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Vestiaire story

Imaginez un lieu dans lequel on enfermerait un groupe d'individus pendant plusieurs mois pour observer son évolution sous l'œil d'une multitude de caméras. Il ne s'agit pas d'un loft, ni d'une brochette de crétins ordinaires et exhibitionnistes, mais plutôt des coulisses du PSG dans les pages d'un célèbre hebdomadaire spécialisé.
Auteur : Jamel Attal le 10 Mai 2001

 

A l'heure où Luis Fernandez passait une salade à ses joueurs avant de leur poser un lapin, le dossier biennal spécial PSG de France Football était déjà dans les kiosques. Ce dossier n'a pas été l'objet d'un encart broché, comme il y a deux ans, mais il fait son poids*. S'il est payé au feuillet, Jean-Philippe Bouchard fait partie de ceux auxquels les déboires du PSG rapportent quelque chose. Egalement auteur du "Roman noir du PSG — De Canal+ à Canal-" (Calmann-Levy, 2000), il a une bonne plume, c'est un spécialiste respectable et ses analyses peuvent être très intéressantes. Mais il y a tout de même quelque facilité à exploiter aussi intensivement des sources qui relèvent plus de la plomberie que de l'investigation. Dans le cas du PSG, ces sources semblent inépuisables. A croire que les installations du club sont truffées de micros ou que les cloisons sont toujours aussi poreuses. Comme à Marseille, mais avec moins de contrôle encore, on ne compte plus les paroles attribuées à l'un et colportées par les autres, les petites histoires et les rumeurs certifiées, le tout avec des sous-entendus qui encouragent les imaginations à combler les trous du récit. L'article-fleuve de FF n'en manque pas. Ne cachons pas qu'une telle lecture est plaisante, qu'elle nous permet de jeter un œil amusé sur les péripéties tragi-comiques de l'inénarrable club de la capitale et fait de nous les voyeurs de ce monde qui travaille en short et roule en Porsche. Mais il faut aussi reconnaître qu'elle se nourrit, non pas de diffamations (la limite est parfaitement respectée), du moins d'un goût immodéré pour le dénigrement. Ne cherchez pas un personnage positif, une belle parole ou un joli geste dans ce roman-feuilleton, qui agite des eaux turbides pour en faire sentir les remugles et conclure à la médiocrité générale.

Dominique Rousseau, du journal L'Equipe, nous a à nouveau fait l'honneur d'une lettre, qui fût cette adressée à la rédaction et non directement sur le site. Nous nous garderons donc de la reproduire, mais saisissons quand même l'occasion de revenir sur cette Leçon 3 du journalisme sportif en 12 leçons qui a suscité cette réaction, et qui traitait du même travers que celui également approché ci-dessus: cette tendance à la malveillance qui semble nourrir une partie du travail de certains confrères de M. Rousseau. Une tendance objectivement démontrée par des dizaines d'exemples présents à l'esprit de tous, et qui prend des formes diverses, pas forcément conscientes d'ailleurs. Dans l'étude de cas proposée, les 24 questions(sur 47!) posées à Candela à propos de son statut de remplaçant en équipe de France trahissent au mieux une certaine lourdeur d'esprit, au pire des intentions douteuses. Il y a pourtant mille façons de plaider pour la titularisation de Candela en sélection si on la croit vraiment méritée (c'est effectivement un merveilleux joueur), sans avoir besoin de l'interroger avec une telle insistance sur le sujet.
L'exercice parodique de nos "leçons de journalisme" ne doit pas faire croire que nous assignons tous les chroniqueurs sportifs au même procès, au prix d'une de ces généralisations dont sont justement coutumiers les journalistes de tous poils. Mais il faut bien admettre que la moyenne générale (plombée par les télévisions) est incroyablement faible et que le paysage nous désespère toujours un peu. Tant d'énergie dépensée à des fins si futiles, alors qu'elle pourrait être employée à des projets différents (par exemple, la même chose, mais dans les couloirs du CIO ou du Groupe Darmon). Cela justifie nos perpétuelles critiques envers une corporation qui se trouve belle en son miroir, mais pas dans le nôtre.
A toutes fins utiles, ajoutons que les Cahiers du football ne sont pas exempts de tous reproches, notamment en matière de noircissement de tableau ou de démontage de McDonald's footballistiques. Cette part de mauvaise foi mise de côté, il faut quand même admettre que nous ne parlons pas tout à fait du même endroit, ni de la même voix.

Petit message à la rédaction de L'Equipe : ne laissez pas Dominique Rousseau tout seul pour défendre votre travail, écrivez-nous vous aussi!

