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L1 :: La Gazette :: J20

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 14 Jan 2009

 

classement_0809_20.jpg

Les résultats de la journée

Bordeaux-Paris SG : 4-0
Rennes-Grenoble : 1-0
Sochaux-Saint-Étienne : 1-0
Lyon-Lorient : 1-1
Le Havre-Toulouse : 0-1
Monaco-Nantes : 1-2
Auxerre-Marseille : 0-2
Le Mans-Lille : reporté
Nancy-Nice : reporté
Valenciennes-Caen : reporté



Les 5 gestes décisifs de la journée

• La déviation en drop expédiée dans la lucarne de Cavenaghi à la réception d'une transversale de 41 mètres ajustée au centimètre par Chalmé, malheureusement hors de vue de Maradona.
• Le contrôle orienté et subtil de la plante du pied gauche, derrière la jambe d'appui de Gourcuff.
• Le râteau enchaîné et subtil du pied droit de Gourcuff, en plein pivot pour provoquer le plus beau air tacle de toute la carrière de Sylvain Armand.
• Le double contact droite-gauche subtil de Gourcuff, qui a rappelé ses meilleures parties de PES à Sammy Traoré, quand il prenait Barcelone pour battre Auxerre.
• Le pointu sec et violent de Gourcuff, qui fait frissonner le petit filet opposé de Landreau en même temps que l'échine de quelques millions téléspectateurs en train de ramasser leur mâchoire.


Les 2 antigestes de la journée

• Les trois regards consécutifs de Sessegnon vers l'arbitre assistant après sa volée au-dessus du but de Ramé alors qu'il était seul aux six mètres, comme pour espérer qu'on lui donnerait une raison d'être moins déçu d'avoir manqué ça.
• La frappe de Gourcuff, du même endroit, dans la même situation que face à la Serbie, qui s'envole environ 35 mètres à gauche du but Landreau.



La bannette

La défiscalisation
Jean Fernandez (lfp.fr) : "Il y avait de l'abattement dans le vestiaire".

Le photomaton
Eric Gerets (lfp.fr) : "On a vu qu'on a un gardien qui n'est pas trop mal non plus".

Le club qui ne voit rien venir
Eric Gerets (lfp.fr) : "L'équipe a montré de nouveau son visage à l'extérieur".

L'entreprise qui ne connaît pas la crise
Claude Puel (L'Equipe) : "Il y a du travail".

Le Lego-trip
Christian Gourcuff (L'Equipe) : "On s'est évertués à construire, à mettre le ballon à terre".

Le sens de Lorientation
Christian Gourcuff (L'Equipe) : "En seconde période, on a semé le trouble dans les esprits lyonnais, et cette équipe a eu tendance à se désunir".

L'entraîneur qui veut décrocher la timbale
Guy Lacombe (lfp.fr) : "A la mi-temps, j'ai demandé plus de percussion".

L'équipe qui s'efface sur la photo
Alain Perrin (lfp.fr) : "On a disparu petit à petit en deuxième période dans le combat".

Le désorganizer
Adil Rami (L'Equipe) : "Le problème, ce n’est pas l’heure, c’est la date".

Le déçu des cartes
Ricardo (lfp.fr) : "Cette défaite ne faisait pas partie de nos plans".

L'entraîneur qui vit dans sa valise
Ricardo (L'Equipe) : "Je suis fragilisé par les résultats mais je pense avoir le bagage pour tenir le coup".

Le professeur de samba
Ilan (L'Equipe): "On doit plus se parler car un pas vers l'avant ou vers l'arrière peut changer tout".

La déclaration érotique
Yoann Gourcuff (L'Equipe) : "En fait, je n’ai pas pu la prendre de l’extérieur ni de l’intérieur donc j’ai tiré du pointu". 



briefing_hull_city.jpg"Écoutez les gars, c'est pas compliqué, vous avez tous entendu Bernard. Alors trouvez-le moi, ce troisième poteau".



