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DIAPORAMA : la 26e journée de championnat

Tous les N'Diaye ont marqué, mais ce n'est pas le fait marquant de cette journée… La lutte s'intensifie en tête, et se dramatise à l'arrière. Les matches au kinétoscope.
le 9 Fev 2001

 

Rennes-Saint-Étienne : 3-0
Les buts :
2e Sur une faute de placement de Wallemme, Chapuis pénètre dans la surface. Sa frappe est repoussée par Janot et revient sur Lucas, qui est cette fois contré par Kvarme. C'est N'Diaye qui conclut, enfin.
8e Un coup franc de Delaye, côté droit, parvient à Cesar isolé au deuxième poteau et dont la tête piquée ne laisse aucune chance au gardien stéphanois.
34e Coup franc de N'Diaye, enroulé à merveille.
Déloyal : se mettre à trois pour ouvrir le score et tirer des coups de pied arrêtés parfaits, voilà qui n'est pas très sportif de la part des Rennais.
Bilan stéphanois de la soirée :
différence de but : -3
points : -6
rang : - 3
moral: -1000.
Bilan rennais : les Pinault Boys s'accrochent au ventre mou.

Lyon-Marseille : 1-1
Les buts :
52e Malbranque et Dhorasoo combinent côté gauche et transmettent à Anderson dans l'axe qui d'une magnifique talonnade prend à revers la défense marseillaise et envoie Marlet se faire crocheter par Gallas. Anderson prend le petit filet de Gregorini, parti de l'autre côté.
76e Sur un coup franc à 30 mètres, légèrement décalé à droite, Belmadi trouve côté opposé Stankovic esseulé dans la surface. La recrue marseillaise remet de la tête dans le paquet. Leroy déboule et contrôle de la poitrine. Il semble vouloir frapper mais sa tête involontaire est d'une efficacité totale.
Question : le but de Leroy est un coup de génie ou un accident psychomoteur?
Occase : accélération d'Anderson qui pénètre et centre au deuxième poteau. La volée trop rabattue de Marlet heurte la barre et revient sur Ngotty (45e).
Bilan psychologique lyonnais : alors que la machine lyonnaise semble enfin tourner à plein régime, ce nul concédé en fin de match contrarie les espoirs de remontée rapide en tête du classement. Fermant la marche du groupe de tête, l'OL reste placé. Il lui faudra gérer les quatre compétitions dans lequel il est encore engagé.
Bilan psychologique marseillais : bien qu'il rapporte peu au classement, le point pris à Gerland est peut-être le signe d'un ultime sursaut marseillais, suffisant pour assurer le sauvetage. Les meilleures prestations des recrues du mercato, le retour de Leroy (fallait pas l'énerver), la solidarité affichée sur le terrain, l'apparent blindage de Clemente peuvent en tout cas le laisser croire.

Bordeaux-Monaco : 2-1
Les buts :
13e Gallardo dépose un coup franc très excentré dont la trajectoire parfaite est coupée par la cuisse de Panucci.
26e Depuis ses 18 mètres, Grenet frappe loin vers l'avant. Emportée par le vent, la balle parvient à Pauleta aux avant-postes qui sème Christanval et Rodriguez et crochète Aubry vers l'extérieur avant de redresser son tir dans le but vide.
71e Sur un corner, Jurietti immobilise Vairelles irrégulièrement. Laslandes transforme le penalty d'une frappe de mule en plein centre.
Nickel chrome : le centre de Gallardo pour Panucci.
Météo marine : le vent, passeur décisif.
Cadrage-débordement-cadrage : Pauleta.
Retour : Lilian "nul n'est prophète en son pays" Laslandes.
Occase : embarqué très loin de son but, Aubry sauve la touche, mais Grenet récupère et talonne pour Battles qui frappe vers le but déserté… sur le poteau.
Qui est cet arbitre qui siffle les accrochages sur les corners? : M. Duhamel.
Synthèse : Le sursaut monégasque de la 25e journée n'a pas eu de surlendemain, et l'ASM reste sur une pente savonneuse. Les Girondins 2001 n'ont pas la fluidité et la facilité de l'équipe championne de France, mais ils résistent à tout et parviennent à arracher les résultats. Des qualités très utiles dans ce championnat.

