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La Gazette > 10e journée

Auteur : Le Feuilleton de la L1 le 27 Oct 2006

 

Tandis que l'Olympique à réaction décolle, l'Olympique à hélice retrouve le plancher des vaches et se fait renifler l'empennage par le biplan nancéen et l'Airbus toulousain. Le TFC européanisable! On dit que la Ligue 1 ne fait pas rêver, mais souvent on croit rêver. C'est déjà ça.

Le LOSC et L'ASSE, grâce à leurs victoires à domicile, se mettent du bon côté de cette petite tranchée qui sépare en deux le ventre mou. Derrière, huit équipes s'agglutinent sur quatre marches, Rennes fermant la sienne pour devancer des Lorientais intercalés.
L'arrière train voit Nice, Troyes, Monaco et Nantes se botter eux-mêmes les fesses sans réussir à se les bouger. Sedan, avec son nul à Louis-Dugauguez contre Lens, surnage vaguement.


classement_0607_10.jpg


Les résultats de la 10e journée
Valenciennes-Troyes : 3-1
Saint-Étienne-Le Mans : 2-0
Sochaux-Bordeaux : 2-1
Nancy-Nantes : 1-0
Lille-Lorient : 1-0
Rennes-Nice : 1-0
Sedan-Lens : 2-2
Auxerre-Paris SG : 0-0
Marseille-Lyon : 1-4
Monaco-Toulouse : 1-3



Les 15 gestes de la journée

> l’enchaînement petit pont de l’extérieur du pied, frappe sous la barre de Bergougnoux.
> l’ouverture brossée de l’extérieur du pied de Yaya Touré sur Di Vaio qui n’a plus qu’à amortir de la poitrine avant d’ajuster Douchez.
> les deux remises de la tête majestueuses de Koller trouvant Di Vaio seul face au but pour deux merveilles de Bakayoko, pas si évidentes à réaliser que ça.
> la parade de Douchez repoussant sur sa ligne la tête de Koller à bout portant.
> le corner direct de Cyril Rool repoussé in extremis des deux poings par Pouplin.
> la déviation de la taupe de la Route de Lorient qui fait sauter le ballon au-dessus du pied de Moreira qui allait conclure victorieusement son une deux avec Monterrubio sans cette intervention salvatrice pour les Niçois.
> la louche de Dindane éliminant deux Sedanais pour démarquer Thomert qui perd son duel face à Regnault.
> le double une deux entre Piquionne et Ilan, provoquant le but contre son camp de Cerdan.
> la parade de Janot sur le coup franc Juninhien de Romaric.
> le coup franc surpuissant de N’Daw dévié sur sa barre par Ramé.
> l'anticipation fatale de Carrasso sur le premier coup-franc de Juninho.
> l'air-ciseau de Cana sur un centre aérien trop en retrait de Nasri.
> tous les gestes de Cris, du sourcil au gros orteil du pied gauche, qui a rappelé Laurent Blanc au bon souvenir du Vélodrome.
> l'abnégation de Niang et les gris-gris de Ribéry pour offrir le but d’un bref espoir marseillais à Bamogo.
> la talonnade de Benzema pour Toulalan entraînant le deuxième but de Juninho.


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Après sept ans d'absence, ça fait plaisir de revoir Fabrizio Ravanelli sur une pelouse de L1.


La bannette

La position préférentielle
Gérard Houllier (L'Équipe) : "Lyon est bien placé pour savoir qu'on peut avoir dix points de retard à la mi-championnat et finir par être champion". Et encore mieux placé pour savoir qu'avec huit points d'avance au quart du championnat, on ne peut que finir champion.

Le match à l'extérieur
Vincent Alix (C+) : "On va voir sur ces images l'arrivée des Marseillais à l'aéroport de Marseille".

L'aveu de tricherie
Gérard Houllier (L'Équipe) : "Notre recette de jeu est toujours la même, à savoir que notre jeu est résolument tourné vers l'avant et conçu pour gagner nos matches".

L'OL on tour
Kim Källström (L'Équipe) : "Je remercie les supporters marseillais car il y avait une superbe ambiance au stade".

La preuve par les mots
Michel Pastor (C+) : "C'est difficile à vous parler comme ça".