La minute d'autocritique de Pierre Ménès

"Je crois que si j'ai une qualité et un défaut, ça dépend si on m'apprécie ou si on m'apprécie pas, c'est la franchise".
(Blog Yahoo! Sports)



La minute de désorientation de José Anigo

"Y a un truc qui me gêne, c’est quand on gagne contre Auxerre, ou même si on fait une bonne prestation, finalement, on s’aperçoit quand on lit les journaux qu’on a battu finalement une petite équipe d’Auxerre. Mais quand on perd contre Nancy, qui est soi-disant une petite équipe, alors on sait plus finalement à quel moment on est bons. On sait plus. Même quand on gagne on n’est pas bons, quand on perd on n’est pas bons, mais c’est à quel moment qu’on est bons? Je voudrais juste que quelqu’un nous l’explique".
(OMtv)



La minute de jeunisme pour les autres d’Eugène Saccomano

"Pour moi, vous savez, l’expérience est un magnifique peigne pour les chauves. Ca sert à rien! Maradona n’avait pas d’expérience, Platini non plus quand il est arrivé en Italie ou à Saint-Étienne, c’est le talent qui compte! L’expérience on s’en fout! Moi, à chaque fois que j’entends le mot expérience… Enfin, bref".
(On refait le match – L’Équipe TV)


 
gaz20_psg_ski.jpg"Le PSG font du ski". Et leurs attaquants n'arrivent toujours pas à conclure.


Bordeaux pas si beau ?
 
Faut-il être un triste sire pour trouver à redire à l'écrasante victoire girondine face au Paris SG? Assumons, en évoquant de paradoxales lacunes dans le jeu bordelais. Les hommes de Le Guen ayant l'habitude de laisser le ballon à leur adversaire, il n'y avait rien de surprenant à ce que ceux de Blanc le monopolisent. Pourtant, l'exploitation trop partielle de leur supériorité collective incite à la prudence concernant leurs ambitions.

Le score, généreux, ne doit pas masquer que la maîtrise affichée dimanche soir a souvent consisté en une sorte de passe à dix un peu vaine, aboutissant trop rarement à des situations de tirs au but. Certains entraîneurs aiment calculer la moyenne de passes précédant un but pour évaluer la capacité de l'équipe à être efficace "dans le jeu" (lire la chronique tactique des Cdf #43, quand ils seront sortis). Or, Bordeaux aura dominé, mais marqué sur quatre actions de jeu très direct: Diawara (1 passe), Cavenaghi (2 passes), Gourcuff (1 passe) et Fernando (1 passe décisive de Makelele). Bordeaux a certes réussi à se procurer ces occasions grâce à sa maîtrise, son pressing. Mais cette manière d'avoir la possession et de ne marquer que sur coups francs, jeu direct ou coup de génie fait-elle de Bordeaux une équipe particulièrement complète, ou au contraire extrêmement perfectible?



La stat futile

Pour débuter l'année sans se fatiguer avec des divisions à virgules, on va consulter ce petit classement de Ligue 1 :

gaz20_statfutile.jpg

S'il semble raccourci, c'est à juste titre : seuls les matches entre les dix premières équipes du vrai classement ont été conservés. On peut donc observer le comportement des grosses écuries entre elles. On constate par exemple l'inefficacité marseillaise face aux autres équipes de tête, preuve que l'OM marque plutôt ses points contre les petites cylindrées.

La semaine prochaine, nous listerons les joueurs qui ont marqué plusieurs penalties contre leur camp dans leur carrière.

> Dénoyauté par Poteau rentrant, le site des stats inédites et décalées sur la Ligue 1.



Le repositionnement de L'Équipe

On attendait la transformation du quotidien sportif en tabloïd. Finalement, ce sera en journal pour enfants.

gaz20_lequipe2.jpg




Les observations en vrac

• Le meilleur moment du week-end : l'émotion contenue et pleine d'humilité de Jean-Pierre Papin sur le plateau du Canal Football Club au moment où quelques-uns de ses plus beaux buts sont diffusés devant les yeux admiratifs de Gameiro et du public.
• Beaucoup mieux que l'Olimpico, le Girondopratin.
• À ajouter à la liste des néologismes margottonniens: "Le match qui monte en température".
• Premier match, première défaite, et première salve anti-arbitrage pour le neo Havrais Frédéric Hantz, qui fait une entrée fracassante au challenge Jean-Michel Aulas.
• Le transfert punitif du mercato: Vincent Machenaud quitte France Football et devient le premier galactique d’Aujourd’hui Sport.


 
gaz20_fan_carla.jpgExclusif: on a trouvé le type qui n'a jamais eu aucune aventure avec Carla Bruni.

> Les lucarnes sont régurgitées par le Diaporama des lecteurs



Ça m’énerve : le "championnat relancé"

La recette est simple. Commencer par marteler la supériorité du septuple, pour créer une ambiance de monarchie. Faire mijoter dans chaque victoire, histoire de baliser le terrain. Ensuite, faire mine de s'extasier à chaque réduction, même minime, de l'écart entre le leader et son premier poursuivant. Ça y est: vous avez relancé le championnat. Suspense haletant à peu de frais allié à une certaine idée du renouvellement durable.