PSG-Guingamp : 1-3
Les buts :
7e Coup franc à 25 mètres pour Rodriguez. Letizi avance en hurlant vers son mur, au moment où l'ancien parisien brosse une frappe du gauche qui vient se ficher dans le petit filet.
22e Benarbia tire un coup franc le long de la ligne de touche. Pochettino s'impose dans les airs à hauteur du point de penalty.
35e Corner de Carnot, Bourdeau s'impose du pied au premier poteau dans une défense apathique.
83e Corner de Carnot, Tasfaout s'impose de la tête dans une défense cataleptique.
Les supporters ne l'ont pas chanté mais ils l'ont pensé : "Bergeroo, Bergeroo….".
Choc psychologique : ça y est, Fernandez avoue que son équipe est mauvaise.
Changement d'objectif : en deux matches, le PSG ne joue plus l'Europe, mais le maintien.
À désespérer : si Letizi se met au niveau de ses partenaires…
Tradition : les anciens Parisiens vont-ils recommencer à marquer au Parc?
Bilan : L'EAG, 5 points devant le PSG, et à des années-lumière sur le plan du jeu.

Metz-Bastia : 3-2
Les buts :
19e Meyrieu côté droit vire au centre, et du gauche trouve Baticle embusqué. Plat du pied.
28e Lachuer, relayé par Laurent sur le flanc droit, centre au premier poteau pour André qui devance les défenseurs messins.
35e En contre, Gaillot alerte Moreno dans la profondeur. Le Colombien efface d'abord Durand par la gauche, puis crochète Casanova pour conclure à angle fermé.
68e Sur un coup franc excentré, à quelques mètres de la ligne de but, Meyrieu adresse un centre rentrant à mi-hauteur que personne ne dévie, sinon Durand dans son but.
88e Laurent, décalé à droite par Ferreira, centre pour Essien qui reprend de la tête à hauteur du point de penalty.
Prématurément sorti : Née remplacé par André.
Apparition : Espartero.
Rendement : Baticle, 10 buts en 20 matches.
Overdose : 5 buts à Saint-Symphorien. Il y a eu des évanouissements.
Bilan de synthèse : Par cette victoire et par la magie de la Commission d'appel, Metz voit Toulouse lui passer devant mais se retrouve devant Saint-Étienne, avec un moral certainement regonflé. Le Sporting est désormais décroché du groupe de tête, à 5 points du 4e.

Lille-Nantes : 1-1
Les buts :
43e Après un une-deux avec Da Rocha, Gillet parvient à décaler Carrière à droite dans la surface. Le "milieu défensif" nantais a le temps d'ajuster Landreau d'un tir croisé du droit.
84e Sur un dégagement raté de Gillet qui voit la balle partir en hauteur, Sterjovski réussit un contrôle idéal sur le côté droit de la surface et remet en retrait à N'Diaye dont la frappe violente est détournée par Fabbri et trompe Landreau.
Commentaire d'éclairage : ce sommet incontestable de le D1 n'a pas eu l'honneur des trois choix des diffuseurs, qui préfèrent téléviser les équipes du Club Europe, parce qu'elle font plus d'audience, paraît-il. C'est sûr que si on ne montre qu'elles…
Comme à la maison : les Nantais se sont sentis comme chez eux, sous la flotte et sur une pelouse à trous.
Joli coup raté : le coup franc de Gillet par-dessus le mur, pour Ziani qui reprend juste au-dessus de la transversale.
La balle de match : Sterjovski à la 89e minute, servi par Peyrelade en profondeur et qui élimine Landreau, mais ne touche que le poteau.
L'analyse du coach: "Quand vous laissez jouer Nantes je suis bien sur place pour dire si c'est difficile récupérer le ballon". (Vahid Halilhodzic).
Synthèse : l'enjeu n'a pas écrasé un match où l'opposition des styles a joué à fond. Les deux équipes ont eu la possibilité d'emporter trois points qui valaient de l'or, les Nordistes par leur vaillance et le sentiment que tout peut leur sourire à Grimonprez, les Nantais par leur nette supériorité technique. N'ayant pu faire le break, elles sont toujours en tête, mais toujours à deux.
Conclusion : Ça vaut la Ligue des champions!

