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La Gazette de la Ligue 1 : 14e journée

Auteur : Alex Lagazette le 28 Nov 2012

 

 

Les résultats de la journée
Paris SG 4-0 ES Troyes AC
Toulouse FC 3 - 0 Olympique Lyonnais
SC Bastia 2-1 FC Lorient
Olympique Marseille 1 - 0 Lille OSC
Montpellier HSC 1 - 0 Girondins Bordeaux FC
AS Saint-Etienne 1-0 Valenciennes FC 
Stade de Reims 0-0 Stade Brestois
AS Nancy Lorraine 1-1 Ajaccio AC
FC Sochaux 0-1 OGC Nice
Stade Rennais 0-1 Evian Thonon Gaillard FC

 

 

 

Le Classement en relief


Les positions changent si vite dans le championnat le plus tassé d'Europe qu'on dirait du bonneteau: Paris, Marseille et Saint-Étienne se glissent devant Lyon, Bordeaux échange sa 2e place contre une 5e... Et on ne sait toujours pas quelles ambitions prêter aux outsiders Valenciennes, Toulouse et Rennes, alignés à deux points des places européennes.

 

 

 

 

 

Les gestes


La reprise tout en toucher d’Anthony Modeste ajustée juste où il fallait pour mettre Fabien Audard dans l’embarras, entre plongeon et réflexe du pied.

 

L’ouverture de Romain Pitau suivi par un enchaînement contrôle en extension du droit-frappe en angle fermé du gauche de Rémy Cabella qui réveille le public de la Mosson.

 

Le combo contrôle-élimination des défenseurs par un crochet à droite-frappe en pleine lucarne de Djamel Bakar, qui rejoint Sébastien Puygrenier et Yohan Mollo en tête du classement des buteurs de son club grâce à sa... deuxième réalisation de la saison.

 

Le troisième but toulousain, avec Capoue au relais et à la conclusion, qui mériterait de figurer dans le top 10 des contre-attaques si le match avait eu un plus grand enjeu.

 

La passe décisive pour Hamouma de Cohade qui masque son geste en reprise de volée pour qu'aucun défenseur n'ait l'idée d'aller s'occuper de son coéquipier démarqué.

 

La triple parade de Mickaël Landreau qui s’impose successivement face à Jordan Ayew, Benoît Cheyrou et Mathieu Valbuena.

 

 

 


Double déception pour François Fillon, qui s'est fait piquer non seulement le secrétariat général de l'UMP, mais aussi le titre de son autobiographie.

 

 

 

Les antigestes


Le tacle à l’emporte-pièce d’Anthony Modeste, qui lui vaut une exclusion une minute et demie après avoir ouvert le score, et alors qu’il reste 80 bonnes minutes à jouer.

 

Le match du Stade de Reims, septième 0-0 de la saison, mais de loin le pire de tous.

 

Le triple tonneau de Mathieu “Serge Karamazov” Valbuena, à moins que l’on sous-estime l’impact d’une manchette de Florent Balmont.

 

Un pas en avant, deux pas en arrière, levée de bras, demi-tour, grand écart: Vercoutre est prêt pour le remake de The Full Monty.

 

Les dégagements... non, les chandelles de récupération... enfin, les ballons en l'air mais on sait pas trop où ils vont retomber de Bayal Sall, dans sa surface de réparation.

 

Le tirage d'oreilles et les claquounettes de Jordan Ayew qui devrait se contenter de figurer dans la rubrique ci-dessus.

 

 

 

 

L'équipe type mystère


Onze joueurs qui peuvent rapporter gros s'ils sont bien placés.


