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Top 10 : les poteaux du football français

Décisifs, mais pas forcément potos avec le football français, ils ont tous marqué son histoire.

Auteur : Christophe Zemmour le 19 Avr 2012

 

 

10. Robert PiresOlympique de Marseille-Chelsea, phase de poules de la Ligue des champions 1999-2000

 

Après un premier tour de poules de C1 1999-2000 qui l'a vu terminer dauphin d'un Manchester United champion d'Europe en titre, avec notamment une victoire en confrontation directe au Stade Vélodrome (1-0, but de William Gallas), l'Olympique de Marseille se retrouve pour cette deuxième phase dans un groupe composé de Chelsea, du Feyenoord Rotterdam et de la Lazio Rome. Les Phocéens perdront tous leurs matches à l'extérieur, avec notamment deux sévères défaites aux Pays-Bas (0-3) et en Italie (1-5). Sa seule victoire, Marseille l'obtient à domicile face à Chelsea. Robert Pires inscrit l'unique but du match à la 16e minute. Il arrive lancé à l'entrée de la surface côté droit face à Marcel Desailly, qu'il élimine sur un crochet extérieur. Son coup de rein l'amène dans une position excentrée, depuis laquelle il tente une frappe plutôt qu'un centre. Le gardien londonien, Ed de Goey, qui n'a pas couvert son premier poteau, est alors surpris. Le ballon ricoche sur les deux montants avant d'entrer dans le but. Vu de la télévision, l'illusion d'optique est parfaite et on croit d'abord que la balle est passée derrière la cage. L'OM quittera la compétition à ce stade.

 

 

 

 

9. Frederico Chaves Guedes et Andryi ChevtchenkoMilan AC-Olympique Lyonnais, quart de finale de la Ligue des champions 2005-2006

 

Après deux échecs consécutifs en quart de finale de C1 (face au FC Porto en 2004 et au PSV Eindhoven en 2005), l'Olympique Lyonnais, quadruple champion de France en titre, pense tenir le bon bout face au Milan AC lors du match retour disputé à San Siro le 4 avril 2006. À la faveur du but égalisateur inscrit par Mahamadou Diarra à la 31e, soit six minutes après l'ouverture du score de Filippo Inzaghi, l'OL est en position de se qualifier puisque les deux équipes s'étaient quittées sur un 0-0 à l'aller à Gerland.

 

Frederico Chaves Guedes, aka Fred, est même tout près de donner l'avantage aux siens sur une reprise de la tête sur corner qui tape l'extérieur du poteau gauche de Dida. Les Rhodaniens parviennent à garder ce score jusqu'à la 88e minute. Une longue transversale lobe Éric Abidal, qui a mal jugé la trajectoire, et parvient à Andryi Chevtchenko. L'attaquant milanais contrôle du pied droit avant d'effectuer un tir croisé que Grégory Coupet touche légèrement. Le ballon est dévié sur son poteau droit, puis longe la ligne de but, sans vouloir s'en éloigner, jusqu'à son montant gauche. Pippo Inzaghi, qui avait d'abord demandé la balle face au but puis s'était retrouvé sur un genou, parvient à mettre le ballon au fond des filets. Cinq minutes plus tard, sur une passe en retrait de François Clerc mal ajustée, Chevtchenko se chargera de sceller le score après avoir dribblé Coupet. L'OL rate ainsi l'occasion d'accéder à la première demi-finale de C1 de son histoire (voir la vidéo).

 

 

 

8. Mathieu ValbuenaLiverpool FC-Olympique de Marseille, phase de poules de la Ligue des champions 2007-2008

 

Au plus mal en championnat, et dirigé pour la première fois par son nouvel entraîneur Eric Gerets, l'Olympique de Marseille se rend à Anfield Road pour le compte de la deuxième journée de la phase de poules de la Ligue des champions 2007/08. Les Marseillais réalisent une très belle prestation qui les voit faire douter, voire dominer, des vice-champions d'Europe certes pas encore dans leur rythme de croisière en ce 3 octobre 2007. Forts d'un bel engagement et d'un pressing efficace, les joueurs de Gerets parviennent à faire la décision à la 78e minute.

 

Après une belle récupération de Lorik Cana, Mathieu Valbuena combine en une-deux avec Boudewjin Zenden qui lui remet plein axe. À la solution de passe sur la gauche proposée par le Néerlandais, le n°28 phocéen préfère fixer Jamie Carragher à l'entrée de la surface. Il s'ouvre le chemin du but et décoche une frappe enroulée du pied droit. Le ballon tape la transversale de Pepe Reina, resté immobile, avant de finir dans le petit filet. Grâce à ce but, Mathieu Valbuena se fait un nom et l'OM devient la première équipe française à battre Liverpool dans son fief d'Anfield.