Auxerre-Toulouse : 2-0
Les buts :
64e Le corner de Kapo s'élève dans la bise bourguignonne, Faye s'élève et marque de la tête au second poteau.
87e Cissé s'échappe depuis ses 40 mètres, résiste au retour d'Uras et du bout du pied, pousse le ballon sous Revault sorti à sa rencontre.
Changement d'humeur : Nouzaret fait le con derrière les grillages à la mi-temps, mais il ne fait pas le malin devant les caméras à la fin du match.
Style de jeu : l'AJA joue le contre même à domicile.
Enigme : l'AJA est-elle sur le point de se maintenir avec un jeu aussi laborieux?
Avant-centre : quand Maître Decker ne joue pas, le TFC est moins sûr de prendre les trois points.

Sedan-Troyes : 2-1
Les buts :
3e Sur un renvoi de la défense, Ghazi prend sa chance de loin. Sachy est trompé par le rebond.
78e Sur un renvoi de la défense, N'Diaye frappe de l'extérieur du droit. Heurtebis est trompé par le rebond.
93e Sur une offensive échevelée, Adjaoud centre fort dans le paquet. Mionnet, d'une brillante talonnade, emporte la victoire.
Remarqué : pour son retour, à défaut du tapis, Eric Roy aura eu le carton rouge.
Eliminé : Goussé après 10 minutes, sur un tacle terrible d'Elzéard.
Jocker : Mionnet do Brazil.
Synthèse : invaincu à domicile, quatrième, le CSSA est toujours là. Il joue moins bien, mais s'arrache à la lilloise. Après avoir longtemps laissé croire à des Troyens arc-boutés qu'ils allaient leur laisser la victoire, les Sedanais se replacent.

Strasbourg-Lens : 1-0
Le but :
80e Coup franc lointain et décalé à droite. La frappe deBertin rebondit deux fois et vient se planter au ras du poteau.
Paradoxe Courbis a souvent aligné au cours de sa carrière des formations offensives, incapables de jouer offensivement. Il meurt avec ses idées.
Stupido : Diouf, qui s'était fait remarquer lors des deux dernières journées, est-il étonné de se faire exclure.
Bonus : superbe bicyclette de Martins.
Occase : Ljuboja seul aux six mètres, frappe sur la barre.
Stats : Bertin, une grosse patate sur deux au fond.
Bilan : Courbis cuit.

Réactions

  • Eric Cantona le 09/02/2001 à 00h00
    Putaing
    Qu'est ce que je fous là...
    putaing
    Bande de sacs à merdes
    Commentaires de pinguoing



  • Amazigh le 09/02/2001 à 00h00
    Petite précision Létizi et Anelka se sont mis au niveau de leurs partenaires, j'étais au stade il était méconnaissable!!! Bravo aux quelques minables pseudo supporters qui sifflent un joueur en pleine action comment voulez-vous qu'ils osent quoi que ce soit après ça? En fait pourquoi me casser la tête à leur parler ils ne risquent surement pas de venir sur ce site!

  • grain de sel le 09/02/2001 à 00h00
    j'apprécie beaucoup votre commentaire d'éclairage du match Lille-Nantes. Avez-vous les stats des équipes diffusées en premier choix de C+?

