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DIAPORAMA: la 13è journée du championnat

Surprises ou confirmations, joies et drames, il y a eu de tout dans cette journée...
le 30 Oct 2000

 

Strasbourg-Marseille 1-1
Canal+ n'avait évidemment pas choisi de diffuser ce match de la peur pour des raisons purement sportives: sur ce plan, il n'y avait pas grand chose à espérer, et on en eut en effet la confirmation. Les caméras étaient plutôt braquées sur la pelouse de la Meinau dans l'espoir inavoué de filmer un quelconque drame, frappant l'une ou l'autre des équipes venant à perdre. Alors nous pourrions presque nous réjouir de ce match nul qui nous épargne de tristes et prévisibles images et coupe la poire en deux, sans satisfaire les protagonistes mais sans faire plonger l'un deux dans un marasme incontrôlable.
Si les Strasbourgeois n’ont pris qu’un point en deux journées, leur niveau de jeu s’élève peu à peu. Les progrès effectués concernent surtout les phases de possession du ballon. En revanche, ils demeurent défensivement encore très friables, notamment en raison de persistantes erreurs individuelles. Il est vrai que le public de la Meinau ne pardonne plus grand chose à ses "favoris". Ceux-ci sont encore tout près du gouffre, mais le retour d’une certaine cohésion dans le jeu leur autorise les espoirs. Le prochain déplacement à Toulouse vaudra encore très cher pour les hommes de Le Roy.
Côté marseillais, la situation n’est guère plus reluisante. Car si le point pris à l’extérieur est loin d’être négligeable, la manière n’a pas été au rendez-vous. La seule bonne nouvelle en la matière a été le but de George Weah qui met fin à la disette des attaquants de l’OM. Pour le reste, Marseille a disputé à la Meinau un de ses matches les plus décevants. Si au cours des précédentes rencontres les Phocéens ne marquaient pas, c’était en se créant bon nombre d’occasions. Samedi, même à onze contre dix, ils ne s’en sont pas procurés.
Pris dans la spirale du doute, leur jeu se délite peu à peu. Désormais, il leur faudra faire très attention, tant on a déjà vu des équipes des équipes de plus de talent se retrouver aux portes de l’enfer à la suite d’une série de résultats contraires. Le cauchemar de la saison passée se profile de nouveau à l’horizon. Une note d’espoir subsiste cependant. Elle réside dans la personne de Braga (voir ses déclarations d’après match) .
Quant au match lui-même, il n'a certes pas offert un grand spectacle, mais pas au point de justifier les commentaires méprisants de L'Equipe, qui semble prendre plaisir à enfoncer les deux équipes. Et rien que pour ce but de Weah...
On retiendra finalement les déclarations d'amour de Claude Le Roy et Abel Braga, le Brésilien rappelant l'amour du football qui est la source de sa motivation. Son éloge des rapports entre l'entraîneur et son groupe est rafraîchissant, et on le comprend ce qu'il signifie dans le très agité contexte marseillais. Son l’intelligence et sa dignité peuvent-elles amener le groupe à des jours meilleurs?

Lyon-Auxerre: 2-2
La nette domination lyonnaise a donc été contrariée en première mi-temps par la maladresse des attaquants et le talent de Cool, malgré une animation du jeu bien assurée par Malbranque et Dhorasso. La première occasion auxerroise sera celle du premier but grâce à un somptueux coup franc excentré de Guivarch. Angelo Hugues n'est pas chanceux avec les coups francs... Sur l’engagement Govou ramène immédiatement l'égalité, d'une échappée en profondeur conclue d'un tir impeccable au pied du poteau. Mais Gerland un peu stupéfait voit Tainio sortir de sa boîte pour donner l'avantage aux Bourguignons. Lyon évitera l’humiliation d’une nouvelle défaite à domicile en se battant jusqu’au bout: l'ultime centre de Dhorasso trouve la tête de Govou.
L'OL tarde à décoller au classement, ainsi qu'à confirmer des progrès pourtant réels. Il a aussi souffert de l'absence à ses extrémités de Coupet et Anderson. L'AJA revient elle de deux périlleux déplacements (Monaco puis Lyon) avec un point par match. De quoi se rassurer avant de recevoir le PSG, surtout si Guivarc'h retrouve son efficacité.

