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La Gazette > 24e journée

Auteur : Le Feuilleton de la L1 le 15 Fev 2007

 

Le Racing distance le LOSC et l'OM à la faveur de leurs courtes défaites respectives, et fait office de principal candidat à la dauphinitude. Défait, le FCSM voit les Girondins et l'ASSE s'aligner sur lui. On note que les Verts disposent d'une différence de buts très nettement supérieure à celle de toutes les équipes qu'ils devancent.

Le TFC fait la bonne opération, comme on dit dans les milieux autorisés. Mais bon, c'est le TFC, hein. Les autres bénéficiaires de bonds de trois marches sont le MUC, VAFC et le PSG, au terme de matches à gros scores...


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Les résultats de la journée
Nice-Troyes : 3-0
Paris SG-Monaco : 4-2
Lens-Sochaux : 3-1
Le Mans-Sedan : 3-2
Lyon-Lorient : 1-0
Toulouse-Lille : 1-0
Bordeaux-Marseille : 1-0
Auxerre-Saint-Étienne : 1-1
Rennes-Nancy : 1-1
Nantes-Valenciennes : 2-5

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Les Girondins de Bordeaux vous ont souhaité une excellente Saint Valentin.


Les gestes de la journée

> la double feinte de Koné dans la même action, à l'origine et quasiment à la conclusion du premier but de Laslandes, sans toucher la balle une seule fois.
> le sang froid de Koné, après avoir crocheté Le Crom, qui prend plus de temps pour offrir le but à Laslandes que Platini pour achever les Portugais en 84.
> le toucher de Laslandes qui trouve Koné sur un ballon piqué de vingt bons mètres.
> le toucher d’Ederson à la conclusion de cette même action, qui marque d’un lob de vingt mètres alors que Le Crom avait anticipé sur Koné.
> l’extérieur de Savidan, déposé sur la tête de Dufresne, qui démontre qu’un éventreur de canaris peut avoir le pied tendre.
> le une-deux très école nantaise entre Dossevi et Savidan, dernière fleur jetée sur le tombeau de Georges Eo.
> la jolie passe lobée de Gallardo par-dessus la défense pour Diané, qui s'en va emplafonner Roma – leur rencontre provoquant une sorte d'Arconada verticale avec le gardien qui talonne la balle dans son propre but.
> la frappe de Meriem sous la barre de Landreau au terme d’un joli déboulé flanc gauche, anodine pour le peuple monégasque alors qu’une moins belle a fait parler tout Saint-Étienne pendant trente ans.
> le sans faute de Roma : une sortie aérienne de 30 cm, un autogoal après une réactivité de mannequin de crash-test, un trouage d’école sur un coup franc de 35 mètres et une mobilité pachydermique devant Rodriguez.
> le contrôle orienté de Fred sur la chandelle de Coupet – qui rappelle l’absurdité du classement des passeurs décisifs.
> les centres de Monterrubio à l’origine de deux des trois buts lensois. Pierre Dréossi, circonspect, porte réclamation pour dissimulation de Frei sous la frauduleuse identité d’Utaka.
> la titularisation à la pointe de l’attaque marseillaise du fils caché de Taiwo et Moussilou.
> les transversales limpides, les dribbles stylés et la vision du jeu de Nasri qui va finir par nous faire adorer les balayages de mèches blondes.
> l'amorti poitrine d'Akalé qui reste collé à son torse, avant qu'il n'ouvre le score pour Auxerre.
> le placement de libéro de Pouplin, qui joue bien le hors-jeu devant Kim. Manque de bol, il est gardien.


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Déterminé, Mickaël Pagis a demandé à Samy Nacéri de venir le débarrasser de Djibril Cissé.


La Bannette

Le joueur qui ne pourra pas organiser des meetings d'athlétisme
Nicolas Plestan (L'Équipe) : "L'objectif, c'est d'être sur le podium en mai, dans la dernière ligne droite".

L’entraîneur qui a acheté des actions de l’OL
Claude Puel (AFP) : "Il y a beaucoup de frustration et de déception par rapport à l’investissement".