La mauvaise volonté lyonnaise
Anthony Réveillère (L'Équipe) : "Il ne faut pas croire qu'un match se gagne sans effort". Faites quand même plus d'efforts pour nous le faire croire.

La fusion Marseille-PSG
Modeste M'Bami (L'Équipe) : "Ça fait cinq ans que les Lyonnais font un autre championnat que nous".

La question pour un non-champion
Michel Pastor (C+) : "Je n’ai pas de réponse à vous donner, ni sur l’équipe, ni sur Bölöni, ni sur l’entraîneur".

La somme des indemnités
Laszlo Bölöni (lequipe.fr) : "Je me demande combien il faut travailler".

Le chambrage industriel
Jean-Michel Aulas (L'Équipe) : "Nous ce soir on savoure, mais pas plus qu'après une victoire contre Saint-Étienne, par exemple". Joli, Jean-Michel: ça fait deux clubs vexés d'un seul coup.

Le commentateur dans le bain
Philippe Genin (C+) : "Chrétien tente sa chance, ça fait mousse".

Le pornographe pastoral
Guy Roux (C+) : "La main fait le tour du cou, et vient prendre l’épaule de l’autre côté. C’est comme ça qu’on prend sa fiancée le dimanche après-midi, après le repas de fiançailles quand on va se promener dans la campagne".

La critique de l'arbitrage qui va un peu trop loin
Steve Marlet (site officiel du LOSC) : "Il n’y a pas de polémique à avoir sur le penalty, je pense que l’arbitre aurait pu en siffler un ou deux de plus en notre défaveur".

Le Top Alexandre Ruiz
1. "On a entendu les sifflets dans le vestiaire coréen, on remercie encore Pablo Corea de nous avoir ouvert les portes de son vestiaire".
2. "J'aperçois dans mon œil Philippe Bruet".
3. "Ulrich Ramé évite copieusement la question".



10 scénarios pour croire que le championnat n'est pas joué

1. La Commission juridique de la Ligue retire à l'OL les points de tous les matches disputés par Clerc, et tout redevient possible.
2. À la trêve, les clubs transfèrent au deuxième du classement tous leurs meilleurs joueurs. Cette dream team coiffe les Lyonnais au poteau, qui en avaient bien besoin.
3. Lors de la 20e journée, le match nul arraché par Toulouse contre Lyon au Stadium redonne un espoir immense à toutes les autres équipes.
4. La FIFA déclare illégaux les coups francs de Juninho.
5. Govou livre enfin sa quinzaine de matches quelconques annuels.
6. À Noël, Grégory Coupet se blesse gravement à la main en construisant un Gerland en Lego avec son fils.
7. La non-homologation de John Carew par le service des mines vaut à l'OL une relégation directe en CFA.
8. La dévaluation brutale des actions OL en Bourse suite au remplacement de Bernard Lacombe par Michel Mézy oblige le club à vendre tout l'effectif, sauf Ben Arfa et Nilmar.
9. Devenu mannequin star chez l'Oréal, Juninho refuse de devoir se teindre à nouveau les cheveux en rouge et bleu en cas de sixième titre, et se met à tirer ses coups francs directement dans la lucarne de Coupet.
10. Frustré par son faible temps de jeu, Patrick Muller réalise un film, "In bed with Malouda", qui révèle que tous les joueurs s'injectent du sang de Sonny Anderson avant les matches. L'OL est rétrogradé en D2 italienne.



Arbitres : feu à volonté

Merci à la Ligue et aux instances arbitrales. Sans elle, un indispensable élément du spectacle – décrété en début de saison – aurait manqué au tableau. Les réquisitoires contre les arbitres s'élèvent de toutes parts, et le quota de "scandales" a explosé avec les consignes d'assainir les surfaces de réparation en recourant aux penalty pour les accrochages qui y sont commis. Tout ça avec pour objectif avoué de restaurer le spectacle et la moyenne de buts... Funeste mélange des genres, car nettoyer les surfaces est une tâche aussi difficile que récurer les écuries d'Augias. Et quand on ne s'appelle pas Hercule, on l'a dans le pif. Résultat: les sanctions prononcées dans ces circonstances ont surtout multiplié les polémiques et fragilisé un peu plus les arbitres.