—————————————
*L'AS Saint-Étienne a eu aussi droit à un tel traitement la semaine précédente. En toute logique, Marseille ne devrait pas y échapper, et il y a aura peut-être des prolongations pour Monaco.

Réactions

  • plumitif le 10/05/2001 à 10h40
    Le texte que j’ai envoyé aux Cahiers n’étant surtout pas destiné à être confidentiel, le voici :

    Je viens de lire la dernière mouture du journalisme sportif en 12 leçons, l’interview miné, qui ne restera pas dans les mémoires comme une de vos meilleures fulgurances, voir d’ailleurs le peu d’écho reçu en réactions. Cela révèle surtout chez vous une conception du monde du football divisé en classes. Il y a pour vous d’un côté les acteurs principaux, joueurs entraîneurs et dirigeants, et de l’autre dans la soute, les journalistes. Avec les premiers, on glose, on chambre, on ricane, avec les seconds, on fracasse.
    En clair, pour vous, les journalistes sont à classer en plusieurs catégories de blaireaux. Article 1, savent pas écrire. Article 2, connaissent rien. Article 3, la ramènent. Article 4, ne sont que les bras armés de leurs patrons qui les fouettent pour qu’ils écrivent des papiers populistes, complaisants, fouteurs de merde pour faire du fric, donneurs de leçons.
    Pour que le blaireau soit blaireau, il faut qu’une catégorie supérieure le décrète. On a donc ici l’observateur distancié des Cahiers mais qui n’oublie pas de se créer un fonds de commerce afin que son site soit regardé. Rien de mieux que les journalistes sportifs pour évacuer sa frustration. Le jeu libérateur consiste à écrire sur leur écriture. Le rédacteur des Cahiers écrit en creux ce que le blaireau est évidemment incapable d’écrire, le lecteur des cahiers fait assaut de réécriture magnifiée de ce que le blaireau a raté, et on s’écrit pour se congratuler entre soi d’appartenir à une élite qui sait immanquablement reconnaître le blaireau.
    Dans la société civile, le blaireau a son chasseur, le beauf à catogan de Cabu. Dans le monde du football, le blaireau journaliste a son beauf à lui, il écrit dans les Cahiers, voit une interview de Candela dans l’Equipe Magazine et décide de travailler la matière. Le blaireau a l’impudence de poser des questions à Candela sur son double statut, joueur cadre de la Roma en tête du calcio et remplaçant inamovible en équipe de France. On est à Clairefontaine, à quelques jours de France-Portugal et de Roma-Lazio, le blaireau a cru que c’était le bon moment. Le beauf dit que non, qu’il insiste lourdement, qu’il n’a qu’une envie c’est de faire craquer Candela. Le blaireau croit connaître Candela depuis plusieurs années. Le beauf décrète que non, il y a d’un côté un blaireau prédateur, de l’autre un joueur sous la torture.
    En résumé, je partage intellectuellement pas mal de vos analyses sur le foot, mais je me range résolument dans le camp des blaireaux.

    Dominique Rousseau (L’Equipe)

  • plumitif le 10/05/2001 à 10h50
    Et puis lorsque vous écrivez ceci sur le travail de Jean Philippe Bouchard dans FF:
    "Mais il faut aussi reconnaître qu'elle (la lecture de son article)se nourrit, non pas de diffamations (la limite est parfaitement respectée), du moins d'un goût immodéré pour le dénigrement. Ne cherchez pas un personnage positif, une belle parole ou un joli geste dans ce roman-feuilleton, qui agite des eaux turbides pour en faire sentir les remugles et conclure à la médiocrité générale".
    C'est décrire merveilleusement la nature de ce que vous écrivez sur les journalistes sportifs...

  • abola le 10/05/2001 à 10h53
    Journalisme d'investigation & football, ce jeudi soir, sur france3, à 0h15: "les desssous du football" sur les hooligans de Chelsea

  • le nihiliste le 10/05/2001 à 11h17

    Y'a comme une histoire d'arroseurs arrosés la dedans.
    Les blaireaux arroseurs se font arrosés par les cahiers qui se refont arrosés par un défenseur des blaireaux arroseurs...

    J'ai qd même une question pour les cdf : entre les blaireaux trop "hard" (style faiseurs de discorde pour manger) et les blaireaux trop tendre (style cravatte-sourire à téléfoot) vous préférez quoi?