L'anticipation du mercato
Nicolas Fauvergue (L'Équipe) : "On sait où on va et ce qu'on vaut".

L’animateur qui fait des avances en direct
Philippe Bruet [à Alexandre Ruiz] (C+) : "Vos belles courbes sont tout à fait édifiantes".

L'équipe qui tend l'autre joue
Jean-Marc Furlan (L'Équipe) : "On a offert le profil idéal pour notre adversaire".

L’entraîneur qui avait pourtant bien préparé le match
Georges Eo (AFP) : "Cinq buts encaissés, deux blessés et un expulsé, ce n’est pas le scénario prévu".

Le destin, cet infâme salopard
Jean Fernandez (L'Équipe) : "Moussilou a inscrit son premier but de la saison et il a fallu que ce soit contre nous".

Le président qui hésite sur la date de son procès
Rudi Roussillon (L'Équipe) : "Je ne sais pas s'il faut déjà se lancer dans l'analyse du mercato".

Le joueur qui aime trop ses chaussures
Frédéric Piquionne (AFP) : "Il faut relever la tête mais c’est une grande frustration".

Le cerveau dans les biceps
Georges Eo (AFP) : "Maintenant tout va se passer au niveau du mental. Il ne faut pas baisser les bras".

Le présentateur qui va couci-couci
Alexandre Ruiz (C+) : "Lille est un peu cahin-cahin".

L'entraîneur qui ne va pas tarder à ressortir la métaphore de la Formule 1
Gérard Houllier (L'Équipe) : "C'était un match virage".

L’erreur d’adjectif
Pablo Correa (AFP) : "L’égalisation est vraiment chanceuse, puisque Damien Gregorini dégage le ballon du poing, mais celui-ci revient sur la tête d’Utaka qui marque".

Le malentendu
Gérard Houllier (L'Équipe) : "Notre série créait une forme de perplexité, de nervosité". Non, non, c'était de l'excitation.

L'événement de la journée
Jean-Louis Tourtoulon (C+) : "Un ballon capté sans problème par Damien Grégorini".

L'attaquant qui prend le classement un peu à la légère
Steve Savidan (L'Équipe) : "On prend trois points, c'est sympa".



La véritable histoire de Cosette Savidan.

savidan_130.jpgLa remarquable performance de Steve Savidan contre Nantes a offert aux animateurs de Jour de Foot l'occasion de bouleverser le téléspectateur en lui contant la vie de Steve Savidan sur un mode misérabiliste. Au bout de deux ou trois buts passés à Barthez, rappelant le parcours sinueux et laborieux de Savigoal, d’Angers à Ajaccio, Xavier Giraudon s’étrangle soudain d’émotion: "Il a même brigué un emploi d’éboueur, pour arrondir ses fins de mois quand il jouait en National!" Le meilleur buteur de L1, ayant eu des fins de mois difficiles: qu’elle est saisissante, l’anecdote! Eût-il disposé d’un peu plus de temps de parole, que le conteur serait vraisemblablement remonté jusque dans l’enfance de l’attaquant, le décrivant né dans la paille, joueur d’accordéon sur les marchés, enfant soldat en Birmanie, dresseur de barricades dans Paris assiégé.

La malédiction du quadruplé
Et, emporté par tant d’intensité dramatique, le narrateur finit par décrire le Nantais "Julio Rossi en larmes", faisant preuve d’une épatante acuité visuelle pour déceler des larmes sur le visage d’un joueur en sueur sous la pluie battante. L’interview d’après-match en rajoute une couche: Vincent Cobos, interrogeant Savidan, qui lui indique "repenser à ses galères", ne manque pas l’occasion d’être raccord avec la voix off en surenchérissant: "Quelles galères?"
C’est ainsi : à chacun de ses futurs faits d’armes, Savidan s’entendra rappeler son passé d’éboueur galérien, comme Rio Mavuba sa naissance apatride. Il est des clichés faciles auxquels on n’échappe pas, mais on ne laisse pas toujours les traces que l’on mérite. Toute sa vie, Savidan sera celui qui a ramassé des poubelles – bizarrerie qu’il partage avec Walter Pandiani. À cet égard, la liste des récents prédécesseurs du Valenciennois dans le quadruplé (Christian, Moussilou, Loko, Nouma…) fait froid dans le dos. Espérons qu’elle ne lui ouvrira pas à nouveau les portes d’un destin à la Rémi (Vogel) sans famille.



