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La Gazette > 27e journée

Le Classement en relief devient carrément vertigineux. Alors on l'a coupé en deux. Et pour faire peur aux enfants, les Cahiers vous offrent une image exclusive du Caiazzaulas, le hooligan des tribunes présidentielles.
> Le Classement en relief
> Les gestes de la journée
> La Bannette
> La tactique du carton volontaire
>
Où sont les "gros" ?> Prise de bec chez les Aiglons
>
Le championnat des tribunes présidentielles> L'envers du championnat
Auteur : Le Feuilleton de la L1 le 8 Mars 2007

 

Traçons la ligne médiane du classement en relief : elle se situe sur la ligne des 43 points. 18 marches au-dessus: Lyon. 18 marches au-dessous: Sedan. Et dans la première moitié du tableau, seul le RC Lens accompagne l'OL, tandis que la seconde accueille les 18 autres équipes – toutes étant finalement plus concernées par la relégation que par le titre...

Difficile de ne pas évoquer un championnat à deux vitesses, mais dans lequel on peut joueur à la fois le maintien et l'Europe. Ce sont les intéressés qui le disent: "Avant de penser à l'Europe, il est impératif s'assurer le maintien" (Ricardo). "On reste en milieu de tableau, mais on n'est pas loin des premiers, pas loin des derniers" (Frédéric Hantz).


classement_0607_27.jpg


Les résultats de la journée
Lille-Troyes : 4-0
Sedan-Paris SG : 2-0
Auxerre-Rennes : 1-0
Nancy-Le Mans : 1-1
Monaco-Bordeaux : 0-0
Valenciennes-Toulouse : 0-0
Lorient-Nice : 0-0
Saint-Étienne-Lyon : 1-3
Sochaux-Nantes : 1-2
Marseille-Lens : 0-1


Les gestes de la journée

> le crochet intérieur-extérieur de Jack Kachkar qui lui permet d’éliminer en deux mouvements ultrarapides le marquage à la culotte de la DNCG.
> la feinte de serrage de main de Bernard Caïazzo qui laisse sur place Jean-Michel Aulas en permettant au Stéphanois de filer seul au vestiaire.
> le tir tendu du supporter lyonnais dans le camp adverse qui trompe la vigilance des CRS, ne laissant pas d’autre alternative aux Stéphanois que de renvoyer la balle en catastrophe dans le camp rhodanien sans assurer une relance propre.
> le une-deux Cissé-Valbuena réalisé par Albert Émon à la 71e du match OM-Lens qui fait vibrer de bonheur le Vélodrome à l’instant ou l’ancien Auxerrois réussit parfaitement le posage de ses fesses sur le banc.
> le retourné acrobatique de Jean-Michel Aulas qui, après avoir crié à l’injustice suite au non report du match face aux Verts, joue l’apaisement à une touche de balle avant de nier toute responsabilité dans les incidents qui ont émaillé le match.
> Le doublé de la famille Cheyrou qui réussit à placer deux capitaines sur le terrain en un seul match, là où la famille Cantona a peiné à placer ne serait-ce qu’un footballeur.
> l'enchaînement rébellion-rédemption de Marama Vahirua dans son duel avec Frédéric Antonetti, passant du jeter de maillot couillu à l'auto flagellation publique, par le truchement d'une fessée reçue à l'abri des caméras dans le vestiaire niçois.


La bannette

La révolte contre les patrons-voyous
Anthony Réveillère : "Il y a des gens qui ne sont là que semer la zizanie".

La berlue
Japhet N'Doram : "On n'est plus en queue de peloton".

L'équilibre virtuel
Emerse Faé : "Ce penalty imaginaire ne nous a pas déstabilisés". Ça, c'est plutôt le propre des fautes imaginaires.

L'équipe qui tourne au ralenti
Éric Carrière : "Les Marseillais paraissaient lents".

L'homme qui a peut-être vu Meriem
Ricardo : "Je crois qu'on est passé à côté de quelque chose".

Le missionnaire
Laurent Banide : "On n'est pas dans une position où on peut se permettre de prendre des risques".

Le vigile irritant
Antoine Kombouaré : "Douchez, le gardien toulousain, nous a fortement contrariés".

Les faucheurs volontaires
Antoine Kombouaré : "Tous mes gars ont eu grande envie de s'arracher".

L'équipe aux petits rognons
Jérôme Rothen : "Il va falloir se mettre les couilles sur le terrain".

