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Sampdoria 1986-1992 : Gênes et plaisir

Les grandes équipes – L'Unione Calcio Sampdoria de Vialli, Mancini et Pagliuca fut à deux doigts de mettre l'Europe à genoux...
Auteur : Steven Rousseau le 30 Dec 2009

 

Nino Ferrer repose aujourd'hui à Montcuq, mais c'est Gênes qui le vit naître. La seule autre gloire locale connue de notre côté des Alpes est ce club au nom singulier, fusion patronymique et administrative de la Sampierdarenese et d'Andrea Doria en 1946: la Sampdoria, club né tardivement dans une ville de taille moyenne, arborant un maillot de cycliste (1), et symbolisée par un vieux barbu coiffé d'un béret fumant la pipe...


sampdoria_1.jpgPar la volonté du patron

Paolo Mantovani rachète le club en 1979 alors que celui-ci végète en Série B. Ce charismatique oligarque promet d’emblée aux supporteurs la remontée et le titre à moyen terme. Chamboulant l’effectif et le staff d’une saison à l’autre, il remporte son premier pari en 1982 avec la promotion en Série A. Le président attire des stars (Liam Brady de la Juventus, Trevor Francis de Manchester City, Graeme Souness de Liverpool) et des jeunes prometteurs (Luca Pellegrini de Varese, Roberto Mancini de Bologne, Moreno Mannini de Côme, Gianluca Vialli – encore chevelu – de la Cremonese), et hisse rapidement son club parmi les plus en vue du Calcio. Dès 1985 la Sampdoria accroche la quatrième place et gagne la Coupe d’Italie aux dépens d’un autre revenant en plein essor, l’AC Milan de Silvio Berlusconi, grâce à des buts de Mancini et Vialli, vingt-et-un ans tous les deux. La progression du club est ralentie la saison suivante, l’équipe échappant de peu à la relégation et perdant la coupe en finale contre l’AS Rome.

Mantovani remercie alors l’entraîneur Eugenio Bersellini et confie l’équipe au Serbe Vujadin Boškov, déjà passé par la Samp en tant que joueur au début des années 1960. Champion de Yougoslavie avec Vojvodina, champion d'Espagne et finaliste de la Coupe d’Europe en 1981 avec le Real, c’est un entraineur déjà expérimenté qui vient apporter son charisme aux Doriani en 1986, épaulé par son adjoint Narciso Pezzotti (2). Arrivederci les stars anglo saxonnes, benvenuti le Brésilien Toninho Cerezo (AS Rome), l’Allemand Hans-Peter Briegel (Kaiserslautern), et le prometteur gardien de but Gianluca Pagliuca (vingt-et-un ans, de Bologne) dont s’est entiché le président Mantovani. Ce dernier continue de gérer habilement les transferts et garde un œil paternel sur le vestiaire, notamment les jeunes qui s’y épanouissent, et surtout les deux perles Mancini et Vialli qui ont déjà intégré la Squadra Azzurra. À charge pour la forte personnalité de Boškov de faire prendre la mayonnaise entre les jeunes protégés de Mantovani et les joueurs confirmés, comme Pietro Vierchowood – qui fait déjà office de vétéran – ou Cerezo.



La gloire par les coupes

Les deux premières saisons de Boškov sont contrastées. Bonne sans plus dans la Série A à seize clubs, la Sampdoria remporte néanmoins sa deuxième Coupe d’Italie en 1988 contre le Torino d’Anton Polster et du tout jeune Gianluigi Lentini au bout du suspens, les Turinois ayant remonté leur handicap de deux buts dans le temps réglementaire (3).
À l’intersaison, l’équipe perd Briegel mais se renforce avec le champion du monde 1982 Giuseppe Dossena (Udinese), Amedeo Carboni (de Parme, le même que celui de Valence mais avec quinze ans de moins) et l’international espagnol Victor Muñoz (Barcelone). Cet apport d’expérience est précieux au moment d’entamer la campagne de la Coupe des Coupes.

Trois auparavant, la Sampdoria avait déjà goûté à la compétition, et l’aventure avait tourné court face à Benfica mais, depuis, l’équipe a engrangé un savoir faire en coupes qui la porte de tour en tour grâce à un réalisme incarné par Gianluca Vialli, auteur de buts cruciaux dans les arrêts de jeu. En quarts de finale, face aux Lupescu, Stelea, Rǎducioiu, Mateuţ et autre Cǎmǎtaru, emmenés par le jeune coach Mircea Lucescu, les Génois sont rapidement réduits à dix après l’expulsion de Dossena. Acculés sur leur but, il faut toute la concentration de Pagliuca et beaucoup de maladresse des adversaires pour empêcher le naufrage après l’ouverture du score des Roumains. À la dernière minute, Vialli arrache l’égalisation, pratiquement sur la seule occasion de la Samp, et préserve ainsi les chances de qualification validée par le nul vierge au retour. Un match ''à l’Italienne'', en somme.