  • le nihiliste le 10/05/2001 à 11h35
    Pour plumitif,
    c'est vrai qu'il y a un côté moqueur exacerbé chez les cahiers mais ils n'ont pas la portée de l'Equipe ou FF. C'est moins grave ...
    Et puis tout de même, entre l'opportunité d'aborder un sujet sur un joueur à "double statut" et s'attarder + de la moitié de l'interview la dessus, y'a un monde, celui de l'anguille sous roche (et même avec une franche camaraderie entre joueur et journaliste)

    En lisant les cahiers on s'aperçoit juste que comme partout, le foot n'héberge pas une "classe" d'acteurs plus saine qu'une autre... L'exagération est commune à l'homme, pas à l'activité.

  • MMM le 10/05/2001 à 11h57
    D'un côté un journal, ou magazine, qui se vend à je ne sais combien d'exemplaires, et de l'autre, un site sans pub aucune, qui reste relativement confidentiel.
    D'un côté un journal ou magazine destiné à un très large public, et de l'autre un site qui peut délivrer des analyses très compétentes, et relativement pointues.
    L'Equipe, de part son large public, ne peut se permettre les même choses que les CDF, les CDF, de part leur objectif, ne peuvent se contenter de la médiocrité de la majorité des articles de l'Equipe.

    Dominique Rousseau (si c'est bien lui), argumente du peu de réactions reçues à cet article, pour signifier que cet article était naze. Quant un article est bien, tous les lecteurs ne vont pas dire " Génial ! Trop fort Je partage votre avis. " etc. On se contente généralement du forum, sauf quand on a qqchose à ajouter ou préciser.

    Quant aux dénominations de "blaireau" ou "beauf", je crois qu'elles sont relativement mal appropriées, même si le fonds de l'analyse n'est pas si mauvaise.

    Je ne suis pas toujours d'accord avec les articles des CDF. Mais celui inhérent à l'interview miné m'a paru pertinent. Les interviewes sont très souvent chiantes, les questions sont édulcorées, et les réponses automatiques.
    En règle générales, les interviewes n'apportent strictement rien aux lecteurs.

    Dans tous les cas de figures, ce qui importe, c'est que nous (les lecteurs) apprenions qqchose en lisant.
    Lire l'Equipe et lire les Cahiers n'apportent pas la même matière. Personnellement, j'ai choisi celle qui me sied.
    J'arrive à faire la part des choses, et je n'encense pas les CDF. Je ne tire pas non plus à boulets rouges sur l'Equipe. Il y de mauvaises choses sur les CDF(La haine -je ne sais pas si ce terme est approprié- des CDF envers l'Equipe est peut-être un peu démesurée), et de bons points dan l'Equipe (heu…je n'ai pas d'exemple sous la main.)

    Lire l'Equipe ou lire les CDF sans réfléchir, ce n'est pas très bon. Que quelqu'un pense à ma place, c'est qqchose que je déteste. Mais avoir des bases pour réfléchir est une chose importante ; et ces bases sont plus solides dans les CDF que dans l'Equipe, à mon goût.

  • la rédaction le 10/05/2001 à 12h17
    Puisque que le débat se poursuit à boîtes aux lettres ouvertes, nous y joignons pour information notre réponse par mail à Dominique Rousseau.