Le lobe de Faye

Nice-Troyes. Lilian Laslandes baguenaude près du but adverse. Il a déjà marqué deux fois quand un coup-franc est sifflé à proximité de la surface de réparation troyenne. Préoccupé par le jeu de tête du grand blond, Ibrahima Faye improvise un astucieux stratagème pour mettre le buteur niçois hors d’état de nuire.

Plutôt que d’essuyer bêtement ses crampons sur une articulation de plus, le Troyen subtilise le sparadrap placé par Laslandes sur sa boucle d’oreille. Décontenancé quelques secondes, le Niçois peine à démasquer le coupable quand il se retourne. Faye affiche toute son innocence en promenant son regard loin du conflit en puissance. Quand Laslandes finit par l’interpeller, le défenseur se tourne subitement vers l’arbitre pour dénoncer l’entorse au règlement de son adversaire. En dépit de ses protestations, Laslandes est botté en touche par Thierry Auriac pour se faire poser un nouveau sparadrap, les lois du jeu n’ayant pas encore statué sur le lobe de Faye.

L’exécution du coup-franc est ordonnée pendant que Laslandes vocifère après de son banc de touche, écarté d’une action dangereuse sans que la moindre goutte de sang ne soit versée…

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Non aux balbirismes !

balbir_130.jpgOn sait que le jargon footballistique a produit son lot d'expressions toutes faites, avec une certaine créativité – toutefois limitée par leur emploi systématique (voir, mois après mois, la série "Les mots du foot" dans notre édition papier). La catégorie journalistique le plus encline à employer systématiquement le même verbiage éculé est sans conteste celle des commentateurs, qui se servent de ces expressions comme des pièces de Lego qu'ils assemblent à toute vitesse, donc souvent dans le désordre.

Avec le temps, les possibilités d'invention sont devenues plus rares, mais certains n'ont pas renoncé. C'est ainsi que Denis Balbir est à l'origine de deux néologismes douteux mais à succès, qui ont vite été adoptés par ses confrères. Le premier est le fameux "Le cadre se dérobe", braillé lorsqu'un tir passe à côté de la cage. Inutile de souligner l'absurdité de cette image, puisque jusqu'à présent, aucune cage ne s'est jamais déplacée pour éviter qu'un ballon entre dans ses filets (même à la Juventus).
Passée plus inaperçue est l'expression suivante, elle aussi sortie de la bouche de l'apnéïste hurleur de Canal – "Le ballon échoue à Machin" – elle aussi abondamment reprise sur les antennes et jusque dans les "live" des sites Internet. Que les choses soient claires une bonne fois pour toutes: soit "le ballon échoit à Machin", soit "Il échoue sur lui". Mais en aucun cas il ne lui échoue, pas plus qu'il n'échoit sur lui. Merde, quoi.



Espèce de Kaunas

gilardi_130.jpgLors de Téléfoot, alors qu’il parlait du prochain match de qualification pour l’Euro 2008 Lituanie-France, Thierry Gilardi a prononcé le nom de la ville lituanienne d’une manière particulièrement politiquement correcte. Kaunas, dénomination un peu olé-olé il faut le reconnaître, est ainsi articulé "Kaonas".
Cette prononciation, "à la lituanienne" est-elle destinée à protéger les oreilles sensibles des téléspectateurs du dimanche matin, ou alors à éviter les regards rigolards des collègues hors-champ. On connaît les antécédents: qui ne se souvient pas de "Cocou", pour le milieu de terrain néerlandais, servi à la place d’un Cocu des familles, et de "Yankoulovski", pour le latéral international Tchèque Jankulovski.