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C'est grâce à leur sérénité que les arbitres de L1 cesseront d'être stigmatisés.
Le fantôme du CNE
La 10e journée a ainsi donné lieu à un festival de récriminations, certains entraîneurs et dirigeants se transformant en gros rougeauds vociférants. Personne ne se donnera la peine de faire le tri entre ceux qui peuvent s'estimer lésés et ceux qui profitent de l'aubaine. Elle est trop belle, et elle accompagne le retour des bonnes vieilles excuses et des mauvais procès, ceux-là même que la Ligue a fait semblant de combattre avec ses simulacres de rappels à l'ordre.
Justement, que devient le Conseil national de l'éthique, bras armé de cette lutte pour faire respecter l'esprit du jeu, doté de pouvoirs étendus? Et bien figurez-vous qu'il refuse de se réunir depuis que ses sanctions dans le cadre du PSG-OM de mars dernier ont été invalidée en appel. Pouf, évaporé, le CNE. C'est vous dire si le champ est libre, pour les mal classés comme pour les "européens", pour les dirigeants, les entraîneurs et les joueurs comme pour les médias, qui vont pouvoir arroser leur marronnier préféré (il a désormais atteint la taille d'un baobab).

La nullité – réelle ou supposée – des arbitres français pose cependant de vrais problèmes. Ne serait-ce pour ce qu'elle nous inflige. Le contexte alourdit la charge: alors que les instances arbitrales ne sont toujours pas sorties de plusieurs années de conflits de personnes et de révolutions de palais, une nouvelle loi leur offre un statut professionnel et des revenus enviables, qu'ils honorent plutôt mal.
Malheureusement, si l'énergie dépensée pour hululer est considérable, il n'y a plus grand monde pour essayer d'analyser en profondeur la situation et proposer des solutions. Qui parle de la formation des arbitres? Qui s'inquiète de la double notation qu'ils subissent, de la part de leurs propres instances – ils jouent à chaque match une lucrative carrière sous les projecteurs – et de l'ensemble des autres professionnels? Qui se préoccupe du recrutement des arbitres depuis la sphère amateur jusqu'au microcosme pro, dans un contexte où ils sont constamment vilipendés? 60% des arbitres abandonnent le sifflet au bout de trois ans, un tiers au bout d'une seule année (Le Monde, 09/10)…
C'est un peu trop demander à un monde du foot que cette situation arrange, au fond, d'autant que l' impuissance politique des arbitres les condamne à subir éternellement une vindicte très populaire. La place du con, en somme.



En pleine Sainté

preboutielle.jpgLes Verts version Hasek peuvent-ils décrocher une place européenne la saison prochaine? La question, récurrente chaque début de saison depuis la remontée, semble fondée pour ce cru 2006-07 : au terme du premier quart de championnat, les coéquipiers de Julien Sablé occupent une prometteuse cinquième place, en embuscade à trois petits points seulement de l’Olympique de Marseille, qu’ils ont sévèrement corrigé mercredi après-midi en Coupe de la Ligue… Même si nous nous garderons bien de projeter le classement final de l’ASSE sur la seule foi de cet instantané, force est de constater que les Stéphanois ont su hisser leur niveau de jeu  ces dernières semaines, et semblent moins fébriles qu’en début de saison. L'AS Saint-Étienne emmagasine beaucoup de confiance et consolide ses ambitions au fil des points engrangés.

Avec un Janot qui marche sur l’eau, une ossature stable depuis plusieurs saisons qui parvient à réussir l'intégration des recrues tchèques Hasek et Heinz, ou lilloises Roussey et Dernis, un banc d'où sortent Guarin, Hautcœur ou Gomis avec un certain brio, l'après-Zokora semble plutôt bien digéré, et il y a de quoi entretenir l’espoir que le soufflé ne retombe pas une nouvelle fois après la nouvelle année…



La minute pathologique d'Alexandre Ruiz

ruiz_paperb.jpg"Tiens, je vais interpeller Isabelle Dupuis notre réalisatrice, ce soir, pour lui demander de me remettre un petit coup les panneaux d'Antoine Kombouaré, là, dans le vestiaire, parce que c'est assez impressionnant de voir ce sens tactique d'Antoine Kombouaré, la prrrrécision, regardez, tout est appliqué, avec des couleurs, tous les numéros, pour donner tous les schémas tactiques à tous ses joueurs, là il y a de l'application énormément de travail sur toutes les phases de coups de pied arrêtés. Impressionnant de voir le travail et la maîtrise d'Antoine Kombouaré sur ce coup-là".