    < (...) En ce qui concerne le peu de réactions à l'article, n'en tirez pas de conclusions hâtives, leur nombre n'est pas toujours proportionnel aux visites ou à l'intérêt suscité par un texte. La nouvelle formule visait à installer les débats dans les forums, elle y a effectivement réussi. Enfin, les problèmes techniques démoralisants que nos connaissons actuellement sont eux-mêmes de nature dissuasive. On pourrait d'ailleurs interpréter inversement ce signe, comme étant celui d'un consensus total sur le sujet, qui ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes. C'est l'impression que nous avons quand il s'agit d'évoquer le travail de journalistes sportifs qui ignorent grandement l'hostilité qu'ils suscitent, à notre grande surprise d'ailleurs.
    Vous dites que nous divisons le football en classes, mais vous appliquez vous-mêmes une grille de lecture très discutable en croyant nous connaître, beaufs à catogan ou autre cliché. A cet égard, votre expression "fonds de commerce" n'est pas très pertinente pour les Cahiers du foot… De même, la notion de "catégorie supérieure" ou d'"élite" que vous nous assignez ne manque pas d'ironie, émanant d'un journal aussi institutionnel et puissant que le vôtre (et où le salaire moyen est assez impressionnant). Enfin cette idée de "frustration", selon laquelle, comme les journalistes sportifs seraient des sportifs ratés, les rédacteurs des Cahiers seraient des journalistes sportifs ratés, est un peu simpliste, nous semble-t-il*. L'acidité de nos propos tient plus à un certain amour du football qu'à une quelconque amertume. Une certaine jubilation émane du site, non?
    A partir de là, comme disent les footballeurs, il nous faut reconnaître, parmi ses nombreux inconvénients, les avantages de notre position, et ne pas hésiter à en profiter. Il y a en effet un certain confort à tirer à vue depuis nos claviers sur cette "confrérie" que nous caricaturons.
    Un malentendu existe de toute façon sur notre vision des journalistes sportifs. Le ton et le format de nos chroniques, particulièrement d'un exercice comme le "journalisme sportif en 12 leçon", impose de forcer le trait et leurs généralisations ne sont là que pour mettre en scène une parodie, pas pour porter un jugement général. On peut nous accuser de démagogie sur ce sujet, parce qu'il rencontre un certain consensus dans les publics du sport (ce qui n'est tout de même pas insignifiant), mais notre peu de goût pour les diverses formes de compromission suffirait à nous disculper par ailleurs. Le malentendu se creuse quant à nos opinions respectives sur la corporation dans son ensemble, au sein de laquelle les standards ne nous paraissent pas très élevés. Cela ne veut pas dire que nous vouons un mépris systématique à votre travail. Nous sommes certains que nous pourrions avoir des discussions passionnantes avec vos confrères, comme Richard Porret, Etienne Moatti ou Marc Chevrier, que nous lisons avec plaisir et intérêt, de la même façon qu'il est agréable de dialoguer avec vous. Quant à l'intervieweur de L'Equipe Mag, il sera difficile de nous faire revenir sur l'idée que son insistance était disproportionnée, qu'elle soit le fruit de sa maladresse, de son manque d'imagination ou de ce que nous nous plaisons à peindre comme une certaine malveillance, pas toujours très consciente.
    En espérant que les malentendus soient moins profonds qu'ils ne semblent, nous souhaitons que vous soyez aussi fidèle aux Cahiers du football que nous le sommes à L'Equipe, serait-ce en maugréant de part et d'autre !
    Amicalement,
    Jamel Attal.

    * Si frustration il devait y avoir, elle pourrait résider dans l'écart entre notre bonne reconnaissance par le monde du web et le mutisme de la presse sportive traditionnelle à notre égard, surtout au vu des tombereaux de futilités qui en encombrent certaines pages. Mais ce n'est pas tout à fait une lien

  • MMM le 10/05/2001 à 12h26
    Ce n'est pas pour encombrer inutilement les réactions (tout le monde sait se tenir maintenant, dans les réactions), mais pour une fois, je vais faire une exception :
    Superbe analyse, Jerzo ! (cette félicitation est certainement biaisée par le fait que je suis tout à fait d'accord avec toi.)

  • Amazigh le 10/05/2001 à 13h17
    Ha non laissez Dominique Rousseau continuer à réagir on risquerait de le remplacer par Jérome Bureau dont les interventions sont d'une platitude à nous faire mourir d'ennui!
    Je n'ai pas lu le dossier de FF pour la simple raison que les sources de leurs infos ne sont jamais citées, il s'agit toujours d'une personne de l"entourage proche de X ou Y, mais des noms on veut des noms!!!!!
    Enfin, Domi, juger de la qualité d'un article sur le nombre de réactions , t'as pas assuré là (tu permets qu'on se tutoie on se connaitr grâce au CDF)t'as vraiment abusé sur le coup!! Ta réaction Domi, est à l'image de vos articles vous tirez des conclusions hatives à partir d'un fait anodin!

  • houbahouba le 10/05/2001 à 15h45
    Franchement, j'aime bien quand D.Rousseau vient donner son avis sur ce site. D'abord parce que savoir que l'Equipe connaît son existence et le consulte régulièrement rassure sur l'ouverture d'esprit de ce journal (quoiqu'on en dise).

    Ensuite lorsqu'il vient ici, il sort de la langue de bois bien policée trop souvent utilisée dans les médias d'envergure.
    Je partage souvent le point de vue des CDF sur les journalistes sportifs qui posent des questions parfois complaisantes, parfois sournoises. Faut-il pour autant faire des reproches a priori ou systématiques à cette "corporation" ? Il y a aussi parfois dans l'Equipe comme dans d'autres journaux des bons articles d'investigations, même si je pense que ce journal avec "l'affaire Jacquet" s'est un peu décrédibilisé à mes yeux en dépassant certaines bornes.

    Et pour répondre à Amazigh qui reproche à FF de ne pas citer ses sources, je ne vois pas pourquoi ils le feraient car c'est une règle de base du journalisme (sportif ou non) : ne pas citer ses sources si elles ne le veulent pas !!
    Enfin, vu le nombre de critiques des journalistes sportifs, j'aimerais savoir s'il y a quelqu'un dans la salle pour me donner sa définition du "bon journaliste sportif" et accessoirement de me fournir quelques noms ???

La revue des Cahiers du football