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La gazette : 7e journée

Aulas en colère, Deschamps sur le départ, Dhorasoo dans le dur, le TFC dans le mou, Tiago la main dans le sac, Matsui minimisé... La Gazette repasse la journée à la vapeur.
Auteur : Le Feuilleton de la L1 le 20 Sept 2005

 

Un peu ralentis par un match nul en Gironde qui a peut-être révélé certaines de leurs failles, les Lyonnais sont à portée de Manceaux auxquels il va falloir arrêter d'accoler le qualificatif de "surprenants". De surprise, il n'y eut pas vraiment à Geoffroy-Guichard, où de ternes Parisiens ont offert aux Stéphanois un match qui devrait achever de convaincre ceux-ci de leur réel potentiel.
Les meilleures progressions de la semaine dans le Top 20 sont celles de Lille, Nantes, Auxerre et Rennes, à la faveur de victoires bienvenues — dont un carton des Nordistes face à Nice. Et avec deux victoires consécutives, les marseillais peuvent entrevoir la suite avec plus de sérénité. Petite curiosité: à la 13e place, l'OM présente exactement les mêmes compteurs que l'OGC Nice, avec 7 buts marqués pour 10 encaissés.
Au dernier rang, Nancy, Strasbourg et Metz, qui se sont rassurés comme ils ont pu avec des résultats nuls, restent alignés comme les oiseaux sur la branche.


classement_07j


Les résultats de la journée
Lille-Nice : 4-0
Saint-Étienne-Paris SG : 3-0
Nantes-Toulouse : 2-0
Auxerre-Ajaccio : 2-0
Le Mans-Sochaux : 2-1
Marseille-Troyes : 2-1
Bordeaux-Lyon : 1-1
Nancy-Metz : 1-1
Strasbourg-Lens : 1-1
Monaco-Rennes : 0-2



Grand président, petit homme
aulas_sunVoilà longtemps que Jean-Michel Aulas ne nous avait pas gratifiés de son habituelle logorrhée anti-arbitrale après un match de Ligue 1. Mais cette fois, le président de l'OL a opté pour un angle d'attaque pour le moins original, en opérant un subtil retournement de situation à la suite de Bordeaux-Lyon: "[Les Bordelais] ont eu une agressivité peu commune. Il y a eu beaucoup de coups défendus après les actions et ç'aurait mérité deux expulsions" a-t-il ainsi déclaré dans L'Équipe, nonobstant les 35 fautes lyonnaises pour 9 girondines, avant d'enchaîner: "L'arbitrage n'a pas été en faveur de Lyon, c'est le moins que l'on puisse dire. Ce soir tout allait dans le sens de Bordeaux. Enfin, on a l'habitude avec M. Derrien: à Caen, il n'avait pas été parfaitement en ligne avec ce qu'on attend du niveau de l'arbitrage".
Visiblement, les menaces consécutives au quart de finale de Coupe d'Europe perdu contre le PSV ont été mises à exécution, avec cette mise en cause très explicite de l'honnêteté de l'arbitre de cette rencontre. Une attitude de président de grand club? Plutôt une réaction de névrosé: le patron de l'OL tient-il des fiches en comptabilisant les bons et des mauvais points des hommes en noir qui officient lors des matches de son équipe? Son mode de notation est-il indexé à autre chose que le score final?
En tout cas, on attendra avec une certaine curiosité la prochaine intervention du Conseil national de l'éthique, qui avait suspendu pour quinze jours le vice-président monégasque, Gérard Brianti, pour ses déclarations consécutives au match entre son équipe et le FC Metz...