Cette prononciation scrupuleuse peut toutefois s'avérer cocasse quand on sait le penchant naturel des commentateurs télé à écorcher les noms de joueurs étrangers en les francisant allègrement. On en vient à regretter les frères Lech et le sémillant Queudrue. Et quel dommage que le rugbyman Christian Labit ait raccroché les crampons en équipe de France avant que Thierry Gilardi, voix de TF1 pour la Coupe du monde de rugby 2007, ait pu commenter ses pénétrations dans la défense!



La minute pathologique de Philippe Bruet

bruet_130.jpg"Fabio Santos qui dit à Cacapa: ’Je te souhaite un bon retour’ et Caçapa qui dit à Fabio Santos: ‘Eh bien toi, tu débutes, je te souhaite ce soir de très bons débuts sous ce maillot lyonnais".







Yapéno / yapapéno, les joies du binaire

Faisons écho à l'article "Pour en finir avec les hors-jeu au centimètre" en nous attardant, cette fois, sur un épisode de Rennes-Nancy. Biancalani rate son intervention sur Melchiot, en train de déborder, qu'il fauche indubitablement. L'action se passe au-dessus de la limite de la surface de réparation. L'arbitre décide de siffler un coup franc. Verdict du commentateur de Jour de foot, sans autre forme de procès: il y avait penalty. Voire... Une faute qui commence légèrement à l'intérieur de la surface et qui se poursuit puis se termine à l'extérieur doit-elle être sanctionnée d'un penalty? C'est à l'appréciation de l'arbitre, qui peut préférer respecter, là aussi, l'esprit de la règle. Par exemple en se posant une autre question: en l'occurrence, à l'endroit où elle est commise, la faute annihile-t-elle une occasion de but? Mérite-t-elle la sanction d'un penalty?

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Pour discutable qu'il soit, l'exemple montre en tout cas que certains ont une sorte de foi absolue dans l'existence d'une limite, sorte de frontière invisible (mais qu'eux voient quand même), large d'un micron, et qui sépare le monde entre deux vérités totalement exclusive: yapéno, ou yapapéno... Selon eux, quelle que soit l'action considérée, il y a toujours une vérité absolue.
En réalité, il est évident qu'une bonne partie des décisions arbitrales relèvent d'une interprétation de la règle et des faits, qu'elles sont intrinsèquement subjectives… tout simplement parce que les actions en question sont ambiguë, peuvent être "lues" de différentes façons... En d'autres termes: il y aurait pu y avoir penalty, mais on peut aussi considérer le contraire. Dans tous les cas, il n'y a pas de scandale, et pas vraiment matière à pinailler en refaisant le procès de l'arbitre. À quand l'introduction du relativisme dans le football?



L’envers du championnat
Certes, l’idée peut sembler pertinente, inventive, peut-être même géniale. Remplacer Georges Eo, enfin parvenu à tirer la quintessence de son effectif, par un monstre à deux têtes N’Doram-Der Zakarian, taillé pour l’aventure, il fallait y penser. Rudi Roussillon a le mérite d’afficher clairement les ambitions du FC Nantes Atlantique: cette fois c’est clair, il vise le titre, et ne se satisfera pas d’un accessit.

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C’est avec beaucoup d’assurance que le président nantais instaurait son binôme lundi matin: "Japhet et Michel ont des moyens différents, des styles différents, pour tenter d’être, peut-être, plus efficaces" (1). Comment pourrait-il en être autrement après un recrutement interne somme toute logique, fondé sur un constat implacable: "Ils ont de solides compétences: Japhet a fait du bon boulot dans le recrutement, et Michel a bien travaillé également avec le groupe des lofteurs", souligne Roussillon, à qui on ne la fait pas sur la détection d’un bon entraîneur de football. Toutefois, un bref regard dans le rétroviseur de l’envers du championnat aurait pu instaurer le doute dans l’esprit malicieux du bras armé de Gripond…