Mais cette arme n'aurait que peu d'intérêt si elle ne pouvait tirer plus d'un coup. Il faut savoir alterner, et chaque victoire doit donc être l'occasion de déplorer que Lyon écrase la compétition. Vous pourrez ainsi recommencer l'opération la semaine suivante, et ce à l'infini. La boucle en est déjà à sa dixième itération depuis le début de saison. C'est la magie du football, qui laisse n'importe qui tirer des conclusions définitives établies sur la foi de classements ponctuels.



gaz16_dictionnaireOL.jpgL’OL de A à Z

Partageons la passion du septuple champion de France des jeunes enfants fans de l’OL, en parcourant une définition extraite de son dictionnaire officiel (1). Cette semaine, la lettre C, comme Christophe Comparat.

"Né en 1954. Il est membre du conseil d’administration. Ce diplômé de l’Ecole Nationale d’Assurances de Lyon devient le Président Général de SAGITTA, un cabinet de courtage d’assurances jusqu’en 2000. En 1989, il devient membre du comité de direction du groupe CEGID, et rejoint l’Olympique lyonnais en 1991 en qualité de Directeur Général jusqu’en 1996. À ce jour, Christophe Comparat est membre du Comité de Gestion Olympique lyonnais SASP ainsi que le président d’OL Merchandising."

La semaine prochaine: C comme Clovis Cornillac... Euh… Coupe de la Ligue… hum… Coupet? Bon, on passera peut-être directement au D.

(1) Le dictionnaire officiel de l’Olympique lyonnais, éditions Hugo&Cie.


Les questions

• Dis donc Paulo, mettre Sessegnon, 1m72 et 72 kilos, au marquage de Diawara, 1m87 et 88 kilos, sur les corners, c'était pour montrer la confiance sans limites que tu accordes à Landreau?
• Il n'a pas un rebond un peu chanceux Gourcuff sur son premier contrôle?
• Si c'était pour plonger dans la surface afin d'obtenir des penalties, au lieu de recruter Sessegnon, ne fallait-il pas plutôt rappeler Fiorèse?
• D'ailleurs, que fait le comité de visionnage?
• Quand Grégoire Margotton parle de "Big 4 ou Big 5 qui se détache en tête de la L1", c'est avant ou après avoir regardé le classement dans lequel les clubs situés entre la 4e et la 7e place se suivent à un point d'écart?
• On devient dur de la feuille ou Jérôme "sauveur de la ligue 1" de Bontin n’a pas encore osé de nouvelle déclaration autosatisfaite en ce début d’année pour vanter les mérites des préparateurs physiques américains et de son recrutement qui attire les télés du monde entier?



La chanson de la semaine

Continue son tour du monde et s'arrête en Jamaïque, via l'Angleterre


Réactions

  • Ivoirinho le 14/01/2009 à 02h17
    j'ai explosé de rire à la lecture de "la déclaration érotique"

  • Tecumseh le 14/01/2009 à 04h26
    La fine analyse de la très étriquée victoire bordelaise est particulièrement bien vue. Je dirais même courageusement défendue dans un océan de compliments immérités.

    Car si on y réfléchit bien avec vous, en enlevant aux Girondins leur (outrageuse) possession de balle, le meilleur buteur (chanceux) du championnat, 3 à 4 joueurs talentueux qui peuvent faire la différence tout seul, la capacité à marquer sur coup de pied arrêté et la domination technique au milieu du terrain, il ne reste plus qu'une équipe médiocre.

    Insupportable usurpation, qui pousse l'outrecuidance jusqu'à s'approprier la meilleure attaque du championnat (avec ses sempiternels buts en une seule passe!).

    Ensemble, rétablissons la Vérité.

  • Nagrom le 14/01/2009 à 07h15
    Elles m'avaient manqué, ces Gazettes.

  • newuser le 14/01/2009 à 08h26
    "Il n'a pas un rebond un peu chanceux Gourcuff sur son premier contrôle?"

    J'arrête pas de le dire que c'est que de la chance !!!
    Pfff c'est un joueur moyen dans une équipe moyenne d'un championnat moyen... enfin je dis, je peux me tromper mais qu'on me le montre.

    Coach C.

