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Gaceta de la Liga - Jornada 21

Le troisième opus de la série espagnole la plus exaltante depuis Un, dos, tres fait concurrence à l'équipe du dimanche.
Auteur : Antoine Faye le 30 Jan 2008

 

Les 4 gestes de la journée

• Le double contact réussi par Pedro León dans la défense Murciane, comme un hommage à Laurent Blanc.
• Le petit pont de Valerón le long de la ligne de touche, réussi face à Almeria.

• L'enchainement contrôle / passe lobée de Gago qui lance Sneijder vers le troisième but madrilène en mettant la défense de Villareal cul par dessus tête.
• L'extérieur de Deco pour Bojan qui, en un geste, ouvre un boulevard en plein milieu de la défense de Bilbao.


Les 3 anti-gestes de la journée

• Le tacle au niveau du genou de Ernice sur Jésus Navas.
• Le coup de coude isolé de Henry sur Aitor Ocio. Le genre de geste qui coûte une expulsion quand un arbitre le voit. Encore eut il fallu que Henry le fasse sur une action de jeu.
• Le superbe geste de buteur de Lilian Thuram qui montre qu'il est phyisiquement au point et s’arrache pour égaliser… contre son camp.



clasification3.jpgLe compte à rebours avant le sacre.

Real-Villarreal : 3-2
La certitude que cette Liga est jouée est telle qu’un match comme Real-Villarreal a quelque chose de déprimant. Il faut voir Villarreal, équipe au jeu offensif et enthousiaste, aligner une formation entièrement tournée vers la défense du match nul.

Les hommes de Pellegrini, aussi frileux que la température les y incitait, ont pourtant entretenu une forme de suspense jusqu’au dernier quart d’heure. Certes, Robinho, tout juste sorti de la célébration de son anniversaire, débute l’after après neuf minutes de jeu en reprenant sans contrôle une passe laser de Gutí. Mais Villarreal revient par Rossi qui met fin à l’invincibilité d’Iker Casillas. En soi, le but castellonense est déjà un évènement.

Le Real est dans les cordes? Seulement à créditer d’un score de parité à la mi-temps? Ce n’est pas un motif d'inquiétude… Parce que les Merengue de Schuster ont la personnalité de leur entraîneur: un sale caractère, bien moins préoccupé par la manière que par le score final. Et le Real de faire ce qu’il fait le mieux. Corner pour Villarreal, et contre supersonique lancé par Casillas, ponctué au troisième essai par Robinho (53e) après deux interventions de Diego López, abandonné par sa défense.

Quand le Real mène, on pense souvent que le match est fini. Mais Villarreal décide – audacieusement – de pousser son adversaire du jour dans ses retranchements. Capdevila égalise (75e) alors que le Bernabeu se voyait déjà gagnant. Trente secondes de doute avant que Sneijder redonne l’avantage au Real qui, en plus de sa personnalité, montre un répondant remarquable. 3-2, le Real compte neuf points d’avance sur le Barça, et 15 sur Villarreal.





La lutte pour le podium

Athletic-Barça : 1-1
En laissant échapper trois points qui lui semblaient acquis, le FC Barcelone a sérieusement hypothéqué ses chances en Liga et relancé le débat sur son avenir. Distancé – sans doute définitivement – en championnat, les Blaugranas n’ont plus guère que les coupes pour éviter que la saison ne soit complètement blanche.
La crise couve à Can Barça, et elle implique jusqu’à son identité de jeu. Si le projet de Frank Rijkaard semble véritablement caduc, reste à savoir combien de temps le Barça se maintiendra en marge des règlements de compte. Préparer la saison prochaine, oui, mais en sauvant celle-ci. Il sera toujours temps de voir si Mourinho peut revenir sans entraîner un schisme dans la paroisse catalane.

Le match de Bilbao passe au deuxième plan. Certes, il a permis à Bojan de briller, et à l’Athletic de montrer que le talent peut être compensé par la volonté. En ouvrant le score, les Catalans ont trop vite cru le match gagné. L’infortune de Thuram, "dont les erreurs ajoutent du suspense" (Sport), couronne une prestation personnelle encore inquiétante et punit un Barça auquel il manque l’envie plus que le talent. Les Blaugranas se consoleront en pensant que le Real a battu Villarreal, son poursuivant direct.
Quant à l’Athletic, ce point ne lui sert pas à grand chose mathématiquement, mais il sera peut-être un de ces moments de la saison, où d’un collectif peut surgir un équipe. Fondamental pour éviter la descente.





