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L1 :: la Gazette :: Journée 2

le 19 Août 2008

 

Les résultats de la journée

Marseille-Auxerre: 4-0
Caen-Valenciennes: 3-1
Nice-Nancy: 2-1
Saint-Étienne-Sochaux: 2-1
Toulouse-Le Havre: 2-1
Grenoble-Rennes: 1-0
Paris SG-Bordeaux: 1-0
Nantes-Monaco: 1-1
Lorient-Lyon: 0-0
Lille-Le Mans: 1-3
 


Les 5 gestes de la journée
 
• Une déviation lumineuse et un centre téléguidé du gauche, parfaitement exécutés par Savidan sur les deux buts qu'il n'a pas marqué lui-même à d'Ornano pour souligner la rapidité de son intégration dans sa nouvelle équipe.
• Le coup franc victorieux de Gignac, qui avait mis sa panoplie d'Elmander samedi soir.
• Le lob réussi par Perquis, qui démontre habilement qu'il n'est pas apte qu'aux antigestes.
• L'enchaînement de Grandin dans la surface auxerroise: contrôle orienté, petit pont, puis pichenette à l'ancienne au fond des filets.
• La frappe flottante d'Akrour, qui va décrocher une place de leader de Ligue 1 dans la lucarne de Douchez.



Les 5 antigestes de la journée
 
• Une superbe feinte de contrôle de la poitrine qui permet à Koné d'offrir l'ouverture du score à Niang; un astucieux csc évitant de justesse à Niang d'être signalé hors jeu sur le deuxième but; l'égoïsme du buteur qui lui fait dévier dans le but la pichenette de Grandin. Légèrement trop court pour dévier le coup franc de Zenden, qui lui frôle les cheveux sur le quatrième but, c'est tout de même à un véritable Grichting show que le Vélodrome a assisté.
• La Ceará de Camara et la Camara de Ceará, décisives ni l'une ni l'autre, mais qui ont toutes deux fait passer un bon vieux frisson dans les travées du Parc des Princes.
• La précision de Mouloungui pour trouver le poteau à deux mètres du but laissé vide par Bracigliano.
• La belle facilité de Perquis, déjà grande vedette des antigestes de la première journée, pour éviter de toucher le centre adverse sur le premier but, puis tacler dans le vide sur le deuxième.
• La feinte de frappe téléphonée de Bafétimbi Gomis, à laquelle ne répond absolument pas Richert, qui offre une fin de rencontre à suspens à Geoffroy-Guichard.


puel_poing.jpg
"REDESCENDEZ ! REDESCENDEZ TOUS ! L'IMPORTANT, C'EST LE UN POING !"


La bannette

L'équipe qui rend fou
Ulrich Ramé (L'Équipe) : "Paris nous a forcé à jouer dans l'entonnoir".

L'entraîneur qui aimerait recruter Monnet-Paquet
Rudi Garcia : "On n'a pas su emballer le match".

La déclaration un peu hâtive après seulement deux journées
Ricardo Faty : "De toute façon, on ne pouvait pas jouer plus mal".

Le coach qui a préféré regarder la finale de Nadal aux JO
Michel Der Zakarian : "On a même la balle de match".

La déclaration sous contrainte
Michel Der Zakarian: "Je ne veux pas critiquer la décision de M .Layec mais soit il met un rouge et expulse Ruffier, soit il ne siffle pas".

Odracir, le jumeau maléfique
Ricardo : "Il s'agissait d'un bon match de début de saison, avec beaucoup d'occasions et d'erreurs défensives".

L'esprit du danger
Alain Casanova : "Le spectre du match de Lyon est revenu". Et c'est lui qui a fait les sorties aériennes à la place de Carrasso?

La réponse du tac-o-tac
Paul Le Guen: "Gratter une victoire, ça fait du bien".

La virée au casino pas très rentable
Guillaume Hoarau : "Il fallait nous racheter de notre mauvaise sortie à Monaco".

L'homme qui a tout appris à Letizi
Grégory Wimbée : "Gardons aussi les pieds sur terre".

Le marchand de bien
Claude Makelele : "Ça fait du bien. Il fallait bien démarrer à domicile. Ça va nous permettre de bien travailler (...). c'est un système qui nous convient bien. (...) le groupe vit bien. C'est bien pour la suite".