 

 

 

 

 

7. Patrice LokoParis Saint-Germain-FC Barcelone, finale de la Coupe d’Europe des vainqueurs de coupes 1996-1997

 

Après son succès de Bruxelles l'année précédente, le Paris Saint-Germain de Bernard Lama et Rai affronte à Rotterdam le FC Barcelone de Josep Guardiola, Luis Figo et Ronaldo, dans le but de devenir la première équipe à conserver son titre en C2. Le début de match est équilibré, mais c'est Ronaldo qui ouvre le score, sur un penalty qu'il a lui-même provoqué face à Bruno N'Gotty, auteur du but vainqueur face au Rapid Vienne le 8 mai 1996.

 

Les Parisiens poussent en seconde période pour égaliser. Après un magnifique une-deux entre Leonardo et Rai, initié par une talonnade du premier, l’actuel directeur sportif du club trouve en profondeur Patrice Loko qui se présente seul face à Vitor Baia. L'attaquant parisien anticipe bien la sortie du portier blaugrana et croise sa frappe. Le ballon file doucement mais surement vers le but, avant de trouver malheureusement le poteau. Le Barça gardera son avantage et la compétition mourra deux ans plus tard en étant restée infidèle jusqu'au bout (voir la vidéo).

 

 

 

6. Élise Bussaglia et Faye WhiteFrance-Angleterre, quart de finale de la Coupe du monde féminine 2011

 

En quête de sa première demi-finale mondiale, l'équipe de France féminine affronte son homologue anglaise au stade des quarts. Les joueuses de Bruno Bini dominent, mais ne parviennent pas à prendre l'avantage. Ce sont même les Britanniques qui ouvrent le score à la 59e, Jill Scott profitant d'une mésentente au sein de la défense bleue pour placer une frappe lobée qui trompe Céline Deville. La France se crée de nombreuses opportunités d'égaliser, mais ce n'est qu'à la 88e, sur un ballon trainant à l'entrée de la surface, qu'Élise Bussaglia parvient à prendre à défaut Karen Bardsley sur une frappe plat du pied gauche. La balle heurte le montant droit de la portière anglaise, avant d'entrer dans le but.

 

Aucune des deux équipes ne parvient ensuite à arracher la victoire. Lors de la séance de tirs au but, après un échec dans chaque camp, la capitaine anglaise Faye White se présente pour le dernier tir de la série. Sa frappe pied droit est puissante et s'élève pour venir heurter la barre transversale. Le ballon ne retombe pas et la France est qualifiée pour le dernier carré de ce Mondial allemand (voir la vidéo).

 

 

 

5. Luigi Di BiagioItalie-France, quart de finale de la Coupe du monde 1998

 

Dans ce match âpre disputé au Saint-Denis en ce vendredi 3 juillet 1998, Français et Italiens se neutralisent, non sans tenter de marquer, par Youri Djorkaeff notamment pour les uns, et pour les autres par Christian Vieri et surtout Roberto Baggio qui manque de peu d’inscrire le but en or sur une reprise de volée trop croisée. La qualification pour les demi-finales de ce mondial hexagonal se décide donc aux tirs au but.

 

Après un échec dans chaque camp (Bixente Lizarazu et Demetrio Albertini), les Bleus mènent 4-3 lorsque Luigi Di Biagio s’avance devant Fabien Barthez pour la dernière tentative de la série. Depuis le banc de touche, Vincent Candela annonce: "Tu vas voir la mine qu’il va mettre. Il va tirer au-dessus!" [2] Son partenaire à l’AS Roma prend très peu d’élan et tire en force du pied droit au milieu du but. Barthez, parti sur son côté gauche, voit le ballon toucher sa barre transversale et s’élever dans les airs. Il ne se rend pas compte tout de suite que cet échec italien signifie la qualification française pour la demi-finale d'une Coupe du monde que les Bleus remporteront neuf jours plus tard.

 

 

 

 

4. Müller, Careca, Bruno Bellone et Júlio CesarFrance-Brésil, quart de finale de la Coupe du monde 1986

 

En ce trente-et-unième anniversaire de son capitaine Michel Platini, l'équipe de France rencontre le Brésil de Tele Santana à Guadalajara au stade des quarts de finale du Mundial mexicain. Le match est émaillé par de nombreux tirs sur le poteau, tous à la faveur du onze tricolore. Tout d'abord, en première période, alors que les Auriverde mènent 1-0, Socrates trouve sur une sublime ouverture Careca (auteur du but à la 17e) qui grille la politesse à Maxime Bossis et centre devant le but à ras de terre. Le ballon file devant Joël Bats et Patrick Battiston, et arrive jusqu'à Müller positionné au second poteau et pressé par Thierry Tusseau. Le Brésilien parvient à le reprendre et son tir sans contrôle tape le montant avant de sortir en touche.