La dernière place en C1

Mallorca-Atlético : 1-0
La malédiction des derbies poursuit l’Atleti. Mal remis de la défaite contre le voisin madrilène, les joueurs de Javier Aguirre enchaînent les prestations inquiétantes. Ils ont réussi la prouesse de perdre à Valence, en Coupe du Roi, et ont enchaîné ce week-end, par une défaite à Majorque dans les mêmes conditions: une défaite sur le score minimal de 1-0, sans la moindre occasion en quatre-vingt dix minutes.

Un authentique revival des saisons précédentes qui voyaient, dimanche après dimanche, les joueurs madrilènes étrillés et ridiculisés au quatre coins de la péninsule. Certes, l’Atlético arrivait nantis de cinq changements, par rapport au derby et – pour compliquer encore le travail – se privait d’Agüero, laissé au repos. Aguirre titularisait d’entrée Mista en attaque et Reyes, l'ex-futur Lyonnais, côté gauche. Mais le pari sera perdu. L’ex-Valencien sera finalement remplacé par Agüero – qui ne se montrera guère plus dangereux – et le second terminera expulsé.





Espanyol-Betis : 1-2
La surprise du chef. Et voilà l’Espanyol qui s’effrite… Trois défaites consécutives, deux gardiens absents (Kameni à la CAN, Lafuente, blessé) et l’avant-centre Raúl Tamudo sur le flanc pour deux mois (fracture du cubitus). Le début d’année 2008 est assez peu engageant pour les Pericos. Et si ce n’était les médiocres performances de l’Atlético, l’autre club de Barcelone serait décroché de la course à la Ligue des champions.
Dans le duel qui les opposait, le Betis a crânement joué sa chance et récolté trois points empreints de mérite et de réussite. La qualité sévillane est indubitable, mais si elle s’accompagne de poteaux favorables qui convertissent les matches nuls en victoires.

Le Betis de Chaparro continue ainsi une marche en avant. Le remplaçant d’Hector Cúper a obtenu 14 points en 7 matches, soit le troisième meilleur total sur cette période. Seul le rouleau compresseur madrilène (21 points sur 21) et le Barça (16) ont fait mieux. Dans un ventre mou toujours compact, l’embellie du Betis pourrait donner de bonnes surprises à ses supporters.



Le ventre mou

Valencia-Almería: 0-1
Nouveau dimanche et nouvelle débâcle de Valence. Une défaite sans relief, indigne d’une équipe et d’un effectif supposé compétitif pour atteindre les quatre premières places de la Liga. Mestalla perd patience et réclame la tête de Koeman et de Juan Soler, le président valencien dont l’incohérence des décisions est pour beaucoup dans le désastre de cette saison. Même l’entraîneur hollandais semble exaspéré par son président en indiquant en conférence de presse n’être "pas responsable des décisions qui ont été prises. L’équipe est ce qu’elle est".

Toujours est il que sur la pelouse, Almería a pris trois points grâce à Felipe Melo, et sans un manque de réalisme criant devant le but, les joueurs de Unai Emery aurait sans doute corsé la cuenta. Pour les Valenciens, le pire ne fut pas le résultat mais le manque total de réactivité des joueurs, visiblement résignés.





Le reste


• Après un match relativement insipide, Séville obtient un penalty douteux que Luis Fabiano transforme (2 -1). S’ensuit une gigantesque mêlée.
• Pour son premier match sur le banc de Saragosse, Irureta et les siens auraient pu ramener trois points de leur déplacement à Santander. Mais Tchité, dans les derniers instants du match, égalise pour les Cantabres qui poursuivent leur excellent parcours. (2-2)
• Le Getafe de Laudrup commence à prendre corps. Témoin cette victoire (1-3) obtenue à Huelva. Granero et Albin s’affirment comme les joueurs en forme du club de la banlieue madrilène. Le Recre, en revanche, voit dangereusement se rapprocher la zone rouge.



La descente

Deportivo-Valadolid : 3-1
Belle journée pour le Depor. En s’imposant nettement contre Valladolid, les Galiciens ont obtenu un succès important pour le moral, qui leur permet de rester au contact du reste des adversaires directs. Pour la première fois de la saison, les joueurs de Lotina ont fait une excellente impression, sous l’impulsion du Mexicain Guardado dont les prestations depuis le début de saison sont de très belle facture. Cerise sur le gâteau, le retour d’Albert Lopo, qui ouvre le score.

Deuxième évènement de taille, le retour – enfin! – de Juan Carlos Valerón, après deux blessures ligamentaires au genou gauche. Sept minutes de jeu, d’élégance, de style, agrémentées d’un petit pont. Deux années sans pratiquement jouer, mais le fait est là, le talent ne disparaît jamais.