[Toutes les citations de cette bannette cousue de fil blanc sont tissus de L'Équipe]


ruiz_coucou.jpg
"Et alors, rendez-vous compte, REN-DEZ VOUS COMPTE, car c’est extra-ordinaire, j’ai cinq doigts, oui, absolument, cinq doigts, c’est ab-so-lu-ment incroyable, donc on va y consacrer notre petit focus de la semaine, pour vous les abonnés, car Canal se met en quatre, que dis-je, EN CINQ, cinq comme les cinq doigts de ma main, qu'une caméra isolée de Canal, une camiso comme on dit, a suivi toute la soirée dans ses moindres faits et gestes".



La tactique du carton volontaire

Certains, comme Malouda, l'ont donc avoué après le match : les cartons jaunes dont ils ont écopé au cours du derby à Saint-Étienne ont été très largement prémédités, afin de permettre aux joueurs concernés d'échapper à une suspension qui aurait pris effet à l'occasion de la finale de la Coupe de la Ligue. Cela a parfois eu quelque chose de burlesque, avec Toulalan qui dut s'y reprendre à deux fois pour recevoir la sanction attendue, en dégageant violemment le ballon en touche. Un geste "d'énervement" incongru de la part d'une équipe dominant autant son sujet, et qui n'a de toute façon plus grand sens depuis que les ramasseurs font office de distributeurs de ballons au bord de la touche.

Malice ou cynisme ?
L'aveu peut s'interpréter sous différents angles. Il témoigne d'abord de la maîtrise lyonnaise: les Olympiens ont pu se permettre, au cours d'un match particulièrement important (par sa symbolique et sa proximité avec un huitième de finale de la Ligue des champions), de prendre ce risque calculé. Voilà qui rajoute à la frustration des Stéphanois, véritables jouets de leurs rivaux.
La question que soulève cette pratique consiste toutefois à savoir si elle relève de la simple malice ou bien d'un cynisme à toute épreuve... Dans un contexte où les règles sont si difficile à appliquer, leur détournement est effectivement sujet à caution: les Lyonnais ont délibérément commis des actes d'antijeu, à leur propre bénéfice. Préférant nettement cette solution à celle que l'esprit imposait: éviter de prendre des cartons au cours des matches précédant la finale.
Mais qu'ils se s'inquiètent pas: le Conseil de l'éthique ne va sortir de son coma pour si peu. Et comme le souligne Malouda: "Ça va quand même, je n'ai blessé personne".


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L'instant précis ou Jussié se rend compte qu'il a peut-être fait une connerie en quittant Lens au mercato.


Où sont les « gros » ?

Avec seulement 11 points engrangés en 8 matches depuis la reprise, soit 1,37 par match, l’Olympique lyonnais marque sérieusement le pas: il en récolte tout bonnement deux fois moins, en moyenne, qu’avant la trêve. Pour autant, les Gones n’ont pas de quoi craindre pour leur trône: derrière, les "poursuivants" ont réussi l’incroyable performance de faire au moins aussi mal, voire pire qu’eux.
Ainsi, les Lensois, actuels dauphins, ne leur ont repris que deux petites unités : avec une moyenne de 1,67 point/match, ils sont eux aussi très en dessous du rythme de croisière enregistré lors de la première partie de saison (1,84 point /match). Sochaux (0,87 au lieu de 1,73), Saint-Étienne (1 au lieu de 1,63), Lille (1,37 au lieu de 1,63), l’OM (1 au lieu de 1,57), Nancy (0,87 au lieu de 1,52) et enfin Bordeaux (1,37 au lieu de 1,52) : aucun des huit premiers à la fin des matches aller n’est parvenu à accélérer la cadence pour faire le trou sur ses poursuivants, ou, folie, penser recoller aux basques du leader…

Mécaniquement, plusieurs équipes de milieu et bas de tableau ont en revanche bénéficié d’une belle embellie. La palme revenant aux Toulousains, qui, avec 2,12 points/match, se sont hissés de la dixième à la quatrième place, et aux Niçois, dont les 1,75 point/match permettent de quitter la zone de relégation pour un plus envieuse 15e position au classement.



Prise de bec chez les Aiglons

maillot_vahirua.jpgFrustré par son incapacité à influer sur le sort de la rencontre, Marama Vahirua, entré à la 39e minute après la sortie sur blessure de Baky Koné, a été remplacé à la 90e par l’irascible Frédéric Antonetti. Humilié, à bout de nerfs, le petit Marama a jeté de rage son maillot vers le banc, à sa sortie du terrain. Le joueurs aurait pu plaider la clause de conscience en clamant son refus de porter une tunique aussi défigurée par les sponsors, mais à l’issue de la rencontre, il s’est très vite excusé auprès des supporters et de son coach...