Stade 2 1986 + Téléfoot 1996 = Canal 2006

On pourra reprocher aux Cahiers d’en faire trop sur Canal + mais il faudra bien admettre que c’est eux qui ont commencé, et ce sont eux qui continuent… Annoncé a grands renforts de bandes annonces mélodramatiques, le 1000e match de L1 diffusé sur l’antenne de Canal devait être l’occasion d’un bel exercice de nostalgie, et de démonstration du savoir-faire de la chaîne depuis vingt-deux ans, celui-là même qui nous avait émerveillé après des années à subir le traitement austère-niais de TF1.
S’il y a bien un enseignement qu’on a pu tirer du pensum infligé aux abonnés dimanche soir, c’est que beaucoup d’eau à coulé sous les petits ponts depuis novembre 1984 et l’époque où Canal se voulait une référence. On était en droit d’espérer une rétrospective de tout ce que le championnat nous avait apporté, une ribambelle d’images d’archives pour se rappeler comment le foot a évolué, des maillots jusqu’aux habitudes capillaires des joueurs. Et pourquoi pas, soyons fous, l’intégralité des buts de Lilian Laslandes.

Platitudes et pénurie d'images
Comme c’est devenu une habitude, la quantité d’images de football fut famélique, contrairement aux pseudos contributions d’experts en plateau, lesquels ont été tellement essorés depuis qu’ils ont signé sur la chaîne cryptée qu’ils n’ont plus rien de nouveau à dire, et semblent expédier les affaires courantes en ponctuant leurs analyses d’un ou deux "exceptionnel" de temps en temps, histoire de rappeler qu’on fait un métier formidable.

En parlant de la téléfootisation d'une émission comme Jour de foot, qui donne l'impresssion qu'on nous parle comme à des enfants de dix ans, on est encore en-dessous de la réalité. Dimanche, on eut l’impression de regarder un vieux numéro de Stade 2. Car tout prestigieux que fut le plateau, il reste impossible de transmettre une émotion en multipliant les CV et les superlatifs si l'on n’a pas la moindre image à se mettre sous la dent et qu'il faut s'en remettre à la faconde de Zinédine Zidane. L’exercice consistant à élire une équipe type des vingt-deux dernières années aurait par exemple pu devenir intéressant, si un véritable reportage avait été consacré à chaque joueur, au lieu de leur consacrer une interview en plateau pendant laquelle ils ont pu enchaîner les platitudes. Combien de monteurs et d’archivistes pourraient être recrutés avec les seules indemnités versées à Zidane, Lizarazu et Aimé Jacquet?



L’envers du championnat > 10e journée
Le faux-pas de la huitième journée face au Mans semble déjà un bien vieux souvenir sur le rocher. Auteurs de deux performances de haut niveau face à des mal classés, les hommes de Laszlo Bölöni ont redressé la barre en faisant étalage d’un réalisme qui ne trompe pas, apanage des grandes équipes en fin de rencontre. Ils reprennent leur inexorable marche en avant, alors qu’il aura fallu attendre les vingt dernières minutes de jeu pour remplir le contrat à Chaban-Delmas, et même les sept dernières sur leur propre pelouse, pour éviter le gros pépin contre Toulouse.

classement_env10.jpg

Di Vaio, auteur par ailleurs d’un match absolument exceptionnel, avait en effet commis l’irréparable dès la 14e minute de jeu. Une maladresse qu’il s’employa tout le reste de la soirée à se faire pardonner auprès des supporters de l’ASM, miaulant de plaisir devant sa grande maîtrise et sa remarquable créativité dans l’exercice des duels seul face au gardien. Car ne nous y trompons pas, même si son total de buts est à la hauteur des ambitions monégasques, le grand Jan Koller s’évertue néanmoins à mettre son équipe en mauvaise situation avec ses déviations suicidaires. Il aura fallu un Di Vaio en état de transe Bakayoquesque pour préserver l’essentiel. La blessure du Tchèque favorisera toutefois le retour de Kallon en attaque, un atout majeur dans cette compétition.

