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Retour vers le futur

le 1 Juil 2006

 

Déjà un France-Brésil en Coupe du monde, ça sentait le revival de 98. Mais quand j’ai vu la façon dont se déroulait le match, j’ai senti qu’il y avait un peu plus que ça encore: retrouver Zidane à ce niveau, après l’avoir vu échapper de peu à la syncope à la fin du match contre la Suisse, ça avait quelque chose d’irréel. J’ai compris en apercevant Aimé Jacquet et Didier Deschamps: Doc et Marty McFly étaient dans les gradins. Pendant une heure et demie, nous avons vécu dans une faille spatio-temporelle. À la fin du match, on a quand même tremblé: Biff Tannen a obtenu un coup franc à l’entrée de la surface, mais le ballon a fini dans les tribunes.

Dans la zone mixte après la rencontre, j’ai encore eu l’impression d’évoluer dans un monde parallèle: David Astorga m’a posé une question intelligente, Pascal Praud m’a demandé un autographe "pour sa fille", et j’ai même vu un journaliste de L'Équipe me sourire. Enfin c’est ce que j’ai cru jusqu’à ce que je réalise que c’était Jérôme Bureau, qui n’est plus à L'Équipe, et qui se foutait de la gueule de Vincent Duluc, qui y est toujours et se dirige lui aussi vers un mea-culpa public. Je vais bien dormir, moi, ce soir.

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