Les mains dans le sac
Le match de volley-ball entre Bordeaux et Lyon a donc nourri la controverse. Comme d'habitude, celle-ci s'en est tenue au débat sur l'influence des décisions de l'arbitre sur ce match précis, sans porter sur le problème soulevé — une nouvelle fois — par les mains dans la surface. Si celle de Cris en début de match est incontestable, celles de Tiago en deuxième mi-temps sont d'un autre ordre, et posent l'éternelle question des mains "volontaires" ou "involontaires". Cette traduction en langage usuel de la règle (qui évoque le caractère intentionnel ou non du geste), assortie de l'interrogation sur la "main qui va au ballon" ou l'inverse, est problématique à la base: en effet, en dépit de leurs efforts, les scientifiques n'ont jamais pu établir que la main de l'homme était douée d'une volonté propre. Quant à en juger avec un œil profane, les exemples abondent pour montrer qu'il est bien difficile de trancher (ayons une pensée émue pour Abel Xavier). En pareil cas, l'homme au sifflet dispose d'une marge d'interprétation aussi large que le champ des controverses qu'il va inévitablement susciter, quelle que soit sa décision...

tiagomainMais une chose au moins est sûre : quand un joueur s'oppose à un centreur en se plaçant sur la trajectoire avec une posture de pantin désarticulé (voir ci-contre), il multiplie ses chances de contrer la balle. S'il aura beau jeu de dire ensuite qu'il n'a pas fait exprès, soulignons aussi qu'il n'aura rien fait non plus pour éviter de se mettre à la faute... Car cette stratégie est périlleuse, puisqu'elle lui fait prendre prend le risque de voir l'arbitre le sanctionner d'un penalty (surtout s'il s'appelle Stéphane Pichot et qu'il a la main noire). On voit d'ailleurs de plus en plus de défenseurs joindre leurs mains dans leur dos afin d'éviter tout malentendu.
La solution réside peut-être dans une clarification de la règle: en cas de tir ou de centre, le défenseur doit conserver les bras collés au corps, ou ne s'en servir que pour sa propre protection. Évidemment, ce n'est pas facile lors d'un saut en extension, mais cette mise au point permettrait probablement d'éliminer une partie du flou dans la règle et surtout dans son application.



Les Japonais sont petits, les commentateurs sont…
La saison passée, nous avions pointé le déferlement de stéréotypes dont avait été victime Koji Nakata lors de la diffusion de Saint-Étienne-Marseille, de la part des commentateurs de Canal+ (voir le Feuilleton 18). Cette fois, signalons simplement que Philippe Genin, au cours d'un résumé de quelques minutes (Le Mans-Sochaux à Jour de foot), a réussi à prononcer trois fois "le petit Japonais" à propos de Daisuke Matsui. Est-ce que tous les joueurs qui mesurent 1m74 ou moins sont systématiquement qualifiés de petits? Et accessoirement, est-ce qu'on pourrait aussi remarquer que Matsui se trimballe littéralement pour ses débuts en Ligue 1 — ou bien est-ce impensable de la part d'un petit Japonais?



Deschamps prend la clé
deschamps_bancL’histoire retiendra que Didier Deschamps aura été le premier entraîneur à jeter l’éponge cette saison. Une ultime défaite à domicile face au stade Rennais a donc scellé le sort de l’ancien capitane de l’équipe de France. Il a lui-même décidé de partir de son plein gré, l’annonçant aux joueurs juste avant l’entraînement. Dimanche, les travées du stade Louis II étaient sorties de leur léthargie habituelle pour réclamer son départ. Il s’est exécuté, une semaine après avoir dit que l’ASM "n’était pas un grand club". Quelques jours après que Roma, Givet, Bernardi, Evra eurent critiqué le recrutement après l’élimination en tour préliminaire de la Ligue des champions face au Bétis Séville. L’omnipotent DD, homme à tout à faire sur le Rocher (qui a notamment remporté son match contre Campora il y a deux saisons) est parti comme un prince. "C'est son choix et il faut le respecter", a commenté le président Michel Pastor (pas Thierry le chanteur, le beau père de David Halliday le batteur). Il poursuit: "Je suis un peu surpris parce qu'on avait décidé de continuer ensemble cette saison mais peut-être cela ne lui convenait-il pas". Peut-être?