Murcia-Levante : 2-3
Tout est possible dans le football. Tout? Oui, tout! Levante a gagné un match. Attention, pas n’importe quel match… un match à l’extérieur, une première cette saison... Et voilà comment les Granates, en montrant un niveau de jeu bien supérieur à leur classement, dépassent la barre symbolique des dix points avant le FC Metz.
Une victoire qui met du baume au cœur de l’effectif et des dirigeants et qui arrive, pour une fois, avec l’aimable collaboration de l’arbitre Rubinos Perez, dont l’assistant n’a pas signalé le hors-jeu dont profite Pedro León pour inscrire le troisième but levantino.

Le scénario peut également donner le moral aux joueurs de De Blasi. Menés 1-0, ils ont égalisé avant de prendre l’avantage à vingt minutes de la fin. Grâce à une pression efficace, Murcie obtient l’égalisation à la 88e minute. Beaucoup d’équipes en proie au doute auraient abdiqué. Pas Levante, qui reprend l’avantage – définitivement – par la patte de Pedro León, qui condamne son ancien club.


Polémiques

Munúa / Aouate
L’affaire entre les deux portiers du Deportivo la Corogne a connu de nouvelles évolutions. Suite à un sérieux accrochage entre les deux joueurs, un tribunal de La Corogne a condamné Munúa à six mois de prison. Peine, qui – en application de la loi espagnole – a été commuée en 3600 euros d’amende. Bien que Miguel Ángel Lotina, l’entraîneur, ait demandé aux joueurs de régler leur différent en dehors des tribunaux, le portier israélien est allé au bout de la procédure… Et Lotina les a finalement réintégrés le vendredi suivant. On n’ose imaginer l’ambiance radieuse des entraînements du Depor, et la gravité de la situation sportive des Galiciens, seule justificatrice du maintien des deux joueurs au sein du club.


Sevilla-Osasuna
Du match opposant Séville à Osasuna, on ne retiendra que les minutes d’arrêt de jeu au cours desquelles le match s’est emballé. Un coup de coude de Poulsen à Flaño, un ballon non rendu à Osasuna qui termine sur un centre anodin dévié par Chevanton, et qui percute le coude de Javi García (qui tentait une tête avec les deux bras en avant). Iturralde, jusque là impeccable, interprète la main comme volontaire et accorde un penalty aux Sévillans, presque surpris. Luis Fabiano transforme le penalty et offre trois points à Séville.

Les accusations les plus diverses circulent, du coup de tête de Duda (Séville), aux accusations d’insultes prêtées à Ziganda, entraîneur d’Osasuna en passant par Adriano vidant le contenu d’une bouteille sur Azpilicueta. Tout cela devrait se terminer devant la Commission de discipline. Le pire, c’est que pendant que les heurts se poursuivaient près du tunnel des vestiaires, Chevanton se tordait de douleur dans la surface, dans la quasi-indifférence générale… Entorse du genou, sur une action de jeu. Ce qui permet de rappeler qu’il y eut un match, que Séville a remporté 2-1.



Dans la presse


• "Ils ne méritent pas la Liga, c’est la triste réalité du Barça", Lluís Mascaró, Sport.
"Cela devient impossible" Sport.
"Ce Real est un rouleau compresseur: laid et écrasant. Il a aplati la Liga. Que va-t-on faire jusqu’en juin?" Marca
"Henry est une des déception de la saison", Oriol Domenech (sic), Mundo Deportivo.



Ils ont dit

Valdés: "Le match nul est un pas en arrière".
Motta: "Nous ne sommes pas aussi mauvais que nous le semblons".
Koeman: "Je ne présenterai jamais ma démission, ce n’est pas ma mentalité".
Schuster: "Notre avance n’est pas si importante (…) Nous sommes nos seuls rivaux…"


Quelques chiffres


0,36:
quantité d’alcool, exprimée en milligramme par litre, de Deco, milieu du Barça, contrôlé par la Guardia Civil le 17 janvier dernier, lendemain du match de Coupe contre Séville.
2 : des dix premiers au classement avant cette 22e journée, seules deux équipes se sont imposées. Le Real Madrid et Almeria.
10: nombre de matches sans défaite que cumule Frank Rijkaard face à Joaquín Caparros (actuel entraîneur de Bilbao).
17: nombre de points que le Barça avait remonté au Real de Madrid entre la 19e et la 38e journée de Liga. C’était en 2003/2004 et – contrairement à aujourd'hui – le Barça était sur la pente ascendante…



Noms propres

De Sanctis

Dans l’échauffourée suivant le match entre Osasuna et Sevilla, le portier italien fut finalement le seul à tenter de raisonner les principaux acteurs de ce pugilat… jusqu’à obtenir, par voie de presse, les remerciements sincères de Cuco Ziganda, l’entraîneur d’Osasuna.

