Le stress est pour nous, la revue est pour vous. On a laissé dériver nos filets pour ramener toutes sortes de choses à la surface, à voir, à regarder, à lire, à réfléchir et même à oublier.

Les images

C’est au tour de Dark Vador de céder aux sirènes du naming (telerama.fr).

Il y a deux ans, René Orts, fidèle de l’OL, nous quittait (via @OL_HISTOIRE).

Trop d’informations en une seule photo… (via @Victorrria_GL).

La dégringolade du Kaiser s’affiche en une de Bild (via @AbdesOuaddou).

Une certaine idée du journalisme (via @Gaelinho_10).

Les Nord-Irlandais sont fâchés contre leur nouveau maillot.

Au FC Union Berlin, le tableau des scores est géré manuellement (via @PaulCometto).

Le tifo du virage sud au Vélodrome dans le match face à Nice (via @Mediafoot_OM).

L'infographie

Quels clubs font confiance aux jeunes et notamment à ceux sortis du centre de formation? (lequipe.fr)

Le rébus à peu près

La réponse de la dernière fois : Al-l'Inca-v'aigle-Ya

La devinette

Meilleur buteur de l’histoire du club où j’ai passé la majorité de ma carrière, j’ai commencé le football professionnel très tardivement, après avoir notamment travaillé dans un restaurant universitaire. Hormis un championnat de National, je n’ai jamais rien gagné. Rapide, bon tireur de coups de pieds arrêtés, j’ai marqué des buts marquants face à Marseille et Monaco. Aujourd’hui, j’entraîne à Ploemeur.

La réponse de la dernière fois : Marian Pahars.

La lucarne de la semaine

"Les valises? Pas grand chose, on s'est collectés
pour aider Karim à payer son avocat." 
[-> le Diaporama]

Les immanquables

La candidature de Michel Platini à la FIFA attendra janvier (lemonde.fr).

Avant l’âge de dix ans, les jeunes Américains ne pourront pas faire de têtes (slate.fr).

Un gardien doit-il choisir un côté sur penalty? (lesesthetesdufoot.fr)

Avant de savoir s’il est corrompu, on peut se demander si le cheikh Salman respecte les droits de l’homme (lemonde.fr).

À quoi ressemblerait le meilleur onze des joueurs que les grands coaches actuels ont eu sous leurs ordres (goal.com/fr).

Un petit tour du côté de l’athlétisme, dont la Fédération rejoint la FIFA au rayon casseroles (slate.fr).

En parlant fédés, ça va moyennement bien en Allemagne puisque le patron de la DFB a démissionné (lemonde.fr).

Turpitudes à la FIFA, une chanson qu’on entendait déjà il y a plus de vingt ans (courrierinternational.com).

“Mais qu’est-ce que les footballeurs vous ont fait?” (liberation.fr)

Bernard Caïazzo explique la prise de distance de la L1 avec la L2. Comme si le concept de montée-descente n’existait plus (lequipe.fr).

La bibliothèque

Les sciences sociales et le football ont longtemps vécu dans des mondes parallèles, avant qu’au tournant des années 90 les premières finissent par comprendre que le second constituait un merveilleux champ de recherche. C’est un peu ce que démontre Sciences sociales football club, dont la démarche consiste à mettre en valeur les façons d’aborder notre sport préféré sous une multitude d’angles, en abordant une trentaine de points, souvent d’interrogation: à quel âge les attaquants sont-ils les plus efficaces, faut-il parler la même langue que ses coéquipiers, faut-il courir plus pour gagner plus, comment les scores ont évolué au fil du temps, etc.

Une approche ludique, mais en rien futile: à chaque fois, les auteurs Bastien Drut et Richard Duhautois exploitent des données et des études pour livrer des analyses étayées, et aborder des éléments essentiels de l’évolution du football contemporain. On est là plus du côté de l’économie et des statistiques que de l’ethnologie ou de la psychologie, mais l’ouvrage est d’autant plus plaisant – et informé – qu’il est écrit par des passionnés de football.

Sciences sociales football club, de Bastien Drut et Richard Duhautois, De Boeck, 19 euros.

L'image du grenier

Décembre 2006. Anciens coéquipiers et anciens co-entraîneurs du PSG, Joël Bats et Ricardo croisent leurs sabres lasers lors d’un Lyon-Monaco.

L'article de la cave

Fin 2007, le jeune gardien de Schalke 04, intronisé un an plus tôt par son entraîneur Mirko Slomka, accumulait les boulettes et faisait douter de son avenir. En lequel notre spécialiste du football germanique Toni Turek voulait quand même croire…

La bonne enseigne

Les affaires de Waldemar Kita prospèrent jusqu'à Bourges, où on ne retouche pas les effectifs mais les vêtements en faisant des patchworks et autres créations plus ou moins jolies.

Crédits. Le rébus est de Milan de Solitude, la lucarne de cocobeloeil et la bonne enseigne de McManaman.