Troyes-Monaco: 1-0
Sans Giuly et Simone, l’ASM a eu du mal à entrer dans cette rencontre. Elle connut ainsi dix première minutes difficiles. Mais comme de leur côté, les Troyens craignaient terriblement leurs adversaires, la première mi-temps fut au final assez maussade. Seuls événements notables, les quelques occasions monégasques au cours des dix dernières minutes, toutes avortées par un Heurtebis des grands soirs. La seconde partie du match ressembla à la première jusqu’à la 69e minute. Ce fut le moment que choisit Djukic pour mettre sa tête à la réception d’un centre de Boutal. Le match se débrida alors quelque peu et le rythme s’éleva enfin. Prso faillit égaliser, Djukic se signala encore et au final Monaco perd de nouveau trois points. PSG-Bordeaux 1-2
Toutes les séries ayant une fin, il fallait prévoir que celle des victoires parisiennes au Parc des Princes allait trouver la sienne ce dimanche soir. Fatigués par la répétition des matches ou par une fête trop intense après la parade de Rosenborg, les hommes de Bergeroo sont donc tombés face à des Bordelais paradoxaux qui n'ont plus perdu à l'extérieur depuis le 19 août, et comptabilisent quatre victoires loin de Lescure (contre une à domicile).
La première mi-temps a vu les Girondins neutraliser une équipe parisienne (qui a raté un nombre incalculable de passes) se procurer les meilleures occasions et marquer sur une superbe frappe de Pauleta. Après la pause, les Parisiens avancent à nouveau et semblent proches d'une égalisation. Mis en confiance par le public qui s'en prend à Dugarry depuis quelque temps, M. Derrien choisit d'avertir l'attaquant pour un vague accrochage, puis de doubler la mise à l'occasion d'un duel aérien et d'un balayage du coude qui fend l'air au-dessus de la tête de Talal El-Karkouri sans heurter vraiment son crâne. On débattra sur le caractère intentionnel ou non de ce geste, mais la cible favorite des publics de France a été exclue en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire...
Cette réduction à dix ne pénalise pas tant que ça ses coéquipiers, qui font plus que jamais bloc. D'autant qu'en face, la "défense B" parisienne accumule les erreurs, via El-Karkouri puis Yanovski qui offre à Pauleta l'occasion d'inscrire un doublé. Le pauvre défenseur russe est bien plus coupable que Casagrande, auteur d'un moulinet pathétique et désespéré, et auquel on ne peut vraiment reprocher d'être avancé au moment où son équipe a le ballon. Le public se déchaîne bien sûr contre le gardien, qui aurait dû réfléchir avant de signer son contrat de victime expiatoire.
Ce coup d'arrêt pour le PSG (privé de Luccin, Rabesandratana et Letizi, avec Dalmat et Robert très discrets et un Okocha dont la rentrée a été insuffisante) ne lui enlève pas la tête du classement et remettra en place des esprits peut-être un peu échauffés après le carton et la qualification de mardi. Le championnat n'appelle pas moins le combat que la Ligue des champions...
Avec quatre victoires et deux nuls lors des six dernières journées, les Girondins reviennent à un rythme intéressant. Quant à leur buteur portugais, il est en passe de s'imposer comme l'un des tous meilleurs du championnat... Les ambitions sont-elles de retour au Haillan?

Rennes-Guingamp: 1-2
Guingamp s'impose comme l'équipe de contre absolue dans cette compétition, au grand dépit de Rennais dominateurs et énervés de s'être fait braquer la caisse de la crêperie. Sans grand génie mais avec toute la rigueur et l'opportunisme que l'on voit cette saison aux "petites" équipes, la formation de Guy Lacombe a d'abord profité d'un but de Fiorese à la demi-heure de jeu, avant que Chapuis n'égalise sur un bon travail de Delaye côté droit. En seconde période, Fiorese récidive sur une récupération de Carnot en trouvant la lucarne de Lama. Guy Lacombe peut sourire, le mauvais début de saison de son équipe est largement surmonté, même si l'objectif du maintien ne change pas.