Quinze mois après sa finale de Ligue des champions, le club a moins capitalisé sur cet acquis que continué à faire les frais de l'après-Campora, sans parvenir à clarifier ses objectifs. La gestion de l'effectif au cours des deux dernières intersaisons a bien illustré le flou des ambitions et des finances de l'ASM, et probablement achevé de convaincre Deschamps que sa place était ailleurs. Finalement, le plus démotivé de l'effectif, c'était peut-être lui.



Tout Fout le Camp
merchTFC2Comment une telle équipe peut subir une telle accumulation de désillusions? C’est sans doute ce que nombre de supporters toulousains se demandent. Fort d’une dynamique de croissance intéressante, le TFC semblait se construire autour d’un projet sportif cohérent pour gravir de nouveaux sommets, sous l'impulsion de son ambitieux président Olivier Sadran — l'Aulas du Sud-Ouest. À l'issue d’une fin de saison digne d’un candidat à la relégation, les dirigeants ont véritablement reconfiguré l’effectif durant le marché estival. Cette étape marquait en substance la fin de l’équipe de combattants qui permit au club de retrouver l’élite en deux saisons.
Survivants de cette époque, Aubey, Emana et Ebondo sont restés comme des hommes de base du système. À leurs côtés, Lièvre, Cardy et Dieuze constituent d'appréciables seconds choix dans un effectif désormais étoffé. Depuis le début de saison, la défense, pas franchement hermétique, a cependant évité les dérives rennaises. En capitaine symbolique, Revault est resté fidèle à son image: à la fois capable d’éviter à son équipe de sombrer, mais aussi partenaire officiel des buts gags du Parc des princes, histoire, hélas, de donner raison l’espace d’un instant à ceux qui le sifflaient en d’autres temps.

Pourtant, ce qui ne s’exprime pas aujourd’hui à Toulouse, c’est le fameux potentiel d’un duo Santos-Moreira situé à la pointe d’une jeu sans grand relief. Comme partout, les automatismes viendront, gageons que ce ne soit trop tard et parions en la sagesse d’Eric Mombaerts à l’issue du match perdu contre Nantes: "Ne paniquons pas. Il ne faut pas tout jeter".



Paris et Dhorasoo en clair-obscur
merchPSG3Si un début de championnat réussi — au moins au niveau comptable — avait laissé augurer quelques promesses du côté du Camp des Loges, les Parisiens semblent s’être donné pour consigne, depuis quelques semaines, de ramener tout le monde sur terre. Après avoir fait carton plein lors des trois premières journées avec neuf points sur neuf possibles, ils n’ont récolté que quatre malheureuses unités depuis lors en quatre matches. Sans enterrer derechef l’équipe de la capitale, on remarquera que ses quatre victoires (dont trois au Parc) ont été obtenues contre des clubs — Metz, Sochaux, Toulouse et Strasbourg — qui sont aujourd’hui classées respectivement 20e, 16e, 17e et 19e… De quoi calmer les ardeurs des supporters parisiens, qui se voyaient déjà blackbouler les inamovibles Lyonnais de leur piédestal.

Et ce n’est pas la partie timorée livrée à Geoffroy-Guichard par les Rouge et Bleu qui rassérénera leurs fans. En l’absence de Rothen et de Kalou, le fonds de jeu du PSG, déjà anémique en temps normal, s’est encore délité, reposant sur les fines épaules d’un Dhorasoo débarrassé des tâches défensives par le schéma choisi par Fournier : une sorte de losange penchant vers la droite du fait des titularisations, aux côtés de M’Bami, de Landrin et Cissé. Entre autres interrogations, le match a ajouté à l’impression mitigée laissée par l’ancien Milanais en ce début de saison. Difficile à trouver pour ses coéquipiers, il n’a réussi que par intermittences à apporter à l’édifice collectif la touche d’improvisation et d’accélération qui est censée être sa marque de fabrique. Alors que l’on se demandait si le poste de milieu récupérateur-relayeur qu’il occupe quand Kalou est là est vraiment fait pour lui, il n’a pas vraiment profité de l’occasion pour s’imposer en numéro 10 axial à l’ancienne. À l’image de toute l’équipe, il semble tâtonner dans son positionnement, ce qui se répercute sur des coéquipiers qui attendent sans doute davantage de sa part.