  • jazzpaco le 09/02/2001 à 00h00
    Je suis fâché…

    Je suis surpris du comportement de Mr Fernandez, et encore plus par celui des supporters
    du PSG, club cher à mon cœur depuis 1986.
    En effet, ce monsieur que j’estimais jusqu’à cette saison, s’est révélé transformé par son passage de quatre ans à la tête d’une équipe moyenne espagnol.
    Je pensais que Fernandez étais un Supporter de Paris, mais après avoir décidé de ne plus conduire l’Altletic Bilbao, a organisé son retour, fomenté avec l’aide de certains dirigeants et d’une certaine presse (Le Parisien, Le Match Du Lundi…) et de certains joueurs ( Anelka) la déstabilisation de notre é lien
    Il déclarait alors que Bergeroo était en place, qu’il fallait le laisser travailler, tout en déclarant chaque jour qu’il reviendrait au PSG. Rien de choquant dans l’absolu sauf que nous le savions tous qu’il reviendrait, notre fils prodigue. Ce qui est choquant c’est la manière dont il est revenu, en se servant de l’OM pour accélérer son dessein.
    Il a commencé par virer Lamarche que tout le monde décrie aujourd’hui, alors que cet homme à une côte d’estime auprès de beaucoup de joueurs (Vairelles, Dalmat… ).

    Si l’on met de côté ce qu’ils apportent où n’apportent pas en ce moment, comment peut on oublié qu’il a réussit a faire venir:

    1/ Robert chez nous alors que celui-ci était demandé par Arsenal, Lens (Qualifié cette année là en UEFA) Marseille (Qui venait de disputer une finale de C3 et qualifié cette année là en C1).

    2/Benarbia, alors que les Girondins était champion de France et qu’ils allaient donc disputer la lien
    3/Christian que personne ne connaissait et qui se révéla un tueur devant le but pour sa première saison en France (évitant même un syndrome RAI).

    4/Dalmat demandé par les plus grand club européens, emmenant avec lui son expérience trois ligues des champions disputées, et portant le lourd fardeau d’ancien joueur lien
    5/Luccin, que tout le monde moi y compris, pensait sans cerveau, anti-parisien primaire
    au talent déclaré.

    6/Dehu qu’il connaissait depuis Lens et qui se fit un plaisir de rejoindre son ancien directeur lien
    7/Mendy, qu’il fit signer bien avant que celui-ci devienne champion du monde des moins de dix huit lien
    8/Ronaldinho qu’il sut convaincre, avec un discours que j’aurais bien voulu connaître tellement sa signature finale relève de l’ lien

    Il a réussit a fédéré autour de lui, une multitude d’observateurs pour un projet de détéction
    des jeunes talents du bassin parisien. Recrutant par la même, premièrement l’ancien responsable du centre de formation du Red Star (S. MICHEL, S. MARLET, S. BOUTAL,
    DOMORAUD…) et dans un deuxième temps d’accorder une place aux joueurs du passé
    (RAI conseiller au Brésil, Kombouaré entraineur de la CFA…)
    Voilà la preuve d’une intelligence certaine, et d’une certaine loyauté envers ceux qu’il cotoie et ceux qui l’ lien
    Comment cet immense technicien peut il être au chômage, que font l’OM l’ASM où même
    certains club étrangers (Arsenal, Parme, Inter….)
    Je ne reviendrais pas sur le cas Bergeroo, lynché par la presse lui aussi et dont la vox populi
    Demandait qu’il passe sur l’échaffaud. Si je ne partageais pas toujours ses choix tactiques et
    ses choix d’hommes, je lui reconnais suffisament de qualité pour le respecter et pour lui souhaîter bonne chance. Merci de nous avoir emmenné en ligue des Champions Mr Bergeroo, merci de nous avoir fait passé ce premier lien