 

En seconde période, alors que la France a égalisé par Platini à la 40e, Socrates sert côté droit Josimar qui dépose un centre parfait pour Careca, dont la puissante reprise de la tête frappe de plein fouet la barre transversale de Joël Bats. La France remportera le match aux tirs au but, notamment grâce à une incroyable partie de billard favorable à Bruno Bellone: le tir croisé de l'attaquant heurte le poteau gauche de Carlos, parti du bon côté mais dont le dos renvoie la balle dans ses filets... Pour le dernier tir au but brésilien, c'est Júlio Cesar qui se présente face à Joël Bats et choisit de frapper en force sur la droite du gardien français, qui a bien anticipé. Le tir est dévié par le poteau. Luis Fernandez se chargera ensuite de qualifier la France pour le dernier carré.

 

 

 

3. Manuel Amoros et Alain GiresseFrance-République Fédérale Allemande, demi-finale de la Coupe du monde 1982

 

Pour cette demi-finale du Mundial espagnol disputée à Séville, France et RFA sont à égalité (1-1, buts de Michel Platini et Pierre Littbarski) et se dirigent tout droit vers les prolongations quand à la 90e minute, une belle succession de passes au milieu de terrain permet au capitaine français de décaler Manuel Amoros côté gauche. Non attaqué et arrivé à un peu moins de vingt-cinq mètres du but, le latéral tente alors sa chance du droit. La frappe puissante s’élève, bat Harald Schumacher avant de terminer sa trajectoire sur la barre transversale. Le ballon est récupéré par Didier Six, qui tire à côté après une succession de jongles.

 

Les deux équipes se dirigent alors vers une période de prolongations restée dans l'Histoire. Une reprise de volée de Marius Trésor permet tout d’abord aux français de prendre l’avantage (2-1). Le passeur décisif, Alain Giresse, est l’auteur du 3-1: à la 99e minute, Michel Platini, alors à l’entrée de la surface, décale Didier Six à gauche qui fixe deux défenseurs avant de mettre "en retrait pour Giresse!" [1] Le Girondin frappe alors directement du pied droit. Le ballon passe à droite de Harald Schumacher et touche le montant avant d’entrer dans le but. Le n°12 français exulte et donne une avance à la France qui se révèlera malheureusement insuffisante.

 

 

 

 

2. Zinédine Zidane, Luca Toni et David TrezeguetItalie-France, finale de la Coupe du monde 2006

 

Six ans après la finale de Rotterdam et à la suite de deux compétitions internationales ratées à la fois par l'une et par l'autre (Mondial 2002 et Euro 2004), la France et l'Italie se retrouvent à Berlin pour se disputer le titre de champion du monde. Dès la 9e minute, Florent Malouda obtient un penalty pour une faute de Marco Materazzi. C'est le capitaine, Zinédine Zidane, qui se charge de le tirer. Déjà auteur du but décisif sur penalty face au Portugal en demies (1-0), le joueur du Real Madrid tente une Panenka au lieu de son traditionnel tir croisé à mi-hauteur. Gianluigi Buffon, qui avait anticipé sur sa droite, est battu. Le ballon s'élève et touche la barre... avant de rebondir derrière la ligne de but et de déclencher une seconde de stupéfaction mondiale.

 

Déjà passeur décisif sur corner pour la rapide égalisation de Materazzi, Andrea Pirlo, dépose sur une action similaire à la 36e un ballon sur la tête de Luca Toni, qui voit sa reprise smashée plein axe renvoyée par la barre transversale de Fabien Barthez. Plus tard, alors que la finale doit se décider aux tirs au but, l’Italie mène 2-1 dans cette séance quand David Trezeguet s’avance devant son partenaire de club, Gianluigi Buffon. Maillot déchiré, le regard peu assuré, l’attaquant de la Juventus multiplie les petits pas dans sa longue course d'élan et frappe en force. Buffon est pris à contre-pied, mais la balle tape la barre transversale avant de rebondir… cette fois devant la ligne. C'est le seul échec de cette séance de tirs au but (voir la vidéo).

 

 

 

1. Dominique Bathenay et Jacques SantiniAS Saint-Étienne-Bayern Munich, finale de la Coupe d’Europe des clubs champions 1975-76

 

Impossible de ne pas finir sur les poteaux devenus mythologiques de cette finale disputée à Hampden Park le 12 mai 1976, les fameux poteaux carrés qui auraient contrecarré les tentatives stéphanoises. Tout d'abord, Dominique Bathenay déboule dans la défense bavaroise et tente sa chance du gauche. Le tir prend à défaut Sepp Maier, frappe la barre et revient sur Hervé Revelli, dont la reprise de la tête atterrit dans les gants du portier allemand (33e).