Bref, à Paris, quand tout le monde est opérationnel, les stars du milieu ne se trouvent pas. Et quand une ou deux d’entre elles ne sont pas là (Rothen dès la demi-heure de jeu contre Strasbourg, Rothen et Kalou à Saint-Étienne), le troisième larron ne parvient pas à prendre la direction du jeu à son compte. Il échoit à Fournier de trouver rapidement le bon dispositif: le 21 septembre, le PSG reçoit Lille. Et le 21 septembre, c’est le début de l’automne — une saison traditionnellement synonyme dans la capitale d’une sérieuse dégradation du climat…

Réactions

  • Piotr Jujubier le 20/09/2005 à 01h44
    Yeah prem's !
    Je n'aurais jamais imaginer qu'étudier les villes italiennes du milieu du douzième siècle au milieu du quatorzième me permettrait de réagir en premier sur un article des cahiers du foot. Du coup, j'en reste sans voix et ne sait pas quoi dire comme réaction.

  • Nakatalol le 20/09/2005 à 03h31
    "Les Japonais sont petits, les commentateurs sont…
    La saison passée, nous avions pointé le déferlement de stéréotypes dont avait été victime Koji Nakata lors de la diffusion de Saint-Étienne-Marseille, de la part des commentateurs de Canal+ (voir le Feuilleton 18). Cette fois, signalons simplement que Philippe Genin, au cours d'un résumé de quelques minutes (Le Mans-Sochaux à Jour de foot), a réussi à prononcer trois fois "le petit Japonais" à propos de Daisuke Matsui."

    --> A noter madame la redac que "Dai" (un des deux kanji qui composent le prenom de Matsui) veut dire GRAND en japonais...

  • Principal Skinner le 20/09/2005 à 07h00
    Visiblement, les menaces consécutives au quart de finale de Coupe d'Europe perdu contre le PSV ont été mises à exécution, avec cette mise en cause très explicite de l'honnêteté de l'arbitre de cette rencontre
    -------------------------------------------

    Il est dommage de ne s'arreter qu'aux propos de Mr Aulas, de feindre de ne pas comprendre qu'un arbitrage a sens unique peut justement facilement donner un 35 a 9 au niveau des fautes et d'oublier que cela fait 3 jours, que les medias mettent l'honneteté de l'arbitrage en general et de mr Derrien en particulier en doute en hurlant au vol et a la mainmise de Lyon sur les arbitres "employés d'Aulas" sous pretexte que lors de Bordeaux-Lyon, l'arbitre n'a pas accordé un peno et un carton rouge favorables a Bordeaux sur le centre d'un joueur bordelais hors-jeu de pres d'un metre en pleine surface

  • JPDarky le 20/09/2005 à 08h35
    La Redaction ecrit :

    'L’omnipotent DD, homme à tout à faire sur le Rocher (qui a notamment remporté son match contre Campora il y a deux saisons) est parti comme un prince."

    Comme un prince ?

    Etonnant, a part le jeu de mot absolument pas stereotype [contrairement aux commentateurs qui disent 'petit'.

    Didier Deschamps, capitaine de l'EDF qui aura vu l'epiphanie au football de millions de francais, certes, n'etait il pas villipende ici-meme pour son attitude televisee [match decale, jugement des Cahiers [ca rime]] au sujet de l'arbitre Picirillo recemment ?

    Je ne me souviens plus des details, mais je crois qu'on parlait d'un entraineur "epuisant" qui se preoccupait plus de stigmatiser l'arbitrage pendant la rencontre que d'orienter ses joueurs, en substance.

    Quand JMA s'attaque a l'arbitrage il s'agit d'un petit homme.