Metz-Lens: 2-1
A ce rythme, Bollaert ne va pas tarder à gronder: Lens fait du surplace. Si les hommes de Courbis ont effectué une prestation honnête à Metz, elle fut encore insuffisante, notamment sur le plan offensif. Pourtant la rencontre avait bien débuté avec un pressing haut et une équipe bien en place. Ce bon début fut justement récompensé par un but de Sibierski bien placé à la réception d’un coup franc excentré. L’ouverture du score eut surtout pour effet de stimuler les Lorrains qui dès lors prirent le jeu à leur compte. Meyrieu omniprésent distilla les ouvertures vers le but de Warmuz. Sur la plus belle, Jager lui donna satisfaction par un contrôle et une frappe hors du temps, ou plutôt dans un timing parfait.
Le partage des buts reflétait assez justement la physionomie d’une première mi-temps de bonne facture et disputée dans un excellent esprit. La pause fut le moment choisi par Courbis pour nous rappeler qu’il ne sait toujours pas épeler coaching. Les remplacements effectués n’eurent pour effet que de déséquilibrer une équipe pourtant bien en place jusque-là. Affaiblie en défense, inefficace offensivement, l’équipe lensoise perdit ses illusions quand une maladresse de Warmuz aida les hommes de Muller à prendre un avantage qui s’avéra définitif.
Débarrassé d’Arribart, Courbis n’a désormais plus beaucoup de droits à l’erreur. Pour redresser la barre, il lui faudra peut-être dénicher un homme ou une organisation susceptible d’accroître l’efficacité de son équipe.

Bastia-Saint-Etienne: 0-0
John Toshack continue sa découverte des pittoresques stades français, et après Louis-Dugauguez, voilà le tour de Furiani et de son acoustique si particulière. Le trio offensif corse se recomposait avec Prince dimanche soir, Née restant sur le banc. Titularisé, l'éternel joker a mené la vie à la défense stéphanoise renforcée, en compagnie de Lachuer et André, sans jamais pouvoir trouver la faille. L'entrée du meilleur buteur bastiais à la place de Casanova n'y changera rien. Levytsky gesticule tellement que les attaquants ratent le cadre ou lui tirent dans les bras.
L'attaque bastiaise plafonne à quinze buts et le Sporting n'a remporté qu'un seul de ses quatre derniers matches à domicile, ratant cette fois l'occasion de passer devant Paris au classement.
Le premier chantier annoncé par le nouvel entraîneur des Verts était celui de la défense. Il semble avancer, et son équipe s'est offert un peu de confiance avec un résultat acquis dans la douleur et la solidarité. D'autres progrès devront venir...

Sedan-Nantes: 2-0
Les Sedanais ne veulent pas perdre dans leur tout nouveau stade. Ils poursuivent même une belle série de victoires. N’Daye reprend en bout de trajectoire un joli centre de Quint, et son but récompense une domination constante face à une pâle équipe nantaise. Les Verts doublent la mise à la 66e minute grâce à un nouveau centre de Quint repris par Brogno, très actif. Le milieu de terrain nantais a disparu de la circulation au cours de la rencontre, peut-être diminué par ses efforts en coupe de l'UEFA, et les attaques nantaises sont restées à l'état d'ébauche. La régularité n'est pas le fort des Canaris de cette saison, au contraire de leurs adversaires, qui peuvent saluer longuement leur public pour fêter une flatteuse place sur le podium provisoire.

Lille-Toulouse: 1-0
Si les ambitions déclarées d'avant-saison étaient aujourd'hui respectées, les deux équipes échangeraient leurs positions d'"Européen" et de "relégable" au classement. La thérapie Nouzaret n'a pas porté ses fruits à Grimonprez-Jooris, qui a longtemps souffert de voir les occasions de Bakari, Agasson ou Boutoille échouer sur le rempart toulousain, avant une délivrance venue de Peyrelade. Le LOSC, second du championnat, va finir par faire peur!
Toulouse, qui concède sa cinquième défaite à l'extérieur, ne bénéficie pas de l'électrochoc espéré. Son habit de lanterne rouge lui colle de plus en plus à la peau... La réception de Strasbourg le week-end prochain s'annonce dramatique.

