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La Gazette, numéro 11

Courbis fait la une, pas l'unanimité... Le G14 contre Bruxelles, l'UEFA au milieu... Nos pauvres voisins sont obligés de se qualifier pour le Mondial, et c'est dur...
Auteur : La chronique dépenaillée de l'actualité du ballon le 13 Oct 2000

 

Courbis fait la une, pas l'unanimité
France Football s'est mis à son tour à l'évaluation du "niveau du championnat, avec cette bonne idée consistant à demander aux joueurs et aux entraîneurs ce qu'ils en pensaient eux-mêmes. Moins bonne fut celle de faire dans le spectaculaire en plaçant en couverture Courbis et sa citation "La D1 est au bord du ravin", alors que la quasi-totalité des personnes interrogées est d'un avis contraire. Prophète de malheur, provocateur-né, jamais avare d'un contresens joliment tourné, Courbis est toujours un excellent client pour les journalistes. Il ne recule devant aucune contradiction ni aucun raisonnement par l'absurde. Exemple: "Avec 34 nuls, la relégation est inévitable". Et ça, pour la philosophie de jeu courbissoise, c'est intolérable (car un tel parcours était justement son rêve). Comme 90% de son coaching réside dans la parole, notons cette amusante réflexion, un peu absurde sur le fond mais qui est à usage interne, évoquant "des garçons comme Pierre-Fanfan ou Rool, qui mériteraient une sélection mais qui ont le tort de ne pas jouer en Italie ou en Espagne". Sacré Rolland, tais-toi un peu et va diriger un entraînement.
On est finalement content de n'être jamais d'accord avec notre expert, entraîneur d'élite au palmarès toujours vierge, qui en profite pour rappeler qu'il n'aime pas la victoire à 3 points. La victoire non plus?

Le G14 contre Bruxelles, l'UEFA au milieu
La FIFA a officiellement reçu des représentants du G14, mercredi à Zurich, en la personne de Sepp Blatter lui-même, afin d'évoquer la réforme du système des transferts. L'UEFA a fait de même, mais officieusement et sans commentaire, puisque, encore récemment, la confédération européenne refusait totalement de reconnaître le lobby des gros d'Europe et de dialoguer avec lui. Le séisme bruxellois a donc des effets surprenants, et amène à un relatif rapprochement des ennemis sous la même bannière, même si les discours et les méthodes diffèrent grandement.
Le G14 s'est récemment donné une structure, sous la forme d'une association dont les statuts ont été déposés à Madrid. Sachant qu'une association est censée ne pas être "à but lucratif", on peut sourire... En attendant de devenir un parti politique, le G14 fait monter la pression contre Bruxelles, et répète qu'il veut imposer un contrat minimum de cinq ans, sans clause de cession (AFP 12/10). L'UEFA voudrait modérer cette position très agressive à l'égard de la Commission européenne, qui grève les chances de trouver un compromis. À quelle guerre ouverte avec les institutions les grands clubs ont-ils intérêt?

La longue route vers 2002...
Le Portugal a joué et gagné un match cette année à Rotterdam, mais évidemment pas la finale du 2 juillet. En s'imposant contre les Pays-Bas en éliminatoires de la Coupe du monde, il emporte cette revanche entre déçus des demi-finales de l'Euro. Un résultat qui précipite la Hollande dans le club des grands malades, aux côtés de l'Angleterre. Quand on sait que les points perdus en début de cycle sont très difficiles à rattraper, on commence à se demander quelles "grandes nations" vont manquer à l'appel dans deux ans. À l'inverse, les Portugais, revenus à haut niveau et revanchards, pourraient déjà être inscrits au titre de favoris pour la prochaine Coupe du monde.
L'Italie s'impose péniblement face à la Géorgie, sur deux chutes inopinées de Totti et Del Piero dans la surface de réparation. On sait bien que les Italiens sont des tombeurs. Moins positif, le jeu de la squadra azzurra n'a pas confirmé les espoirs de sa belle victoire contre la Roumanie.
L'histoire synchronise parfois mal les coïncidences. Quelques jours après avoir fait le deuil de Wembley et d'une défaite contre l'Allemagne, qui commémorait à l'envers la victoire de la Coupe du monde 1966, l'Angleterre n'a obtenu que le nul en Finlande, malgré un but valable, le ballon ayant rebondi sur la barre puis derrière la ligne. Tiens cela rappelle une circonstance célèbre de cette finale, il y 34 ans...

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