 

[Réponse de la dernière fois: aucun joueur n'a encore marqué de but en Ligue 1]

 

 

 

 

 

Les minutes


La minute “auto-clin d’oeil douteux” de L'Équipe
"Nice ne l'a pas volé" (lequipe.fr)

 

La minute “Amaguiz” de Carlo Ancelotti
“Avec le match à Kiev, le voyage qui a été fatiguant, je n’ai pas voulu que l’équipe mette trop d’intensité. Nous avons défendu bas pour éviter d’avoir un rythme trop élevé et jouer la stratégie du contre” (L'Équipe)

 

La minute Laurent Ruquier de Pierre Ménès
"À Lyon ils ont Bompastor, et à Paris ils ont un mauvais Pastore." (Canal+). À Paris, ils ont aussi un bon Ménez. 

 

La minute hautement philosophique de Jordan Ayew
“Le malheur des autres font le bonheur des autres.” (Canal+)

 

 

 


"Félicitations pour votre parcours en Europa League!
- Ah ouais c'est vrai, l'Europa League..."

 

 

 

 

Les tops


Le top "Et si on jouait à Docteur Maboul"
1. Nasser al-Khelaïfi (L'Équipe): “Il faut être patients."
2. Jean-Marc Furlan (L'Équipe): “Un coup de barre derrière la tête."
3. Timothée Kolodziejczak (L'Équipe): “On joue avec le coeur."

 

Le top "digestif artisanal"
1. Francis Gillot (francefootball.fr): "Je me devais de faire tourner."
2. Bertrand Laquait (L'Équipe): “Je pensais que c'était terminé."
3. Toifilou Maoulida (L'Équipe): “Quelque chose de très fort."
4. Fabien Audard (L'Équipe): “Il ne vaut mieux pas que je parle."

 

Le top "Un dimanche chez Ikea"
1. Benoît Cheyrou (francefootball.fr): "On a su se serrer les coudes."
2. Elie Baup (francefootball.fr): "On en avait vraiment besoin."
3. Elie Baup (francefootball.fr): "On l'a emporté, c'est l'essentiel."

 

 

 


Au contraire des filières argentine et brésilienne, la filière mexicaine a donné des résultats palpables à Rennes.

 

 

 

 

 

Les observations en vrac


La crise de novembre du PSG, c’est plus ce que c’était.

 

Bastia gagne 2-1 après avoir été à 10 contre 11 pendant 80 minutes après Rennes qui s'impose au Parc à 9 contre 11 pendant 40 minutes. C’est encore trop peu pour que Rudi Garcia n’évoque pas le handicap infligé à son équipe en raison de l’expulsion de Balmont, mais l'idée va bien finir par faire son chemin.

 

Quand Frédéric de Saint-Sernin dit que Rennes ne joue pas le titre, les joueurs joignent l'acte à la parole – à domicile et contre un relégable..

 

"Antonetti a utilisé toutes ses cartouches sur le banc des remplaçants" (BeInSport). Il ne se contente plus de gueuler sur ses joueurs, il les dézingue?

 

Cette année, c'est Nice qui tente d'accomplir la prophétie du Ventre Mou. Dixième avec 19 points, 19 buts marqués et 19 buts encaissés.

 

Dur retour à la vie de footballeur amateur pour Apruzesse. Une semaine après ses dix-huit minutes de gloire en L1, l'attaquant marseillais a vu son penalty arrêté par Mouez Hassen, dix-sept ans, lors du choc de CFA2, perdu 2-0 par l'OM à Nice.

 

Plus effrayant que les tacles de Barton: son look rockabilly.

 

 

 

 

 

Le bâton pour David Berger


Cher David, à cause de vous, nous allons encore infliger à nos lecteurs – qui, eux, n'en ont nul besoin – un énième rappel de l'inanité de l'usage que vous faites, maladivement, du révélateur. Comme avec celui figuré ci-dessous, à propos duquel vous avez asséné, lors du Canal Football Club pour le résumé de Toulouse-Lyon: "Il est pas hors-jeu. Il est pas hors-jeu. Et le but aurait dû être validé, le but de Ben Yedder était bien valable. Erreur de l'arbitre assistant! Toulouse ne mène pas au score, et pourtant il devrait!"