Le top "coaches heureux d'entraîneur leur équipe"
1. Laurent Roussey : "Ce match me laisse un goût amer".
2. Rudi Garcia : "Une faillite collective, un non-match, un jour sans".
3. Michel Der Zakarian : "On a fait une première période très moyenne. On a frisé la correctionnelle, et nous avons encore pris un but sur lequel nous n'avons pas été attentifs".
4. Antoine Kombouaré : "Quand on est aussi mauvais en début de match, c'est logique de perdre".
5. Christian Gourcuff : "C'est un match nul relativement flatteur".
6. Francis Gillot : "Je ne sais pas si on méritait vraiment d'égaliser".


Le top "solidarité"
1. Pablo Correa : "Mon équipe a donné trop de cadeaux à Nice".
2. Antoine Kombouaré : "On a offert trois cadeaux aux Caennais".
3. André Luiz : "On a donné des buts alors qu'on avait le ballon".

[NDLR : toutes citations L'Équipe]



melon_porto.jpgLa recette du melon au Bordeaux
 
Prenez les meilleurs ingrédients: 150 kg de charnière centrale (Souleymane Diawara, préféré à Planus aux côtés d'Henrique), une sentinelle royale taillée dans du filet de Vieira: un délicieux Alou Diarra, par exemple.

Disposez  votre milieu en losange: surtout ne pas remettre en question la recette, même si vous tombez sur du mou de latéral (combien de casseroles cramées par Armand et Ceará?), arrosez le tout de vos certitudes (1). Laissez mijoter en assurant un beau liant dans les transmissions, confortant l'impression d'une supériorité dans le projet. Surtout ne pas mettre plus de feu, et ne jamais tenter d'inventer. Laisser ronronner en faisant tourner tranquillement le ballon: une frappe de (très) loin de Fernando, ou un coup de pied arrêté de Wendel sera bien boxé tôt ou tard par Mickaël Alonso dans les pieds d'un des deux de devant, pour apaiser leur malnutrition.

Ne pas trop assaisonner: Papus Camara et Ceará ajoutent déjà beaucoup de piment. Mettre le couvercle en conservant 64% des ballons. Quand le Chalmé fait un bruit sourd, compter encore quarante minutes de cuisson et écraser peu à peu trois têtes d'ail (Obertan, Bellion, Trémoulinas) sur la brochette Sakho-Camara. Ajouter le melon: "On a encore vérifié que ce n’est pas l’équipe qui se crée le plus d’occasions qui l’emporte. Le PSG ne mérite pas sa victoire. Le minimum que nous pouvions obtenir, c’est un nul, certainement pas de perdre" (Laurent Blanc). C'est prêt.

(1) Laurent Blanc: "Je n'ai jamais dit que je ne m'adapterai jamais à l'adversaire, mais je revendique de le faire le moins possible. En tout cas, Bordeaux ne s'adaptera pas au jeu de Paris". In L'Équipe du 16/08/08.



panneau_itw_sponsors.jpgLa Ligue tombe dans le panneau

La L1 était une des dernières compétitions à avoir échappé aux stèles vitrées portant les logos des sponsors, installées au bord de la pelouse pour les interviewes d'après-match. L'exception est terminée cette année, et les joueurs du championnat de France sont sommés de se présenter devant pour expliquer qu'ils doivent prendre les matches les uns après les autres, tout en se touchant compulsivement les appendices du visage (lire "Le toucher de nez").
Mieux: où qu’ils se fassent coincer par un apprenti Paganelli, la masse d’autocollants vient désormais à eux, ou plutôt derrière eux, dans le champ des caméras. Comme si chaque pixel de notre télévision correspondait à un neurone disponible et devait être vendu.

Pour la publicité, le football, c'est un peu la conquête de l'Ouest: ce ne sont pas deux ou trois Indiens qui vont empêcher les colons d'envahir tout l'espace disponible. La banalisation des panneaux clignotants en bord de pelouse n'a dérangé personne, alors le vitrail portatif ne va plus choquer le téléspectateur.



sebo_luciole.jpgLes observations en vrac
 
• La très bonne idée look de l'été: comme Filip Sebo, rasez-vous le crâne après les séances de bronzage estivales. Effet luciole garanti.
• Tous les clubs de Ligue 1 ont ouvert leur compteur but. La saison dernière, six clubs n'avaient pas marqué après deux journées: Paris, Marseille, Auxerre, Strasbourg, Rennes et Lens – qui avait attendu la cinquième journée pour inscrire son premier but. Comme quoi, c'est le président Thiriez qui a raison: l'esprit offensif se décrète, mécréants que nous sommes.
• Caen a réussi le casse de l'année en remplaçant Yoan Gouffran par Steve Savidan.
• Si quelqu'un sait ce qu'a tenté de faire Grichting face à Koné sur le but de Niang, qu'il se fasse connaître au 36 15 Nakata.
• L'OL en maillot bleu, short bleu et chaussettes bleues, c'est bête et c'est moche.