Les ailes coupées
Depuis le 24 janvier 2007 (défaite à domicile contre le TFC), Tahitigol, n’a plus été aligné dans le onze de départ de l’OGC Nice. À croire qu’on a remplacé sa jambe droite par sa pagaie et que le fer de lance des Aiglons a perdu des plumes depuis l’arrivée au mercato de Lilian Laslandes. La cote du Tahitien ne cesse de chuter depuis son arrivée sur la Côte d’Azur: dix buts en 2004/2005, cinq buts en 2005/2006 et un but cette saison en vingt-trois matches. Comme si son repositionnement en meneur de jeu lui avait finalement coupé les ailes...
Le geste d’humeur du milieu offensif plombera-t-il la dynamique actuelle de l’OGC Nice? Il contraste en effet avec la joie retrouvée d’une équipe qui enchaîne les bonnes performances. Invaincus depuis cinq matches (deux nuls à l’extérieur contre Lyon et Lorient, assortis d’une victoire à Valenciennes, victoire au Stade du Ray contre Troyes et le Lille), les Aiglons ont pris un bel envol depuis début février, planant désormais au dessus de la zone de relégation. Rappelons nous tout de même que cette stabilité retrouvée est précaire. Le 24 janvier, quelques jours après la défaite à domicile contre le TFC lors de la 21e journée, le président Maurice Cohen avait été débarqué par le Conseil d’administration du club et que le chevelu José Cobos était à deux doigts de remplacer Frédéric Antonetti le déplumé... Cinq jours plus tard, Maurice Cohen était réintégré.

Ses excuses ayant été acceptées, le joueur ne devrait être sanctionné que d'une amende. La démarche est en tout cas de bonne volonté, pour des Niçois qui aspirent à migrer vers des zones plus stables du classement. Après s’être volé dans les plumes, les Aiglons veulent continuer de roucouler.


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Les Cahiers du football sont heureux de vous offrir le portrait de Jean-Bernard Caïazzaulas, le hooligan des tribunes.



Le championnat des tribunes présidentielles

Après les graves incidents de Geoffroy-Guichard (on inclut dans le terme l'ensemble des déclarations ayant précédé la rencontre, ainsi que sa couverture par Canal+ – lire Hélas, aucun mort à Geoffroy-Guichard), on attendait une réaction terrible et sans équivoque de la Ligue, qui allait frapper les impétrants de son glaive vengeurs. Et effectivement, la réaction n'a pas tardé. Elle est même tombée du ciel sous la forme d'une note de quatre pages, jeudi à l'heure du déjeuner. On s'aperçoit d'emblée que les événements de Saint-Étienne sont liés à ceux de Sedan... une tournure qui présente l'immense avantage de mettre le discours sur le terrain du hooliganisme, ou plutôt de la "lutte contre les comportements violents dans les stades". Hors tribune présidentielle, donc.

La Ligue se félicite de son action
S'ensuit un catalogue des dispositions prises par la Ligue pour établir une "tolérance zéro" contre la violence, avec des mesures aussi terrifiantes que le doublement des amendes pour usage de fumigènes, ou les matches à huis clos prononcés (trois depuis 2004). Sans oublier des coups de tonnerre comme la Charte contre le racisme en 2004 (avant, le football était-il pour?), le prix du fair-play ou encore la nomination de Basile Boli comme ambassadeur contre le racisme. Côté artillerie lourde, le document se félicite des "lois plus répressives" promulguées par le gouvernement. Sans mentionner la lenteur de leur application, leur inadéquation pratique ou l'impossibilité de les appliquer.
On n'est pas là pour critiquer le pouvoir. Surtout pas les pouvoirs locaux. Si Frédéric Thiriez, dimanche, avait désavoué du bout des lèvres les dirigeants lyonnais et stéphanois, on est bien en peine de trouver la moindre analyse ou le moindre reproche adressé à ceux-ci. Il est tellement plus facile de dénoncer le racisme. Qu'importe si les événements en question n'ont rien à voir. Le gag, c'est qu'au moment où des incidents graves semblent s'accumuler, la Ligue se félicite de la qualité de son action dans le domaine.