 

 

Apprenez donc, avec plusieurs années de retard [et ce bien que vous soyez commentateur depuis des années et que vous faites profession de réarbitrer les arbitres], que votre révélateur souffre d'un défaut rédhibitoire: placé au sol, c'est-à-dire sur les pieds du défenseur (du moins quand le réalisateur n'a pas opté pour une position plus fantaisiste), il est pris à défaut chaque fois que l'inclinaison des joueurs rend inepte ce positionnement. La règle, c'est que le hors-jeu s'estime pour n'importe quelle partie du corps hormis les bras. En l'occurrence, s'il faut souscrire à cette manie imbécile en vigueur sur votre chaîne de juger les hors-jeu au décimètre près, il apparaît que Ben Yedder, penché vers le but, est très probablement hors-jeu, comme l'a signalé l'arbitre assistant. Notez bien que, dans notre conception comme dans l'esprit de la règle, un hors-jeu de vingt centimètres n'est qu'un os à ronger pour commentateurs névrosés et ne devrait pas être signalé afin que le doute avantage l'attaque.

 

Le révélateur résulte d'une conception stupide du hors-jeu, qu'il prétend "révéler" avec une méthodologie fumeuse (au fait, comment fait le réalisateur pour voir le départ du ballon?). Vous vous en servez sans le moindre recul critique ni le moindre égard pour la règle elle-même, sans même regarder l'image, trop empressé à décréter l'erreur d'un arbitre quand c'est vous-même qui êtes dans l'erreur et y entraînez une large part de vos téléspectateurs. C'est désolant.

 

 

 


Chère Joseline, si je ne peux quitter ma femme, je te garantis de toujours être disponible pour notre soirée du jeudi soir. Tendrement, ton Rudy.

 

 

 

 

Le message de Bob-Loulou


"Salut les vivants,
Une semaine éprouvante mais qui se termine bien pour mes protégés. Cette défaite en Ligue Europa est douloureuse, je n'y ai vu que des plots côté marseillais. Rien que de repenser à ce slalom Sow-piquets, j'ai envie de finir en boîte. Mais ici les boîtes ne sont qu'en sapin ou en chêne... Heureusement que les Lillois sont passés pour me remonter le moral.

Enfin, pas le temps de savourer, ce mercredi soir se joue la tête de la ligue 1."

 

"OM-Lille: Stress et Payet" sur Marseille vu du ciel.

 

 

 

 

L'image arrêtée


Edouard "The Doud'" Cissé, prince de la coolitude, premier consultant en robe de chambre.

 

 

 

 

 

Le coin fraîcheur


Le fair-play général des Valenciennois après leur défaite à Geoffroy-Guichard, qui n’ont pas insisté sur la main de François Clerc non sifflée dans la surface. Penneteau: "On ne s'est pas énervé sur l'arbitre, on a juste voulu savoir pourquoi il n'avait pas sifflé pénalty sur cette action, il y a eu une main dans la surface mais il ne l’a pas vue, il y avait beaucoup de joueurs, ça arrive. De toutes façons, sur la seconde mi-temps, hormis les dix dernières minutes, on ne méritait pas mieux." Mêmes conclusions de la part de Daniel Sanchez.

 

Le tifo des Green Angels.

 

Romain Danzé interrogé sur le Ballon d’Eau fraîche par (l'excellent) stade-rennais-online.com
"- Tu connais le site des Cahiers du football, qui décerne depuis deux ans le «Ballon d’eau fraîche». Toi et Benoît Costil figurez parmi les favoris cette année. Qu’est-ce que tu pourrais dire à son sujet ?
- Benoît, c’est un mec normal. Ça pourrait être votre meilleur pote, celui de tout le monde. C’est quelqu’un de simple, de naturel, d’ouvert sur tout. Il joue au foot pour s’amuser, et prendre du plaisir. Sans trop se prendre la tête!»"

 

"En Angleterre, le foot aujourd'hui, ce n'est que du consumérisme. À la fin, les gens vont en avoir marre". Joey Barton ne tacle pas dans le vide.(L'Équipe).