Réactions

  • N Hervé le 30/10/2000 à 00h00
    Pourquoi vous sentez-vous obliger de préciser que le PSG était diminué par trois absences face à Bordeaux en omettant l'absence très importante de Wilmots côté Girondin? C'est parfois flagrant votre esprit pro PSG. C'en est même pénible. Allez ailleurs qu'au parc pour suivre les matchs. Quand on lit ce que vous écrivez sur Guingamp (équipe de contre absolue), ou le peu de cas que vous faites de Lille dans vos résumés, on a des doutes sur l'objectivité de vos commentaires. Sachez que Guingamp a changé d'entraîneur depuis leur dernière saison en D1. Et s'il est vrai que cette équipe sait bien jouer le contre, elle est malgré tout une équipe qui aime jouer l'attaque, comme Nantes. Vous confondez avec le PSG qui joue à merveille le contre sans jamais savoir comment mener un match de bout en bout quels que soient les joueurs présents sur la pelouse si ce n'est contre Rosenborg (magnifiques les longs ballons devant vers Christian ou Anelka, on croirait le foot anglais des années 70, pas besoin de meneur dans ces cas-là. D'ailleurs, les meneurs n'entrent que lorsque le PSG est mené... déformation professionnelle dûe à un entraîneur ancien gardien de but spécialiste des dégagements vers l'avant). Sachez d'ailleurs que le PSG n'est pas le seul club à avoir des joueurs en moins parfois... il me semble qu'à Marseille Ingesson, Maurice... et Blanc manquent à leur club. Voilà, c'est tout, j'adore vos articles, mais suis parfois stupéfait par vos commentaires d'après-match très canal. Je suis désolé d'avoir été très négatif. On a quand même besoin de vous, qui que vous soyez. Mais c'est aussi le rôle du journaliste de recevoir en pleine face les critiques. Jamais content le peuple. Jamais. Qui aime bien...

  • splash-la-tomate le 30/10/2000 à 00h00
    J'étais au Parc hier, et il est certain qu'il s'agissait du plus mauvais match du psg à domicile cette saison. Bordeaux a été compacte, mais n'a pas maitrisé le match et n'a gagné que sur un coup franc (et à preuve du contraire, marquer sur coup franc ne démontre pas forcément que l'on maitrise un match), et sur une bévue de casagrande. Contrairement à vous, je considère que Casagrande est aussi responsable sur le lob de 40 mêtres (qui ne prouve pas non plus la maitrise de bordeaux). il faudrait lui dire de rester dans sa surface, même si son équipe a le ballon ! mais bon, c'est le football, il fallait bien que la série s'arrete un jour, mais à la vue du match, même si psg a été brouillon, il n'en a pas moins maitrisé la majeure partie de la rencontre et s'est créé les meilleures occasions face à un bon ramé et de bonnes obstructions des attaquants.

  • guigo le 30/10/2000 à 00h00
    J'étais aussi au Parc hier, et à mon grand étonnement la prestation très médiocre des Parisiens a réussi à réveiller des supporters Bordelais dans toutes les tribunes ;l'expulsion de Duga montre bien deux choses : les Parisiens étaient très crispés de leurs prestations (Robert sifflé sur des mauvais controles) et s'en prennent directement au bouc émissaire du championnat (El karkouri qui simule et Déhu qui le cherche); une tactique douteuse mais qui finit par payer puisque les arbitres aujourd'hui n'ont pas la force de juger une situation de jeu sans juger un homme (Duga). Le stade entier s'est levé pour conspuer Dugarry, comme pour libérer les tensions et les révoltes intérieures; du coup les Parisiens ont repris confiance, le "Mal" étant parti...Mais les Bordelais , sans jouer très bien, ont montré leur ascendant sur deux buts, que certains qualifient de hors contexte, mais qui sont le resultat d'une franche domination (coup de pied arrété sur une action dangereuse de Duga, et lob incroyable que l'on ne tente qu'en confiance )

  • SLY le 30/10/2000 à 00h00
    Oulalala !


    En tant que Girondin je me dois de réagir !
    N Hervé : Les Cahiers ne sont pas "pro-PSG" ! Ils disent les choses comme elles sont et c'est un Girondin qui te le dis pourtant !

    Certes le PSG était diminué et Bordeaux aussi. Mais cela n'enlève RIEN au superbe match Girondin, Bordeaux a mérité sa victoire.

    Concernant Splash-la-tomate : PSG a joué son match le plus mauvais ? c'est la vexation qui te fait dire ça ;-) Sérieusement si le PSG n'est pas constant il ne peut s'en prendre qu'à lui-même, ce n'est pas un secret que Bordeaux revient en forme depuis un moment, l'équipe a un bon mental, fait de bons matchs, ne joue pas pour figurer (allusion à l'OM qui DOIT toujours être meilleur que les autres, idem pour Paris sinon c'est la m....) mais juste pour être à son niveau sans plus de prétentions (on crache pas non plus sur les titre, hein !).


    Quant au but de Pauleta, il vient sur coup-franc, mais cela n'empêche pas de dire que Bordeaux maitrisait le match, peut-être aurais-tu préféré être humilié par une magnifique action collective ?

    Et le 2ème but d'anthologie est plein de vista, vient d'une erreur défensive, mais doit aussi beaucoup autalent du buteur Bordelais.