Au tour de l'Europe


En demi-finale, c’est le tenant du titre, le FC Malines de Preud’homme, qui fait les frais du réalisme de Vialli. La Sampdoria s’ouvre les portes de sa première finale européenne à Berne contre une autre équipe émergente de l’époque: le FC Barcelone de Johan Cruyff, avec ses stars Julio Salinas, Gary Lineker, Alexanco ou Andoni Beguiristain, s’apprête à écrire sa légende. Les Doriani, déjà affaiblis par les absences de Vierchowood et Carboni, prennent un but de Salinas d’entrée de jeu, puis perdent Mannini sur blessure. Incapables de surmonter le handicap, ils s’inclinent finalement 2-0. La conservation du titre en Coupe d’Italie, face au grand Naples de Maradona écrasé 4-0, fait néanmoins double emploi de lot de consolation et de ticket d’entrée pour une deuxième chance en C2.

Si un obscur onzième Commandement interdit de remporter deux finales consécutives en Coupe d’Europe des Vainqueurs de Coupe, rien n’empêche de retenter sa chance après une première déconvenue. La Sampdoria, renforcée par le Yougo-Slovène Katanec et Lombardo, ne se fait pas prier. Tour après tour, les Norvégiens du SK Brann, le Borussia Dortmund de Riedle et Andy Möller, et le Grasshopper de Alain Sutter sont écartés sans coup férir. En demi finale, l’AS Monaco d’Arsène Wenger, malgré sa pléiade d’internationaux (Hoddle, Hateley, Diaz, Fofana, Weah, Ettori, Dib, Bijotat, Sonor) plus Claude Puel, tombe à son tour. L’adversaire en finale, Anderlecht, s’il n’a pas l’aura de Barcelone, est à prendre très au sérieux. Emmenés par l’ancien coach de Malines Aad De Mos, les Marc Degryse, Luc Nilis, Arnór Gudjohnsen, Patrick Vervoort, Stephen Keshi et Filip de Wilde ont éliminé deux vieilles connaissances: le tenant du titre Barcelone et le Dinamo Bucarest. Mais à Göteborg, la Samp domine les débats, même si les sorties peu académiques du gardien belge retardent l’échéance. En deux minutes autour de la mi-temps de la prolongation, Vialli profite de deux bourdes de ce dernier pour plier le match et offrir son premier trophée européen à Gênes.

Une saison au paradis


Le titre européen obtenu était inespéré, mais il est un objectif promis par le président Mantovani qui se fait attendre: le Scudetto s’est jusque là refusé à une équipe trop irrégulière sur l’ensemble d’une saison, et qu’on estime juste capable de faire des coups. La concurrence s’annonce encore rude pour les Génois, qui n’ont jamais fait mieux que quatrièmes en Série A, mais tous les prétendants vont craquer les uns après les autres. D’abord le tenant du titre Naples, coulé par le fond en même temps que son maître à jouer Maradona empêtré dans une affaire de dopage et finalement exilé en Argentine. La Juventus de Salvatore Squillacci, Roberto Baggio et l’ex-Brestois Julio Cesar, jamais vraiment dans le coup avant de renoncer au printemps. L’AS Rome de Giannini et Völler, elle aussi perturbée par les cas de dopage de Carnevale et Peruzzi. Pendant ce temps la machine de Boškov  tourne à plein régime, humiliant Naples 4-1 et faisant mieux que résister aux deux clubs milanais: l'AC Milan de Sacchi et son armada (Van Basten, Rijkaard, Gullit, Baresi, Maldini...) et l'Inter de Trapattoni (Bergomi, Zenga et les champions du monde allemands Klinsmann, Matthäus et Brehme) sont battus chacun deux fois! Les deux confrontations avec l'Inter sont entrées dans la légende par l'intensité des duels, les rebondissements et les actions de classe.


Après la victoire à San Siro, la Samp prend définitivement la tête du classement. Le retentissement de l'exploit est énorme en Italie, dont le ''Big 5'' semblait inamovible. Le triomphe des Doriani est pourtant sans appel: invaincus face aux ténors, ils possèdent la meilleure attaque de l'exercice, le meilleur buteur en la personne de Vialli, et ont proposé de l'avis de tous le jeu le plus plaisant. C'est effectivement la victoire d'un groupe plus soudé que jamais autour de son président, que tout le monde avait pris pour un fou dix ans plus tôt, et de son entraineur. Une équipe qui désormais se trouve un ultime objectif: la grande Coupe d'Europe.