Gutí
En dépit de quelques gestes puérils, et la constante incompréhension de ses entraîneurs, "l’éternelle promesse de 31 ans" (comme le décrivait l'an passé Ramon Calderón) a livré une prestation étincelante contre Villarreal. A ce rythme-là, Luis Aragonés devra trouver une batterie d’arguments pour justifier l’absence du joueur madrilène en sélection.



Nom impropre

Reyes
Si Thuram aurait mérité une encyclopédie à lui tout seul, il serait injuste de lui consacrer une nouvelle fois cet aparté, compte-tenu de la performance de Reyes qui, à la médiocrité sportive,  ajoute l’antipathie. Titulaire pour la première fois depuis longtemps, l’ailier gauche de l’Atlético a plus fréquemment buté sur l’arbitre que sur son adversaire majorquin. Douzième homme du Real en fin de saison dernière, transféré non sans mal par le club rojiblanco, Reyes cumule les prestations indignes et perd généralement son temps dans de vaines joutes verbales avec l’homme en noir. Dimanche, dans un match où le traitement dont il fut l’objet n’eut rien de scandaleux, Reyes s’est énervé tout seul, jusqu’à s’autoexpulser – démontrant qu’en plus d’un apport néant à ses coéquipiers, il était également capable de les abandonner.


L'équipe type

Diego Lopez (Villarreal)

Pablo Hernandez (Getafe) – Pulido (Almería) – Lopo (Depor) – Carlos García (Almería)

Guardado (Depor) – Guti (Real) – Granero (Getafe) – Robinho (Real)

Albin (Getafe) – Diego Milito (Saragosse)


L'équipe pas type

Sorrentino (Recreativo)

Pedro Lopez (Valladolid) – Marchena (Valence) – Thuram (Barça) – Pernía (Atlético)

Joaquín (Valence) – Caní (Villarreal) – Vivar Dorado (Valladolid) – Reyes (Atlético)

David Villa (Valence) – Mista (Atlético)


Ces sélections sont établies sur la mauvaise foi des classements de la presse madrilène (AS et Marca) et catalane (Sport et Mundo Deportivo) pour 50% de la note finale chacune.


Réactions

  • doumdoum le 31/01/2008 à 14h47
    Beau boulot.

    Merci l'Antoine.

  • Toni Turek le 31/01/2008 à 18h41
    Tres beau boulot, oui. Muchas gracias, Antoine.

    Le Real qui s'echappe (ca evitera quelques psychodrames a Madrid), et Valence qui s'enfonce - je me demande encore comment Koeman peut etre toujours en poste...

    Sinon, a propos du differend Munúa / Aouate :
    ----
    Peine, qui – en application de la loi espagnole – a été commuée en 3600 euros d’amende.
    ----
    1 jour de prison = 20 € ? C'etait des jours-amendes, ou c'est une disposition speciale a l'Espagne ?

  • richard le 31/01/2008 à 20h30
    Superbe, cette passe de Guti.

    (Bon, à quand les Newspaper of the Premiership, Zeitung von Bundesliga et autres Gazzetta dello Calcio ? Désolé de ce comportement d'enfant gâté mais vous poussez au vice avec ce genre de feuilletons)

  • Roberto Cabanastonvilla le 01/02/2008 à 18h27
    article très bon

    mais, mais mais, la dénomination des clubs est une vile provocation, non mais!

  • pavlovitch le 01/02/2008 à 19h34
    Roberto Cabanastonvilla
    vendredi 1 février 2008 - 18h27


    Pourquoi?

  • pavlovitch le 01/02/2008 à 19h53
    A part ça, une info complètement surréaliste à propos du club de Levante.

    Depuis le 21 janvier, le club fait référence à une offre de Newcastle, transmise par mail, pour son meilleur défenseur, Álvaro.

    Après les atermoiements typiques dans ce genre de situation (réunions infructueuses de 4 heures entre les agents du joueur et les dirigeants de Levante, déclarations fracassantes d'Álvaro: "je n'ai plus la tête au Levante", etc.), le club annonce, le 29 février, qu'il vend Álvaro à Newcastle pour 3 millions d'euros. Une somme qui doit faire du bien aux finances du club.

    Et le lendemain, on apprend que le mail en question n'était en fait qu'un spam... (???) Newcastle n'a fait aucune offre, et le joueur reste finalement au club.

    On a quand même du mal à comprendre ce qui a bien pu se passer.

    lien

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