    Parlons de Fernandez. Fernandel, entraineur comique d’une équipe comique qui me fait rire autant que Laurent Gerra me fait changer chaîne quand il passe à la télé.
    Fernandel ce psychologue de comptoir, qui jette Dalmat, parce qu’il s’oppose à ramasser le matos. Compte t’il faire ramasser les plots, ballons ou autres chasubles à Ronaldinho sous
    prétexte qu’il n’a que 21 lien
    Fernandez a tout lu Freud
    Avant le match d’hier soir, il affirmait vouloir gagner avec 2, 3 ou 4 buts d’écart, le lendemain il stigmatise ses joueurs et leurs manques d’humilité. D’autre part cette déclaration à bien du motiver à l’extrême les guingampais, cette équipe tellement faible
    que l’on va l’humilier. Résultat les deux buts d’écart sont là, mais dans l’autre sens.
    Pour relancer un joueur Fernandel, a une vision illustrée par exemple par le cas Christian
    un jour titulaire, trois jours plus tard Hors du groupe. A noter que la logique peut s’inverser exemple Rabé, Algé lien

    Sur quoi se reposait il pour espérer tant ?
    Sur E. Cissé, dont je lis toujours dans les écrits de Mr Verdez qu’ils ratissent « avec ses grandes jambes ». Il se moque de qui dans Le Parisien, E. Cissé est un spécialiste du double pas (à gauche ou à droite), il essaie de faire écran mais se met jamais en opposition.
    Ce n’est pas qu’il n’a pas le niveau de jouer au PSG, c’est qu’il n’a rien à faire en D1 (Pourtant en 16 ans, je n’ai jamais vu un championnat aussi faible).

    Sur De Lucas, qui à mon regard était bien isolé à l’échauffement, aucun joueur n’est allé lui souhaité bon match.
    Sur les échauffement d’avant match, où Anelka envoie 95% de ses frappes hors cadre et qui se marre…


    En tout cas pas sur Okocha, qu’il ne fait jamais jouer alors que si il n’y a qu’un joueur de foot au PSG, c’est bien lui.
    Je pensais que Fernandez allait s’atteler a dépouiller le jeu de Jay-Jay, pour qu’enfin sa technique, sa précision son physique et son sens du placement fasse enfin de lui un N°10 de classe internationale.
    Qu’on ne me dise pas qu’un joueur pareil ne peut rien apporter, ou sinon que 20 mn par match. C’est du délire. Je peux accorder que notre N°10 n’est pas d’un caractère hargneux,
    Mais Ça peux s’apprendre, Merde!

    De toute façon, personne ne s’engueule dans cette équipe, tu prends un but deux but trois but et personne ne monte au crénaux. D’ailleurs, je les ai tous toujours entendus dire qu’il régnait une excellente ambiance dans le groupe. Je rêve-pas un qui se lève et qui dise J’en ai marre-des mecs n’ont pas le niveau…(Alors Lionel arrête d’endosser la responsabilité des buts).


    Pour conclure, on est à notre place avec une vraie équipe de quartier.

    Prochain sujet l’arrogance de Fernandel.






  • MMM le 09/02/2001 à 00h00
    Jazzpaco, je trouve que les nombreuses recrues (Robert, Dalmat, Luccin etc..) que tu as citées, sont certes de bons joueurs, mais sont des gars qui n'ont rien dans la tête. Des mecs comme cela peuvent te casser l'esprit d'équipe et un rien de temps.


  • jazzpaco le 09/02/2001 à 00h00
    MMM, Ils ont l'etat d'esprit de leurs ages, moi à 21 ans j'était un p'tit con qui croyair tout savoir.
    Chaque chose en sontemps, ne demandons pas à des jeunes de 21 (riche trop tôt)ans d'avoir la sagesse des anciens.
    De plus ceux que tu cites ne sont pas forcément ceux à citer.
    Luccin me paraît etre qqn d'intelligent et de lucide.