Le Barça, encore

La plus prestigieuse des compétitions de clubs change cette année-là de formule. Si Rosenborg ne pèse pas lourd, les Hongrois du Honvéd font trembler jusqu'au bout la Sampdoria, qui accède à la toute première phase de poules de la C1. Les champions d'Italie comptent à juste titre parmi les favoris d'un plateau plutôt relevé, comprenant le tenant du titre l'Étoile Rouge Belgrade, Barcelone (vainqueur de la Coupe des Coupes), Benfica (double finaliste sur les quatre dernières éditions) ou encore le Sparta Prague auteur d'un exploit contre l'OM sur lequel personne n'aurait parié. Les clubs italiens dominent l'Europe de l'époque, et les Génois font honneur à leur standing – en profitant de l'exil de l'Étoile Rouge en Bulgarie et de la neige tombée à Athènes sur le terrain du Panathinaïkos – pour prendre la première place du groupe A, synonyme de qualification pour la finale de Wembley.

Comme en 1989, il leur faut défier le FC Barcelone. Celui-ci s'est renforcé en trois ans avec les signatures de Ronald Koeman, Hristo Stoïtchkov et Michael Laudrup, et l'avènement de Guardiola et Bakero. C'est une équipe au plus fort de sa domination sur l'Espagne qui se présente comme favorite. Opposition de style, entre le contre des Italiens et la conservation du ballon catalane, mais la Sampdoria prend à l'occasion l'ascendant sur des Barcelonais parfois fébriles qui butent sur un Pagliuca des grands soirs. Jouant crânement sa chance avec un Lombardo en feu, la Samp manque par Vialli l'occasion d'ouvrir le score. C'est finalement le fameux coup franc de Koeman, en fin de prolongation, qui scelle la victoire du Barça.


Le foot européen est alors à un tournant: la Coupe d'Europe devient Ligue des Champions et l'arrêt Bosman va bientôt révolutionner le système des transferts. La Sampdoria aussi change d'époque: Boškov quitte le club pour l'AS Rome, Vialli file à la Juventus, Fausto Pari à Naples, et le vétéran Cerezo part finir sa carrière au Brésil. Le Suédois Sven-Göran Eriksson démarre un nouveau cycle, parvient à maintenir le club à un bon niveau mais sans retrouver le lustre des années précédentes. Surtout, en octobre 1993, le président bien aimé, Mantovani, décède. Son fils prend la succession, mais n'hérite ni de son savoir-faire, ni de sa fortune. La Sampdoria rentre progressivement dans le rang, et malgré un éphémère come back de Boškov, connait une période d'instabilité puis est reléguée en Série B en 1999, où elle restera quatre saisons. Aujourd’hui revenue en Série A, elle fait de nouveau partie des équipes sur lesquelles il faut compter.


(1) Jusqu'ici, ça pourrait être l'OL.
(2) Pezzotti avait dans les faits le titre officiel d’entraineur, et Boškov celui de directeur technique. Après son expérience auprès du Serbe, il devint entre autres l’adjoint de Lippi à la Juve, de Deschamps à Monaco, avant de retrouver Lippi en Nazionale. Dans son rôle d’homme de l’ombre il s’est forgé un palmarès impressionnant mis en doute par ses méthodes suspectes (cf le procès de la Juve pour dopage organisé).
(3) Deux buts contre leur camp de Vierchowood et Paganin remettent les deux équipes à égalité sur les deux manches, mais le remplaçant Salsano donne la victoire aux Génois dans la prolongation pour le premier trophée de l’ère Boškov.

sampdoria_mantovani.jpg


Les principaux joueurs
La tactique de  Boškov était on ne peut plus simple : blinder en défense, remonter vite le ballon, et laisser faire les 'gemelli del gol'. La complémentarité de Gianluca Vialli et  Roberto Mancini n'avait rien à envier à celle de la légendaire paire formée par leurs contemporains Van Basten et Rijkaard. La puissance, la vitesse et l'adresse de Vialli étaient idéalement servies par le sens du jeu et l'imagination de Mancini.

Devant le gardien de but Gianluca Pagliuca, qui plus d'une fois gagna des matches à lui seul, Boškov dressait une muraille infranchissable vouée obstinément à l'annihilation des attaquants adverses: ''Je serais fou de jouer la zone, possédant en Vierchowod et Mannini les champions du monde de marquage individuel''. Manière de rendre hommage à ses défenseurs jamais considérés comme titulaires dans la Squadra Azzurra défaite lors de ''son'' Mondiale en 1990. L'autre taulier était le capitaine Luca Pellegrini qui, malgré ses états de service, ne connut jamais la sélection. Amedeo Carboni et Srečko Katanec complétaient la défense.