Mais pour l’heure, les Monégasques fonctionnent à plein régime, à la grande satisfaction du président Pastor, qui a même dispensé Bölöni des séances d’entraînement tant le travail accompli permet d’ores et déjà de préparer l’avenir avec le jeune Banide, dont la première sortie en Coupe de la Ligue aura confirmé un potentiel certain pour œuvrer dans la continuité. Il en aura besoin pour aborder le vertigineux virage du championnat à l’envers qui se présente: les hasards du calendrier opposeront successivement au dauphin monégasque, l’actuel leader nantais et l’ancien leader niçois, histoire de savoir si Monaco peut s’imaginer un futur, avant de conclure cette folle série de sommets avec deux autres adversaires directs, Troyes et Lorient. Dans quatre journées, on saura si confier la destinée d’un club à un ancien directeur sportif de Strasbourg et un ancien entraîneur de Rennes était une recette durablement efficace au haut niveau.

Réactions

  • 5ylV@iN le 27/10/2006 à 06h27
    Que du plaisir qu'il faut savourer jusqu'à l'apothéose du championnat à l'envers !


    "Dans quatre journées, on saura si confier la destinée d’un club à un ancien directeur sportif de Strasbourg et un ancien entraîneur de Rennes était une recette durablement efficace au haut lien

    Merci

  • Jeune Mavuba Vaincu le 27/10/2006 à 06h35
    Preums! Le classement à l'envers est très bon, la minute pathologique aussi. Et à l'évocation de Michel Mézy à l'OL, j'ai dû me retenir difficilement pour ne pas eveiller l'attention des collègues...

  • Jeune Mavuba Vaincu le 27/10/2006 à 06h36
    Ah ben non pas preums... m'apprendra à pas rafraichir la page.

  • Jon-Dahl Tomasson le 27/10/2006 à 09h12
    "Et quand on ne s'appelle pas Hercule, on l'a dans le pif."


    Excellente ! Voila l'exemple du jeu de mots foireux que les moins de 20ans ne peuvent pas connaître, et qui me fait hurler de rire.
    Merci.

  • Freddy le 27/10/2006 à 09h17
    "le vestiaire coréen", c'est très bon ça...

  • Barnabé le 27/10/2006 à 09h26
    Et pas une remarque esthétique sur les maillots bleus des toulousains prétés par le Rocher.
    Il parait que le rose ressemblait trop au rayé rouge et blanc.

    Quelque chose me dit que la Ligue prend enfin des mesures contre les couleurs moches.

    Sinon, mazette, belle gazette !

  • kalle le 27/10/2006 à 09h36
    "La non-homologation de John Carew par le service des mines"
    hé oui, surcharge de l'essieu arrière...

    Le TFC 4ème de L1 !
    Et sans Beto Marcico ?
    Ahurissant !
    (Et peut-être temporaire...)

  • Le_footix le 27/10/2006 à 10h17
    Nalyse intéressante sur les Verts qui révèle à quel point la qualité d'un recrutement - à commencer par le remplacement des départs - est primordiale (n'est-ce pas Guy Roux qui disait qu'un bon recrutement est l'assurance d'une saison réussie ?). L'essentiel est de réussir à ne pas faire regretter le partant. Or avec Sablé, Hautcoeur, Landrin (quand même !) et Guarin, l'ASSE a déjà fait oublier Zokora qui était pourtant le meilleur stéphanois ces deux dernières années.

    Saint-Etienne développe cette saison un jeu offensif, spectaculaire porté par le duo Ilan-Piquionne et son classement est mérité.

    Le jour où toutes les équipes comprendront cela - la leçon semble profiter notamment à l'OM - la L1 recommencera enfin à se porter mieux.

    Il faut donc que OL Editions continue à fournir les dirigeants français de la brochure "Comment gérer un club de foot - la réussite sportive et économique en 20 leçons", par Jean-Michel A.

  • Zlatanist le 27/10/2006 à 13h31
    Les 10 scenarios et le coup de projecteur sur Monaco dans le championnat à l'envers : magnifique !
    Best gazette of the season pour moi.

  • freddo le 27/10/2006 à 14h03
    Jon-Dahl Tomasson
    [...]que les moins de 20ans ne peuvent pas connaître[...]

    voir moins de 30, "mon vieux"

La revue des Cahiers du football