    Quand Didier Deschamps decridibilise [encore !] le metier d'entraineur avec son attitude insupportable [depuis le debut de la saison, j'insiste, et pas seulement depuis ce match de Picirillo. Je sais, tous les matchs ne sont pas decales, ca rend difficile l'analyse synthetique d'une journee complete] envers l'arbitrage et les joueurs adverses, on parle de Prince. Quand Didier Deschamps, entraineur au vecu de 4 saisons se permet de critiquer son propre club pour faire pression a l'interne, on parle de Prince.

    Didier Deschamps part avec un joli accord avec son ex-patron, apres, donc, ces diverses exactions a l'encontre de la bonne tenue morale de notre football, et on parle de Prince.

    Une attitude de prince ?

    Je suis assez effare.

    Le plus effarant restant probablement le double virage serre sur les deux derniers diaporamas :

    1/ journee 6 : DD est un salopiot qui a une attitude puante envers un arbitrage fantaisiste [double entorse a la doxa "editions du 12 juillet" : critiquer un ex-Champion du Monde, critiquer [meme de maniere light] un arbitre fran-cais du championnat de France]

    2/ journee 7 : retour aux fondamentaux de la ligne officielle, DD est un prince, et les arbitres il faut pas en parler en mal, c'est mal [contribution precedente de Pierre Martini]

    Sinon j'aime bien les chaussettes du TFC.

    Blourg.

    JPDarky

  • luckyluke le 20/09/2005 à 08h42
    Ben pareil

    Finalement, la main non sifflée n'est que la réparation (ou compensation involontaire) d'une erreur précédente.
    Si Cris avait été sanctionné, on (enfin surtout nous les Lyonnais) aurait tous hurlé au loup parce qu'il y avait hors-jeu juste avant.
    (je pense d'ailleurs que l'arbitre n'avait pas revu ce hors-jeu lorsqu'il a admis avoir fait une erreur).

    Cela dit, peut-être qu'un jour les journalistes comprendront que Aulas, par ses déclarations, attire l'attention sur lui, ce qui a pour effet de protéger ses joueurs et d'éviter des crises à son club (Fournier:"j'en veux à mes joueurs"; le président de Sète:"s'il faut que je fasse la composition de l'équipe, je le ferai"; Deschamps... etc) et que, donc, ils n'y prêteront plus attention (et s'il n'est plus écouté, il ne dira plus rien).
    Plus ils lui donnent un temps de parole, plus il s'en sert. (et puis ça fait vendre, aussi, hein, faudrait pas casser le business non plus!!)

  • luckyluke le 20/09/2005 à 08h43
    oups, j'ai été blaourgué.
    le "ben pareil" était bien sûr en réponse au post de Principal Skinner.

  • Alexis le 20/09/2005 à 08h52
    (c'est trop dur, je ne peux m'en empêcher!)

    Je remarque tout de même sur les différents fils d'une part et dans les réactions aux articles d'autre part, qu'il est devenu presque impossible de n'émettre ne serait-ce qu'une critique (même si complètement justifiée) sur l'OL et ses hommes.

    Auto-dérision, quand tu nous laches... c'est tristounet.

  • luckyluke le 20/09/2005 à 09h06
    Alexis, si tu lis bien mon post, tu changeras peut-être d'avis

  • manuFoU le 20/09/2005 à 09h14
    luckyluke, à part la pirouette finale en forme d'alibi, difficile de trouver trace d'auto-dérision dans ton post.

  • Tatoo le 20/09/2005 à 09h15
    C'est avec une fierté non feinte que j'emboite le pas de JP Darky en ajoutant que "La gestion de l'effectif au cours des deux dernières intersaisons a bien illustré le flou des ambitions et des finances de l'ASM, et probablement achevé de convaincre Deschamps que sa place était ailleurs." doit etre une tournure de phrase pretant a confusion pour dire que Deschamps s'est peut etre rendu compte que ses talents ne comprenaient pas celui de faire de bons recrutements équilibrés. Parce que là ca donne un peu l'impression que le pauvre Deschamps a du composer avec un effectif imposé de piètre qualité.

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