Au milieu, un autre joueur sous estimé faisait la transmission avec l'attaque: le Brésilien Toninho Cerezo, jeté par l'AS Rome et malheureux avec la Seleção, prit plus qu'une revanche sur sa carrière mal embarquée. À ses côtés, Fausto Pari colmatait, rebouchait, replâtrait. Sur le côté droit, les grandes enjambées d'Attilio Lombardo gagnaient du terrain presque aussi vite que sa calvitie. Son alter ego à gauche, Giuseppe Dossena, arrivé sur le tard, apporta une touche décisive d'expérience à l'équipe.

Les grandes équipes
FC Nantes 1983, quelque part entre Rio et Liverpool
Dinamo Tbilissi 1976-82 : Géorgiens profonds
Everton 1983/87: l’œuvre inachevée de Howard Kendall
Borussia Mönchengladbach 1968-1979 : Les légendes du Bökelberg
Aberdeen FC 1978-1986 : les années Ferguson
Ipswich 81, le punch du Suffolk
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Réactions

  • Marius T le 30/12/2009 à 10h21
    Une belle équipe, mais ces joueurs avaient-ils déjà trouvé les boites de médicaments et autres seringues.

  • DarkZem13 le 30/12/2009 à 10h23
    Excellent article, j'adore, c'est mon préféré de cette série.

    Lire ces aventures me fait encore plus regretter l'ancien système de Coupes d'Europe dans lequel certaines équipes pouvaient se construire petit à petit, en se faisant les dents sur la C2 et la C3, avant d'atteindre les sommets de la C1.

    Et les allusions à Brest, Puel et l'OL sont poilantes. Bravo!

  • DarkZem13 le 30/12/2009 à 10h26
    Désolé du double post, mais j'étais persuadé avant de lire cet article que Milan avait été champion en 91, et que la Samp ne devait sa place en C1 qu'à l'exclusion de Berlusconi & co. suite à l'affaire des projecteurs.

  • Raspou le 30/12/2009 à 10h37
    Super!

    Un petit truc: dans le premier paragraphe sur les joueurs, la paire à qui il faut comparer les jumeaux Mancini et Vialli était Van Basten et Gullit, pas Van Basten et Rijkaard.

    Ah, Mancini! Quelle classe ce joueur...

  • Vel Coyote le 30/12/2009 à 10h37
    Article très sympa sur une dynastie gênoise qui l'était également! On comprend bien que même si les blucerchiati (bleus cerclés, référence au maillot) n'étaient pas dénués de talents individuels (le duo d'attaque notamment), c'est aussi en grande partie la présence d'un président et d'un entraîneur emblématiques, ayant bossé sur la durée, qui ont permis au club de compenser face aux grosses armadas.

    Le name-dropping dans l'article m'a rappelé des tas de souvenirs, car cette période fin des 80's-début des 90's est celle où j'ai commencé à me passionner pour le foot étranger... L'époque des Onze Mondials avec les fiches à découper, les petits résumés chopés à la télé, puis l'Equipe du Dimanche chez le pote qui avait Canal+ etc...

    En tout cas cette série sur les épopées européennes est toujours aussi intéressante, et c'est bien d'avoir varié un peu en dehors de l'Angleterre et de l'Allemagne. En suggestion j'en avais déjà parlé mais il y a une période de 4 ans en Liga qui m'intrigue (80-84), lorsque deux titres de la Real Sociedad ont été suivis par deux titres de Bilbao. Je sais pas si il y a quelque chose à en tirer mais la rivalité basque devait être à son maximum.

  • kikidou le 30/12/2009 à 11h41
    Merci pour cet article qui m'a replongé avec délice au coeur d'une équipe que j'aimais beaucoup.

  • Hurst Blind & Fae le 30/12/2009 à 12h08
    Pareil, merci beaucoup, j'ai plein de souvenirs de cette équipe qui sont remontés à cette occasion, notamment le match face à Monaco à Louis II que Monaco doit gagner 10 fois, qui m'avait fait m'arracher les cheveux (à l'époque, j'en avais).

  • Lubo le 30/12/2009 à 13h11
    Super article, merci !
    Comme Darkzem, ça me rend tout nostalgique des Coupes d'Europe de ces années-là.
    Et ça me rappelle aussi les fiches de Onze Mondial, qui vers avril sortait les fiches clubs avec les 1/4 de finalistes des 3 Coupes.
    Côté pile, la photo de l'équipe, côté face les choses à connaitre sur l'histoire, la saison du club... C'était bien.

  • Tricky le 30/12/2009 à 14h09
    Superbe, Luca.

    (juste : 'La seule autre gloire locale connue de notre côté des Alpes est ce club au nom singulier' n'est pas sympa pour les 9 titres de champion du Genoa Cricket et Football Club)

  • Tricky le 30/12/2009 à 14h20
    (Si j'avais pensé un jour te voir écrire du bien d'un joueur de football nommé Dossena)

La revue des Cahiers du football