    Sur ce, bordeaux champion ! ;-) A+

    SLY.


  • jopsep le 30/10/2000 à 00h00
    dans votre article, vous paraissez surpris par un retour de l'ambition à bordeaux. mais il faut savoir que vous parlez là d'un club où on ne pavane pas sans avoir de résultats et où l'approche de la communication est surement plus discrète qu'ailleurs. cependant, bordeaux est un club ambitieux et tout autant que les autres clubs "anciens" du championnat.
    quand aux supporters parisiens qui décrivent la prestation de leur équipe plus haut, sachez que bordeaux aussi est passé en deuxième tour de la LC l'an dernier...et qu'il n'y a pas de complexe à reconnaitre que bordeaux est plus et peut plus que le psg !

    1-ce n'est pas un club à prendre à la légère

    2-cette équipe possède des joueurs qui seraient titulaires n'importe où (dugary, roche, pauleta, ramé,...)

    3-il manquait deux titulaires (willmots et smertine)

    4-le psg manque de caractère (propre aux équipes artificielles)


    bravo les cahiers pour vos analyses et à quand pour les stats ??

  • splash-la-tomate le 30/10/2000 à 00h00
    Sly, sache que j'ai vu tous les matchs au Parc, si tu penses que Bordeaux a gagné contre un bon psg, c'est une lien ne m'a pas paru irrésistible loin de là, mais suffisamment solide pour l'emporter compte tenu de la faiblesse de paris hier. maintenant, si tu pars avec l'idée que les supporters des autres équipes sont forcément des cons, je me demande pourquoi tu viens discuter ici. Ceci dit, je suis davantage déçu par la prestation parisienne qu'impressionné par celle de Bordeaux qui a parfaitement négocié le match. Effectivement, pauletta a eu beaucoup de talent pour réussir le lob somptueux qu'il a tenté.

  • jeanpaul le 30/10/2000 à 00h00
    Vous n'en avez pas marre de vous chamailler tels des adolescents pré-pubères ???

    Bordeaux a gagné point, s'ils ont gagné, c'est qu'ils ont été meilleurs, point, après pour le reste, on verra qui sera champion,
    un point c'est tout (j'espere pour ma part que ce sera paris).

    Ca sert à quoi de dire que si Paris avait bien joue il aurait gagné facile ou que le PSG n'a pas de caractère, ce qui n'est pas vrai (cf matches contre le bayern et toulouse).?
    Si à chaque match, on fait une gueguerre comme ça, je pense que les
    Cahiers vont vite devenir un site aussi nul que les autres...

  • grain de sel le 30/10/2000 à 00h00
    Jean paul résume bien la situation. Bordeaux est apparament venu pour faire déjouer Paris avec Jemmali et Battles sur les cotés. Les bordelais y sont parvenu en maitrisant leur plan de bataille et sont repartis avec des points pas forcément immérités. Mainteant dire que Paris a toujours été souverain au parc me semble exagéré (bayern marseille) mais ca c'est un autre débat!

    La défaite parisienne peut toujours servir de lecon quant à leur concentration après les matchs de CL et face à des equipes qui cherchent à bloquer les ailes Robert Dalmat


  • Pounewatchy le 30/10/2000 à 00h00
    C'est pas un peu fini, PSG a perdu parce qu'il a mal joué, et que Bordeaux a joué sérieusement. Les remplacants du PSG ont montré leur limite : Talal, Casagrande et Yanovski ont gagné leur place sur le banc. Ce qui est inquiétant c'est le niveau du championnat francais, c est sympa Lille, Sedan Troyes et Guingamp aux premières places mais c'est chiant. Maintenant les journalistes sont contents, oui les petits s'en sortent mais il faut voir comment. Toutes les équipes sus-citées jouent le contre, détruisent le jeu, et on les lien
    Les seules "petites équipes" essayant de produire du jeu sont aux dernières places : Toulouse (jouant bien en début de saison), St Etienne (au jeu chatoyant), Strasbourg (si, si ils ont essayé de produire du jeu en début de saison). On a un championnant de faible niveau et ca va pas s'améliorer, quand tout le monde va jouer comme ces équipes.

  • Skippy le 30/10/2000 à 00h00
    Juste une question, à propos de PSG-GB, pourquoi quand une équipe perd, on dit qu'elle a mal joué ou qu'elle est dans un jour sans? Parfois c'est aussi l'équipe adverse qui fait déjouer grâce à une bonne organisation... A méditer...

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