans le classement tout en relief ? C'est pour denoncer la defaite d'Alkmaar ou la remontee de Strasbourg ?

  • taivince le 25/05/2007 à 05h16
    Sinon, c'est où que vous avez vu Johnny Rotten jouer de la guitare?

  • manuFoU le 25/05/2007 à 08h50
    "Les trois points d’avance sur l’OM, au soir de la 34e journée, semblaient même constitué..."


    -er ! (de rien)

    sinon, la pub 3 suisses lingerie, ça fait bizarre, au début j'ai charché la vanne, et puis non...

  • luckyluke le 25/05/2007 à 08h58
    "Finir le cycle et rendre les armes "

    Les moins de 30 ans peuvent-ils comprendre une telle référence?

  • gxnc le 25/05/2007 à 09h29
    "...dix équipes qui, d'Auxerre à Nice, n'ont plus rien à jouer ni à craindre..."
    A propos de ça, un article intéressant dans FF : les primes au classement (c'est-à-dire le pognon distribué par la LFP suivant le classement de fin de saison) peuvent être une motivation pour ces équipes. En effet, je ne pensais pas les écarts si importants : ainsi, de la 14e à la 8e place (3 points d'écart avant cette dernière journée), la prime passe de 2 684 000 à 6 221 000 euros. 3,5 millions d'euros pour 3 points, ça peut faire un bon transfert pour l'année suivante. Non négligeable.

  • Vinnnch le 25/05/2007 à 09h52
    Sinon je constate avec tristesse que finalement les Cahiers du foot c'est tout pareil que les autres médias. Pas un mot sur le classement rennais. Snif... Piouf...

La revue des Cahiers du football