  • marco le 09/02/2001 à 00h00
    Robert rien dans la tet ? En quoi a t il foutu la merde une seule fois? A t il gueulé alors qu'il s'est retrouvé plusieurs fois remplacant, lui qui a porté le PSG à bout de bras la moitié de la saison?
    Alors qu'Anelka qui lui n'a rien fait de la saison est toujours titulaire meme s'il enchaine les prestations indigentes???

    Suivre les clichés, c'est faciloe MMM. Si ces crises sont dues à ces "branleurs" qu'est ce qui explique les crises que traversait déjà Paris au temps des Rai Guerin Roche... Celle de Marseille cette année, pourtant débarassé de Dalmat et Luccin?
    Il faut se mefier des lieux communs, y compris ceux que tu trouves ici...

  • MMM le 09/02/2001 à 00h00
    Je ne les met pas tous dans le même sac. Robert est gentil, très fort quand il est en confiance, mais beaucoup trop impulsif. Beaucoup de joueurs ont ce défaut, no pb.
    Dalmat change de club chaque année, et je crois que ce fait est un indice qui ne trompe pas sur son état d'esprit.
    Luccin, j'avue que je ne l'aime pas, il n'y a pas vraiment de raison, je le trouve intelligent, mais avec un mauvais fonds (pas la peine de me le dire: c'est totalement subjectif, et je ne le connais pas, Luccin)

    Christian est un super joueur, très puissant, buteur, qui ne mérite pas d'être sur le banc, à mon sens.
    Benarbia, quand il y a qqchose qui ne va pas chez lui, ouvre sa gueule, fout la merde. En plus, il est fini.
    Dehu m'a l'air très prétentieux (alors qu'il n'a vraiment rien d'exceptionnel); et quand je pense que l'OL le voulait (en que c'est Edmilson qui est venu), ça me fait un bien …. Mendy, je ne connais pas bien. Ronaldinho, on verra.
    Le pire de tous (heureusement pour le PSG, il est parti), c'est bien "Talal" qui réunit la médiocrité dans le jeu, la méchanceté, et l' lien
    Maintenant, j'ai une vue extérieure, subjective, et fondée sur rien du tout, c'est donc mon pauvre avis sur les joueurs du PSG, et je pense qu'il est absolument impossible de constituer un esprit d'équipe avec tout ça.
    Mais j'ai sans doute tort.

  • Antanael le 09/02/2001 à 00h00
    Je trouve exemplaire la solidarité affichée par les clubs de tête (Lille, Nantes, Lyon...) de faire tous les efforts possibles pour ne pas se détacher et prendre trop d'avance sur les GROS (en embonpoint) clubs qui se traînent derrière. Pensez simplement qu'un club comme Monaco, Marseille (mais pas Strasbourg quand même) n'aurait qu'à aligner 3-4 victoires (bon, pas si facile que ça avec leurs joueurs) pour se retrouver européen... Ne pourrait pas t'on dire aux clubs de tête qu'ils n'ont pas besoin d'attendre leur poursuivants?

    PS : J'attends le match Marseille/PSG pour voir marquer Maurice (qui ne marque pas sinon), N'Gotty (qui lui a donné "La" Coupe) et Jérôme "Joker quand il joue" Leroy...

  • marco le 09/02/2001 à 00h00
    MMM, Robert impulsif = cliché!!! L'an dernier il s'est fait expulser deux fois et depuis il se traine cette image...
    A t il fait quoi que ce soit de ce genre depuis? A t il seulement, impulsivement, gueulé contre sa place sur le banc?
    Par contre, j'ai honte de voir le capitanat confié à Benarbia qui tient une grande place dans la crise parisienne. L'equipe tournait tres bien sans lui, il s'est senti obligé de foutre la merde...

    apres, quand on avait, du coup, besoin de lui, il s'etait fait legitimement ecarter... Alors voir ce joueur rejouer, c'est dur, mais le revoir capitaine, ca fait mal par ou ca passe...

La revue des Cahiers du football