Roussey rage

Il est peu courant de voir un entraîneur ainsi prostré sur son banc au terme d'une victoire. Le novice Luc Sonor, dont c'était le premier match à Geoffroy-Guichard dans son nouveau rôle d'adjoint, semble incrédule à ses côtés, tentant de le réconforter en cachant mal son hésitation. Au micro de Canal quelques minutes plus tard, le coach stéphanois écume, ne voit plus que le maintien du club en Ligue 1 en guise d'objectif. Des propos étonnants, s'agissant d'une formation placée au quatrième rang de la hiérarchie nationale la saison dernière, et qui semble avoir réussi son intersaison.

Pourtant, la gestion du match par les Verts, en mal de maturité, donne raison à leur coach. De simples lacunes dans les automatismes, à ce stade de la saison, n'auraient rien d'alarmant. Mais la façon dont ils ont prématurément cessé de jouer après rapidement avoir fait le break face à de bien pâles Sochaliens, ne laisse que le choix entre deux interprétations: la suffisance ou le manque de volonté pour tuer le match. Dans les deux cas, Laurent Roussey peut afficher sa mauvaise humeur. Le manque de volonté et de suite dans les idées a été un mal récurrent chez les Stéphanois au cours des deux dernières saisons...


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"... Et pour ne rien arranger, je suis tout décoiffé !"


Quelques centimètres carrés de tactique

C'est un article de taille modeste, un peu mal placé dans l'édition de L'Équipe de dimanche. Mais c'est un petit moment de plaisir. Raphaël Raymond a simplement laissé parler Christian Gourcuff de son 4-4-2 – "émanation du 4-2-4 de la sélection hongroise de 1954. Seuls, les ailiers ont reculé pour bloquer les espaces" –, et offre ainsi au lecteur un lumineux éclairage tactique.

L'entraîneur lorientais expose en quelques mots la contradiction entre le respect du schéma et l'adaptation à l'adversaire, ou le risque de lassitude à force de "répéter des gammes". "L'organisation, c'est la base commune, explique-t-il pour pondérer la liberté qu'il concède à ses joueurs. C'est important, comme la récupération du ballon. Après seulement commence le jeu".
Une initiative d'autant plus remarquable que son auteur, sur la même page, a aussi essayé de faire parler Guy Lacombe sur les effets de l'absence de Mensah au sein de la défense rennaise.



Les questions de la journée

• Le limogeage de Paul Le Guen lors de l'avant match, puis la possibilité de voir le PSG inquiéter Lyon cette saison après le coup de sifflet... Le grand écart réussi par la rédaction d'Europe 1 en l'espace de quatre-vingt dix minutes peut-il obtenir une médaille dans le concourt complet de gymnastique à Pékin?
• Très amusants, les GF38-SRFC, SMC-VAFC ou ASMFC-FCGB désormais imposés au téléspectateur. Mais la LFP croit vraiment que nos compagnes sont des courges dégénérées ramollies du bulbe (CDRB s'ils préfèrent) pour ne pas pas s'apercevoir que c'est quand même Grenoble-Rennes, Caen-Valenciennes ou Monaco-Bordeaux à la télé?
• Qui a placé un oursin sur le siège de Christophe Josse?


 

Le web 2.0 d'Olivier Rey (suite)

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Les petites annonces

• Le maillot domicile et le maillot extérieur 2007/08 de l'AS Saint-Étienne sont heureux, émus, et fiers de vous annoncer la naissance du fruit de leur union de la saison dernière. Il s'appelle maillot à domicile 2008/09. Il n'est pas beau du tout, mais il se porte très bien – tant qu'on ne le sort pas de son chaudron – et grandira dans un torrent d'amour quand même.

• Quotidien de sport et d’automobile cherche club non doubiste acceptant de ne pas se fourvoyer bêtement dans la victoire en deux petites journées seulement, en vue d’adoption de petites crises élevées au grain.


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"Non, non, pas à l'envers, à l'endroit. On est leaders du classement à l'endroit".

Réactions

  • cocobeloeil le 19/08/2008 à 03h02
    Jolie reçette à vrai dire.....
    La première fois qu'on la tente on a souvent des déboires.
    Il suffit juste de prendre la base, changer quelques ingrédients, le feeling à force, recommencer inlassablement, attention surtout aux melons qui chauffent trop rapidement......

    Si on est patient, au final ça pourrait donner juste une sorte de plat succulent pour les uns ou irrespirable pour les autres.