 

Hervé Mathoux qui prend dix minutes, images à l'appui, dans les Spécialistes pour expliquer une règle d’arbitrage à Pierre Ménès. Vu le nombre de fois qu'il a répété "Mais écoutez Pierre", on comprend que ça lui tenait à coeur.

 

 

 


"..6, 7 et 8. Ensuite, 4 pas vers le sud, et à moi la gourmette!"

 

 

 

 

 

La rétrogazette


1968/69 (01/12/1968) : Devant 14.500 spectateurs, record d'affluence à Timizzolo, se dispute le premier derby corse de l'histoire du championnat. L'AC Ajaccio l'emporte 4-0 face au Sporting Club de Bastia. Les buts sont inscrits par Claude Peretti, Georges Franceschetti (contre son camp), Jean Marcialis et Etienne Sansonetti.

 

1991/92 (19/10/1991) : À Geoffroy-Guichard, Saint-Étienne bat l’Olympique de Marseille. Mais le résultat (1-0) sera invalidé, l’OM ayant été dans l’impossibilité d’aligner Jean-Pierre Papin, "victime" d'une cannette vide reçue à la descente du car et conduit à l’hôpital. Le match sera rejoué le 29 janvier (1-1).

 

1996/97 (25/10/1996) : Lyon s’incline 7-0 à Auxerre. L’entraineur Guy Stephan, qui avait deux matches pour redresser la situation, est le premier entraîneur licencié en cours de saison par Jean-Michel Aulas.

 

 

 

 

Le message de Kevin


"La route au loin mène au centre pénitencier. Des chambres se libèrent bientôt. Les détenus les plus anciens seront transférés vers un autre établissement le temps du désamiantage. Les autres seront désamiantés aussi. Les deux attaquants titulaires de l’ASPPT Moulins ont séjourné là-bas fut un temps. Une histoire pas très claire. Retrouvera-t-on un jour l’entraîneur adjoint?"

 

Kevin Kohler délaisse les ors du PSG pour aller marcher dans la boue: "Episode 15.4 : Le football vrai".

 

 

 

 

 

La bonne enseigne

Puisque l'ancien sélectionneur des Bleus a un peu d'actu en ce moment, puisons dans notre réserve à bonnes enseignes ce trio repéré respectivement à Gérone, Majorque et Barcelone. C'est-à-dire en zone catalane, ce qui indique plus les origines de Raymond que sa future destination sportive. (merci à Sébastien, Julien et Fab)

 



Merci à C’est à ras, Delacotte&match, George Worst, Gouffran direct, Kireg, le petit prince, Licha sauvage, luckyluke, Marius T, Pan Bagnat, Parkduprince, Vas-y Mako, tatayé, Tetsuo Shima, Zigmunt l’empereur pour leurs contributions. Les lucarnes sont en partie issues du Diaporama des lecteurs. Leurs auteurs sont pk1, gurney, magnus et vertigo.
 

Réactions

  • toniolibero le 28/11/2012 à 04h40
    pour la citation de Ayew, c'est même :
    "le malheur des autres font le bonheur des autres"

  • José-Mickaël le 28/11/2012 à 07h46
    L'Article :
    > Notez bien que, dans notre conception comme dans l'esprit de la règle, un hors-jeu de vingt centimètres n'est qu'un os à ronger pour commentateurs névrosés et ne devrait pas être signalé afin que le doute avantage l'attaque.

    Je suis bien entendu d'accord avec le paragraphe d'où est extrait cette phrase, mais il me semble qu'il y a une erreur dans cette phrase. La règle n'est pas : l'arbitre ne doit pas signaler les hors-jeux de 20 cm, comme le suggère la phrase, mais plutôt : si l'arbitre est sûr que le joueur est hors-jeu, y compris de seulement 20 cm, il le signale ; par contre s'il n'est pas sûr, il ne le signale pas (dans le doute, il avantage l'attaque).