Enfin, on vous l'annonçait dans l'article cité plus haut: la foudre est tombée sur le Championnat des tribunes. L'ASSE et l'OL n'ont été crédités d'aucun point. Plus terrible encore : la Commission nationale mixte de sécurité et d'animation dans les stades a décidé de leur en retirer trois. Aulas et Caïazzo doivent être bien embêtés.



L’envers du championnat
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Devant l'incompréhension générale des observateurs du championnat sur le déroulement de la dernière journée, le classement à l'envers a décidé de se mettre au diapason de l’excellente couverture médiatique de la campagne présidentielle.
Mandatant le respectable institut CSA (Classements sérieusement antagonistes) auprès d’un échantillon représentatif de vingt présidents dont les clubs évoluent en L1, l’envers du championnat publie aujourd’hui en exclusivité mondiale le détail des sondages à la lumière de laquelle chacun votera en son âme et conscience, pour élire le champion que le terrain ne semble pas décidé à choisir.

Quel est la plus grande surprise de la 27e journée de championnat?
> La conservation in extremis de la première place par Sedan: 95%
> Le nouveau match plein des hommes de Paul Le Guen à l’abord du sprint final: 0%
> La nouvelle contre-performance de l’Olympique lyonnais à Geoffroy-Guichard dans un climat délétère: 5%

Quel geste aura marqué cette 27e journée de L1?
> Le rôle offensif déterminant de Mickaël Landreau, dépassant sa fonction pour permettre à son club de jouer enfin véritablement dans la cour des grands: 55%
> Le knock-down de Källström sur Tony Chapron qui ne fait pas avancer la cause des clubs lésés par l’arbitrage, mais soulage bien quand même: 40%
> La tête haute gardée par le fabuleux effectif Lyonnais dans la défaite, en dépit des instigateurs de la Ligue, des jaloux, et du monde entier qui refuse de reconnaître la ferveur populaire suscitée par leur cotation en bourse: 5%

Les fantastiques performances actuelles de l'OM leur permettront-elles d’effectuer la remontée de la saison au classement?
> Vous plaisantez ou quoi ? On s’est quand même pas fait chier toute la saison à animer le championnat pour se faire doubler sur le fil par un petit club sans expérience à ce niveau de la compétition: 30%
> Non, leur début de saison raté reste un handicap trop lourd, même si un départ de RLD avec une prestigieuse Coupe Intertoto et une accession en L2 en poche serait une juste récompense de sa merveilleuse gestion: 65%
> Après la raclée qu'ils vont prendre dimanche, ils ne seront plus qu'à sept petits points du podium donc c'est bien possible: 5%

Qui vous semble aujourd’hui le mieux placé pour décrocher le titre?
> Sedan, en dépit de sa mauvaise passe actuelle, la nomination non-surprise de Pasqualetti en cours de saison est une stratégie gagnante ayant déjà fait ses preuves dans quelques-uns des plus grands clubs hexagonaux: 15%
> Nantes, en récompense de la mutation réussie de son jeu pour s’astreindre aux exigences nouvelles du football moderne: 35%
> Paris, qui mérite bien un sacre pour avoir su tirer le meilleur d’un effectif très nettement inférieur à ceux de la concurrence: 45%
> Certainement pas Lyon, qui se concentre sur des objectifs bien plus important au niveau de la Bourse de Paris, ce qu’aucun grand club européen n’a jamais réussi: 5%

L’analyse politique d’Alain Duhamel
"Je pense que l’AS Nancy Lorraine aujourd’hui a su créer de l’intérêt autour de sa personne, beaucoup plus que la dernière fois. Bon, il faut dire que les circonstances sont moins apocalyptiques, car Strasbourg et Ajaccio avaient commencé leur campagne très tôt et qu’il y a eu le 9 juillet, et que malgré son importance internationale, un événement a effacé l’autre. Cette fois ci, ce n’est pas le cas. Donc elle a su créer un intérêt autour de sa personne. Par ailleurs, comme elle a des qualités et de caractère, et d’éloquence, elle défend plutôt mieux que la moyenne des candidats virtuels ou officiels du classement à l’envers. Bon, elle a des défauts: elle est dominatrice de tempérament, mais, globalement, elle est plutôt bonne".

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Conscient de son dérapage incontrôlé en faveur de la centriste AS Nancy Lorraine, Alain Duhamel tente de mettre fin à ses jours en s’étranglant dignement avec son nœud de cravate.

Réactions

  • la menace Chantôme le 08/03/2007 à 01h28
    La vignette pathologique d'Alexandre Ruiz est absolument délicieuse!!