  • Gael Moldovan le 19/08/2008 à 05h19
    La derniere vignette est tres belle

  • Roberto Cabanastonvilla le 19/08/2008 à 07h45
    Par je ne sais quel vice, je n'arrive plus à lire une gazette sans scruter si on y parle de bordeaux


    (vice parce que je ne suis pas fan des gigis)



    comme quoi, la propagande, ça marche

  • Roberto Cabanastonvilla le 19/08/2008 à 07h51
    """"Très amusants, les GF38-SRFC, SMC-VAFC ou ASMFC-FCGB désormais imposés au téléspectateur. Mais la LFP croit vraiment que nos compagnes sont des courges dégénérées ramollies du bulbe (CDRB s'ils préfèrent) pour ne pas pas s'apercevoir que c'est quand même Grenoble-Rennes, Caen-Valenciennes ou Monaco-Bordeaux à la télé?"""




    ou voit-on cela? Moi qui déteste les acronymes et l'esprit totalitaire qui se cache derrière...

  • la menace Chantôme le 19/08/2008 à 08h16
    Vous croyez que Olivier Reyakinator, le (journaliste de) génie du web, mettra vraiment sa menace à exécution?

  • luckyluke le 19/08/2008 à 08h52
    Des propos étonnants, s'agissant d'une formation placée au quatrième rang de la hiérarchie nationale la saison dernière, et qui semble avoir réussi son intersaison.

    Soit l'OL est exclu de la "hiérarchie nationale", soit Saint-Etienne était cinquième l'an passé, non?


    Sinon, pour les sigles, ne parlons plus alors de l'OM ou du PSG... (les titres "OM-Lyon" ou "PSG-Lyon" dans la presse me font aussi rire [jaune] à ce sujet)
    Ces sigles sont utilisés depuis des années par les supporters des clubs concernés, je ne vois pas pourquoi C+ ne les utiliserait pas parce qu'à Paris on ne les connait pas.


    Voilà voilà voilà...

  • Roberto Cabanastonvilla le 19/08/2008 à 09h00
    lukyluke, si tu regarde bien, les sigles pointés ci-dessus ne concernent ni marseille, ni lyon ni paris



    je doute qu'un seul supporter de bordeaux dise "FCGB" ou qu'un seul supporter de monaco d...(nan toute façon y'a pas de supporters là bas)

  • Fresh le 19/08/2008 à 09h11
    Euuuh, le prenez pas mal, hein, M'aame Rédac', mais vous seriez pas en train de vous "l'équipizer", là ?

    Pasque bon, Bordeaux est arrogant, Marseille développe un jeu léché, Paris est de retour, mouais, ça manque un peu de gratté de vernis, amha.

    Marseille joue Rennes, le fantôme breton de l'été, pis Auxerre si sympathique et si pathétique...
    Paris a formidablement bien défendu et est bien sorti en contre, mais si c'était Ricardo leur entraineur, on commencerait à parler du boring Paris (bon, ils ont rarement été enthousiasmants ces 10 dernières plombes, ok).
    Et il suffit donc à Laurent Blanc d'éviter les "à partir de là" et de livrer le fond de sa pensée (qui reste frappée de l'empreinte du sportif qui vient de perdre un match tout moche et qui l'a un peu en travers) pour qu'on le bombarde "arrogant" et "hautain". Un entraineur n'est drôle que si il débite des platitudes ? Et lorsqu'il laisse apparaître un peu de "real life", c'est intolérable ?

    A moins qu'il ne s'appelle Gourcuff, si j'ai bien compris ?

    Allez, les gars, on hurle pas avec les loups, on remet les choses en perspective, et pis, on se fait plaisir...

  • Fresh le 19/08/2008 à 09h13
    Oui, et pis parlez un peu de Grenoble ou de Monaco, l'air de rien, ça durera peut être pas comme les impôts, cette histoire !

  • Le Zinédine et le Niang le 19/08/2008 à 09h30
    Bah certains sigles sont clairement peu utilisés, alors que "PSG" et "OM", qu'on le veuille ou non, ça l'est. Et pas qu'à Paris (n'y vivant pas, je serais drôlement embêté sinon).

    Pour la réaction de Lolo, bah, désolé, mais défaite ou pas, c'est pas malin. Si on va par là, alors il fallait pas commenter la sortie de Furlan parce qu'il avait les boules ? D'un autre côté, c'est facile d'être un seigneur quand tu gagnes, la vraie élégance, c'est dans la défaite. Et j'adore Lolo, mais sa décla est moyenne.

La revue des Cahiers du football