 

Six minutes plus tard, Bathenay décale côté gauche Christian Sarramagna qui centre pour Jacques Santini posté au premier poteau. Sa reprise de la tête est détournée elle aussi par la barre transversale. L'ASSE ne concrétise ainsi pas ces deux belles opportunités et le score reste nul et vierge à la mi-temps. Le premier et seul but du match sera inscrit par Franz Roth sur un coup franc indirect. La C1 se refuse encore aux clubs français et la légende des poteaux carrés voit le jour.

 

 

 


Les Tops 10 "poteaux" que l'on aurait aussi pu faire

• La Coupe du Monde 2002
• Le challenge Benoit Cheyrou
• Grégory Bourillon: 2007-2010
• Les poteaux de corner de Bernard Mendy
• Les poteaux de rugby de Bakayoko


[1] Sur le conseil de Jean-Michel Larqué, bien évidemment.
[2] Dans le documentaire Les Yeux dans les Bleus réalisé par Stéphane Meunier.

Réactions

  • Jean-Noël Perrin le 19/04/2012 à 00h40
    Quitte à évoquer les poteaux carrés, je suis surpris de ne pas voir la barre (rentrante) trouvée par Kostadinov...

  • Jean-Noël Perrin le 19/04/2012 à 00h46
    Quitte à évoquer les poteaux carrés, je suis surpris de ne pas voir la barre (rentrante) trouvée par Kostadinov...

  • José-Mickaël le 19/04/2012 à 01h33
    Encore un Top 10 intéressant qui nous fait remémorer des matchs heu... mémorables. Et je trouve le classement judicieux : les fameux poteaux carrés sont clairement d'une importance capitale dans l'histoire de France. (On aurait peut-être pu ajouter les cinq poteaux du premier tour 2002 ?)

    Par contre :

    > Le n°12 français exulte et Thierry Roland prononce alors l'assertion la plus douloureusement fausse de l'histoire du football hexagonal: "La France est en finale!"

    Il n'a pas tout à fait dit ça et la nuance est importante. Voici le dialogue (eh oui, j'ai un enregistrment du match) :

    TR - Rocheteau, face à Forster... Platini... Six...
    JML - En retrait pour Giresse ! En retrait pour Giresse !
    TR - Il n'a pas vu.
    JML - Voilà ! Oui oui oui.
    TR et JML - But !
    TF - Ouais ! Bien joué ! Giresse qui marque le troisième but sur ce centre en retrait de Didier Six ! Trois buts à un, neuvième minute de la prolongation, et les français qui sont pratiquement en finale de la coupe du Monde !

    Pratiquement en finale : c'est très bien dit. Malheureusement les Allemands ne sont jamais battus...

  • Toto le Zéro le 19/04/2012 à 05h50
    J'y aurais bien vu le tir sur le poteau de Ginola a cinq minutes de la fin contre le Milan AC en 1995... avant que Boban ne crucifie le Parc et ne plombe le résultat pour le retour.


  • Toto le Zéro le 19/04/2012 à 07h35
    En demi-finale de la ligue des champions 94-95, pour être plus précis...

  • Nicaulas le 19/04/2012 à 09h08
    Je n'aurais pas du regarder la vidéo du match contre le Milan... C'était un souvenir douloureux, mais c'est encore plus douloureux de comparer le niveau de jeu de l'OL de l'époque à celui d'aujourd'hui...

  • Tonton Danijel le 19/04/2012 à 09h11
    Publier ce top 10 le lendemain de l'hommage du Barça, comme un symbole.

  • Ba Zenga le 19/04/2012 à 10h10
    C'est dingue, j'aurais mis ma main à couper que Thierry Roland avait dit que la France était en finale. Comme quoi, les souvenirs, faut faire gaffe avec... Merci JM, je vais éditer l'article alors.

    Quant à Kostadinov, je dois avouer que je l'ai complètement zappé. Oubli volontaire? Et Ginola, j'y ai pensé, mais il fallait faire un choix et celui de Pires est plutôt amusant. Encore merci aux membres du forum qui avaient déposé leurs idées sur le fil associé.

  • magnus le 19/04/2012 à 10h17
    La frappe de Ginola était curieuse, dévissée et peu rapide, je crois que le gardien n'avait pas bougé alors que le ballon allait lentement taper le poteau (ou l'arête?).

  • Ba Zenga le 19/04/2012 à 10h27
    La barre, non?

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