  • Le_footix le 08/03/2007 à 01h33
    On vous sent un brin... énervés. Franchement, y'a pas de quoi: Dieuze et Gillet vont peut-être représenter la France en Ligue des Champions, c'est gai non ?

  • taivince le 08/03/2007 à 03h47
    Il est énervant Ruiz, hein?
    Jour de Foot ressemble maintenant et grâce à lui à ces programmes que l'on trouve diffusés sur de petites télés dans les rayons bricolage.
    Ou encore au télé-achat américain doublé sur RTL9 au milieu de la nuit.
    Ambiance Rex Kwan Do (pour les amateurs)

  • OLpeth le 08/03/2007 à 08h00
    Ruiz est mieux que son prédécesseur qui affichait le charisme d'un lampadaire éteint (je me souviens même pas de son nom) mais ça ne vaut pas Hervé Matthoux. Le seul qui arrive à être drôle, subtil, à pas asséner trop de conneries tout en étant pro dans ses présentations. Dommage qu'il soit bien seul (peut-être que sabatier pourrait gérer... peut-être).

  • Dinopatou le 08/03/2007 à 09h42
    Joli, les gestes de la journée...

    On devrait peut-être essayer de mettre Jumping Jack sur le terrain, il semble savoir s'extraire de tout marquage et disparaitre mieux que n'importe qui

  • sansai le 08/03/2007 à 11h00
    La vignette d'Alexandre Ruiz est une des meilleures de la saison, incontestablement. :)
    Tellement vraie qu'on l'imagine sans peine.

    Sinon pour le drame de Sainté, on pourra toujours apporter de l'eau au moulin à trolls (du genre gros, gras et velu, le troll, là) en rapportant le propos de la houille après le match de Rome, de tête ça donnait quelque chose comme : "je sentais un certain nombre de mes joueurs-cadres en-dedans, ils ont peut-être laissé de la gomme à Saint-Etienne *sourire désabusé*".
    Le complot anti-lyonnais aurait-il eu finalement raison des Gones ?
    Je doute qu'on en entende pas à nouveau parler avant longtemps, et le prochain Lyon-Sainté risque d'être fantastique.

  • le nihiliste le 08/03/2007 à 12h45
    "aucun des huit premiers à la fin des matches aller n’est parvenu à accélérer la cadence pour faire le trou sur ses poursuivants, ou, folie, penser recoller aux basques du leader"

    disons que pour recoller aux basques des leaders, effectivement, il fallait accélerer la cadence. Mais pour faire le trou avec ses poursuivants, ça a été moins nécessaire pour lens.

    6 points c'est déjà un beau trou. C'est pas les trous auxquels on s'est habitué ces dernières années, à cause des lyonnais, mais ça reste un beau trou..

    ;)

  • la menace Chantôme le 08/03/2007 à 13h05
    OLpeth - jeudi 8 mars 2007 - 08h00
    Ruiz est mieux que son prédécesseur qui affichait le charisme d'un lampadaire éteint (je me souviens même pas de son nom)

    > Lionel Rosso was the name.
    C'est vrai qu'il ne nous faisait pas trop jump up du fauteil.

    Mais Ruiz parle et s'enflamme beaucoup trop sur des choses qui n'ont pas un énorme intérêt, alors bon, entre les 2, je sais qui je préfère, mais c'est pas terrible.

    Et pourtant il avait l'air prometteur en chroniqueur. Lui et son espagnol impec' m'avaient beaucoup manqué pendant sa convalescence.
    Mais là, il me rend jour de foot soporifique.

    Tant de sensationnel dans la couture diagonale du gant de Teddy Richert, c'est trop pour le pauvre dormeur que je suis.

  • luckyluke le 08/03/2007 à 13h18
    Juste un truc: Eric Carrière a démenti avoir dit que les Marseillais paraissaient lents. Le démenti est paru dans l'Equipe le lendemain de la phrase initiale je crois.
    le mot "lent" était remplacé par le mot "long" (il n'était pas question de l'organe reproductif, non non) mais je ne me souviens plus de la phrase entière.


    (à croire que Carrière a attrapé l'accent ch'ti, donc)

  • rhonalpino le 08/03/2007 à 15h24
    le portrait de Jean-Bernard Caïazzaulas ressemble a DSK, vous trouvez pas ?

    (essayez de le selectionnez pour le copier, vous verrez, ca fait encore plus peur)

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