    > au fait, comment fait le réalisateur pour voir le départ du ballon?

    Oui, c'est ça l'argument le plus important, puisque le choix de l'image arrêtée a une influence visible à l'oeil nu : si l'attaquant court vers l'avant, passer d'une image à l'autre (1/25è de seconde) peut modifier les positions de 20 ou 30 cm.

    Bref, je chipote, mais continuez à remettre les choses en place : pour moi, le plus pénible n'est pas ce que vous « infligez » aux lecteurs mais, et de loin, ce que Canal inflige aux télespectateurs.

  • Elmander mon cher Larsson le 28/11/2012 à 09h19
    Merci pour cette belle gazette, mon petit bonheur du mercredi matin.

    Pour l'ETM je remarque que la plupart des joueurs ont un nom proche d'un adjectif (Digne, Martial, Sablé, Mollo, Douchez, Ménez/Mené, Saunier/Sonné) ou d'un nom (Charbonnier). Est-ce que c'est l'idée ?

  • luckyluke le 28/11/2012 à 09h26
    Ou tous ces noms, "bien placés", forment une phrase?

  • la rédaction le 28/11/2012 à 09h44
    Merci José-Mickaël de nous réexpliquer la règle au cas où nous l'aurions oubliée, mais non, il n'y a pas d'erreur dans cette phrase – qui ne prétend pas donner la règle, mais notre conception de la règle et de son esprit. Un hors-jeu de 20cm, de toute façon, ça n'existait pas avant l'invention du révélateur...

  • Abriel tu brûles mon esprit le 28/11/2012 à 09h45
    Je propose : ces noms font partie de noms de villes ou villages --> Sablé-Sur-Sarthe / Digne-les-Bains / Charbonnier-les-Mines / Plounéour-Menez / Lons-le-Saunier /Saint-Martial-de-Gimel / Basa / Prats-de-Mollo-La-Preste / Camus / Bastos... mais il me manque Douchez !!

  • Pascal Amateur le 28/11/2012 à 10h01
    @ Abriel tu brûles mon esprit

    Douchez, c'est à côté d'Auschwitz. Quoi, on peut plus faire d'humour noir ?!!

  • Tonton Danijel le 28/11/2012 à 10h01
    "1996/97 (25/10/1996) : Lyon s’incline 7-0 à Auxerre. L’entraineur Guy Stephan, qui avait deux matches pour redresser la situation, est le premier entraîneur licencié en cours de saison par Jean-Michel Aulas."

    Et le seul, à l'heure actuelle. JMA a bien des défauts, mais au moins il sait laisser du temps à ses entraîneurs, quitte à encaisser parfois les coups à leur place (avec Claude Puel, notamment). Il avait confié que Paul Le Guen aurait pu être le deuxième, après une élimination en coupe de France à Libourne ayant suivi une sortie peu glorieuse en coupe de l'UEFA contre Denilizspor. Mais Paulo a su redresser la barre et permettre à l'OL de décrocher un deuxième titre d'affilée de champion de France, du coup il a pu rester deux saisons supplémentaires.

    Pour le cas de Guy Stéphan, le match à Auxerre était tellement pitoyable que JMA n'avait plus trop le choix, tant le coach était clairement lâché par ses joueurs ce soir-là...

  • Facile à shooter le 28/11/2012 à 10h02
    Pour le passage sur Valbuena, il faudrait ajouter qu'outre le "triple tonneau", il a simulé l'empallage sur le poteau de corner, avant d'interpréter "la phase terminale" en la mineur, comme à tous les matchs d'ailleurs.

    Puisque c'est la version de Rio Balmont qui est la vérité, au mépris de ce qui s'est vraiment passé, il faut être précis.

  • visant le 28/11/2012 à 10h21
    L’équipe-type, ce sont des noms de bourrins ? De dadas quoi, du style Menez du Plantier ou Charbonnier de la Pampa, casaque rouge et noire ?

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