Saison 1990-91. L’OM est bon dernier du championnat après neuf journées. Beckenbauer remplace Gili. Monumentale erreur de casting, qui fera stagner les Olympiens, toujours lanterne rouge après 21 journées. Le champion du monde cède logiquement sa place sur le banc à Goethals qui ne fait pas gagner la moindre place à l’OM lors des 17 derniers matches. L’équipe sauve son honneur de justesse contre l’Etoile Rouge à Bari en évitant la honte du bonnet d’âne européen, grâce à un sursaut d’orgueil d’Amoros lors des tirs aux buts. Avec une équipe tristement montée à l’endroit (Mozer, Waddle, Papin… comment partir au combat avec des joueurs pareils?), aucun des trois entraîneurs successifs ne sera parvenu à bonifier les résultats.

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À Nantes, le mur des sponsors affiche la politique maison en terme de durée des contrats.
Le dernier exemple en date est plus édifiant encore : lors de la saison 2004-05, l’AC Ajaccio était chevillé au podium sous les ordres de Bijotat – comme sous le règne majestueux de Pantaloni en début de saison –, avant que Courbis ne lamine le travail de ses prédécesseurs, affichant une piteuse septième place qui allait faire perdre un an (!) au club pour l’accession en L2.

Prudence donc : l’histoire du classement à l’envers a démontré qu’il n’était pas manipulable avec le premier stratagème venu. Louons cependant la créativité et la suite dans les idées de Roussillon, qui pourraient enfin apporter à la Socpresse un titre ô combien mérité après six années de bonne gestion à l’envers…

(1) Toutes les citations sont extraites de L’Équipe du 13 février 2007.

Réactions

  • Teddy le fondu le 15/02/2007 à 04h21
    Preum's,

    Le coup de Faye, vraiment excellent, ça fait potache tout en étant très efficace, bien que l'esprit sportif soit un peu laissé de coté.

  • sansai le 15/02/2007 à 05h22
    Purée, Faye, il touche le fond là. Quelle laideur.

  • sansai le 15/02/2007 à 05h29
    J'aime beaucoup l'hommage rendu à Roussillon et à la Socpresse dans le classement à l'envers sinon. :)
    Et puis la fabuleuse minute pathologique de Bruet que j'ai moi déploré en direct. Mon dieu...
    C'est vrai qu'il faut faire des études pour devenir journaliste ?

  • sansai le 15/02/2007 à 05h29
    "moi aussi" déploré en direct, pardon. :)

  • Tricky le 15/02/2007 à 07h31
    Ah non, je l'ai deja dit, le truc de Faye, c'est quand meme tres tres drole, meme si pas tres sportif.

  • braz_pitt le 15/02/2007 à 07h53
    Ingenieux ce faye...

    Et comment il compte faire avec les attaquants qui n'ont pas de boucle d'oreilles? Il va leur faire un piecing sur le terrain? Faut aller vite la!

  • arnaldo01 le 15/02/2007 à 08h39
    Mais que fait le CNE ???

    Faye a de la chance que Nice ait gagné car sinon les nicois auraient crié au scandale (et à juste titre).
    Quelqu'un pour envoyer les images à Dominique ?

  • Portnaouac le 15/02/2007 à 09h44
    Pour Faye, c'est sûr, c'est pas très sport...

    Maintenant, qu'est-ce qui empêchait Laslandes d'enlever sa boucle d'oreille avant le match, plutôt que de se la jouer "Cosette et son porte bonheur" avec son sparadrap sur le lobe ?

    Moyen sport le Faye, donc, mais ingénieux !

  • taniwha le 15/02/2007 à 10h10
    Taiwo a fait de gros progrés, je trouve injuste qu'il soit associé à l'homme aux jambes de verres...

  • LokomotivDallas le 15/02/2007 à 10h21
    Faye c'est un peu le Spaggiari/Arsène Lupin du foot : ni haine ni violence, le gentleman fauteur.
    à part ça son visage fait très très peur.

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