  • Vinnnch le 14/01/2009 à 09h21
    Big4, Dame Redac, Big4 !
    Il va de soi que Rennes n'a pas sa place dans le haut du championnat, ce club n'a jamais été champion, ils n'ont donc aucune légitimité

    Et donc, ce concept de Big4 me rend dingue. Après nos gouvernants qui ont essayé de nous prouver qu'il fallait qu'on réforme (rompe) tout parce que nos voisins l'avaient bien fait, eux (qu'est-ce que ca a marché !), voici une nouvelle manifestation de ce besoin de ressembler aux anglo-anglais. Z'avez vu, z'avez vu, nos dirigeants sont en train de prouver la gradeur de la France puisqu'enfin nous aussi nous n'avons plus que quatre (four pardon) clubs qui peuvent etre champions ! Ca c'est de la réussite ! De la démocratie. De la méritocratie.

    Le jour où tous les membres du gouvernement actuel seront enfin pendus par les tripes, il faudra crucifier les journalistes sportifs avec eux aussi (et les journalistes tout court au passage)
    TOUTES nos """élites""" semblent décidément contaminées par ce même virus ultralibéral, ils sont incapables de voir autre chose. Nasdaq, Ligue 1, tout est vu à travers le même prisme...

  • tholotforever le 14/01/2009 à 09h25
    Olivier Besancenot, sort de ce corps !!!

  • Pierre Des Loges le 14/01/2009 à 09h32
    Yeah, 2 vignettes dans la gazette, belle rentrée sur les CdF! J'espère juste que le nabot fera pas d'histoire aux CdF pour avoir traité sa femme de nympho... même si je suis pas le seul à penser ça.

  • Road to Champions League le 14/01/2009 à 09h33
    Alors là, je m’insurge ! A quoi sert le classement en relief si ne prenez même pas la peine de l’analyser ? On a CLAIREMENT un big 7.5, là…
    Sinon chouette belle jolie gazette, comme d’habitude.

  • Ponda le 14/01/2009 à 09h42
    En fait la partie sur Bordeaux correspond assez à ce qui est ressorti sur PEM après le match :

    - Si Giuly marque d'entrée et que le PSG met 2 de ses 4 occases pendant que Bordeaux ne fait, lui, pas preuve de réalisme et ne marque pas 4 buts sur ses 7 occases; Paris gagne ce match, un peu comme à l'aller en fait.

    Le foot est tellement simple et c'est toujours rageant d'avoir la première occasion, de la manquer et que l'adversaire, lui, marque entraînant immanquablement l'excuse du réalisme et le trop fameux cliché "ouais mais si il l'a met c'est pas le même match" qui autant ridicule que l'innénarable "si elle est dedans c'est la même chose".

    Et je suis pas aigri, non, je suis encore sur mon nuage après ce fantastique match.


  • galette saucisse je t'aime le 14/01/2009 à 09h48
    Vinnnch
    mercredi 14 janvier 2009 - 09h21
    Big4, Dame Redac, Big4 !
    Il va de soi que Rennes n'a pas sa place dans le haut du championnat, ce club n'a jamais été champion, ils n'ont donc aucune légitimité


    >>excuse-moi, mais il y a quelque chose que je ne comprends pas. Peut-être suis-je mal réveillé alors je demande un droit à la reformulation...

    tu critiques l'élitisme et le fait qu'on se satisfasse de faire comme les autres, c'est ça?

    par ailleurs, tu nous dis que Rennes n'a pas sa place dans un Big 5. Je mets de côté le fait que je sois supporter rennais et j'analyse. En gros, si on remplace Rennes par Saint-Etienne, Nice ou Nantes par exemple, tu persistes à dire qu'il n'y a qu'un big four en France?

    si tu te bases sur "ce club n'a jamais été champion", c'est vrai que ça fonctionne pour le stade Rennais (là, je redeviens supporter et je te dis "n'a pas encore été champion") mais si tu prends par exemple 4 autres clubs que ton big four et qui évoluent encore en L1, Nantes, Monaco, Nice et Saint-Etienne, ils totalisent 29 titres à eux 4 contre seulement 22 pour l'Ol, l'OM, Bordeaux et PSG.

    aujourd'hui, aucun de ces clubs ne peut jouer le titre.

    le big four prend un peu de plomb dans l'aile... De plus, si on regarde les classements de l'élite du football français, on constate quand même que l'hégémonie lyonnaise fait du bien en l'occurence. Parce que dans les 10 dernières saisons, il est arrivé plusieurs fois qu'un des grands 4 lutte pour la relégation.

    sportivement, le big four est une notion abstraite, en revanche, ça fait sans doute vendre, ça rassure sans doute les présidents de ces clubs mais à part les journaleux, qui y croit?

La revue des Cahiers du football